Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’industrie 4.0, à base de haute technologie, se présente comme l’un des atouts majeurs de la nouvelle ère industrielle qui se présente à nous. Un irréductible passionné de robotique collaborative, et de surcroît jeune entrepreneur de son état, Ned CEKIC relève le défi dans le nord de l’Yonne depuis le 01er janvier. Proposant à l’aide de sa structure l’usage de la cobotique et l’application de ses vertus aux industriels qui ont besoin d’améliorer leur processus de fabrication…

COURTOIS-SUR-YONNE : A 46 ans, Ned CEKIC présente un profil professionnel hautement qualifié. Ingénieur en robotique et en informatique industrielle, le néo-entrepreneur maîtrise son sujet sur le bout des ongles.

Logique, il a bénéficié en amont d’une longue expertise de plus de deux décennies parmi des poids lourds incontestables de l’entrepreneuriat à la française : les groupes ALSTOM et SAINT-GOBAIN !

Aujourd’hui, seul, il endosse la vêture d’un dirigeant de société, une SAS, au format et à la cible parfaitement bien étudiés. Pas étonnant que l’association INITIACTIVE 89 ait flashé sur son projet, minutieusement élaboré, et approuvé par l’intermédiaire de l’un de ses conseillers, Julien LACOMBE.

Associer l’emploi qui n’a rien de futuriste de la robotique à la vision créative des entrepreneurs industriels afin que ces derniers améliorent leur mode opératoire de fabrication ne pouvait passer inaperçu dans le sérail icaunais. Le dossier se distinguait nécessairement des autres, posés sur le coin d’un bureau !

 

 

 

 

INITIACTIVE 89 s’est engouffré tout de go dans la brèche. Mais, la structure associative départementale ayant pour vocation d’accompagner les porteurs de projets via l’obtention de prêts d’honneur n’est pas la seule.

Portée sur les fonts baptismaux au premier janvier dernier, NEED ROBOTICS ambitionne de devenir très vite, et sur un plan hexagonal, une entreprise novatrice et performante. Contributrice de solutions mûrement réfléchies auprès d’industriels qui souhaiteraient éviter que leurs opérateurs ne multiplient les tâches répétitives et pénibles, ou ne portent des charges trop lourdes, synonymes de TMS (les fameux troubles musculaires du squelette).

 

 

De multiples débouchés pour asseoir sa suprématie technologique…

 

Le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) s’intéresse de très près à cet entrepreneur à l’esprit vif qui espère une ramification rapide de son activité dans un rayonnement de deux cents kilomètres autour de sa base arrière et qui le restera : le Sénonais.

Paraphé le 08 janvier dernier, un premier contrat d’ingénierie lie la jeune start-up de l’Yonne au puissant groupe SAINT-GOBAIN WEBER. Ned CEKIC ne pouvait pas mieux démarrer sa nouvelle carrière d’entrepreneur avec autant de sérénité.

Mais, le garçon entrevoit d’autres possibilités collaboratives du même aloi avec le concept de cobotique dont il assure la promotion. Les secteurs de la santé, de la médecine, de la viticulture, de l’industrie mécanique représentent autant de filières potentielles où les débouchés offrent une sérieuse opportunité de s’affirmer.

Sachant que le coût de cellules robotisées est amortissable assez rapidement pour les PME qui opteraient dans l’achat de ces solutions pratiques (entre 80 et 100 000 euros).

 

 

Conceptualisé à partir d’une imprimante 3D, avec l’aide de partenaires (UR, YASK), l’appareil robotisé intègre après quelques mois de fabrication le site industriel de l’acquéreur afin de pallier aux manques, le plus souvent de personnel.

Une demi-douzaine d’emplois pourrait être créée d’ici cinq ans par le président de la SAS. Les profils sont déjà connus : commerciaux, automaticiens, projeteurs dessinateurs techniques, service après-vente…

 

  

Levées de fonds et partenariat utile avec les étudiants…

 

Stratégiquement, NEED ROBOTICS s’appuiera dans le cadre de son développement sur la présence d’un « tech-center » (un local de deux cents mètres carrés sera nécessaire pour accueillir les techniciens) qu’il suffira ensuite de positionner au bon endroit. Sans doute en Côte d’Or, voire en Saône-et-Loire afin de répondre aux exigences sectorielles imputables à la région Bourgogne Franche-Comté.

