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Il a de la suite dans les idées, Mikaël PECHERY. L’agriculteur exploitant de Brosses se révèle être un véritable précurseur pour faire évoluer sa filière. Déjà à l’origine de la fameuse épicerie commercialisant des produits locaux au Silo Rouge à Avallon, le garçon souhaite diversifier ses activités en se lançant dans la conception de produits cosmétiques. Auquel il ajoutera volontiers le volet aromathérapie. Un projet novateur qui a reçu le soutien de la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE...

AVALLON : Conversion partielle de son exploitation de 620 hectares en cultures biologiques, vente directe de produits du terroir à l’aide d’une vitrine commerciale spécifique aux côtés d’une dizaine d’autres producteurs…décidément, rien n’arrête l’exploitant agricole trentenaire du sud de l’Yonne qui déborde de créativité !

En compagnie de deux autres représentants de la filière, le voilà reparti bille en tête dans la réalisation d’un nouveau projet. Celui-ci se positionne dans la réalisation de produits cosmétiques et dans l’aromathérapie !

L’idée est plus que louable : cultiver diverses plantes afin d’obtenir par la magie de la transformation des huiles végétales et des huiles essentielles. Celles-ci servant de base à la création d’une nouvelle gamme de cosmétiques qui seraient vendus de manière semi-directe et directe. Comblant ainsi des consommateurs de plus en plus intéressés par ces articles.  

Précisons qu’une partie de la production serait commercialisée dans une structure implantée aux alentours de Vézelay.

 

 

Un accompagnement du projet avec les acteurs de l’économie…

 

La lumineuse idée de l’éleveur de bovins allaitants a donc fait tilt dès que la sous-préfète d’arrondissement Cécile RACKETTE en a eu écho. Ce futur projet a interpellé la représentante de l’Etat, soucieuse de soutenir toutes les initiatives attrayantes de la dimension économique pour le bienfait de son territoire.

C’est sur le registre de l’accompagnement de ce dossier que Cécile RACKETTE a pris soin d’organiser une réunion de travail en présentiel ce jeudi 14 janvier après-midi à la salle des fêtes de Montillot.

Elle y convie différents acteurs du département afin d’analyser la pertinence de ce projet pour le moins original dans la filière agricole. Les élus, les services de l’Etat, les chambres consulaires, la Région ou encore l’agence de développement Yonne Tourisme ont d’ores et déjà confirmé leur participation.

 

Thierry BRET

 


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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de ne pas abaisser l’horaire du couvre-feu de 20 heures à 18 heures. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse tenue ce samedi après-midi. La mesure aurait dû être applicable dès ce dimanche 10 janvier. L’Yonne devient l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à ne pas subir ces contraintes supplémentaires...

AUXERRE: Communiquée aux alentours de 15h30 ce samedi, la décision du représentant de l’Etat de ne pas modifier l’horaire du couvre-feu en le ramenant à 18 heures plutôt qu’à 20 heures peut être vécu comme un « ouf » de soulagement pour celles et ceux de nos concitoyens qui ont à souffrir d’ordinaire de ces restrictions limitant leurs libertés.

Henri PREVOST n’a donc pas voulu pratiquer de surenchère en modifiant les règles de cette mesure, déjà très limitative dans nos déplacements. Son choix de maintenir le couvre-feu à 20 heures repose sur la connaissance des ultimes indicateurs fournis par l’Agence Régionale de Santé (ARS) et de ses appréciations.

Ainsi, le taux d’incidence global de référence s’établit à 195 cas pour cent mille habitants sur le territoire septentrional de la région ; a contrario celui de la Bourgogne Franche-Comté s’élève à 245 cas pour cent mille habitants.

Une donnée chiffrée légèrement en deçà du seuil fatidique de 200 qui, en cas de dépassement, aurait déclenché la mise en exergue quasi immédiate de ce changement d’horaire inhérent au nouveau couvre-feu.

Toutefois, force est de constater que l’indice se rapportant aux personnes âgées de plus de 65 ans se situe plutôt au-dessus de cette barre référentielle.

 

Un virus toujours très actif dans sa circulation…

  

Moyennant quoi, le représentant de l’Etat avait pris soin de consulter l’avis de plusieurs élus locaux avant de faire connaître sa décision. Globalement, une majorité d’entre eux n’était guère favorable à cette réduction d’horaire au nom de l’intérêt économique et général.

Après avoir tutoyé les sommets au niveau du nombre de contaminations il y a encore quelques semaines, l’Yonne est désormais le seul département de la région à adopter un profil plutôt favorable. Et ce, depuis bientôt huit jours.

Pour autant, la vigilance reste de mise. La situation peut en effet évoluer à tout moment selon le représentant des pouvoirs publics.

 

 

 

 

Un nouveau point d’étape sera d’ailleurs effectué au cours de la semaine prochaine pour analyser la pertinence évolutive de ces chiffres. Une chose est sûre : la circulation du coronavirus reste très active.

Quant à la stabilité constatée depuis le début de janvier, elle est observée, certes, mais à un niveau élevé. Les statistiques se rapportant aux patients victimes de la pathologie ne sont pas flamboyantes. Deux cent-six personnes fréquentent toujours les  hôpitaux du département. Une vingtaine d’entre elles occupe les lits des services de réanimation. Quant aux décès, ils s’élèvent à 288 depuis la recrudescence de la seconde vague.

 

 

 

La situation évoluerait dans le mauvais sens en cas d’indicateurs en hausse…

 

Quant aux effets préventifs d’entre les fêtes, ils ne seront réellement connus et appréciés qu’aux alentours de la mi-janvier. D’ici là, le préfet demande à la population de ne pas baisser le degré de vigilance. Rappelant au passage que les cercles familiaux et amicaux favorisent la prolifération du virus de manière la plus exacerbée.

« Il est nécessaire de limiter toutes les occasions de se regrouper, devait-il ajouter, c’est le meilleur moyen de juguler les effets dévastateurs de cette pandémie... ».

Hypothèse où au beau milieu de la semaine prochaine les indicateurs vireraient au rouge, le préfet de l’Yonne ne tarderait pas alors à réagir en avançant l’horaire du couvre-feu.

Dernier point : le haut-fonctionnaire n’a pas eu vent de la présence de la contagieuse variante britannique de la COVID ni dans l’Yonne, ni en Bourgogne Franche-Comté.

Lors de son intervention audiovisuelle de jeudi, Jean CASTEX avait annoncé la présence d’une vingtaine de cas dans l’Hexagone.

La Bretagne, l’Ile-de-France ainsi que les Hauts-de-France ont été signalés comme secteurs à risque. Maigre consolation pour la Bourgogne Franche-Comté, d’autres territoires sont encore plus mal lotis que nous !

 

Thierry BRET

 


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A eux deux, ils affichent 160 années d’existence. L’Office public de l’habitat du département de l’Yonne (DOMANYS) a soufflé l’année dernière ses soixante-dix bougies ce qui ne l’a pas empêché de rejoindre IDELIANS, une société de coordination régionale. L’Office Auxerrois de l’Habitat (OAH) reste, lui, un fringuant acteur du logement social sur la place malgré ses quatre-vingt-dix ans ! Il était grand temps que les deux bailleurs se rapprochent enfin pour renforcer leur coopération !

AUXERRE : Si d’évidence, de bonnes relations existaient jusque-là entre ces deux acteurs du logement social dans l’Yonne, rien n’avait été encore entériné de manière officielle pour en favoriser leur application optimale. C’est désormais chose faite après la signature d’une convention de partenariat, porteuse de partage des compétences et de meilleure coordination.

Devant un parterre de personnalités réduit à la portion congrue du fait des mesures sanitaires en vigueur, l’acte de naissance de ces relations novatrices a donc été paraphé à plusieurs mains ce vendredi 08 janvier.

Celles des présidents des deux organismes : Patrick GENDRAUD pour le compte de DOMANYS et de Vincent VALLE, le nouveau responsable de l’Office public de l’habitat de la Communauté de l’Auxerrois qui a succédé le 10 septembre dernier à Jacques HOJLO. Des signatures supplémentaires sont venues s’ajouter au bas du document : celles de Karine LASCOLS, directrice de DOMANYS, et celle de son homologue de l’OAH, Eric CAMPOY.

C’est la contrainte économique inhérente à la loi ELAN qui a su créer cette heureuse opportunité souhaitable par les deux parties. Certes, il n’est nullement question d’altérer l’indépendance de chaque organisme. Chacun intervenant dans un cadre bien particulier.

Toutefois, ce partenariat permettra de répondre de manière optimale aux besoins des habitants et des territoires. Sachant que DOMANYS gère à l’heure actuelle 8 880 logements répartis sur 190 communes et que l’Office Auxerrois de l’Habitat loge près d’un tiers de la population de la capitale de l’Yonne dans l’un des 6 200 logements répertoriés dans son portefeuille.

 

 

 

 

Mener des projets en commun au service des habitants…

 

Si chacun des signataires s’est dit satisfait de la concrétisation de cet acte, en revanche, comme devait le confirmer Vincent VALLE, tout est à construire en matière de contenu. Ce que le président de l’OAH qualifie de « texte de fraternité » suppose à court terme un partage de compétences, de coordination et de partenariat d’innovation.

La première étape passe donc par la concertation. Un comité de pilotage sera chargé d’harmoniser les actions, la définition et l’adaptation des moyens.

« Nous allons renforcer nos forces en nous parlant avec régularité, explique le successeur de Jacques HOJLO, nous serons unis tout en conservant nos identités propres… ».

Un souhait corroboré à son tour par Patrick GENDRAUD. « Notre autonomie et notre indépendance seront préservés, explique-t-il, mais nous allons construire notre avenir ensemble selon l’adage habituel que l’union fait la force… ».

 

 

 

Parmi les sujets de convergence,  citons la transition énergétique, l’innovation, les questions sociales et environnementales. Mais aussi, le patrimoine et son entretien.

La mutualisation de certains services s’inscrit de facto dans cette nouvelle ligne stratégique pour un souci d’efficience et d’économie. On peut décemment penser à la maîtrise d’ouvrage ou à la régie des travaux…

D’autre part, s’accorder sur les investissements, en termes de création et de réhabilitation, intègre les priorités de cet accord. Comme devaient le souligner en chœur Karine LASCOLS et Eric CAMPOY.

« DOMANYS et l’OAH s’engagent à harmoniser leurs actions en faveur des familles dans la mesure où celles-ci sont déjà locataires dans le parc de l’un d’eux vers un objectif de priorisation et d’efficacité dans le traitement des demandeurs figurant dans le fichier partagé national… ».

Bref, même si le concept démarre à partir d’une feuille encore vierge, celle-ci devrait très vite se noircir de propositions profitables aux deux partenaires. Et à leurs locataires.

 

Thierry BRET

 

 


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La crise sanitaire provoque toujours d’intenses poussées de fièvre dans le milieu sportif. Annulations à cadences répétitives et reports des épreuves aux calendes grecques : rien n’y fait. Le monde du sport peine à retrouver ses marques neuf mois après le début de la pandémie. Pourtant, ses objectifs sont inchangés : le kayakiste auxerrois peaufine sa préparation pour tenter une énorme performance aux J.O. de Tokyo…

AUXERRE : Que devient le pensionnaire emblématique de l’OCKA (Olympic Canoë Kayak Auxerrois) en ces premiers jours de janvier ? C’est à plus de 1 750 mètres d’altitude, au cœur de la Haute-Maurienne dans le petit village de BESSANS, que l’ancien champion du monde se prépare avec abnégation aux futures échéances qui l’attendent cette saison.

Profitant de la rigueur extrême des températures alpines, Cyrille CARRE enchaîne les séances de ski de fond afin de parfaire sa condition physique avant de rejoindre l’équipe de France au Portugal pour y effectuer un stage du 01er au 21 février.

Le moral se situe au beau fixe pour celui qui possède de réelles prétentions au podium lors des futurs Jeux Olympiques de Tokyo au Japon, au mois d’août prochain.

 

 

 

Un travail intensif en utilisant les techniques de l’hypoxie…

 

Outre le travail quotidien effectué sur les pistes de fond, le sportif multiplie les exercices de musculation et les séances de RSH, c’est-à-dire des répétitions de sprint en hypoxie. De quoi s’agit-il précisément ?

« En gros, explique le champion, muni d’un masque sur le nez , je reçois de l’air simulé à celui respirable à trois mille mètres d’altitude et je dois développer un maximum de puissance sur ergomètre ski durant trois séries de 6’10’’  avec vingt-cinq secondes seulement de récupération… ».

Autant dire que l’exercice est réservé uniquement à des costauds de l’activité physique tant il difficile à réaliser au niveau respiratoire.

Philosophe après le report prévisible des Jeux, initialement programmés à l’été 2020, Cyrille CARRE en a profité pour approfondir le travail en hypoxie débuté l’hiver dernier.

A l’aide d’une tente spéciale prêtée par l’un de ses partenaires (TREKALTI), le kayakiste de l’Yonne s’est exercé à cette délicate préparation à domicile durant dix-huit jours au mois de mai. S’enfermant parfois quatorze heures par jour dans cet espace minimal de deux mètres sur 1,6 mètre !

Ces premières séances se révélant concluantes, le sportif accepta une seconde expérience en juillet lors d’un stage effectué au Centre national de ski nordique et de moyenne montagne (CNSNMM) de Prémanon dans le Jura.

Optimiste de nature, Cyrille CARRE l’est également quant à la tenue de ces échéances olympiques cet été. Entre-temps, le comité d’organisation japonais a rendu son verdict favorable à la tenue des compétitions. Levant les doutes sur le maintien des Jeux.

 

 

Deux courses pour un podium qualificatif aux Jeux !

 

Néanmoins, l’Auxerrois devra passer par les phases sélectives obligatoires pour gagner sa place en équipe de France en avril. Pour se faire, il se doit de réaliser un podium sur l’une des deux manches de coupe du monde pour se qualifier.

Parmi ses autres objectifs de la saison qui lui tiennent à cœur, Cyrille CARRE espère conserver son titre de champion du monde de short race acquis en 2019, une course se disputant sur un  plan d’eau en Roumanie à l’automne. Il tentera aussi de conquérir son premier sacre sur le marathon en République Tchèque en octobre.

Son programme prévisionnel est plutôt bien garni : il est à découvrir ci-dessous :

-Stage équipe de France, Portugal (1erau 21 février) 

-Open d’Hiver (6 au 8 mars) 

-stage équipe de France, lieu à déterminer (9 au 21 mars) 

-Championnats de France de fond, Libourne (3 au 5 avril) 

-Open de printemps (9 au 11 avril) 

-Sélection équipe de France (1erau 3mai) 

-1èreCoupe du monde, Szeged, HONGRIE (10 au 16 mai) 

-2èmecoupe du monde, Barnaul, RUSSIE (17 au 23 mai) 

-Championnats d’Europe, Duisburg, Allemagne (31 mai au 6 juin) 

-Stage équipe de France (lieu et dates à caler en juin) 

-Championnats de France sprint, Gravelines (7 au 11 juillet) 

-stage terminal Olympique, Komatsu, JAPON (13 au 25 juillet) 

-JEUX OLYMPIQUES de TOKYO 2020 (2 au 7 aout) 

-Championnats de France surfski (26 au 29 aout) 

-Championnats de France marathon (4 et 4 septembre) 

-Championnats du monde SPRINT, Copenhague, DANEMARK (13 au 19 septembre) 

-championnats du monde SHORT RACE et MARATHON, Pitesti, ROUMANIE (27 septembre au 3 octobre) 

-Krumlowsky marathon, République Tchéque (9 et 10 octobre) 

-Adige marathon, Italie (15 au 17 octobre) 

-marathon international des gorges de L’Ardèche (13 novembre) 

Thierry BRET

 


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Pour la seconde année consécutive, le modèle conserve les faveurs des automobilistes de l’Hexagone. Il caracole en tête des ventes avec 47 609 exemplaires écoulés au terme de 2020. Malgré le contexte particulier qui a secoué le secteur, DACIA réussit à maintenir son leadership. Même si le constructeur a vu ses ventes reculer de près de dix mille unités par rapport à l’année antérieure…

PARIS : Ce n’est finalement pas une surprise pour les spécialistes de la question. Même si le marché de l’automobile a perdu de sa superbe au terme de cette édifiante année 2020. DACIA place une nouvelle fois l’un de ses modèles, la Sandero, sur la plus haute marche du podium des meilleures ventes de véhicules auprès des particuliers. Renforçant un peu plus une position confortable de leader qui s’était déjà affirmée en 2019.

Toutefois, le constructeur n’a pu réitérer les excellents résultats obtenus l’année précédente. La baisse de ses ventes se solde par un débours de dix mille véhicules entre les deux exercices. Preuve manifeste que la pandémie a laissé des traces indélébiles dans le monde des affaires.

 

 

 

 

 

DACIA possède avec la Duster un autre modèle qui rivalise avec la brillante lauréate de ce classement. Le SUV de la filiale de Renault a séduit 75 % d’acheteurs non-professionnels.

Cependant, ces résultats sont à relativiser quelque peu. Notamment si l’on s’intéresse aux ventes effectuées sur le marché des entreprises. Le sémillant produit de DACIA ne figure pas dans le trio de tête. Il est nettement devancé par la Peugeot 208 (92 796 exemplaires), la Renault Clio (84 031 unités) et la Peugeot 2008 (66 698 exemplaires).

 

 


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