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Initié par le réseau régional de la chambre consulaire, le nouvel outil multimédia (www.relancermonentreprise.fr) offre l’accès à un ensemble de ressources très utiles aux entrepreneurs en reprise de leur activité. Il est aussi un espace de contribution astucieux où chacun des utilisateurs peut y déposer une idée ou une suggestion profitable à la relance économique…

AUXERRE : L’après confinement est une étape à ne pas prendre à la légère après les nombreuses semaines d’inertie économique. Fort de cela, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Bourgogne Franche-Comté qui ont multiplié les cellules d’appui en soutien des milliers d’entreprises dans le besoin durant les moments les plus cruciaux, poursuivent leur mission sociétale en créant un nouveau site numérique.

Baptisé sobrement (www.relancermonentreprise.fr), l’outil respecte le credo coutumier qui guide les services des CCI au quotidien depuis le début de la crise sanitaire : accompagner à la reprise d’activité des entreprises grâce au redémarrage de l’économie.

Opérationnel depuis peu, ce site présente les diverses solutions préconisées par l’organisme consulaire dans le cadre de la relance, les dispositifs d’aides mobilisables, le cadre réglementaire en matière de réouverture d’activité (on pense volontiers à la filière de l’hôtellerie/restauration/loisirs) ou encore une liste des fournisseurs régionaux d’équipements de protection. On y trouve également la fameuse bourse régionale d’entraide.    

 

 

Facile à manipuler, l’outil encourage les recherches par mots clés, par tags, par thématiques selon les appétences des chefs d’entreprises. Il est aussi un espace contributif puisqu’il recueille les idées et autres suggestions émises par chacun des acteurs de l’économie en vue d’optimiser la relance ô combien nécessaire.

Il suffit d’activer le bouton ad hoc, placé en haut à droite de la page de garde pour que ces éléments à partager transitent par les services des CCI de la région. Ces derniers pourront alors enrichir ces propositions en matière d’accompagnement d’entreprises.

 

En savoir plus :

Les entreprises peuvent aussi contacter le correspondant relance de leur CCI territoriale pour toute précision et accompagnement sur le référent suivant :

www.relancermonentreprise.fr/contactez-votre-cci

 


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Elisabeth BORNE est attendue ce jeudi 04 juin à Dijon pour une visite officielle. La ministre de la transition écologique et solidaire annoncera-t-elle lors ce déplacement le relèvement à 300 kWc du seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles ? Evoquée cet hiver, la décision est très attendue de la part de la filière. Mais aussi de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté qui ne manquera pas d’interpeller la représentante du gouvernement à ce sujet…

DIJON (Côte d’Or) : L’information avait été précisée Porte de Versailles lors du Salon international de l’Agriculture à Paris. Cela se déroulait le 23 février.

Ce jour-là, interpellée par la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY, la ministre de la transition écologique et solidaire Elisabeth BORNE avait annoncé que le seuil d’appels d’offres du photovoltaïque sur les toitures des bâtiments agricoles serait porté à 300 kWC.

Une mesure jugée indispensable pour favoriser le développement de l’énergie solaire dans l’Hexagone. Une mesure qui permettait aussi aux agriculteurs de tirer de cette production énergétique un complément substantiel de revenus.

Or, depuis cette annonce, rien ne semble avoir bougé concernant l’application de ce dossier. Il est vrai qu’entre-temps, la crise de l’épidémie du coronavirus est passée par là.

Se déplaçant dans la capitale des ducs de Bourgogne ce jeudi 04 juin, Elisabeth BORNE est donc priée d’apporter des éléments de réponse par la présidente de la Région.

« Sur ce dossier, explique cette dernière, je me suis beaucoup battue dans l’intérêt des territoires en faveur de l’accélération des procédures administratives. Le solaire photovoltaïque en toiture représente une composante importante de notre trajectoire vers une région à énergie positive et bas carbone… ».

 

 

 

 

Ce jeudi, en association avec le président de la Chambre régionale d’agriculture Christian DECERLE, la présidente de l’exécutif territorial espère obtenir enfin des réponses concrètes à la question.

« Il s’agit de tout mettre en œuvre pour accélérer la procédure de publication du décret d’application et de son arrêté tarifaire. D’autant que nous sommes dans une situation d’état d’urgence sanitaire… ».

On attend avec impatience la réaction de la ministre. Les réponses fournies par celle-ci satisferont-elles définitivement l’élue régionale ?

 

 


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Juin est d’ordinaire synonyme de la tenue de la traditionnelle conférence agricole régionale. Un évènement très attendu par les suiveurs de l’actualité de la filière qui en analysent les données statistiques livrées par l’Observatoire régional. Le contexte si particulier de ce printemps 2020 ne permet pas d’organiser cette manifestation. Qu’importe ! Les résultats technico-économiques seront dévoilés dès le 04 juin via le lien numérique habituel…

DIJON (Côte d’Or) : La COVID-19 aura eu raison d’un énième évènement régional : la conférence agricole qui aurait permis si elle avait été au programme de dévoiler les pistes de réflexion de l’Observatoire d’un milieu professionnel éprouvé lui-aussi par cette crise sanitaire sans précédent.

Fruit d’un travail aux multiples partenaires (Chambre régionale d’agriculture, CER France, Conseil régional et l’Etat), l’édition 2020 de cette restitution avait pour vocation première de présenter l’ensemble des résultats technico-économiques de la filière établis au cours des douze derniers mois.

Un autre volet aurait dû être abordé de visu si les conditions sanitaires l’avaient permis : des pistes de réflexion et des témoignages venant corroborer tout ce qu’il aurait été souhaitable de faire pour améliorer les conditions d’installation et de transmission des exploitations.

Avant que la crise n’éclate, c’est précisément cette thématique (le renouvellement des agriculteurs) qui figurait à l’ordre du jour prioritaire de cette conférence régionale.

Habituellement, cette conférence annuelle accueille les décideurs du monde agricole et des représentants institutionnels des territoires.

Sa tenue est primordiale pour les observateurs car elle offre des repères précis sur les revenus des exploitations et sur les dynamiques des différentes filières à long terme.

A défaut de pouvoir partager l’ensemble de ces données de visu, les organisateurs ont décidé de mettre à profit leurs éléments informatifs de manière dématérialisée.

Dès le jeudi 04 juin, il sera possible à l’identique de ce qui se pratique les autres années de consulter les travaux de l’Observatoire régional en se référant au lien suivant : https://bourgognefranchecomte.chambres-agriculture.fr/


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Accueillir ses petits-enfants. S’en occuper efficacement en étant inventifs, dans des occupations et des balades à moins de cent kilomètres : voilà ce qui nous était proposés durant cette période de confinement. Ce fut l’occasion de découvrir les vertus du « géocaching ». C’est-à-dire l’aventure pour tous ! Imaginez organiser une journée, une semaine ou plus, de vacances, seul, entre amis ou en famille avec des enfants et des petits-enfants, pour chercher « un trésor » ! Il suffit pour cela de s’équiper d’une paire de chaussures de marche et d’un smartphone où sont installés un GPS et un site de géocaching, gratuit le plus souvent…

TRIBUNE : Pour prétendre pratiquer l’art du géocaching, il faut s’inscrire à titre gracieux sur le site « géocaching.com ». Et ensuite, partir à l’aventure pour découvrir des trésors ! Mais, quels trésors ?

Il s’agit de petites boîtes contenant parfois un cadeau que l’on peut prendre (mais à remplacer) et d’une feuille où on inscrit son nom et la date de découverte. On replace ensuite ladite boîte au même endroit. A notre connaissance, il n’existe pas de « géocaches » avec diamants et louis d’or !

On peut aussi créer une « géocache ». Ce jeu est amusant, voire enthousiasmant pour découvrir une ville, une région, la France, le monde et l’univers !

Avec un peu de créativité, des offices de tourisme, comme celui de Bourg-en-Bresse ou de Besançon, peuvent créer des caches afin de faire découvrir des sites archéologiques, des monuments, les richesses des paysages de la région…

Aux Etats-Unis, certaines activités commerciales intègrent le géocaching pour faire découvrir un lieu touristique et la boutique des souvenirs proposés…

Une suggestion idéale pour « La Côte Saint-Jacques » ou « La P’tite Beursaude » afin d’attirer les clients dès l’ouverture possible de leurs restaurants !

 

 

Géocaching, un jeu enthousiasmant !

 

Historiquement, le géocaching est né le 03 mai 2000 dans l’Oregon. Le concept a été créé par un certain Dave ULMER. Effet « boule de neige » immédiat : aujourd’hui, plus de trois millions de caches existent dans 180 pays.

On compte plus de 200 000 caches en France dont 325 à Auxerre et ses environs dans un rayon de 25 kilomètres : Monéteau, Appoigny, Migennes… Certaines caches font l’objet d’énigmes à résoudre afin de trouver le lieu. Dans le monde, sept millions de « géocacheurs » se sont déjà inscrits à ce jeu !

Les géocaches sont classées par niveau de difficultés : du niveau un à cinq. Certains sites ne peuvent s’installer qu’avec une autorisation parentale : il faut éviter aux plus jeunes d’aller dans des lieux dangereux.

On peut ainsi recenser des endroits insolites comme le sommet du Mont-Blanc. Pour le monde, vous pouvez aussi être tenté par les sommets du Kilimandjaro ou de l’Everest, le cœur de la forêt amazonienne ou les caches déposées au pôle Nord (attention aux ours blancs !) et au pôle Sud !

Encore plus fort : il en existe à 2 431 mètres de profondeur au beau milieu de l’océan Indien.

Mais, la cache la plus hallucinante tourne à la vitesse de 8 km/seconde et se situe à 400 kilomètres de la Terre !

C’est le « géo-astronaute » Richard GARRIOTTE qui déposa le 12 octobre 2008 une cache à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale).

