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On connaissait déjà les « Crop Circle ». Ces cercles aux formes bizarroïdes qui occupent çà et là des parcelles d’exploitation. Aux confins du réel, de la supercherie ou pourquoi pas du surnaturel ! Mais, là, il s’agit de tout autre chose nettement plus terre-à-terre qui se nomme le « relay-cropping ». Un anglicisme de plus, à découvrir pour les professionnels de l’agriculture, ce jeudi 17 juin dans le cadre de la journée INNOV’ACTION portée par la Chambre d’agriculture de l’Yonne…

 

AUXERRE : Définir cette technique novatrice pourrait se résumer en une ligne : le « relay cropping », c’est une piste de réflexion innovante pour récolter deux cultures sur une même campagne.

Et qui d’autre pour l’évoquer que les techniciens de la Chambre départementale d’Agriculture qui, dans le cadre d’une journée du programme INNOV’ACTION, décortiqueront à loisir ce processus.

L’épisode II de cette saga se poursuivra donc avec la complicité de la SEP de Bord à Bligny-en-Othe, ce jeudi 17 juin en matinée, entre 10 et 13 heures.

Entre la visite de parcelles et le retour d’expérience observé sur les semis de sorgho, soja et tournesol, les participants ne manqueront pas de sujets de discussion, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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Le concept se veut original. Il s’adresse aux futurs entrepreneurs de la partie septentrionale du département. Un acte qui est posé en deux temps. Celui d’un pitch afin d’y présenter son projet. Avant ce long mais sans doute fructueux brainstorming d’une durée de trente heures permettant aux neurones de faire tilt en modélisant et en rendant opérationnel ledit concept au terme d’un week-end insolite…

 

SENS : Jamais à court d’idées, la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais ! Voilà que la structure animée par Magalie CONTUDEAU TAVARES nous concocte une opération dont elle a le secret à l’attention des entrepreneurs en herbe !

L’action a pour principal objectif de susciter l’émergence de nouveaux projets dont certains ont été menés durant la délicate et interminable période de confinement. Successif, devrait-on ajouter !

 

 

Ce « Start-up Weekend », proposé les 11 et 12 juin, offre à ses participants trente heures de réflexion pour que se concrétise réellement le projet. Ceci étant appuyé par des mentors (les partenaires historiques de la Fabrique à Entreprendre) et la Communauté du Grand-Sénonais.

L’initiative est ouverte aux étudiants mais également aux demandeurs d’emploi. Sans omettre les professionnels, voire des passionnés qui possèdent de la clairvoyance et des idées entre les oreilles !

 

En savoir plus :

On peut s’inscrire par téléphone au 03.86.42.01.10.

Nombre de places limitées

 

Thierry BRET

 


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Loin des yeux, loin du cœur, dit l’adage. Pourtant, lorsqu’il évoque son hypothétique retour dans la belle province de DA NANG, le timbre de sa voix se mue de manière perceptible. Un ange passe. Nimbé de ce petit zeste subtil, prélude aux grandes émotions. Didier MERCEY a laissé depuis son départ du Vietnam une part de son âme en Extrême-Orient. Même si sa structure professionnelle se porte à merveille malgré les vicissitudes occasionnées par la crise sanitaire…

 

GRON : Il fait penser à un lion tournant inlassablement dans une cage de fer Didier MERCEY. Ne tenant plus en place alors qu’il a à faire, ailleurs. Ici, aussi, soit dit en passant.

Mais, depuis plusieurs mois, il avait calé son rythme existentiel, plutôt bien garni, à ce nouveau style de vie, partagé entre le sud-est asiatique et le Vieux continent. Une période de deux mois en France, suivie d’une présence d’une trentaine de jours au sud de Hanoï, sur le littoral à DA NANG.

Alors quand au détour d’une rencontre, en l’occurrence celle qui est provoquée par la visite du candidat aux régionales, le Marcheur Denis THURIOT sur la plateforme portuaire de Gron le lundi 07 juin, il évoque la filière vietnamienne de la maison mère, créée de toute pièce depuis trois ans, son cœur ne peut que s’épancher. Avec un peu de vague à l’âme !

Contraint depuis le début de la pandémie de rester au nord de l’Yonne, Didier MERCEY éprouverait-il une quelconque nostalgie après ces quelques mois vécus dans cette longue bande de terre qui s’étire au bord de la Mer de Chine ?

Certainement ! Dans un pays où la jeunesse domine et le taux de croissance caracole au-delà de 7 % : les rêves sont permis !

 

 

Cibler les dix pays qui forment l’ASEAN…

 

Non seulement, en s’implantant avec l’aide d’un partenaire local, la nouvelle entité a pu assurer une liaison maritime régulière entre l’immense port de Ho Chin Minh, au sud de la péninsule, et l’Yonne. Mais, en outre, LOGI VIET France y a développé de l’emploi (une dizaine de collaborateurs) et un système d’information favorisant la gestion des flux maritimes.

D’ailleurs, cette dernière trouvaille intéresse la puissante Indonésie voisine qui vient de passer commande dudit concept.  D’autres nations sont potentiellement ciblées de même pour l’acheminement régulier de conteneurs : celles qui constituent l’ASEAN, ce marché économique commun de l’Asie du Sud-Est.

Le retour au pays du Dragon n’est pas prévu pour toute suite pour le chef d’entreprise de l’Yonne. D’autant, qu’une variante locale de la COVID fait des siennes en inquiétant quelque peu la sphère scientifique. Plus rassurant, en revanche, les affaires tournent à plein régime ! Il ne s’agit désormais que d’une question de patience…

 

Thierry BRET

 


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750 euros nets par mois. Une misère pour les bénéficiaires de ce maigre salaire. C’est pourtant celui des AESH. Un acronyme usité par l’Education nationale. Il signifie « Accompagnants d’élèves en situation de handicap ». Tout un programme qui, s’il est vertueux sur le papier, n’en demeure pas moins le combat acharné de celles qui l’exercent. En grève, ces femmes à la limite de l’exploitation revendiquent le droit à un vrai statut, une hausse significative de leurs revenus et surtout l’abandon des PIAL qui ont dégradé leur existence…

 

AUXERRE : Elles n’osent pas prendre la parole sans doute par excès de timidité. Mais, leur colère bouillonne à fleur de peau. Cela se ressent comme un fil d’Ariane bien visible durant le cercle qu’elles forment face à la préfecture.

Le regard triste, le vague à l’âme, elles écoutent en serrant les poings les représentants de l’intersyndicale (Force Ouvrière, FSU, Sud et CGT) égrener le lot de revendications. A leurs yeux, ô combien légitime.

Comment, en ce premier quart du vingt-et-unième siècle, celui dit du progrès social, de la haute technologie et du libéralisme à haute dose peut-on décemment subvenir à ses besoins au quotidien dans un tel contexte sociétal avec dans sa besace un piteux salaire de 750 euros nets par mois ?!

Une aberration à peine croyable mais qui est pourtant celle vécue par ces personnels de l’Education nationale, les fameux « AESH ». De vertueux employés à la reconnaissance aussi nulle que peut l’être la valeur de leurs revenus !

C’est pour ses multiples raisons que ces femmes sont descendues dans la rue et occupent, de manière symbolique, la place de la préfecture. Pour montrer aux Auxerrois, comme aux Sénonais le matin même, qu’elles existent en ce jeudi 03 juin!

Pour se sentir plus fortes aux côtés de celles et ceux qui les soutiennent dans leur long combat qui, au bout de plusieurs mois de revendications, n’a pas l’air d’aboutir, à leur grand dam.

 

 

 

 

L’arrêt immédiat des PIAL : l’une des revendications primordiales…

 

 

Mobilisés au plan national le 08 avril dernier, les AESH battent de nouveau le pavé deux mois plus tard avec une pugnacité identique et une unique obsession : faire que les choses avancent et changent !

En matière d’évolution, des progrès restent à faire. Revalorisation très nette des salaires, reconnaissance professionnelle avec l’émergence d’un réel statut de fonctionnaire d’Etat qui les protège et surtout passer sous les fourches caudines ce maudit PIAL qui les perturbe de façon considérable. PIAL, signifiant les Pôles inclusifs d’accompagnement localisé.

Un sabir obscur de technocrate, noyé dans un énième acronyme, pourtant au centre de toutes les polémiques actuelles en France, mis en exergue depuis l’automne 2019 et qui ne contente personne.

Ce PIAL se définit dans le concret de la manière suivante : ce sont des aides mutualisées à répartir entre plusieurs élèves sur un territoire géographique de plus en plus étendu.

Conséquence pour les AESH, elles doivent dédoubler d’efforts sur un espace territorial de plus en plus important, tout en réduisant le nombre d’heures de présence humaine auprès de celles et ceux qui en ont le plus besoin : les enfants victimes de handicap !

 

 

Une délégation reçue par la directrice de cabinet de la préfecture…

 

Non seulement, le personnel de l’Education nationale (enseignants compris) s’insurge contre de telles pratiques rétrogrades mais les parents d’élèves, ceux étant concernés par le suivi de leur enfant handicapé, montent au créneau avec des cris d’orfraie pour que cesse enfin ce scandale. Celui des oubliés du handicap !

Cette flexibilité à tout crin viserait presque à disloquer les fondements de l’Education nationale, selon certains syndicats.

« On veut une société humaine, à l’écoute de son prochain, confie le secrétaire départemental de la FSU 89, Philippe WANTE, les AESH sont méprisés par l’Education nationale. Personne ne doit rester insensible à cette mobilisation organisée au nom de l’enfance handicapée… ».

Ce sont aujourd’hui près de 110 000 personnes, soit 10 % des agents de l’Education nationale, qui vivent cette terrible et inextricable situation dans le pays. Dont on ne voit pas la fin.

 

 

 

 

Le dossier a été naturellement porté à la connaissance du principal intéressé, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel BLANQUER. Pour quelle suite ?

De même, localement, la directrice de cabinet de la préfecture Marion AOUSTIN-ROTH a pu s’entretenir durant une cinquantaine de minutes en milieu de matinée ce jeudi 03 juin  avec une délégation de l’intersyndicale qui lui a fait part de ses revendications.

« Nous avons espoir d’être enfin entendu glisse un brin optimiste Philippe WANTE, qui place aussi le recrutement immédiat de personnels AESH parmi les grandes priorités afin de répondre aux nombreuses demandes des parents dans le désarroi.

Au-delà de l’écoute et des palabres, il serait grand temps, désormais, que viennent le temps de l’action et celui des actes concrets à graver dans le marbre…

 

Thierry BRET

 

 


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Hier en présentation à Sens où elle dévoilait ses nombreux atours, aujourd’hui tenant la vedette à Auxerre et pourquoi pas demain dans votre garage après votre achat personnel ! Il n’y a pas à dire mais la nouvelle Mustang Mach-E possède du style à revendre. Et des caractéristiques qui devraient convaincre tous les réfractaires à la cause de l’automobile électrique…

 

AUXERRE: Présentée de manière officielle en novembre dernier, la Ford Mustang en version électrique arrive progressivement en concessions. Un petit bijou de modernité et de technicité qui fait de ce SUV 100 % développement durable le véhicule vedette dont on parlera beaucoup durant cet été 2021.

D’abord, il y a la référence de l’enseigne. Mythique Mustang ! Avec ce patronyme qui claque au vent comme la course effrénée du fameux pur-sang sauvage dont la publicité s’est faite les choux gras par le passé. Ensuite, il y a ses fonctionnalités technologiques qui placent cette Mach-E parmi les véhicules électriques au sommet de leur art. Et surtout de leurs possibilités en matière énergétique.

Rechargeable après seulement dix minutes, d’une autonomie pouvant aller jusqu’à 600 kilomètres, ce prodige de la mécanique conçu à la sauce du troisième millénaire obéit au doigt et à l’œil à votre smartphone ! Elles sont donc bien révolues les clés ordinaires servant à la commande !

 

 

Ce SUV se veut futuriste, avec assistance vocale en passant par les technologies d’aide à la conduite. Pourvu d’un toit ouvrant, son design offre le confort, intégrant des enceintes acoustiques au-dessus du tableau de bord. Telle une barre du son aux qualités sonores exquises ! C’est toute la magie de l’ingénierie.

Côté conduite, le petit dernier de FORD décline trois possibilités, en mode fun et dynamique, en silencieux qui préserve l’autonomie et de façon sportive pour les puristes, amateurs de sensations.

Bref, c’est du cousu main pour celles et ceux des aficionados qui depuis les années 1960 vibrent à ce seul nom emblématique de Mustang Mach, une voiture qui semblait alors pouvoir franchir le mur du son…

 

Thierry BRET

 


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