Quatre agences compléteraient ce maillage tactique en parallèle. Elles seraient implantées dans le Loiret, la Seine-et-Marne, l’Aube et l’Yonne, qui conserverait le siège social de la société.

Précisons qu’une première levée de fonds aura permis à l’entrepreneur de bénéficier de précieux subsides (40 000 euros) de la part du réseau Entreprendre Bourgogne et d’INITIACTIVE 89. La BPI et la Région ont également été sollicités.

Désireux aussi de transmettre son savoir aux plus jeunes des générations, Ned CEKIC s’est rapproché de l’IUT licence professionnelle robotique et industrie de Reims avec lequel il a développé une convention de partenariat.

Côté performance, il espère atteindre les deux millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici 2025. Il ne serait pas surprenant qu’à cette date il dépasse aisément les objectifs fixés…

 

 

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pas étonnant que l’on en voit partout, à chaque carrefour, à chaque coin de rue ou sur la moindre portion d’autoroute ! Le produit phare du constructeur au lion a réalisé avec son modèle 3008 les meilleurs scores de production de l’année 2019 ! Soit près de 260 000 véhicules qui sont sortis tout droit des unités de production de Sochaux…

PARIS : Indéniable succès pour le constructeur national. Le SUV le plus fabriqué en France l’an passé aura été le fameux 3008 à la ligne si caractéristique. Le produit devance la Toyota Yaris dans l’Hexagone.

A raison de mille véhicules jour, le site de Sochaux a élaboré depuis son origine plus de 23 millions d’automobiles.

 

 

Depuis son lancement survenu en 2016, la Peugeot 3008 s’assimile à un véritable succès de la marque, permettant au constructeur français d’occuper une place privilégiée parmi les leaders de ce segment en Europe.

Rappelons qu’en 2017, le véhicule obtenait le titre de voiture de l’année à l’issu d’un vote exprimé par 58 journalistes européens de vingt-deux nationalités. Le modèle a glané au total 63 distinctions dans le monde. Pourvu que cela dure !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dorénavant, et après l’explication de texte fournie par la ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE, les toitures des bâtiments agricoles pourront accueillir d’ici peu des panneaux photovoltaïques. Une décision importante pour la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY. Elle y voit une petite victoire personnelle. L’élue avait interpellé en son temps le gouvernement pour qu’il lève les freins à ces installations utiles…

DIJON : La présidente de la Région a été entendue. Et visiblement écoutée sur sa requête auprès des instances gouvernementales où elle demandait la suppression des contraintes techniques liées à l’installation de panneaux photovoltaïques sur les toitures des bâtiments agricoles.

L’objectif de la sollicitation de l’élue régionale consistait à relever le seuil des appels d’offres nationaux auprès de la commission de régulation de l’énergie dans le cadre de la pose de ces panneaux.

Désormais, ce seuil passe d’une puissance de 100 à 300 kWc. Très attendue par la profession, la mesure favorisera la hausse du nombre de dossiers pour d’éventuelles candidatures. En simplifiant et en accélérant leur procédure d’instruction.

Commentaire à chaud de l’intéressée : « C’est un premier combat gagné en faveur de notre agriculture et de notre environnement… ».

 

 

Sensibilisée par les différents épisodes de sécheresse, la présidente de l’exécutif régional s’est rapprochée de la filière agricole en étudiant les pistes les plus adéquates pour lutter contre les effets du changement climatique. Des sujets de réflexion qui devaient aussi prendre en compte l’amélioration de la situation financière des agriculteurs.

Aujourd’hui, il apparaît manifeste que la production d’électricité solaire à partir des toitures des bâtiments agricoles soit l’une des pistes à privilégier. Le système se veut autonome, sans impacter ni les surfaces ni les rendements agricoles.

Le cheval de bataille de l’élue régionale sur ce point est bien de développer et diversifier les énergies renouvelables en optimisant la transition de l’agriculture. Tout en offrant à ces professionnels le bénéfice de revenus complémentaires.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !

Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.

Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.

A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.

 

 

Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…

 

Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !

A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.

L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.

 

 

Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.

La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.

La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…

Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La sécurité, on le sait, n’a pas de prix. Ni la protection de la ressource humaine sur le lieu de l’emploi. En l’espace d’une petite décennie, le nombre d’accidents au travail a chuté de façon vertigineuse pour la filiale icaunaise du groupe MICHELIN. Une division par dix ! Quant à la cohabitation, d’ordinaire si problématique entre les chariots élévateurs à fourche et les salariés qui évoluent à pied parmi les ateliers, elle n’apparaît désormais plus une problématique ingérable. Grâce à une approche intelligente, ordonnée et pédagogique applicable au quotidien…

AVALLON: Certes, on ne peut se déplacer au cœur de l’immense site industriel de rechapage de pneumatiques qu’en ayant pris au préalable un minimum de précautions lorsque l’on est un visiteur externe. Logique, en somme ! Mais, aujourd’hui, les collaborateurs de Pneu LAURENT qui s’affairent au quotidien sur leurs postes de travail se sentent également en parfaite sécurité.       

La mise en place d’un certain nombre d’initiatives adaptables à la configuration du site industriel aura permis de résoudre un vrai sujet de fonds : celui des risques d’accident. Non seulement, la préservation du personnel est assurée mais en outre les résultats de la structure s’en sont trouvés améliorer. Une forme de pratique de l’excellence, profitable à tous.

Chantre de cette optimisation de la sécurité à ne jamais négliger, Arnaud MALECAMP, directeur du site avallonnais, se dit satisfait par les résultats engrangés de ces expériences positives.

Le premier item dont il fallait en priorité résoudre les effets négatifs se rapportait à la circulation des fameux chariots élévateurs à fourche au sein des ateliers. Indispensables auxiliaires de locomotion pour éviter le poids de charges trop lourdes à l’humain, ces petits engins à la motricité très versatile peuvent parfois se mouvoir sans que les piétons s’en aperçoivent réellement, concentrés sur leurs opérations professionnelles.

 

 

Le piéton est prioritaire sur l’engin dans les règles de circulation…

 

Des cycles de formation à la sécurité ont ainsi vu le jour dans l’entreprise. Les 420 salariés ont pu prendre pleinement conscience des dangers pouvant exister en cas de négligence.

Un plan de circulation a été instauré dans les ateliers avec une signalétique spécifique au sol. Chose paradoxale et contraire à certaines autres habitudes industrielles : le piéton est, ici, prioritaire par rapport à la mobilité de l’engin. Celui-ci ne peut par ailleurs pénétrer sur des secteurs clairement identifiés tant que le personnel à pied s’y trouve.

Sans doute, la direction générale du groupe MICHELIN s’est-elle appuyée dans ses préconisations sur les conclusions alarmantes de deux rapports d’enquête émanant de la CNESST, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail.

Ces études font état d’accidents graves survenus dans le milieu industriel à la suite du renversement d’un chariot élévateur, d’une part, et de la cohabitation difficile entre piétons et engins, d’autre part.

 

 

 

Depuis, les caristes ont reçu de nombreuses consignes sécuritaires dans le cadre de leur travail. Dans le cas de collision avec du personnel à pied où les informations divulguées ont été très précises.

Par exemple, il faut savoir que le poids d’un chariot élévateur équivaut à environ six voitures automobiles. Conséquence : si un piéton est heurté par ce type d’engin très mobile, il y a peu de chance pour qu’il puisse s’en sortir indemne. Sans omettre que la charge transportée par l’appareil risque aussi de tomber sur le salarié.

Chez Pneu LAURENT, comme devait le préciser Arnaud MALECAMP lors d’une visite du site par les entrepreneurs du réseau Entreprendre Bourgogne, différentes solutions ont été ainsi déclinées pour réduire les risques au maximum.

Ainsi, dans les ateliers, des zones de travail ont été dédiées à la circulation des chariots élévateurs. Laissant le passage aux piétons par le biais de corridors. Ces mesures se sont accompagnées d’installation de barrières de sécurité facilitant la diminution des dommages.

Bref, tous les vecteurs favorables à la sécurité ont été développés. Ils sont complétés par des séances régulières de rappel informatif des normes spécifiques. Pour que l’humain et les machines cohabitent du mieux possible. Et sans aucune anicroche…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil