Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est une nouvelle corde à son arc. Une de plus, pourrait-on dire ! Depuis le lancement de son bureau de presse, spécialisé dans la communication des agences de design, d’architecture, d’hôtels-restaurants, du tourisme ou de l’industrie, en 2009, Christophe PAYMAL ne cesse de diversifier ses activités à l’échelle hexagonale – le garçon est très bien implanté à Paris – comme en Bourgogne Franche-Comté. En ajoutant la ligne « vidéo et image » à son catalogue, il compte bien engranger de fructueuses affaires en 2024…

 

CHEVANNES : Ca phosphore beaucoup dans la tête de ce truculent personnage. Un communicant pur jus, il pratique son métier avec passion et bonheur. C’est suffisamment rare pour le signaler dans un secteur fortement concurrentiel où l’a peu près n’est pas autorisé.

Ici, dans ce sérail à réserver aux initiés, on parle de relations publiques, de relations presse, de communication digitalisée ou sur papier, à l’ancienne, avec attachées de presse, journalistes free-lance, entre convivialité et expertise. Le Nirvana de la communication !

Une communication dans la plus pure des traditions entrepreneuriales qui garde encore ses vertus et ses lettres de noblesse dans la filière. Christophe PAYMAL s’est donc fait un nom. Un patronyme à l’anglaise qui lui aura permis de tester ses capacités internationales pour s’envoler vers des expériences heureuses de l’autre côté de l’Atlantique. Aux States, tout d’abord, dans l’une de ses mégalopoles de référence, « Big Apple », évidemment, c’est-à-dire New York, la venteuse et si tempétueuse au niveau de l’esprit, du fun et de sa qualité de vie !

Ensuite, il y aura le retour sur Paris. PAYMAL is back et le fait savoir autour de lui, lui qui rejoindra de prestigieuses agences de communication aux raisons sociales connues et reconnues chez les aficionados : « Carré Noir », « Dragon Rouge ». Tout un programme en somme qui exacerbe sa puissante créativité.

 

Une nouvelle corde à son arc : l’image via la vidéo

 

Ses sphères d’influence sont le design et ses designers (parfois fantasques mais toujours situés aux confins du génie et de la créativité), l’architecture – ce n’est pas pour rien qu’il s’intéresse aux vielles pierres et qu’il vit aujourd’hui dans un ancien presbytère à l’atmosphère cossue et intimiste -, le tourisme, aussi, via deux de ses vecteurs les plus représentatifs que sont l’hôtellerie et la restauration. Ah, ces arts de la table qui font grâce aux épicuriens que nous sommes !

On peut revendiquer la terminologie traditionnelle et non galvaudée de la communication et de ses valeurs tant au niveau des méthodes que de l’esprit sans pour autant ne pas se désintéresser de l’évolution du métier et de ses nouveaux outils digitaux.

 

 

Christophe PAYMAL le prouve en ajoutant une nouvelle corde spécifique à son arc, devenu une harpe mélodieuse au fil du temps, en proposant désormais la communication par l’image, via la vidéo. Pour se faire, le chef d’entreprise s’est appuyé sur les compétences d’un spécialiste de la technique, un vidéaste auxerrois, « véritable geek » selon le portrait qu’il en fait, Geoffrey MANCIAUX. La première des réalisations filmées a vu le jour en ce mois de décembre qui s’achève doucement sur une note de température peu hivernale. Un clip réalisé au profit de la société VALOUR + LEMAIRE, spécialiste comme les puristes de gin, de brandy et de spiritueux le savent, de conception maison de produits à consommer avec extrême modération ! La structure de Tonnerre se sert de ce document comme d’une carte de visite : idéale pendant la période des fêtes afin de vanter la qualité et la gamme de leurs nombreux produits.

 

 

Valoriser le savoir-faire des entreprises sur les réseaux sociaux…

 

« L’image donne un sens à notre évolution naturelle, explique Christophe PAYMAL qui pourrait aussi s’adjoindre les services de nouvelles belles plumes rédactionnelles dans les semaines à venir – chut, c’est encore un secret que nous révélerons un peu plus tard ! – d’autres projets de très courts métrages sont déjà en préparation… ».

Notamment dans le domaine du tourisme et de l’hébergement d’hôtes.

Co-auteur avec le journaliste de France 2 Jean-Claude ALLANIC d’un ouvrage faisant référence sur le sujet cette année (« Parlez-moi de moi, je veux le 20 heures ou les dessous des relations presse », publié aux éditions Designfax), Christophe PAYMAL, aujourd’hui à 100 % bourguignon, veut s’adresser aux TPE,PME et collectivités locales afin de proposer ces nouvelles prestations, au résultat probant et résumé en trois à quatre minutes, pour valoriser leur image et savoir-faire. Une stratégie qui s’avère payante pour les structures ayant déjà fait appel à ses services, y compris pour les diffusions de ces clips sur les réseaux sociaux.

  

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dès le premier regard jeté sur le petit cadre de plexiglass, contenant son portrait posé sur le mur de l’amphithéâtre communautaire, c’est le sourire éclatant, plein de joie et empli de vie qui saute aux yeux. Celui d’une femme agréable, à l’allure soignée, respirant le dynamisme, épanouie dans son rôle d’édile de Sens et de présidente de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais. Une femme en parfaite maîtrise de ses moyens, sûre de son fait mais malgré tout, figée ici pour l’éternité. Une grande dame de la politique régionale au caractère parfois bien trempé, Marie-Louise FORT. Un personnage public qui « siègera » désormais de façon intemporelle parmi les élus de la communauté…pour mieux les inspirer et les guider ?

 

SENS: Bien sûr que chacune et chacun aura ressenti sa présence en ces lieux qu’elle avait inaugurée il y a quelques années en arrière. Même éthérée et évanescente, parmi l’assistance. Il ne pouvait en être autrement, d’ailleurs vis-à-vis de ce vibrant hommage rendu à l’une des grandes absentes physiques de ce rendez-vous.

Tour à tour, les interlocuteurs se succédant au pupitre du nouvel hémicycle communautaire en feront même mention dans leurs propos chargés en émotivité. Comme si, intérieurement, ils le désiraient de tout leur cœur. Et si elle apparaissait vraiment devant eux, le sourire aux lèvres et le mot de courtoisie l’accompagnant ?

Marc BOTIN, tout d’abord, son successeur à la présidence du Grand Sénonais, avec une once de fébrilité dans la voix lors de son discours.

Puis, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, qui pour rien au monde n’aurait voulu manquer ce déplacement capital dans la grande ville de l’Yonne septentrionale pour saluer la mémoire de celle avec qui il chicanait de temps à autre dans ce jeu politique qui n’est pas sans amitiés !

Wassim KAMEL, enfin, ce nouveau sous-préfet de l’arrondissement sénonais, dont les paroles, prononcées à chacune de ses interventions publiques, sont empreintes de sagesse, d’humanisme et de profonde sérénité. Un représentant de l’Etat à même d’être en phase directe avec les citoyens…

Une fois le voile tombé, de la stèle commémorative posée là sur le mur à hauteur de regard près de la sortie de l’amphithéâtre, on ne peut être frappé que par cette vitalité que dégageait l’aura de cette femme, totalement investie à ses missions d’élue. Marie-Louise FORT ! Comme elle portait si bien son patronyme même si elle nous a quittés trop vite, trop tôt…à cause de trop d’investissements de sa personne à vouloir résoudre les problématiques des autres, peut-être ?

 

 

 

On nomme cela l’altruisme, la solidarité, la générosité, l’implication, la rigueur, le perfectionnisme…, le sens du devoir et du service.

S’attarder un instant sur cette plaque de plexiglass où figure un joli portrait tout sourire de la disparue, permet d’y découvrir le vadémécum succinct de cette dernière, mais aussi d’y lire une petite phrase, attribuée à Madame ROLAND en 1864, qui résumerait presque, pour celles et ceux qui la connaissaient bien, ce singulier personnage de la politique régionale inoubliable et dorénavant immortelle. « Le sentiment est mon guide. Puisse-t-il me tenir lieu d’esprit et de talent !… ».

Tout est dit ou presque en ces quelques mots limpides et clairvoyants. Sans doute, Dominique, son époux, et sa fille, Mathilde, auront reconnu l’un des leitmotivs préférés de leur proche parente dont on évoquera la mémoire en ces instants.

Une Marie-Louise FORT « panthéonisée » à sa manière dans le saint des saints de ce que représente la vie politique et publique du Sénonais : ce fameux amphithéâtre, siège des assemblées communautaires, où désormais son éternel sourire de lumière éclairera les travaux…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il y pense très sérieusement, le responsable de la radio icaunaise. Recruter un technicien à mi-temps pour assurer le développement de la fréquence sur l’Auxerrois ? Pourquoi pas ! D’autant que l’auditoire, fidèle à la programmation très éclectique de RNB (Radio Nord Bourgogne), s’accroît chaque jour un peu plus, d’année en année. La refonte du site numérique de la station devrait permettre à celle-ci d’ancrer davantage sa présence sur le territoire. De quoi satisfaire pleinement Alain DEBENNE, aux commandes de la structure associative depuis…1988 !

 

PONT-SUR-YONNE : Il vient de fêter avec satisfaction les trente-quatre années de présence de la station radiophonique dans le paysage médiatique départemental, Alain DEBENNE. Diffusés via deux fréquences (pour mémoire, 97.2 à Sens et 99.9 à Auxerre), les programmes de RNB (Radio Nord Bourgogne) distillent en 24/24 et sept jours sur sept, informations et rendez-vous musicaux, fort appréciés de son auditoire. Des fidèles d’entre les fidèles qui suivent avec réel bonheur l’évolution de ce média dont le slogan se veut d’une simplicité extrême en termes de message mais qui semble faire mouche : « un max de hits » !

Avec son logo aux couleurs vives, chaudes et chatoyantes reconnaissable de tous – une déclinaison chromatique pas mal ficelée qui s’inspire de jaune, d’orange et de rouge -, RNB dont la structure juridique repose sur les principes de la loi de 1901, propre à toutes les associations qui se respectent, continue son petit bonhomme de chemin dans le paysage radiophonique départemental, fort de plusieurs représentants dignes de cette appellation.

On aurait tort de croire au vu de la signification de son acronyme – RNB égal Radio Nord Bourgogne – que le média audio ne rayonne pas au-delà de ses frontières naturelles. Même si le siège de l’entité est accueilli dans les locaux de la mairie de Pont-sur-Yonne, chère à Grégory DORTE, RNB diffuse ses programmes dans un périmètre nettement plus large. Sur l’ensemble de l’Yonne, voire chez nos voisins du Loiret, de l’Aube et de la Seine-et-Marne. Et même de plus loin comme la Nièvre et la Côte d’Or.

 

Un site totalement refondé opérationnel depuis décembre…

 

Plus de trois décennies après avoir été portée sur les fonts baptismaux de la création, Radio Nord Bourgogne ne cesse d’innover et de se doter des outils nécessaires à la promotion de son essor.

Dernier accessit en date ? Le relooking de son site Internet. Indispensable pour présenter à tout un chacun la diversité de sa programmation musicale, les annonces commerciales de ses partenaires, le contenu informatif de ses points relais d’actualité, son agenda et calendrier de manifestations associatives.

« J’ai sollicité Jérôme CASSEGRAIN de CREATIVE COCKTAIL – tiens, tiens, voilà une figure connue et reconnue dans le landerneau de la créativité graphique puisque webmaster et hébergeur de votre site d’information préféré, le nôtre ! – pour qu’il me rénove de A à Z le site existant, devenu obsolète, s’en explique Alain DEBENNE, pianotant les touches de sa console de mixage, le résultat est probant et j’invite les auditeurs à le découvrir… ».

Une stratégie de communication qui augure de la volonté du patron de la station – il travaille aussi en famille aux côtés de son fils, Hugo – d’étendre son champ d’action plus loin encore, en touchant de nouveaux auditeurs via le canal numérique. Y compris au plan sectoriel puisque l’Auxerrois intègre également le cœur de cible à privilégier à l’avenir pour le responsable de la station septentrionale. Un poste de technicien pourrait y créer, à mi-temps, dès l’année prochaine selon les opportunités.

Il est vrai que tout un pan de la jeune génération n’écoute plus la radio que par le prisme des ordinateurs et du multimédia. Nécessité, fait donc loi dans la vision pragmatique d’Alain DEBENNE.

Fonctionnel depuis début décembre, le nouveau site recueille déjà des suffrages positifs en termes de commentaires des fans de la première heure. Etre le trait d’union informationnel entre les collectivités, les associations et les habitants de l’Yonne alimente le moteur de cette antenne qui puise ses ressources musicales dans un mix, finement ciselé, de morceaux dans le vent, entre tubes hexagonaux et références internationales.

Tout ce qui correspond en fait à la personnalité d’Alain DEBENNE, musicien à ses moments perdus – ils sont plutôt rares ! – en qualité d’organiste et amoureux des ondes, de celles qui furent le creuset des plus belles heures aventureuses de la FM, issue de la mouvance des radios des années 80. Que vivent encore longtemps toutes ces radios au cœur de notre paysage !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On se pincerait presque le derme tant l’image qui nous est proposée là, se veut rarissime dans le landerneau de la politique icaunaise. Des élus, certes de droite, mais tous unis et parlant d’une même voix sans l’once d’une attitude politicienne néfaste, au service d’une noble et juste cause. La nécessité de se voir doter un jour (quand ?) d’un nouvel établissement scolaire, un lycée, qui viendrait désengorger les infrastructures de Sens, archi bondées au niveau de ses effectifs et de ses classes. Quand les élus de LR, du RDPI (Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants) ou du RN sont sur la même longueur d’ondes, en somme. Et ce n’est pas une légende de Noël !

 

VILLEBLEVIN: On peut ne pas partager les mêmes idées politiques et finalement se retrouver sur la même ligne de défense (ou d’attaque constructive selon les cas) d’un projet, surtout lorsque ce dernier doit agir dans l’intérêt général des citoyens. A quelques jours de la fête de la Nativité (Noël pour les  incultes !), le miracle a eu lieu ou presque au foyer communal de la localité quasiment la plus septentrionale de notre territoire, située à quelques encablures de la Seine-et-Marne limitrophe. Certes, il ne s’agissait que de représentants politiques estampillés de la droite républicaine et souveraine, mais tout de même, cela n’arrive pas tous les jours dans le sérail icaunais !

Déjà, sur le carton d’invitation médiatique, adressé quelques jours auparavant par le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, on pouvait s’y reprendre à deux fois au niveau de sa lecture pour bien assimiler ce qui allait se tramer dans la bourgade du nord de l’Yonne un peu plus tard.

Non seulement, le nom du parlementaire et porte-voix du Rassemblement national y figurait en pôle-position mais en outre il était assorti des patronymes de Grégory DORTE, le premier vice-président de la majorité départementale (LR/UDI) de l’Yonne, de la conseillère départementale Dominique SINEAU et du président de la Communauté de communes Yonne Nord, Thierry SPAHN. Manquait à l’appel, sur le papier, le sénateur de l’Yonne et proche de la gouvernance étatique en sa qualité d’ancien ministre, Jean–Baptiste LEMOYNE, qui se sera greffé entre-temps sur ce rendez-vous qualifié d’historique par le représentant de la formation bleu marine.

 

 

Une réunion non partisane, sans clivage et pas artificielle…

 

Bref, on l’aura compris la future manifestation qui allait se vivre devant une trentaine d’élus et membres des autorités éducatives et administratives autorisées (curieusement, il manquait à l’appel les représentants des lycées JANOT et CURIE de Sens, retenus dans le même laps de temps par une réunion dite extraordinaire !), présentait des arguments nécessitant un long déplacement depuis la capitale de l’Yonne vers VILLEBLEVIN, même passé les horaires respectables pour jeter un journaliste sur la route, soit à 19 heures !

Bon, c’est sûr, pour les puristes de la petite phrase et de l’envoi de banderilles acerbes mais bien contenues, il y aura quelques moments croustillants à se mettre entre les oreilles avec certains protagonistes plutôt amusé par les circonstances, et ce dès le début de la prise de parole explicative !

Péremptoire, Grégory DORTE balancera tout de go dès que le micro lui fut tendu « qu’il n’avait pas voté Marine LE PEN » lors des dernières présidentielles ! Réplique instantané d’un Julien ODOUL, arborant un complet sombre et cravate bleu foncé, « c’est vrai qu’avec Grégory, nous nous sommes souvent frittés par le passé et que nous ne partageons pas les mêmes idées ! ».

Une manière concrète et courtoise de marquer les territoires politiques respectifs de chacun, sous le trait de l’humour, avant de revenir à des choses nettement plus sérieuses. Grégory DORTE et Julien ODOUL étaient à l’origine de cette rencontre, façon pose de jalons initiaux afin de bien cerner la problématique.

L’énoncé du problème revenait au député qui rappela en guise de préambule les choses suivantes : « En mars dernier, nous avons interpellé le gouvernement et la Région Bourgogne Franche-Comté sur la nécessité de construire un nouveau lycée dans le nord de l’Yonne. Afin d’anticiper la croissance démographique de notre territoire et de renforcer son attractivité, de répondre aux enjeux liés à la surpopulation scolaire des lycées de Sens, et de favoriser l’accès à un enseignement de qualité et de proximité, nous avons décidé d’organiser une réunion d’information avec l’ensemble des élus concernés et les autorités éducatives et administratives… ».

 

« Circuler, il n’y a rien à voir ! » : la réponse de la Région…

 

Observant l’absence de débats sur le sujet au sein de l’hémicycle régional qu’il côtoie pourtant très régulièrement, Julien ODOUL reprocha à la Région BFC de ne pas avoir provoqué de discussions à propos de ce projet prometteur et porteur d’avenir pour le nord de l’Yonne.

« Nous sommes tous convaincus de la pertinence de ce dossier, projet à la fois d’éducation et d’attractivité, mais aussi social et qui prépare les années à venir de ce secteur géographique. Depuis trop longtemps, nous sommes les parents pauvres de la Bourgogne Franche-Comté en termes d’investissements et de transports. On semble vivre comme dans un no man’s land ! Est-ce imputable à notre éloignement avec Dijon ? Ou à notre proximité relative avec l’Ile-de-France ? On a un vrai souci sur l’avenir de ce territoire… ».

Comme à son habitude, le numéro cinq du Rassemblement national ne fut pas tendre avec l’exécutif régional à qui il demanda des comptes. « Il n’y a rien de pire que d’étouffer un débat et de museler une discussion… ». Une petite flèche que le parlementaire eut le plaisir de décocher en direction de Marie-Guite DUFAY !

« Comment expliquer que ce soir, opportunément, il y ait une réunion du Conseil d’administration des lycées de Sens en même temps que notre réunion d’information, s’interrogea dubitatif mais un brin ironique Julien ODOUL, je le regrette, naturellement, tout comme je regrette l’absence de la Région et de ses représentants que nous avons sollicités plusieurs fois déjà ! Invités à prendre part à cette rencontre, la réponse a été très claire : « Circuler, il n’y a rien à voir ! ». ».

 

 

Le SRADDET contredit les arguments démographiques de la Région

 

Côté arguments, dont ceux avancés par les acteurs bloquants de ce projet (le ministère de l’Education nationale, le rectorat et la Région BFC) – chacun se renvoyant la balle sans vouloir trop se mouiller selon le député de l’Yonne -, la démographie est en ligne de mire.

Principale théorie dont la Région se fait écho : la perte du nombre des élèves d’ici une décennie dans l’Yonne, selon les courbes statistiques fournies par le rectorat. Des arguties que Julien ODOUL balaie du revers de la main.

« D’autres arguments en contradiction avec ceux annoncés par la Région sont à prendre en compte, souligna l’orateur, ils émanent de la Région elle-même, dans le cadre du SRADDET (Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) avec une perspective d’évolution en 2050 des données démographiques. Que dit le SRADDET ? Il affirme que la Région Bourgogne Franche-Comté vivra une évolution positive de sa population à horizon 2050 de l’ordre de 13 %. Soit dans les faits pour le département de l’Yonne de 60 000 habitants supplémentaires. Des personnes qui s’installeraient en priorité dans le nord du département, du fait de la proximité avec la région francilienne… ».

Une perspective sérieuse qui pourrait être applicable d’ici 25 ans, avec une hausse tangible de la population importante, dont des jeunes gens en âge de fréquenter des établissements scolaires donc des lycées, il va de soi.

Partant de ce postulat, les élus ayant provoqué ce rassemblement informatif ce jeudi invitèrent chacun des acteurs de la scolarité et institutionnels à se poser les bonnes questions pour élargir l’offre pédagogique de ce territoire, en privilégiant les investissements – l’édification d’un nouveau lycée au nord de Sens afin de résoudre en parallèle la problématique des trajets et celle des journées interminables de cours pour certains élèves – mais aussi en réduisant la voilure au niveau de la surcharge des effectifs en classe à Sens. L’une des grosses difficultés à l’heure actuelle dans les deux lycées sénonais, ayant provoqué la grogne et des remous dès la rentrée de septembre chez les syndicats d’enseignants.

Consensuel jusqu’au bout des ongles – ce n’est pas si souvent lorsqu’il expose ses idées ! (« Il se Macronise » plaisantera même Jean-Baptiste LEMOYNE à son endroit !)-, Julien ODOUL rappela en guise de conclusion ce « nécessaire besoin de rallier toutes les parties prenantes au-delà des étiquettes politiques » afin d’offrir une vie scolaire de proximité et de qualité digne, au nord de l’Yonne. Comme un cadeau de Noël, en somme !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil