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Dénominateur commun entre tous ces récipiendaires de diplômes : les efforts consentis au nom de leurs collectivités en faveur de la transition énergétique. Qu’il s’agisse d’éclairage public, de mobilité sans carbone, de services connectés facilitant la vie de leurs administrés, voire d’amélioration du cadre de vie, les dix communes plébiscitées par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) sont fières de valoriser leurs actions novatrices grâce à l’obtention du label « Terre d’Innovation »…

 

MONETEAU : Quelques minutes de présence sur scène, à peine, pour pouvoir expliquer localement les démarches et initiatives qui ont été entreprises afin d’optimiser les territoires. Des commentaires, forcément positifs – ils sont dix élus ou leurs représentants à avoir reçu la bénédiction urbi et orbi du SDEY – ponctuent cette brève cérémonie de remise de labels, ceux de la promotion 2022, de « Terre d’Innovation ».

Concept déclinable dans l’Yonne, il est devenu un véritable référent depuis plusieurs saisons grâce au Syndicat départemental d’Energies qui en est l’instigateur, désireux d’encourager les collectivités territoriales à s’impliquer davantage pour que les choses bougent enfin sur le registre de la transition énergétique.

Il faut croire que la méthode fonctionne. En effet, depuis 2021, date de la première édition de cette remise de diplômes assortie d’un esthétique trophée, les candidates (les collectivités) déposent leur dossier auprès des services du SDEY, espérant toucher le Graal de cette reconnaissance environnementale. Pour ce faire, il faudra néanmoins convaincre le jury de la pertinence de cette candidature qui se doit d’être effective et non théorique dans les faits.

 

 

Un jury de spécialistes et de personnalités…

 

Cette année, le jury était plutôt éclectique dans sa représentation. Outre Jean-Noël LOURY – le président du SDEY ne pouvait pas se soustraire de cette mission de par sa qualité ! -, y figuraient l’un des vice-présidents de la docte structure, l’ancien conseiller départemental Jacques BALOUP, Tadeusz SLIWA (de l’Université de Bourgogne), Johan BLOEM, vice-président de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – de la pure logique, en somme -, Charles-Antoine GAUTIER, vice-président de la FNCCR, la Fédération nationale des Collectivités Concédantes Régies et…notre confère, directeur d’antenne de France Bleu Auxerre, François GIUSEPPI.

Programmée à l’issue des XIèmes Assises de l’Energie, la cérémonie protocolaire offrit aux dix communes les plus investies en la matière cette saison de recevoir les précieux sésames des mains de la sénatrice Dominique VERIEN, heureuse de soutenir l’initiative. Outre le trophée et le diplôme, symbolisé par un document papier comme de bien entendu, les lauréats de ce cru 2023 se virent remettre un panneau signalétique du plus bel effet à poser à l’entrée de leur agglomération afin de rappeler qu’ils font partie intégrante de ce club des nouveaux élus en matière de développement durable. Signalons deux prix complémentaires, annoncés en fin de session, des prix spéciaux du jury qui ont été attribués pour encourager des initiatives innovantes (Saint-Privé et Vaudeurs).

 

 

En savoir plus :

Liste des dix communes qui sont récipiendaires du label « Terre d’Innovation »

Augy,

Cravant Deux Rivières,

Gisy-les-Nobles,

Irancy,

L’Isle-sur-Serein,

Looze,

Monéteau,

Saint-Fargeau,

Sergines,

Vermenton,

Saint-Privé et Vaudeurs reçoivent les prix spéciaux du jury.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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En marge de la convention de partenariat qui unit désormais le SDEY et ENEDIS, sur la mise en œuvre d’une opération d’autoconsommation collective, Thomas FRAIOLI, directeur régional du principal gestionnaire du réseau public de distribution d’électricité en France – la structure gère le réseau basse et moyenne tension sur 95 % de l’Hexagone -, était également l’un des intervenants à l’une des tables rondes des XIèmes Assises de l’Energie. En l’état actuel des choses, le réseau électrique ne va pas résister à la croissance des usages, à moins d’investir…

 

MONETEAU : « On doit passer de 25 % à 55 % à horizon 2050 ! ». S’exprimant sur l’un des plateaux thématiques, proposé dans le cadre des onzièmes Assises de l’Energie, portées par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY), le directeur régional d’ENEDIS Thomas FRAIOLI a été on ne peut plus clair dans ses explicatifs concernant le futur de la consommation électrique dans l’Hexagone.

« La multiplication des usages induit une énorme pression sur le réseau électrique en France, devait-il expliquer à un auditoire d’élus et de représentants institutionnels, écoutant religieusement les propos de ce spécialiste. Est-ce que ce réseau va résister face à la hausse des demandes ? En l’état actuel des choses, la réponse est non ! ».

Une réponse catégorique, nette et sans bavure, de la part du cadre dirigeant d’ENEDIS en Bourgogne Franche-Comté. Une entreprise qui emploie à ce jour à l’échelle du groupe 38 000 collaborateurs et se positionne comme l’un des acteurs clés de la transition écologique.

 

Une progression fois dix du parc de véhicules électriques d’ici 2035

 

Toutefois, se voulant rassurant quant à la résolution de la problématique, Thomas FRAIOLI a évoqué ensuite l’enveloppe budgétaire de cinq milliards d’euros d’investissement qui sera programmée par ENEDIS jusqu’à 2040 afin que le réseau électrique puisse supporter à l’avenir cette croissance exponentielle des usages.

Quant à ses nouveaux usages, quels sont-ils ? Leur multiplication s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale bas carbone. Notamment dans la mobilité électrique et l’installation de bornes de recharge. Mais, aussi, dans le bâtiment…

 

 

« Leurs évolutions s’accélèrent, observent Thomas FRAIOLI, avec un parc en France qui correspond à 1,8 million de véhicules électriques. Mais, en 2035, ce sera 18 millions d’automobiles fonctionnant avec cette énergie ! ».

Soit dix fois plus ! Bien sûr, l’orateur parlera aussi des pompes à chaleur.

« Le gouvernement décide d’une aide à la rénovation énergétique des bâtiments, on a immédiatement la demande qui croît de 20 % depuis ! En revanche, ce que n’ont pas prévu les utilisateurs, c’est qu’il est nécessaire de renforcer le réseau électrique ! Car, cela a un impact direct sur la consommation… ».

 

L’inévitable bascule de pans entiers de l’économie vers l’électrification

 

Le réseau, qualifié de « tuyau » par Thomas FRAIOLI, demeure donc l’élément incontournable permettant d’optimiser le service de distribution à termes.

En l’état, il est d’une durée de vie estimative de trente à quarante ans. Mais, il est devenu obsolète au fil du temps et des usages.

On devrait donc passer d’une consommation de 450 térawatt heure actuellement à une prévision de 630 térawatt heure en 2030. Du fait de la climatisation qui se développe dans le tertiaire, du fait du choix de l’électricité pour le chauffage. Même le monde, jusque-là hermétique, des poids lourds suit cette évolution : plusieurs constructeurs se positionnent déjà sur les rangs de ce changement inévitable pour basculer vers l’électrique (et non l’hydrogène) à partir de raccordements de cinq Méga installés tous les soixante kilomètres le long des autoroutes françaises.

Un phénomène de bascule qui se multiplie au fil des mois, créant de réelles surprises auprès des spécialistes. Renvoyant aux calendes grecques le scénario médian proposé par RTE en 2021, car désormais caduc…

 

Thierry BRET

 


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Accueillir en ses murs un ancien joueur de l’AJA en résidence, avant de lui prêter sa scène pour un concert en avant-première mondiale restera sans nul doute un moment unique dans l’histoire du théâtre municipal d’Auxerre. Rencontre avec un homme au talent protéiforme qui ne finira jamais de surprendre.

 

INTERVIEW : De l’aveu même de l’intéressé, ce n’est pas souvent que Guy ROUX a la larme à l’œil pendant un concert. La dernière fois dit-il, c’était pour Léo FERRE, un grand « Monsieur » de la chanson auquel il n’hésite pas à vous comparer, heureux de vous l’avoir fait connaître un jour dans un bus qui transportait l’équipe, êtes-vous fier de cette filiation ?

Eric CANTONA « Oui c’est vrai et depuis, je ne l’ai jamais lâché, j’ai même eu la chance de le rencontrer un soir, au théâtre Toursky, à Marseille. Une belle filiation en effet, comme avec Alain BASHUNG ou Gérard MANSET. Dans mon processus d’écriture, Léo était présent, comme Jim MORRISON, RIMBAUD, ou ARTAUD. Je ne sais pas si j’étais dans le besoin de les rencontrer de façon spirituelle, en tous les cas, ce sont des gens qui m’ont énormément inspiré, avec une écriture qui vient des entrailles…

Dans quel contexte écrivez-vous, comment vient l’inspiration ? Ecrire 21 chansons, ce n’est pas rien.

« Elle peut venir à n’importe quel moment, avec ce besoin de prouver un sentiment de liberté quand je suis en train de l’exprimer, quel que soit le support utilisé, peinture, photo, écriture ou musique. Ça peut me venir n’importe quand, jour et nuit, même s’il y a des moments où l’on est plus inspiré que d’autres. Et d’ailleurs, mes morceaux, je les écris sur papier, l’ordinateur, c’est trop lent. J’ai une écriture très impulsive, spontanée, automatique, presque subconsciente. En fait ces chansons sont ce qu’elles sont parce qu’elles sont écrites dans cet état d’esprit, même si après, je ne veux pas que l’on entre dans mon univers, mais dans un univers permettant à chacun d’y trouver une inspiration.

 

Pourquoi avoir choisi Auxerre et son théâtre pour cette avant-première ?

« Auxerre fait comme Marseille et Manchester partie de mes villes de cœur. Cela aurait pu être Marseille, c’est ma ville natale et d’ailleurs, on va y jouer deux soirs de suite, mais Auxerre reste ma première grande sensation. J’ai eu la chance d’avoir des parents et une famille, magnifiques, mais quand on a 15 ans, que l’on s’en va à 700 km de chez soi, à l’époque, c’était déjà le bout du monde. Je me souviens que je rentrais aux vacances de Noël et l’été, je prenais le train, d’Auxerre à Laroche-Migennes où je chopais le Paris-Vintimille, c’était souvent le soir. J’arrivais à 6h du matin après une nuit dans une couchette superposée… Quand on a 15, 16 ou 17 ans, c’est un grand sentiment de liberté dont je parle d’ailleurs beaucoup dans mes chansons.

Vous avez un jeu de scène assez sobre, enchainant les chansons sans lien entre elles, c’est un choix délibéré ?

« Sans doute parce qu’elles sont cohérentes entre elles. Mais cette nuit, c’est ce que je me suis mis à faire justement. Ici à Auxerre, c’était une avant-première, j’étais concentré sur les morceaux, mais c’est vrai, il y a des liens à créer à un certain moment entre les chansons et le public, même s’il fait que cela reste dans le sens de ce que j’écris…

 

En quoi a consisté votre travail pendant ces cinq jours de résidence au théâtre ?

« Nous avons travaillé le jeu de scène, les lumières, le son à régler, la balance, toute cette technique qui nous permet d’enchaîner les morceaux et créer une histoire… Pierre KECHKEGUIAN et toute son équipe nous ont accueillis de façon exceptionnelle. J’ai une histoire forte avec Auxerre, j’avais connu son théâtre avec ses fauteuils rouges, les gens qui le tiennent aujourd’hui sont tous magnifiques. Et d’ailleurs à Marseille, comme pour faire un lien avec Pierre, je chanterai deux morceaux, accompagné par Levon MINASSIAN, un joueur de duduk (musique traditionnelle arménienne), qui a déjà travaillé avec Peter GABRIEL…

 

 

Footballeur, comédien, peintre, photographe, aujourd’hui, auteur compositeur interprète, où vous arrêterez-vous ? Avez-vous encore des rêves en tête ?

« Il y en a plein ! Déjà, je vais continuer la chanson un moment. J’ai la chance de pouvoir passer d’une forme d’expression à une autre et même si le travail d’acteur me plaît beaucoup, je trouve que s’exprimer par la chanson, c’est beaucoup plus complet. Si j’étais venu pour interpréter les textes des autres, ça se serait rapproché de ce que je fais au théâtre, mais d’être là, sur scène, avec son propres texte, sa propre musique, c’est beaucoup plus personnel et plus intense. Et puis la musique crée un lien avec les gens… 

Vous avez croisé des personnes que vous connaissiez, le temps de votre séjour à Auxerre ?

