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Ils se définissent comme les candidates et candidats du pragmatisme, celles et ceux qui arborent les couleurs vertes de la liste « Ecologistes et Solidaires ». Emmené dans l’Yonne par le très communicant conseiller d’opposition de Sens Mathieu BITTOUN, cet assemblage hétéroclite de candidatures s’inscrit dans la droite ligne de conduite de leur tête de gondole régionale, Stéphanie MODDE. « Les Verts ne recherchent pas le problème mais ne veulent traiter que les solutions ». Une maxime très vertueuse dont ils ont fait leur credo au quotidien…

 

AUXERRE: Envers et contre tous, les candidats de l’écologie pour ces échéances régionales ? Même s’ils n’ont pas succombé aux chants des sirènes de la majorité socialiste et divers gauche incarnée par la présidente de Bourgogne Franche-Comté partisane de l’union sacrée (un réel regret que déplore dans ses conférences de presse Marie-Guite DUFAY), il n’empêche qu’ils tenteront par tous les moyens de briller en convertissant grâce à leur programme plutôt copieux un maximum d’électeurs à leur cause afin de perpétuer les excellents résultats obtenus par leurs représentants lors des Européennes 2019.

Toutefois, à y regarder de très près, les écologistes traditionnels, ceux du vaisseau amiral d’Europe Ecologie Les Verts, ne se présentent pas seuls, en ordre de marche dans cette joute électorale d’importance, à disputer en deux temps et deux mouvements les 20 et 27 juin.

L’alliance a bel et bien eu lieu dans le sérail « verdoyant » de la politique de notre contrée puisque plusieurs partis de la même obédience intellectuelle ont pris soin de mutualiser leurs forces afin de constituer la liste de ces 116 noms la plus représentative possible à l’assaut de l’hémicycle régional à Dijon.

 

 

Deux leaders écologistes icaunais habitués aux joutes électorales…

 

Au-delà de la majorité de candidatures à l’estampille EELV, le nouvel élan écologiste et solidaire qui est dévoilé à la presse au détour de conférences rondement menées par leurs interlocuteurs place aussi en exergue les candidats issus de Génération Ecologie et de Cap Ecologie, qui résulte de la convergence d’intérêts entre Cap21 et de l’Alliance écologiste indépendante.

L’impulsion de cette équipe icaunaise est donnée par son chef de file, le conseiller municipal d’opposition de Sens, Mathieu BITTOUN. Un garçon parfaitement rôdé à ce genre d’exercice au vu de ses engagements antérieurs. Lui, il aime défendre ses idées et celles qui émanent de sa formation pour « sortir » des phases de vide. Celles-ci ne manquent pas, il est vrai, tant en matière de dossiers strictement environnementaux que sociétaux !

 

 

Chantre de la démocratie participative, Mathieu BITTOUN pourra donc compter sur une structure décisionnaire finement choisie, articulée autour d’enseignants, d’élus, de spécialiste de la communication, de médecins, de fonctionnaires ou d’étudiants. En seconde position de cette liste : ce n’est pas une surprise, on retrouve Florence LOURY.

L’ancienne candidate aux municipales à Auxerre, devenue depuis conseillère d’opposition, tant à l’Agglo qu’à la ville, pose suffisamment de questions pertinentes durant les séances plénières de ces institutions pour se faire rappeler au bon souvenir de l’édile Crescent MARAULT !

Et démontrer ainsi qu’exercer un mandat dans le rôle de l’opposant ne signifie pas de garder le silence en attendant des jours meilleurs !

 

 

Un second lycée dans le Sénonais : une réelle priorité…

 

Si vingt-deux grandes propositions figurent dans le programme à mettre en application en cas de succès de la liste au soir du 27 juin, retenons quelques mesures phares.

A l’instar de la transition écologique qui est créatrice de moult emplois ne pouvant être délocalisés, citons également parmi ces axes de travail le développement de la formation professionnelle, la résilience écologique des établissements scolaires de l’Yonne (lycées), le soutien massif à l’agriculture bio avec des aides à la reconversion et l’installation du maraîchage bio, l’essor des circuits courts, le tourisme solidaire, la démocratie participative, etc.

Un particularisme plus local vient se greffer également sur ce programme écologiste : la création d’un second lycée dans la partie septentrionale de l’Yonne. Ce nouvel établissement viendrait résoudre une sérieuse problématique : le trop plein d’élèves qui fréquentent le lycée Janot-Curie. Une récurrence observée de longue date mais qui n’a pas fait l’objet de changement de fusil d’épaule à Dijon.     

 

 

 

 

A contrario, le volet sécuritaire ne semble pas être la priorité des écologistes. D’une part, le sujet n’intègre pas les compétences régaliennes de ladite institution régionale. D’autre part, les Verts désavouent la stratégie « alarmiste » du Rassemblement National qui fait son beurre avec le désespoir et les effets de caisse de résonnance d’une société surmédiatisée.

Quant au contournement sud de la capitale de l’Yonne, Auxerre, devenu l’un des items référentiels de chacune des têtes de file régionales de passage en terre icaunaise, les candidats d’Europe Ecologie Les Verts et des partis écologistes associés n’y voient pas d’inconvénient.

Mais, s’ils sont élus fin juin, les défenseurs des idées de Stéphanie MODDE veilleront à ce que soit réalisée une route simple, comprenant quelques passages de deux à trois voies, sans qu’il y ait une artificialisation des sols. Et que cela ne soit pas préjudiciable à l’environnement…mais, c’est une évidence lorsque l’on est écologiste !

 

 

La liste


1. Mathieu BITTOUN, EELV, directeur de projets informatiques, élu municipal et communautaire à Sens

2. Florence LOURY, EELV, enseignante, élue municipale et communautaire à Auxerre
3. Didier IDES, sans étiquette, maire de Sauvigny-le-Bois, agriculteur retraité
4. Florence MOULINET, EELV, artiste peintre, adjointe à la culture à Deux-Rivières
5. Jean-Marc COLLET, CAP ECOLOGIE, fonctionnaire territorial
6. Laurane BEGUINE, EELV, étudiante
7. Victor COSTA, sans étiquette, couvreur, membre de la Convention Citoyenne pour le Climat

8. Laure TIMON, EELV, enseignante
9. Benoit CHAISY, EELV, professeur d'EPS, cadre national du SNEP-FSU
10. Monique BEL, sans étiquette, ancienne responsable de communication et informatique
11. Ludovic AUDIARD, EELV, professeur histoire géographie
12. Elodie BERTIN, EELV, auto entrepreneure en archéologie, militante One Voice
13. Claude BUREAUX, sans étiquette, maître jardinier, écrivain, ancien chroniqueur jardin à Radio France, ancien directeur du Jardin des Plantes à Paris
14. Annie GHESQUIERES, EELV, kinésithérapeute en retraite

 

 Thierry BRET

 

 


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Joindre l’utile à l’agréable n’est pas une chose incompatible pour l’un des leaders nationaux, exerçant dans le domaine des réservoirs de production d’eau chaude et des contenants de stockage tout liquide. Labellisée RSE par l’AFNOR depuis 2020, l’entreprise sénonaise vient de signer une convention de partenariat pour faire de son site de 6,5 ha un refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux…

 

SENS: Ce n’est pas un hôtel à insectes ordinaire que présente le toujours créatif patron du groupe industriel icaunais Pascal CHAROT ! Ce serait plutôt le modèle cinq étoiles, version grand luxe avec des services « all exclusive » à tous les étages pour ces bestioles qui virevoltent dans le ciel !

A deux pas de l’unité de production qui emploie près de cent cinquante collaborateurs conquis unanimement par l’initiative, trône cette majestueuse construction de bois où viennent se camoufler des myriades d’insectes vrombissants. Le jardin d’Eden ou presque pour ces insectes fréquentant les lieux qui ne manqueront pas ensuite de servir de nourriture très appétissante aux oiseaux alentours !

Le groupe CHAROT a donc choisi de verdir son image et surtout son environnement depuis l’année dernière, grâce à la signature de la labellisation RSE (Responsabilité sociétale de l’entreprise) dispensée par l’AFNOR. Une initiative que souhaitait accomplir depuis longtemps le dirigeant de la société, Pascal CHAROT.       

Il y a peu, le 26 avril, l’industriel apposait sa griffe au bas d’un document le liant via une convention partenariale avec la LPO, la Ligue pour la Protection des Oiseaux. Objectif : faire de ce site de 6,5 hectares un refuge pour les volatiles.

Conséquence, le fabricant de ballons d’eau chaude sanitaire et de réservoirs de stockage en acier et inox ne s’est pas fait prier pour installer une douzaine de nichoirs et de mangeoires, çà et là parmi ses espaces verts ; en y ajoutant une première mare artificielle qui en appelle déjà l’implantation d’une seconde, et de cet hôtel à insectes si spacieux. Une initiative intelligente et environnementale qui a vu la participation des salariés de la société !

 

 

 

Une idée fédératrice qui a débouché sur la création d’une cellule…

 

Moyennant une enveloppe budgétaire de dix mille euros (une broutille pour une PME qui réalise plus de 25 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel), le groupe CHAROT joue avec enthousiasme et jubilation la carte de la préservation des espèces.

D’autant que les diagnostics liminaires fournis par la LPO reflètent de la pertinence de l’initiative : un troisième inventaire aviaire réalisé il y a peu fait état de la présence de vingt-cinq profils différents d’oiseaux dont, et c’est une très belle surprise, le repérage du serin « Cini », très peu répertorié dans notre région.

Fédératrices au plan de la communication en interne, les préconisations environnementales de CHAROT ont même abouti à la création d’une cellule ad hoc qui réfléchit à l’apport de nouvelles idées devant s’effectuer par la suite.

Ainsi, outre l’implantation d’une deuxième mare n’accueillant pas de poissons pour laisser libre cours à la reproduction d’insectes, devant sustenter les oiseaux, des projets de plantations d’arbres fruitiers sont dans les cartons.

Bref, cette quête à la biodiversité retrouvée, très utile pour le développement des espèces animales et végétales, s’est également propagée parmi les collaborateurs du groupe.

Une douzaine d’entre eux sont dorénavant devenus refuges LPO à titre personnel en accueillant nichoirs et autres mangeoires pour oiseaux.

La création d’un biotope n’est donc pas inconcevable avec les activités purement industrielles d’une structure comme CHAROT. Une initiative judicieuse qui pourrait bien faire des émules dans le landerneau.

 

Thierry BRET

 

 


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Les membres du collectif « Stop Panhard », des citoyens, syndicats et associations (ADENY, Le Ruban Vert, Sens-Ecologie et Solidarité) se sont exprimés devant l’hôtel de ville le 20 mai 2021, au dernier jour de l’enquête publique menée dans le cadre de la construction d’un parc logistique. Il serait dédié au développement du e-commerce...

 

SENS : Après une forte mobilisation à la mi-avril qui avait réuni près de trois cents personnes au rond-point des Droits de l’Homme, le collectif « Stop Panhard » poursuit sa lutte contre le projet d’implantation d’un entrepôt par la société Panhard Développement dans la zone des Vauguillettes.

Incitation à la surconsommation, pollution des sols, destruction du patrimoine naturel et rural du Sénonais, recul de l’activité agricole, etc. : ce collectif ne manque pas d’arguments pour contrecarrer ceux de la municipalité qui mise tout sur la création d’emploi. Un projet ambitieux de plus de 150 000 mètres carrés de bâtiments qui contraste, somme toute, avec la volonté affichée de la collectivité de lutter contre la pollution et la défense de l’environnement.

Elle s’apprête d’ailleurs à procéder à la signature du CRTE (Contrat de relance et de transition écologique) prévu dans le cadre du plan de relance, en présence de la préfecture de l'Yonne, des vice-présidents de conseil départemental et régional ainsi que des maires des 27 communes de la CAGS (Communauté d’agglomération du Grand Sénonais). 

 

 

« Ce projet nous parait démesuré et disproportionné avec la ville de Sens »...

 

Le collectif a réaffirmé avec force et détermination son hostilité à ce projet d’environ 40 hectares de terrain d’assise auprès de la population, en direct sur Facebook. Ils ont ensuite rencontré l’enquêteur et lui ont remis des pétitions appelant à l’abandon de ce projet. Une pétition qui réunit près de 4 000 signatures.

Le collectif a également recueilli les témoignages des habitants qui ont participé à cette enquête publique. Beaucoup souhaitent que ce projet soit retiré et estiment qu’il va « à l’encontre de ce que nous voulons pour notre vie, notre avenir, celui de nos enfants et des générations futures ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


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La France aurait-elle atteint un point de non-retour en matière de sécurité et de liberté profanée ? C’est ce que pense sans ambiguïté le leader du Rassemblement National qui, profitant de la présentation de ses partenaires icaunais engagés à ses côtés pour les échéances régionales, a pointé du doigt l’état de non-droit actuel. Bénéficiant du soutien inconditionnel des militants de l’Avenir Français, transfuges de Debout La France, le membre du bureau national de la formation bleu marine a placé sur le curseur des priorités les arguments sécuritaires en pôle-position…

 

AUXERRE : La France est-elle en état de déliquescence absolue en matière de sécurité ? Sans fioritures, la réponse formulée par le très médiatique porte-parole du Rassemblement National est plus que positive ! D’ailleurs, l’essentiel de ses propos, tenus lors de la présentation de ses colistiers icaunais lors d’une récente conférence de presse, ne laisse nullement la place aux doutes. L’Hexagone traverse une situation de crise aigüe et qui risque de perdurer longtemps si des mesures drastiques ne sont pas appliquées avec force et immédiateté.

Déplorant la perte de deux fonctionnaires dans l’exercice de leurs métiers, Julien ODOUL a eu une pensée et un temps de recueillement en mémoire du gardien de la paix Eric MASSON, abattu froidement dans une rue en Avignon.

Une tragique interpellation d’un dealer qui a viré au drame, provoquant l’ire du porte-étendard du RN en Bourgogne Franche-Comté : « La France doit mener un combat impitoyable contre ces trafiquants… ». Une véritable déclaration de guerre pour le conseiller municipal d’opposition de Sens qui s’insurge contre les perpétuelles incantations d’un gouvernement, laxiste à ses yeux parce que ne prenant pas les bonnes mesures coercitives.

 

Deux leitmotivs prioritaires : la sécurité et la protection des citoyens…

 

Au-delà de ces mots introductifs sans ambages, on l’aura compris : la tête de liste du Rassemblement National qui brigue un nouveau mandat d’élu à la Région tout en convoitant le fauteuil suprême de président de l’institution, place la sécurité et la protection de ses concitoyens parmi ses leitmotivs prioritaires.

Un choix stratégique dont il ne dérogera pas jusqu’au terme de son intervention puisque pour lui, « aucun organisme ne peut se dédouaner de cette mission ». Balayant d’un revers de la main ses nombreux détracteurs qui préfèrent être obnubilés sur d’autres thèmes de campagne que sont la santé ou l’éducation. Toutefois, le volet de la sécurité n’entre pas dans le domaine de compétence de l’organe régional. Il n’est de ce fait l’apanage que de l’Etat et de lui seul.

Qu’à cela ne tienne en vérité pour le communicant Julien ODOUL qui égrène ensuite une panoplie de mesures visant à renforcer la sécurité dans le territoire. Depuis le recrutement de compétences armées devant officier dans les gares routières et ferroviaires, y compris dans les moyens de transport, mais aussi d’agents assermentés qui viendraient grossir les rangs des effectifs de la police municipale.

Certes, elle n’est pas la panacée absolue mais la vidéo-protection gagnerait également les entreprises, soumises à de nombreux cambriolages depuis plusieurs mois. Les « bandes des pays de l’Est », visées par l’orateur du jour, n’auront plus qu’à pointer à Pôle Emploi !

Mais, au-delà de ces dispositifs anti-empêcheurs de tourner en rond, le chef de file de la formation bleu marine n’en oublie pas les victimes de ces actes d’incivisme et de non-respect d’autrui.

Ainsi, une enveloppe de 5 millions d’euros serait attribuée aux personnes ayant subi des violences conjugales et autres méfaits du même acabit qui paraissent à la une des pages faits divers des médias.

 

 

Des flèches acerbes adressées à ses adversaires…

 

Soucieux d’apporter du concret et du réalisme dans les réponses que souhaitent entendre son électorat, Julien ODOUL, s’il est aux commandes de la région, coupera les vivres à celles des structures et autres organisations associatives qui alimentent la délinquance. Un vivons ensemble à reconstruire qui passerait immanquablement par le haro sur le gaspillage public dont il dénonce avec véhémence la pratique quotidienne depuis des lustres.

Voulant un moratoire sur la politique des villes et les cinq quartiers réputés les plus dangereux de ces mêmes agglomérations qui paradoxalement sont les plus riches du territoire, le candidat trentenaire veut mettre le paquet en termes de subventions pour aider les secteurs ruraux.

Dans le viseur, on s’en doutait : le département de l’Yonne, qui à l’instar de la Nièvre ou de la Haute-Saône, demeure l’un des parents pauvres côtés retombées financières avantageuses.

Se fendant d’une formule toute faite (« Rien n’est possible sans la sécurité que ce soit l’économie, le développement des transports et la protection environnementale…), le trublion de l’hémicycle régional fustige les « magouilles de tout poil » qui se vivent chez ses adversaires durant cette campagne, précisant, quant à lui, avancer sans masque.

Maniant le verbe et la gestuelle à son habitude, l’élu de l’Yonne n’épargne personne dans cette succession de reproches et de petites piques acérées qu’il adresse à ses opposants.

La première de ces cibles n’est autre que la présidente de l’exécutif. Une Marie-Guite DUFAY qui « aurait pu avoir d’autres ambitions compte tenu de son cursus que de ne faire barrage qu’au RN ». « C’est la candidate du passé et du passif, inodore et incolore… ».

Traité de « Tartuffe », le patron des Républicains Gilles PLATRET se voit qualifier de spécialiste des « tambouilles politiques » avec à la clé le débauchage d’anciens frontistes convertis entre-temps à la cause de Debout La France. Sans omettre des écologistes issus d’un « nébuleux mouvement » dont le « gourou » n’est autre qu’Antoine WAECHTER !

Bref : pour Julien ODOUL, cette cuisine politicienne a le goût au palais d’un « mauvais bœuf bourguignon indigeste ! ».

 

 

Quant au troisième personnage marquant de ces régionales, le maire de Nevers Didier THURIOT, à l’estampille de la République en Marche, il ne serait « qu’un adepte du recyclage de grumeaux comprenant un assemblage hétéroclite qui est la marque de fabrique de LREM, avec tout et le contraire de tout ! ». La messe des critiques est dite !

Désireux réduire la fracture sociale et économique observée entre les grandes villes du territoire et les zones rurales, Julien ODOUL a trouvé avec les représentants de l’Avenir Français des alliés de circonstance. Unis pour la même idéologie, en tentant de remporter le gain de la victoire.

« Nous possédons les mêmes valeurs, a rappelé le responsable politique RN, la commission d’investiture nationale a validé cette liste, la plus représentative de nos convictions… ».

