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Issus d’une sélection initiale de 27 prétendants à la candidature, trois jeunes femmes et quatre garçons, âgés de 16 à 18 ans, composent le précieux effectif de cette seconde session de recrutement qui a intégré les services de secours départementaux ce mardi 03 avril à l’issue d’une cérémonie protocolaire officielle en présence des familles. Répartis de manière équitable aussi bien en zones urbaines qu’en zones rurales, celles qui éprouvent le plus difficulté à incorporer de nouveaux volontaires, les membres de cette première promotion 2018 entameront durant cinq semaines leur cycle de formation avant leur affectation définitive. Une expérience globale de huit mois que ces jeunes gens ont hâte de vivre aux côtés de leurs tuteurs…

AUXERRE : Leur mission s’étalera sur un rythme de 24 heures/semaine jusqu’au 30 novembre 2018. Tous auront à cœur d’apporter leur pierre à l’édifice en faisant de leur mieux pour faire preuve d’altruisme et de solidarité envers les citoyens. Face au bilan positif obtenu après la première session survenue en octobre, le SDIS de l’Yonne (Service départemental d’incendie et de secours) n’avait d’autre alternative que de reconduire cette opération, brillante à différents égards.

Une volonté que devait expliquer le lieutenant-colonel Jérôme COSTE lors de sa prise de parole en ouverture de la cérémonie. « Accompagnés de leurs tuteurs et de leurs chefs de centre, ces jeunes gens vont vivre une expérience incroyable au service de nos concitoyens. Ils ont un rôle majeur à jouer dorénavant dans la société : travailler sur leur propre savoir-faire et savoir-être avant transmettre cet ensemble de valeurs et de les partager grâce à cette expérience… ».

Au terme de la formation initiale, les quatre garçons et les trois jeunes filles accompagneront les personnels de cinq centres de secours du corps départemental disposant d’une garde postée (Auxerre, Avallon, Joigny et Villeneuve sur Yonne). En parallèle, ils seront opérationnels dans le centre de secours le plus proche de leur domicile en qualité de sapeur-pompier volontaire (SPV), tout en prenant part à des actions promotionnelles autour du volontariat à destination de la jeunesse. Un réel bénéfice pour trois centres ruraux éprouvant de sérieuses difficultés à grossir ses effectifs : Brienon sur Armançon, Saint-Sauveur en Puisaye ou Toucy.

Des tests sélectifs par l’approche des compétences…

Dès le mois de février, vingt-sept jeunes candidats avaient déposé leur dossier de candidature pour espérer intégrer le cycle formatif de cette deuxième session des volontaires du service civique. Nonobstant, il aura fallu attendre la phase de tests, prévue le mois suivant, pour entériner de manière définitive la liste de la future promotion qui ne devait pas excéder dix personnes. In fine, le nombre de postulants retenus s’élèvera à sept personnes. Endurance, résistance des membres supérieurs, montée à l’échelle, parcours avec un sac de premiers secours composaient cette série d’épreuves où chacun put jauger ses aptitudes physiques. Les avis médicaux devant compléter cette batterie de tests. Les heureux bénéficiaires de ce service civique apprendront ensuite à vivre ensemble au premier jour de leur formation.

Déjà en octobre une première expérience réussie pour sept jeunes…

Décrété par le législateur via le texte de loi du 27 janvier 2017 relatif à l’égalité et à la citoyenneté, le service civique « sapeur-pompier » ouvre de réelles perspectives pour ce corps territorial. Dès le mois de mai de l’année dernière, Christophe BONNEFOND, président du SDIS 89 et vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, validait cette opportunité qui permet de compléter le plan volontariat 2020, instauré en février dernier. A raison de deux sessions de recrutement annuelles, par semestre, un contingent de vingt jeunes volontaires viendra grossir les rangs des effectifs de l’un des 36 centres départementaux en déficit.  

« Ce qui peut paraître simple sur le papier est parfois complexe à mettre en place, expliqua l’élu départemental à la tribune, pourtant, intégrer en qualité de service civique volontaire les sapeurs-pompiers représente une chance extraordinaire pour cette jeunesse. Apprendre les bases de la citoyenneté en sauvant les biens et les personnes représente un magnifique objectif… ».

Appelant déjà à la mobilisation des futurs candidats de la troisième session dont la phase sélective débutera à l’automne, Christophe BONNEFOND souhaita que l’ensemble des 36 centres départementaux soient bénéficiaires de cet engouement de la part des nouvelles générations.

Lors de la conclusion, la directrice du cabinet de la préfecture, Julia CAPEL-DUNN, félicita ces nouvelles recrues pour leur civisme et leur générosité à vouloir pratiquer les vertus de l’entraide et de la solidarité envers autrui. « Votre mission, concluait-elle, est aussi de véhiculer ces informations autour de vous en les faisant rayonner parmi les jeunes gens de votre âge… ».

La remise de la bande patronymique et de l’écusson officiel à apposer sur le revers de la veste ainsi que la signature de l’acte d’engagement ne furent plus ensuite que de simples formalités, applaudies par l’assistance.


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Profitant de la concomitance médiatique avec la Semaine nationale consacrée aux TPE (très petites entreprises), BGE Nièvre Yonne procédait à la remise de distinctions lors de la dernière séance de retrouvailles de son « BGE Club » afin d’encourager la structure la plus performante de notre territoire selon ses propres critères de jugement. Un prix qui se dédoublait en la circonstance, venant aussi plébisciter une jeune TPE en herbe, c’est-à-dire en cours de constitution, afin de sensibiliser les porteurs de projets à passer à l’acte dans leur désir de velléités entrepreneuriales…et de réussites professionnelles.

AUXERRE : Le parallèle entre la fourmi et une très petite entreprise coule de source ! Selon le président de BGE Nièvre Yonne, Arnauld MERIC, cette analogie au-delà des considérations émises par des entomologistes est légitime tant les TPE françaises sont pavées de bonnes intentions en matière de résistance, d’opiniâtreté et d’intelligence collective lorsque ces dernières se fédèrent, par exemple, au sein d’un organisme qui leur apporte un total soutien…à l’instar de l’ancienne Boutique de Gestion régionale !

Présentes partout dans l’Hexagone, dotées d’une grande force de frappe parmi les différents secteurs qu’elles représentent, les TPE ne seraient-elles pas d’ailleurs issues de ce terreau palpable de l’avenir économique de notre pays ? 

« Petites à l’image de ces insectes, mais costaudes par leur efficacité sur le terrain, les TPE produisent des choses très intéressantes en matière de valeur ajoutée sociétale, poursuivit le président de l’organisme de formation, il était logique que nous leur apportions notre total soutien en matière de communication et de visibilité, leur octroyant des récompenses annuelles par le biais de leur outil relationnel, le BGE Club… ».

750 entreprises accueillies par la BGE en 2017…

Structure informelle mais officialisée à l’aune de l’automne 2017, et pilotée par une exégète de la communication, Amandine BENOIST, ce club propose des rencontres régulières et instructives entre les dirigeants de ces multiples TPE qui ont été portées depuis leurs fonts baptismaux par cet organisme rayonnant sur deux départements limitrophes.

Plus ancien réseau indépendant associatif de France, BGE couvre le territoire régional de la Bourgogne Franche-Comté depuis plus de quatre décennies. Il est à l’origine, et ce grâce aux initiatives prises par son responsable national, Jean-Luc VERGNE, de cette semaine nationale dédiée aux TPE.

Directeur de l’entité Nièvre Yonne, Eric FREYSSINGE, l’évoqua lors de sa brève intervention : « plus de quatre-vingts salariés sont au service des TPE sur ce territoire régional. Ces équipes soudées offrent le meilleur d’elles-mêmes afin d’aider, de former et de contribuer au développement de ces petites structures aux réelles potentialités dynamiques… ».

Rien que sur l’exercice 2017, BGE a accueilli 750 entrepreneurs sur le seul département de l’Yonne et en a accompagné près de six cents. Son club d’entreprises rassemble plus de cent-vingt structures. Si 40 % de ces néo-entrepreneurs proviennent de la gent féminine, une centaine de stagiaires ont bénéficié de cycles de formation de longue durée.

Le club BGE : une réussite grâce au concours des partenaires historiques

L’aventure du club BGE a pu se concrétiser favorablement avec le concours de partenaires historiques tels que la Banque Populaire ou GROUPAMA Paris Val de Loire. A ce titre, Mickaël BOUTEILLER (l’établissement bancaire) et Jacques BLANCHOT (l’assureur mutualiste) rappelèrent au cours de leurs interventions les principes fondamentaux de leurs soutiens respectifs.

Si le premier contribue à favoriser l’aide financière de ces structures en voie de développement grâce à ses vingt-trois vitrines commerciales, le second des deux partenaires intervient dans l’accueil de ces entités souvent dépourvues de locaux, à l’instar de trois jeunes entreprises issues du cycle BGE et dotées dorénavant de bureaux intégrés au sein du business-center au siège social à Auxerre. A l’instar du charismatique Raphaël ROTH, l’un des dirigeants de METEO 89, venu témoigner de cette aide si précieuse et qui devait se prêter à un exercice de présentation de sa société en deux minutes chronométrées !

Puis, vint le temps de présenter les dix candidats au titre de la TPE de l’année. Successivement, et selon un pitch de deux minutes là-aussi, les responsables de ces petites entreprises prirent le soin, avec des fortunes diverses, de s’essayer à cet exercice de communication, guère facile à brûle-pourpoint : la prise de parole en public version synthétique !

A ce jeu-là, mais aussi grâce à la conviction des arguments qu’elle aura eu à présenter devant une assistance de professionnels se prononçant ensuite par un vote, c’est la jeune entrepreneuse de « CHEVAL PRO », Marie BILLARD, qui décrocha la palme de ce défi public grandeur nature.

Spécialiste de la sellerie et de la distribution d’équipements et accessoires pour cavaliers, la jeune femme, émue entre rires et larmes, narrait la réussite de sa boutique, implantée à Perrigny, qui a depuis atteint ses objectifs et dépassé le prévisionnel initial du business-plan, établi à 200 000 euros de chiffre d’affaires !

Puis, ce fut le tour, selon le même mode opératoire, de désigner la TPE en herbe et en cours de création de l’année.

C’est une future professionnelle de la gestion du stress et du bien-être, Laura CAPPELLAZZI, qui s’octroyait cet accessit. Ses explications sur la réalisation de massages assis sur le lieu de travail et la transmission du bien-être à l’ensemble des collaborateurs d’une société ont dû convaincre les plus réfractaires des votants d’un soir !


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Portes ouvertes en journée, assorties de l’inauguration officielle prévue le soir-même en présence de nombreuses personnalités issues des milieux politiques, institutionnels et économiques de notre territoire régional vers 18 heures, l’actualité rattrape le quotidien et l’existence de ce joli fleuron de l’hôtellerie de l’Yonne. Celui-ci allie à Auxerre le charme cosy et attractif d’un établissement géré dans les règles de l’art de la corporation par la famille RAMISSE (Sylvie et Olivier) aux atouts qualitatifs du confort qui plaisent à une clientèle hétéroclite et familiale de plus en plus orientée vers l’international…

AUXERRE : Vivre une, voire plusieurs nuitées dans l’une des 47 chambres de cet hôtel bourgeois de très belle facture, situé à deux pas du cœur vibratoire de la capitale de l’Yonne, c’est se sentir un peu chez soi. Si l’importante clientèle business apprécie la typicité unique de cet établissement hôtelier, largement remodelé au terme de longs mois de travaux, les touristes de passage désireux de découvrir les vertus salvatrices d’une agréable ville de province comme peut l’être Auxerre ne boudent pas leur plaisir d’en apprécier toutes les nuances reposantes dès qu’ils franchissent la porte d’accès de cet édifice, un ancien hôtel particulier datant de 1870.

Propriétaire de cette vénérable institution hôtelière depuis 1960, la famille RAMISSE se transmet de génération en génération la saine gestion de cette entreprise avec un savoir-faire quasi inné. Succédant à ses parents (Micheline et Robert, des professionnels de haute volée du savoir-être à la française), Sylvie, leur fille qui aura exercé durant neuf ans en qualité de gouvernante dans les palaces parisiens (Le WESTIN, Le Prince de Galles, le Plaza Athénée ou le Trianon Palace à Versailles…), aura appris les méandres de ce dur métier du tourisme à leurs côtés à son retour en terre icaunaise en 1989. Son époux, Olivier, l’a rejoignant dans le giron de cette affaire familiale en 2007, afin de coordonner tous les aspects logistiques et techniques. Quant à Laura, la fille de ce couple de gérants qui ne rechigne pas à s’investir pour assurer la pérennité et le développement de leur outil de travail, elle intègrera à son tour la société familiale après l’obtention de son diplôme de l’école hôtelière (comme sa mère) et après une expérience réussie dans le groupe MARIOTT à Paris. Aujourd’hui, la jeune fille suit en parallèle de ses activités l’école de manager de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

Un établissement rattaché à une structure coopérative internationale…

Estampillé trois étoiles, cet hôtel de charme inféodé à la marque INTERHOTEL, enseigne gérée par le groupe SEH, possède le particularisme structurel d’avoir rejoint une coopérative où chacun de ses membres est actionnaire autour d’un package comprenant sept marques référentes (Relais du Silence, Colis Hôtel, Petit Déj Hôtel, Chalet et Tradition…) ainsi que des enseignes espagnoles.

Bénéficiant d’une kyrielle de plus-values (la force d’un réseau, la mutualisation des systèmes de réservation en extranet et Internet, l’aide d’importants moteurs de recherche qui permet de se positionner comme les billets d’avion pour concourir aux besoins de la génération Y…), le NORMANDIE profitera de cet événementiel organisé ce jeudi 05 avril pour inciter les partenaires et clients locaux à découvrir la sérieuse cure de jouvence dont elle a fait le choix. Une stratégie conquérante ayant nécessité une enveloppe de 300 000 euros obtenue avec le concours de la Région.

Ce vaste relooking concernera une dizaine de chambres entièrement repensées au niveau de la décoration, une vingtaine de salles de bains mais aussi l’ensemble des espaces public de ce bâti (réception, hall d’accueil, salon, salle de petit déjeuner, couloirs…).

Une décoratrice britannique pour accroître le style cosy/cocooning de l’hôtel…

Sylvie et Olivier ont fait appel au concours d’une experte indépendante en décoration intérieure, la Britannique Elizabeth HANNAH, gérante de la société « INTERIOR DESIGN ET CREATION » basée en Côte d’Or. Cette professionnelle qui fut à l’origine de la conception originale du spa de l’Hostellerie des CLOS à Chablis, chez Noémie VIGNAUD, s’est attelée à ce gros chantier en conservant l’atout indiscutable de l’établissement auxerrois : son aspect cosy et cocooning.  

« Très à l’écoute, cette personne nous a aidée à rechercher les matériaux idoines que nous souhaitions installer, explique Sylvie RAMISSE, en avançant pièce par pièce et selon les maquettes qu’elle nous présentait. L’objectif de ce décor était de conserver ce qui séduisait notre clientèle ; ce mix agréable entre le style hôtel boutique et l’hôtel de charme qui nous permet aujourd’hui d’accueillir de la clientèle étrangère du monde entier : Anglais, Belges et Suisses, en large majorité mais aussi des voyageurs en provenance du Brésil, de l’Asie, des Américains dont c’est le grand retour, des Russes, des Espagnols ou des Italiens (été)… ».

D’ordinaire, les propriétaires de l’établissement consacrent un budget de 50 000 euros chaque année pour le rafraîchissement de la décoration, et subvenir à l’impérieux objectif de proposer des salles de bains confortables et de grand standing (WC suspendus, vasques différentes, baignoires et douches à l’italienne, carrelages grands formats 60X40 en guise de revêtement, moquettes et tissus issus de designer anglais…).

Premier hôtel indépendant à avoir possédé deux chambres handicapées il y a deux ans à Auxerre, le NORMANDIE est également très attractif avec sa salle de billard et son espace fitness, agrémenté d’un rameur à eau et un tapis de course. Le sens du détail environnemental aura même poussé le couple d’entrepreneurs de se munir dans leur offre d’une chambre bio dont le revêtement mural est composé de lin !

Un taux de remplissage annuel de 60 %

En pleine métamorphose comme l’évoque l’appellation de cette journée de communication exceptionnelle que vivront les dirigeants et leur équipe d’une dizaine de collaborateurs ce jeudi, le NORMANDIE réalise un chiffre d’affaires de 900 000 euros annuels. Offrant un excellent compromis dans son approche qualité/prix (des chambres comprises entre 89 euros à 110 euros selon les typologies suivantes : business, supérieure, privilège de 26 à 30 m2 et familiale de 3 à 5 personnes), cette entité désire se situer dans une tendance consumériste à la pointe de la décoration et des services technologiques avec l’apport du Wifi et la digitalisation qui se traduit avec des systèmes de tablettes et téléphones.

Plusieurs surprises saupoudreront cette animation spéciale qui n’a d’autres objectifs que de dévoiler la face immergée de l’iceberg (l’envers du décor d’un établissement de charme) et le dynamisme de cette grande maison hospitalière…

 


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Les membres du club des Ressources humaines, animé par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ont pu profiter de l’analyse conjoncturelle minutieuse de l’un des chargés des études économiques de la chambre consulaire lors d’un échange instructif. Cette présentation pertinente leur a permis de découvrir les ultimes statistiques et tendances se rapportant à l’évolution de l’emploi sur le territoire…Sous des auspices qui préfigurent au retour si attendu de l’optimisme…

AUXERRE : C’est une vérité digne des émules de La Palisse ! Mais, avec le retour d’une saine croissance, amorcée depuis plusieurs mois dans le paysage économique national, le nombre de postes à pourvoir au sein des entreprises tous secteurs confondus repart à la hausse. Engendrant déjà, a contrario, une réelle problématique qui affecte le travail quotidien des exégètes des ressources humaines : résoudre la très forte attente des chefs d’entreprise !

Cet état de fait impromptu pourrait très vite devenir le vilain caillou placé de manière sournoise au fond de la chaussure des recruteurs. Si l’on s’en réfère aux chiffres fournis par l’Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH), la charge de travail de cette caste corporatiste indissociable à la stratégie opérationnelle de l’outil entrepreneurial pourrait s’alourdir de 77 % dès 2019 compte tenu des immenses besoins des entrepreneurs.

Bref, les cellules RH des entreprises ne devraient pas connaître les instants parfois laborieux de l’oisiveté au cours de ces prochains mois. Y compris en 2019 où d’autres risques, tout aussi importants à maîtriser au sein de l’outil professionnel, devraient refaire surface avec ce retournement positif vers une embellie tant espérée. Il s’agit pour l’un d’entre eux de la revalorisation salariale. Au sein des grands groupes, on estime que le taux d’effort sur la valorisation des salaires pourrait s’élever à 3 % ! Autant dire que, d’âpres négociations pourraient s’engager à court terme entre collaborateurs et dirigeants de société…

Des indicateurs nationaux orientés vers l’optimisme

Il est vrai que les points conjoncturels successifs établis par les observateurs de la vie économique depuis quelques temps confirment le bien-fondé de cette reprise. Et, de facto, son corollaire légitime sur l’emploi. Responsable d’études économiques au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Julien SISSOKO, n’a fait que conforter ces informations lors de son exposé, étayé par power point.

Depuis deux trimestres, la croissance s’est installée de manière progressive en France. Tutoyant presque les 2 % en matière d’augmentation avec un regain de bons de commande qui se traduit vers le secteur industriel. Côté emploi, plus de 100 000 créations de poste sont attendues. Localement, si la courbe des investissements présente une figure géométrique acceptable et si l’export suscite de nouvelles opportunités, en revanche, la balance commerciale de l’Yonne demeure dans le rouge, conservant une position négative.

Grâce au secteur intérimaire, l’emploi enregistre une croissance soutenue sur notre département à hauteur de 20 % (4 600 postes) tandis que le taux de chômage repasse la barre fatidique de 10 %. Ce dernier se stabilise depuis quelques semaines à 9 % même si au global, 26 500 demandeurs d’emplois demeurent en quête du précieux accessit leur permettant une insertion dans la vie sociale.

Parmi les données offrant une réelle vision de l’état actuel des choses sur le territoire, celles concernant la création de nouvelles entreprises (+ 2 %) ou encore le taux de pérennité à trois dans les activités de commerce (+ 60 %). Même le traditionnel bémol qui persistait toujours au niveau de la viabilité des entreprises (leur défaillance) infléchit la tendance avec – 17 % !

Des centaines d’emplois vont se créer dans l’industrie

Quant aux prévisions d’embauche, elles sont ténues dans certaines filières à l’instar de l’industrie qui envisagerait de recruter de nombreuses personnes. D’ailleurs, le seul secteur de l’aéronautique pourrait dépasser la centaine de nouveaux collaborateurs cette année ! Du jamais vu, dans l’Yonne !

In fine, ce sont 20 % des entreprises départementales qui espèrent augmenter leur effectif en 2018. Justifiant les + 2,5 % de taux de croissance en emplois salariés vécus à l’heure actuelle sur le Sénonais, ce qui situe cette zone géographique dans la même dynamique que le Doubs !

La typologie des filières porteuses de ces emplois, quant à elle, ne réserve guère de surprise : ce sont en effet l’intérim et l’industrie qui se taillent la part du lion. Inversement, le domaine de la construction et du commerce piétine et enregistre des soldes négatifs.

Quant aux contrastes territoriaux, ils révèlent que l’Auxerrois (+ 1,9 %) et le Sénonais (+ 1,4 %) se positionnent fort logiquement comme les zones les plus attractives à contrario d’Avallon (étale) et Joigny (- 1,2 %).

Si le commerce de détail se maintient, il n’en est rien, en revanche, au niveau du commerce de gros qui a chuté au niveau de l’emploi. Citons, aussi, parmi les filières où les postes sont les plus recherchés : le transport et l’entreposage, le conseil, le juridique, l’administratif et l’hôtellerie. Du côté des métiers, le magasinage, les relations commerciales, l’assistance adulte, l’assemblage, le tri, le conditionnement, le transport de longue distance et le personnel de cuisine figurent parmi les plus en vue.


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Intégré parmi le conseil d’administration de la structure agricole départementale au cours du double exercice 2016/2018, le jeune professionnel, installé depuis septembre 2013 dans le nord-ouest de l’Yonne possède une motivation sans borne pour entamer ce mandat de président. Succédant à Mathilde LEMAITRE qui rempile dans le nouveau bureau en qualité de trésorière, le responsable des Jeunes agriculteurs de l’Yonne, fraîchement élu, dévoilera le contenu de sa feuille de route d’ici la fin avril…

AUXERRE : Adhérent des Jeunes agriculteurs de l’Yonne depuis 2015, Maxime BOUCHER vient d’être désigné par ses pairs président de la structure à l’issue du conseil d’administration qui s’est réuni le jeudi 15 mars à Auxerre.

Agé de 23 ans, le jeune garçon à la tête d’une exploitation céréalière de 124 hectares à Fouchères a profité des faveurs du scrutin pour prendre la responsabilité de cette entité qui fédère aujourd’hui près de cent-cinquante adhérents et sympathisants, âgés de 17 à 35 ans, voire un peu plus…

Détenteur d’un baccalauréat STAV obtenu au lycée de Saint-Pouange dans l’Aube, Maxime poursuivra son cursus d’enseignement supérieur en décrochant un BTS APV en 2014, au lycée de la Brosse à VENOY.

Lors de son mandat précédent, au sein du conseil d’administration, le jeune professionnel a eu en charges les dossiers des grandes cultures, environnement et relation avec la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de l’Yonne.

Au cours de ce mandat qui devrait le porter jusqu’en 2020, Maxime BOUCHER bénéficiera de la présence d’une équipe solide et aguerrie constituée de Guillaume GOUX, secrétaire général, Loïc SAUTREAU, secrétaire général adjoint, Mathilde LEMAITRE, trésorière, Jean-Baptiste GODEFROY et Jean-Baptiste TRIBUT, responsables installation, Charlotte RENARD, responsable de la communication, Guilain DESNOYERS, responsable des filières, Bertrand MASSON et Julien CAILLARD, candidats à Jeunes Agriculteurs Bourgogne Franche-Comté ainsi que l’ensemble du conseil d’administration élu lors de l’assemblée générale le 01er mars 2018…


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