Le niveau de difficulté est de cinq pour la trouver ; il faut prévoir un coût d’environ 58 millions de dollars pour le vol et 35 000 dollars par nuitée, hors promotion !

 

Et pourquoi pas le géocaching participatif au dessein écologiste…

 

Mais, le plus important reste que le géocaching est un jeu qui relie les hommes et la nature.

Certaines destinations proposent de faire rencontrer des personnes qui ne se connaissent pas pour découvrir un lieu afin de le dépolluer. Il s’agira alors de ramasser les déchets laissés par les touristes…

La discipline est devenue plus qu’un simple jeu de découverte. On peut se cultiver tout en s’amusant et aiguiser sa créativité en famille. Les témoignages sont éloquents, consultez Internet !

Louis ARAGON écrivait : « Je réclame le droit de rêver au tournant de la route aux grands charmes de la promenade. Le droit de m'émouvoir du monde maintenant que s'approche la canonnade. Je réclame le droit des hommes à pencher leur visage anxieux au miroir des fontaines. D'aimer les blés et de le dire. D'y chercher une douce paix incertaine. Je réclame le droit de peindre mon pays... ».

Alors à vos téléphones portables ! Et bonne chasse dans ces nouvelles aventures palpitantes !

Jean-Paul ALLOU


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Industrialiser de nouveau la France pour que notre territoire puisse fabriquer davantage à l’avenir en brisant le cycle infernal de sa dépendance envers la Chine et les pays d’Asie du Sud-Est représente une idée qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Refroidi parce qu’il vient de vivre après plusieurs mois d’inactivité faute de production assurée en Extrême-Orient, Mohammed ERRAFI se met en quête de trouver des partenaires français. Pour assurer la conception de ses sacs à dos brevetés aux particularismes si révolutionnaires…

SENS : En l’espace de quelques mois, la start-up de l’Yonne a acquis ses lettres de noblesse dans le giron de la technologie grâce à la conception révolutionnaire d’un sac à dos pour le moins singulier qui lui permet de réduire le poids de charge de son produit de 92 % ! Nom de la marque : GRAVIPACK !

Distinguée lors du fameux Concours Lépine édition 2018 où elle décrochera la médaille d’argent, la structure dirigée par Mohammed ERRAFI écoulera plus de trois mille de ses modèles insolites au premier trimestre.

Réalisant en substance un joli bénéfice de trente mille euros dès le lancement de sa gamme de produits avec la vente de mille six cents sacs en à peine vingt jours !  

Mais, un coup d’arrêt brutal est venu perturber la belle mécanique si bien huilée. Il a eu pour cause le coronavirus et la suspension immédiate de toutes les livraisons des produits fabriqués avec le concours des partenaires chinois.

Travailler avec les industriels de l’ex-Empire du Milieu ne représentait pourtant pas la priorité numéro un du jeune entrepreneur à ses débuts. Mais, constatant avec certaine amertume qu’aucun professionnel de l’Hexagone ne s’intéressait à son ambitieux projet à l’envergure internationale, le chef d’entreprise n’eut pas d’autres alternatives que de jeter son dévolu vers des partenaires moins exigeants et prêts à soutenir son projet novateur.

 

 

 

Prévenu dès le 14 décembre des risques liés au coronavirus…

 

Les Chinois n’ont alors pas hésité à prendre en charge l’ensemble des frais liés à la conception du projet, depuis le coût de la matière première jusqu’aux tests scientifiques et médicaux à l’aide d’un bureau d’étude composé d’une dizaine d’ingénieurs afin de fabriquer les cent mille unités prévues. Chaque prototype ayant coûté la bagatelle de trente mille euros !

Toutefois, le 14 décembre 2019, son correspondant local lui présente les problématiques inhérentes à la propagation du virus parti de Wuhan qui inquiète beaucoup les autorités de Pékin. Avec une recommandation destinée à son interlocuteur : celle de ne plus adresser d’argent en Chine puisque l’usine y est à l’arrêt.

Refroidi parce qu’il entend à l’autre bout de la ligne, le chef d’entreprise espère trouver une chaîne de production française. Mais, il le sait : ce n’est guère aisé dans un pays qui est désindustrialisé.

Une idée de génie germe en lui : Mohammed ERRAFI se rapproche alors de l’Association des Paralysés de France (APF), lui-même très sensible à la cause du handicap. Il trouve un accord avec la structure afin que la production puisse se faire par leur intermédiaire avec l’usage de matériaux écoresponsables. La Croix-Rouge entre également dans le jeu, interpellée par la démarche.

De quoi se préparer pour la période estivale où des milliers de sacs devraient être vendus. Et étoffer la gamme de nouveaux modèles.

Le dirigeant de la SAS GRAVIBAG espère atteindre un chiffre d’affaires de plus de 9 millions d’euros d’ici cinq ans. Soutenu par de nombreux financeurs, il aura démontré avec cette crise qu’il savait rebondir et s’adapter aux situations même les plus complexes…

 


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