Bien sûr, des gens que j’ai revus avec grand plaisir, avec qui on s’est plongé dans le passé. Mais je préfère échanger sur le présent, y compris avec des gens avec qui j’ai plein de souvenirs, plutôt que me remémorer l’histoire. L’histoire sert à vivre dans l’instant, comme sur une scène avec le public… J’ai trouvé le centre-ville plus beau encore qu’avant, avec ses petites ruelles, ses maisons à colombage, mais peut-être qu’à 15 ans on ne voit pas tout ça. Et puis il m’a semblé qu’il y avait plus de bars qu’avant !

 

Avec cette nouvelle passion qu’est la chanson, les « mouettes qui suivaient le chalutier » ont-elles enfin trouvé leur « banc de sardines » (citation restée célèbre d’Éric CANTONA, qui avait surpris tout le monde, à sa sortie du tribunal en 1995, après que la star du Manchester United ait agressé un supporter)

« Sans doute ! Mais je ne suis pas un spécialiste des chalutiers, plutôt un spécialiste de la métaphore… »

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 


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Le chiffre de la fréquentation progresse. Cela se traduit par un large sourire qui s’affiche sur le visage de Christian DUCHET, délégué général de la FFB de l’Yonne, la fameuse « Fédération du Bâtiment ». Aujourd’hui, elle est sous la présidence de Cyril CHARETIE. Il vient de prendre son poste le 03 octobre dernier, succédant ainsi à Didier MICHEL. Alors quand 850 collégiens de l’Yonne prennent part au succès des « Coulisses du Bâtiment », cela ne peut que le satisfaire comme entrée en matière dans son nouveau mandat !

 

AUXERRE : Combien parmi ces huit cent cinquante élèves rejoindront un jour la noble filière de l’artisanat ? Sans doute, un très grand nombre d’entre eux. Car, quand on est encore collégien, on ne sait pas nécessairement vers quel registre s’orienter au niveau de sa carrière professionnelle. C’est précisément le bien-fondé de cette énième opération, déclinée nationalement par la Fédération française du Bâtiment, une animation relayée dans le landerneau.

Au niveau hexagonal, plus de deux cents chantiers, à l’image de celui du conservatoire à Auxerre, ont accueilli deux journées durant des scolaires avides de curiosité. Il en allait de même pour les CFA, centre de formation pour apprentis, voire certaines entreprises désireuses de recevoir des jeunes. Peut-être tôt ou tard, la future relève ?

Traditionnelle animation, « les Coulisses du Bâtiment » offrent une belle opportunité à cette jeunesse encore scolarisée dans le second degré. La possibilité de s’immerger au cœur d’un chantier afin d’y découvrir l’ensemble des acteurs qui y interviennent à l’instar des Compagnons du Devoir, du GEIQ BTP, du centre de formation par l’apprentissage. Une manière de découvrir par l’autre bout de la lorgnette la véracité d’un secteur professionnel en fort potentiel de recrutement.

Venant de dix-huit collèges, implantés un peu partout sur le territoire icaunais, filles et garçons se sont donc prêtés à ce petit jeu de la découverte. Dans le saint des saints d’un édifice en pleine reconstruction, le conservatoire d’Auxerre.

 

 

 

Une visite du conservatoire suivie par des personnalités…

 

Ils n’étaient pas les seuls manifestement ce jour-là ! Parmi les invités du jour, la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT. On notait aussi la présence de l’élue départementale Emmanuelle MIREDIN – elle représentait aussi la CPME de l’Yonne en substance -, Yves HUTIN, responsable départemental de Pôle Emploi ou encore le nouveau président de la FFB 89, Cyril CHARETIE.

Porté sur le devant de la scène depuis 2003, l’ambitieux programme des « Coulisses du Bâtiment » ne cesse de rencontrer le succès auprès des plus jeunes. D’une part, beaucoup de métiers se présentent comme des opportunités pour ces adolescents. D’autre part, le secteur du bâtiment (y compris les travaux publics) recrute sans discontinuer afin de répondre aux besoins pressants des employeurs dont les carnets de commande sont bien garnis.

Quant à la sous-préfète, Pauline GIRARDOT, elle aura vécu une expérience de réalité virtuelle, équipée d’un masque facial, lui permettant d’être plongée dans un chantier. Une immersion dont elle est sortie très satisfaite selon ses premiers commentaires !

 

Thierry BRET

 

 


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Après cinq jours passés en résidence au théâtre d’Auxerre pour peaufiner la tournée prévue débuter le 26 octobre prochain à Manchester, Éric CANTONA a présenté dimanche soir en avant-première, à quelques privilégiés et en exclusivité, le fruit de son travail d’auteur compositeur interprète. Comme un retour aux sources pour celui qui fit dans les années 80 les belles heures de l’AJA, gardant au cœur le souvenir d’Auxerre…

 

AUXERRE : A l’heure de la première chanson, la scène du théâtre se fond dans une lumière rouge, symbole de puissance, de force, d’énergie et de passion. Couleur de révolte mais avant tout d’amour, symbolisant le parcours d’un homme qui a fait de sa vie un kaléidoscope de défis et d’aventures. Après le foot, le cinéma, le théâtre, la peinture ou la photographie, Éric CANTONA fait preuve une nouvelle fois de son talent caméléon, en entamant une carrière d’auteur compositeur interprète.

Après avoir passé cinq jours en résidence dans l’ancienne « Maison du peuple », rue Joubert, c’est dans l’intimité d’un concert privé réunissant 180 privilégiés, qu’il a présenté dimanche soir à Auxerre, le fruit de son travail. Au programme, pas moins de 19 chansons pour la plupart inédites, écrites par « the King Éric » himself. Des textes empreints à la fois de colère et de mélancolie, témoignant de l’hyper sensibilité d’un écorché vif au caractère de feu, dont le talent fut découvert ici même, il y a 42 ans, lorsque le minot marseillais entama à 15 ans, la carrière que l’on connaît, en intégrant le centre de formation de l’AJA.

 

 

Guy ROUX craignait de s’ennuyer, c’est raté !

 

Les chansons, pour la plupart en anglais, s’enchainent, portées par les notes du piano et les pleurs du violoncelle, magnifiées par une voix aux accents de rocaille qui n’est pas sans rappeler ARNO ou Paolo CONTE, voire le grand Léonard COHEN, lorsqu’elle se fait miel et se fond dans le souffle du micro. « I’ve been angelic, I’ve been infernal… ». Moitié ange, moitié démon, elles parlent tour à tour de colère, d’amitié, de liberté, de doutes aussi… « Je ne suis ni de votre avis, ni du mien, je m’interroge c’est tout… ».

L’ancien attaquant envoie la balle au fond des filets une fois encore et le public est sous le charme. Parmi les invités à cette avant-première, il en est un qui avait les « yeux pluie » à la fin du spectacle et ne cachait pas son émotion lorsque les lumières se rallumèrent : « il m’en faut beaucoup pourtant, je n’ai pas la larme facile, la dernière fois que j’ai pleuré pour un chanteur, c’était Léo FERRE… ».

Guy ROUX le confesse : « je me suis laissé bercer, même si je peine avec les chansons en anglais. Et dire que je craignais de m’ennuyer ! Je serai bien au final resté une heure de plus… ».

 

 

 

Une série de concerts à Manchester…

 

Bluffé une fois encore par son ancien protégé : « aussi imprévisible avec un ballon que dans la vie… ». L’ancien entraîneur mythique de l’AJA a depuis longtemps perçu que derrière la rugosité se cachait une hypersensibilité source de toutes les inspirations : « Une fois encore, il va réussir, il est tellement riche d’humanité, le miracle étant qu’il a fait tomber toutes les scories et ne reste aujourd’hui que sa générosité… ».

Avant ce dernier aveu, ponctué de rires : « le dernier spectacle auquel j’ai assisté avant celui-ci, c’est l’avant dernier d’AZNAVOUR à l’Olympia, vous voyez que je choisis mes poètes ! ».

Après cette avant-première auxerroise, direction Manchester pour Éric CANTONA et ses musiciens. Au programme, deux soirées au « Stoller Hall », avant Londres et Dublin, suivies d’un retour à Marseille, autre ville de cœur de l’artiste. Avec comme ultime défi, des enregistrements en « live » pour alimenter un CD prévu sortir au printemps prochain. Le « roi » Éric n’est pas mort, CANTONA chante encore !

 

Dominique BERNERD

 

 


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