A noter parmi celle-ci, les patronymes de Pascal BLAISE, ancien responsable de Debout La France dans l’Yonne et aujourd’hui membre fondateur de l’Avenir Français qui occupe la troisième position ou encore Annick VILBOIS, de la même mouvance politique à la quatorzième place ; mais également Audrey LOPEZ, conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne, Xavier ROSALIE, premier adjoint de la commune de Piffonds ou encore Alexandre BROCHIER, ancienne figure du mouvement des « Gilets Jaunes ».

Avec ce groupe, Julien ODOUL entend bien jouer un rôle plus que de favori au soir du 27 juin, adoubé par Marine LE PEN qui est venue lui apporter son soutien lors d’un déplacement ce mardi à Chalon-sur-Saône. Dans le fief de Gilles PLATRET, comme c’est étrange !

 

 

Liste des candidats :

 

Julien ODOUL, président du groupe RN à la Région BFC,

Audrey LOPEZ, conseillère municipale à Villeneuve-sur-Yonne,

Pascal BLAISE, Avenir Français, membre fondateur,

Anissa BEERRAHO,

Alexandre BROCHIER,

Patricia GRASSET,

Romain LUBOUE, conseiller municipal de Pont-sur-Yonne,  

Elodie REBILLON,

Daniel GRENON,

Vanessa HERNANDEZ,

Léandre CROENNE,

Karine CHICANNE,

Xavier ROSALIE, premier adjoint à Piffonds,

Annick VILBOIS, Avenir Français.

 

Thierry BRET

 


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Elle est l’une des nouvelles marques proposées par son concessionnaire exclusif sur notre territoire, le groupe JEANNIN Automobiles. Ce pur produit du savoir-faire de la péninsule ibère n’a d’autre vocation que de concurrencer le SUV du constructeur BMW, le X4. Un combat des chefs quasi inéluctable pour mettre en exergue le premier modèle inédit du fabricant espagnol développé en interne ?

 

AUXERRE : Ils l’ont annoncé il y a peu, lors de la remise du trophée qui a auréolé leur nouveau modèle, le « FORMENTOR », détenteur du prix de meilleur SUV de l’année 2021. Les dirigeants de la firme espagnole CUPRA ambitionnent de doubler les ventes de leurs véhicules sur le marché européen et de dépasser ainsi le milliard d’euros de chiffre d’affaires.

Pour y parvenir, l’enseigne ibérique, apparue en février 2018 – elle était auparavant la division sportive du constructeur SEAT – va s’appuyer sur deux produits de sa gamme : la CUPRA LEON et ce fameux SUV, dont les spécialistes ne cessent de vanter les éloges.  

En l’espace de trois années, dont 2020 très particulière pour la sphère automobile du fait de la pandémie, CUPRA a pu commercialiser plus de 60 000 modèles dans le monde. Second produit dans la chronologie de la gamme, le « FORMENTOR » a été lancé il y a déjà douze mois.

En Bourgogne, mais aussi sur les départements limitrophes que sont la Seine-et-Marne et l’Aube, les amateurs de nouveautés peuvent en découvrir ses subtilités chez le concessionnaire exclusif de la marque, le groupe JEANNIN, dans l’un de ses nombreux points de vente. Des corners spécifiques à ce nouveau fleuron de l’ingénierie espagnole y ont été aménagés.

 

 

 

Lors de la remise des prix de l’Automobile Award, il a été précisé que la CUPRA « FORMENTOR » avait décroché le pompon pour ses aspects novateurs tant au plan de l’esthétisme que de la praticabilité et de la technologie embarquée. Lancé en octobre 2020, le véhicule a su coiffer sur le fil dix-sept autres concurrents, et non des moindres !

C’est le premier sésame remporté par la marque espagnole dans l’Hexagone. Gageons que ce ne sera pas le dernier. L’avenir est en bonne voie avec trois nouveaux modèles, qui se présentent sous forme d’hydrides rechargeables hautes performances dont on devrait reparler d’ici peu.

Le premier véhicule 100 % électrique apparaîtra sur le marché d’ici la fin de l’année. Son nom de baptême est CUPRA El Born. Un clin d’œil non feint aux bornes de recharge, sans doute !

 

Thierry BRET

 


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