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Vingt ans. C’est l’âge adulte. Un chiffre mythique dans la chronologie humaine, entre le possible et l’improbable. Celui du temps des anniversaires. De la célébration festive, des bilans analytiques. Celui de la rétrospective, aussi : cela fut assuré par la directrice de la structure associative, spécialisée dans l’insertion, Patricia FLAVIN. Mais, c’est aussi le temps de la projection. Des perspectives et des projets. MOBIL ECO, au carrefour de sa jeune existence, possède tous les arguments pour mieux s’affirmer dans le futur…

 

ROSOY : Il est joli le scooter au coloris jaune paille trônant près de l’estrade. Une petite merveille de technologie, à la pointe de l’alimentation électrique. Pendant les diverses causeries des intervenants, lui, ce mode de locomotion utile et apprécié de ses utilisateurs, se recharge de manière tranquille sous le regard indifférent du public. Un peu en déconnexion de ce qui se joue ici. C’est-à-dire un anniversaire ! Mais, attention, pas n’importe lequel. Celui d’une structure associative dont le patronyme rayonne bien au-delà de sa base arrière du Sénonais : « Mobil Eco ». Vingt ans, déjà ! Vingt années d’offres de service de tout poil pour faciliter l’accès à cette sacro-sainte mobilité, indispensable à celles et ceux qui cherchent, notamment, à se réinsérer dans la vie active, la formation et l’emploi.

 

 

La plateforme mobilité a tout d’une grande !

 

A écouter les speechs des nombreux orateurs – protocole cérémonial oblige ! – qui vont se succéder sur la petite estrade de la salle des fêtes locale, il semblerait que l’entité n’a pas pris une ride depuis sa création. Mieux, pour rester dans le contexte de la mobilité partagée, Mobil Eco a toujours un tigre dans le moteur ! Vrai ! Il suffit de lire la petite plaquette, fraîchement imprimée sur fond orangé qui est remise à l’entrée de la salle pour en apprécier toute la vitalité. Et la subtilité !

Transport solidaire, location de véhicules, garage solidaire, auto-école sociale, conseil mobilité, garage itinérant…, le décor est planté. Toutes celles et tous ceux qui sont inscrits dans une démarche de prospective recherche de formation et d’emploi (et bénéficiaires des minima sociaux en guise de corollaire financier) sont à même de profiter de cette cascade de possibilités, qui ne tombent pas tout cru du ciel. Mais, c’est tout comme !

La plateforme de mobilité sénonaise est devenue une grande fille. Prête à s’émanciper davantage, comme le suggérera l’excellent Wassim KAMEL, sous-préfet de l’arrondissement le plus septentrional du territoire. Oui, il a raison. Car pour gagner en pérennité et rayonner bien au-delà de son périmètre originel, l’association reconnue d’intérêt général doit sans doute voir un peu plus grand dans la taille du costume à endosser. Au niveau départemental, c’est sûr !

 

 

Insertion et mobilité, les fondamentaux d’une entité à l’efficience bien rodée

 

Aujourd’hui, cinq intercommunalités du nord de l’Yonne ont recours à ce dispositif que recommandent tous les acteurs de l’emploi icaunais, de Pôle Emploi à la Mission Locale, en passant par le PEIPS/PLIE à CAP Emploi. Y compris le Conseil départemental, les mairies et les agences d’intérim.

De la naissance à la croissance et au développement, Mobil Eco a su gérer du mieux possible ces différentes étapes. Voire en évitant les crises de l’adolescence. « Il y en a eu dixit le président Jean-Luc KLEIN ; aujourd’hui, notre structure arrive à l’âge adulte, après moult péripéties… ».

La directrice, en phase de départ, Patricia FLAVIN – cette figure de l’insertion icaunaise ayant formé un truculent binôme sur plusieurs années avec l’ancien président René CORNET cèdera sa place à Stéphane PERENNES au 01er janvier 2024 – fit un long résumé de ces deux décennies, ponctuées de moments forts dans la vie de cette association populaire. Celle-ci fonctionnant sur deux fondamentaux : l’insertion, l’accompagnement de personnes vers un emploi stable et une forme pérenne d’existence, et surtout la mobilité. Son principal credo.

Celle-ci se décline en différentes strates. Le transport solidaire, d’une part, qui permet aux demandeurs d’emploi d’accéder à des formations et entretiens d’embauche ainsi que les déplacements sanitaires des seniors. La location de véhicules est un autre point fort de cette stratégie. Elle s’appuie sur les automobiles, certes, mais aussi les scooters – nous l’avons dit de très belle esthétique ! -, de cycles, voire même de trottinettes pour les plus véloces au maniement de ces engins. Le garage associatif intervient en second rideau afin de gérer la maintenance et les réparations de ce parc mobilité. Sa version itinérante est fonctionnelle grâce à un camion équipé.

Quant au permis de conduire, il est facilité grâce à une auto-école sociale. Un service de conseil à la mobilité fait même office de guichet unique au sein de cet organigramme afin de chapeauter l’ensemble des besoins des utilisateurs. Un système bien établi et puissamment rodé.

 

Thierry BRET

 

 


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2022, c’était le rendez-vous initial. Il permit à la municipalité de poser les jalons de cet évènement en plébiscitant une vingtaine de sportifs du terroir et de les placer sous le feu nourri des projecteurs, le temps d’une manifestation bon enfant, très appréciée des récipiendaires et du public. Pour la seconde édition, Nicolas SORET – en maître de cérémonie – et Mohamed BELKAID, adjoint délégué aux sports,  ont vu les choses en plus grand. Trente-trois diplômes devaient être remis avec la présence d’un sacré parrain, en la personne de l’inamovible Guy ROUX !

 

JOIGNY : Dites 33 aurait pu suggérer le docteur ! Au-delà de tous les symboles, le chiffre a du bon pour les sportifs de la cité du Middle Yonne. Il s’identifie au nombre de personnes récompensées lors de cette soirée des plus cordiales, se déroulant dans les salons de l’Hôtel de ville.

Un évènementiel qui prend racine, désormais, dans le paysage local. Comme d’autres agglomérations le font dorénavant sur notre territoire, à Auxerre, à Avallon, à Sens, etc. Saluant leur mérite et leur implication, ces titres distinctifs auront permis de constater la bonne vitalité de la sportive locale. Et de distinguer celles et ceux ayant porté haut les couleurs de la commune dans leurs disciplines respectives tout en remerciant tous les bénévoles qui y sont associés dans les clubs locaux.

La présence, toujours très remarquée, de l’éternel ancien coach de l’AJ Auxerre, Guy ROUX, a fait le reste. Avec sa bonhommie légendaire, l’ex-entraîneur mais toujours fin observateur de la chose sportive hexagonale y est allé également de ses malicieux commentaires pour le plaisir de tous !

 

 

Les résultats :

33 diplômes ; 34 récipiendaires.

Performance collective féminine (2 diplômes) :

Afua-Lola Osei-Yeboah
Danse Harmonies 3ème place au Championnat de France catégorie duo danse show junior jazz ballet

Fatine Boujlal
Danse Harmonies 3ème place au Championnat de France catégorie duo danse show junior jazz balle

Performance collective masculine (3 diplômes) :

Jean-Luc Chapillon
USJ Pétanque CHAMPION DE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE VETERANS 2023

Éric Tschirhardt
USJ Pétanque CHAMPION DE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE VETERANS 2023

Alain Chevance
USJ Pétanque CHAMPION DE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE VETERANS 2023

Performance collective mixte (4 diplômes) :

Romain Léthumier
Les Icaunais Givrés champion et record de France relais 4 x 50m et relais 4 nages 4 x 250m nage libre

Jean Delécluse
Les Icaunais Givrés champion et record de France relais 4 x 50m et relais 4 nages 4 x 250m nage libre

Arnaud Chassery
Les Icaunais Givrés champion et record de France relais 4 x 50m et relais 4 nages 4 x 250m nage libre

Aurore Bruzzo
Les Icaunais Givrés champion et record de France relais 4 x 50m et relais 4 nages 4 x 250m nage libre

Performance individuelle féminine (2 diplômes) :

Camille Dechaunac
USJ Plongée, 3ème en bi-palmes au Départemental avec 68,20 m et 4ème au championnat Régional BFC

Emilie Gruss
USJ Athlétisme, Championne de France Master du 1500m en salle, Championne de France Master du 3000m en salle, Championne départementale de Cross 2023, 3ème Championnat de France Master du 10000m, 3ème Championnat de France master du 5km

 

 

 

Performance individuelle masculine (5 diplômes) :

Jérôme Bodin
USJ Karaté, 1er en championnat de l'Yonne combat, 1 er en championnat de ligue régional combat, sélection et participation au championnat de France combat, obtention du diplôme d'animateur fédéral

Thomas Urien
USJ Athlétisme, Champion départemental de Cross 2023, 33ème Championnat de France de Cross, 20ème Championnat de France de 10km.

Claude Pivat
USJ Aïkido, Obtention du grade 5ème Dan

Martin Larousse
USJ Aïkido, Obtention de la ceinture noire 1ère Dan

Philippe Boige
USJ Plongée, 3ème toute catégorie en bi-palme, 1er en Master 2 championnat régional BFC. 2ème toute catégorie sans palme 1er en Master 2 championnat régional BFC. 2ème toute catégorie 26x25 1er en Master 2 championnat régional BFC.

Catégorie Espoir Moins de 21 ans (7 diplômes) :

Thomas Lachaume

USJ Volleyball, Champions de Bourgogne Franche Comté UNSS, 3ème place aux Maxi-Volleyades Coupe de France, Participation aux championnats de France UNSS

Laura Paffen
USJ Tennis, Championne de l’Yonne 13/14 ans pour la 2ème année consécutive.71 matchs, 38 gagnés en simple et 3 en double.

Malo Defontaine
USJ Natation, Vice-champion de l’Yonne du 100m brasse – meilleur brasseur du département de l’Yonne

Leila Morand
USJ Natation, Record départemental 50m dos plus de 18 ans.

Lola Bodin
USJ Karaté, 1ere en championnat de l'Yonne combat, 2eme en championnat de l'Yonne Kata, 2eme en championnat Bourgogne combat, 3eme en championnat de ligue régional combat,3ème à l'open de l'Aube Kata et 2eme en combat, sélection en championnat de France Kata et Combat, obtention de la ceinture noire 1ere dan.

Charlotte Leroy
USJ Basketball, 2ème année de pôle espoirs, 3ème du championnat Elite poule haute, quart de finale Leaugue de France Junior 3x3 U18. Entrée au centre d'entraînement de Chenôve U18 France.

Maela Chanrion
Danse Harmonies, 2ème place au championnat de France dans la catégorie Hip hop solo adulte. 2ème en solo disco, 3ème en small hip-hop adulte, 3ème en small danse show adulte.1ère en small hip-hop adulte. 1ère en formation hip hop adulte & 1ère en formation danse show adulte.

Prix du bénévolat catégorie juge arbitre (1 diplôme) :

Ghislaine DE DIN, USJ gymnastique, entraîneur depuis 1976, juge niveau 4, trésorière depuis 2009

Prix du bénévolat catégorie encadrant/coach (4 diplômes) :

Franck Lepleux

USJ Karaté, entraîneur bénévole au club depuis 1994, obtention du grade ceinture noire 5eme dan de karaté.

Thomas Marchand
 USJ basketball, équipe de U17 région 2 fois vice-champion de Bourgogne-Franche-Comté.

Marie-Noëlle Bauchet
USJ gymnastique, entraîneur depuis 1980 et secrétaire du club depuis 2009.

Sylvain Grégoire
USJ Plongée, encadrement no-limite en profondeur apnée, formateur de formateur, Obtention du diplôme de moniteur Fédéral 2ème degré. Président du club

Prix du bénévolat catégorie ancienneté (2 diplômes) :

Françoise Duval

USJ Natation, bénévole au sein du club depuis 1981.

Diplôme commun : Pascale et Jean Luc Bonfillou, pour leurs années à l’USJ gymnastique depuis 1996.

Titre honorifique (3) :

Guy Roux

Catherine Naudin, pour ses 8 années de présidence au comité handisport de l’Yonne et ses 5 années d’organisation du challenge intergénérationnel à la ville de Joigny.

Audrey Cavelier, les Icaunais givrés, Championnats du monde de nage en eau froide : 3ème place au 100m dos, Vice-championne du monde au 50m dos, championne du monde au 50m brasse.

 

Thierry BRET

 

 


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Un quart des épiceries sociales et solidaires sont en déficit. Il s’en était fait l’écho auprès de la ministre des Solidarités et des Familles, Aurore BERGE et il a bien fait ! Interpellé par l’Epicerie Solidaire de l’Auxerrois et la structure équivalente qui intervient sur le Sénonais (Magali), le sénateur de l’Yonne Jean-Baptiste LEMOYNE a défendu avec succès un amendement au Palais du Luxembourg afin d’obtenir des crédits supplémentaires en faveur des épiceries sociales et solidaires. Le Sénat et le gouvernement se sont mis d’accord : deux millions d’euros supplémentaires vont ainsi aider ces entités dont un quart d’entre elles étaient dans le rouge…

 

PARIS : Les épiceries sociales et solidaires ? Manifestement, le parlementaire de l’Yonne y croit dur comme fer ! Sous son impulsion, lors de la défense d’un amendement proposé au Sénat afin d’abonder les crédits de ces structures de proximité si utiles à nos concitoyens, Jean-Baptiste LEMOYNE a donc obtenu gain de cause. Un amendement qui a été adopté après avoir reçu le soutien de sénateurs issus de tous les groupes politiques ; sachant que le gouvernement y a été aussi de son avis favorable !

Conséquence : le secteur de ces commerces équitables au profit des plus désargentés d’entre nous, soumis à un marasme budgétaire pour le quart d’entre eux, a donc obtenu deux millions d’euros supplémentaires, somme versée au profit du Crédit National des Epiceries Solidaires (CNES). Un budget qui n’avait pas été abondé depuis…plusieurs années ! Presque une décennie alors que la situation des Français ne cesse de se détériorer parmi les plus précaires…

 

 

Qualifiées d’essentielles par le sénateur de l’Yonne, ces structures enregistrent de sérieuses contraintes depuis plusieurs mois, avec le contexte galopant de l’inflation, l’envolée des prix sur les produits alimentaires même de première nécessité et surtout une hausse record de la fréquentation.

D’ailleurs, l’élu bourguignon est devenu le porte-voix de deux structures, implantées à Auxerre (Epicerie Solidaire de l’Auxerrois) et à Sens (Magali) qui l’avaient alerté sur les épreuves traversées. Preuve que le message a finalement été entendu ! Un beau cadeau de Noël à glisser au pied du sapin, en quelque sorte…

 

Thierry BRET

 

 


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Permettre à sa clientèle d’accéder à toutes les solutions préconisées par ses services au moment où elle en a besoin, voilà l’alchimie qui se matérialise comme la transformation du plomb en or avec la réouverture du bureau postal du centre-ville auxerrois. Après quatre mois de travaux, l’agence principale de l’entité au logo jaune – elle a ouvert ses portes début novembre - a été inaugurée. Une infrastructure se positionnant sur la complémentarité de la présence physique et des vertus du digital…

 

AUXERRE : C’est le nouveau visage de La Poste. Il se décline de manière factuelle via une nouvelle génération de bureaux, proposant un service à la fois universel et personnalisé. Un lieu de vie où règnent l’espace, la luminosité, l’esthétique. D’emblée, les impressions sont très agréables. Rien à voir avec l’ancienne configuration du site dont on peine à se remémorer les souvenirs. Moderne, ergonomique, aérée, accessible : la vitrine représentative de l’entreprise, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’Etat, surprend. Ici, promet-on, « l’ambition est d’offrir une expérience client aux meilleurs standards du marché ». Selon le principe de la stratégie omnicanale. Au vu du résultat, on ne peut que le croire !

Concrètement, de quoi s’agit-il ? Pour s’adapter aux nouveaux enjeux consuméristes et aux besoins de sa clientèle, La Poste a décidé de proposer en ces murs, ces fameux bureaux postaux toujours très fréquentés par la population, un mix entre le relationnel physique, avec la présence de conseillers, mais aussi de se doter des meilleurs outils numériques, lui permettant de répondre à la puissance du e-commerce et de la digitalisation. Un deux en un des plus efficients qui satisfait au final tous les utilisateurs de ce système.

 

Entre confort et confidentialité : un nouvel espace d’accueil valorisant

 

D’où ce terme de distributeur omnicanal. Une combinaison judicieuse propre au marketing, qui offre vente et contact avec la clientèle, en employant de façon simultanée tous les canaux disponibles, en relation les uns avec les autres à l’instar d’un lieu d’échange (le bureau de poste dans le cas présent), la téléphonie, Internet et ses dérivatifs numériques, les produits, etc. Les sociologues parlent alors de « omniconsommateurs » dans l’évolution de la consommation. Une stratégie que La Poste, via sa filiale bancaire, aura su mettre en exergue dès l’année 2018 avec l’ensemble de ses réseaux…

Dans les faits, l’application de cette stratégie se traduit par la fluidification des parcours clients, ces derniers à peine franchis les portes du bureau postal ! Equipés de smartphones, les postiers peuvent orienter le flux plus facilement ou encore traiter des opérations simples comme l’envoi de colis ou le retrait des instances. Ainsi, il est désormais possible de retirer un colis grâce à l’identité numérique La Poste sans présenter de pièce d’identité.

Au-delà de l’élégance cosy du mobilier, on notera l’effort effectué par l’entreprise envers ses usagers en termes de confidentialité. Ces évolutions, le confort et la discrétion, ont été réalisées en parfaite osmose avec la Banque postale. Preuve de ce croisement d’idées qui se veut pertinent et efficace.

 

 

 

Un projet de 774 000 euros d’investissements

 

Présents lors de ce rendez-vous inaugural, les élus auxerrois (le premier édile Crescent MARAULT, Carole CRESSON-GIRAUD, première adjointe à la Ville d’Auxerre qui en fera l’éloge lors de son discours, Vincent VALLE, adjoint à la politique du logement et de l’habitat, etc.) ont été admiratifs par le travail de rénovation effectué en ces murs. Incontestablement du bel ouvrage pour un univers commerçant !

Directrice exécutive de La Poste en Bourgogne Franche-Comté depuis le 01er juillet, Sylvie GUILLAUME a pris soin d’ouvrir solennellement la cérémonie protocolaire de cette inauguration importante, présentant la nouvelle génération de ses bureaux ouverts à la clientèle.

En préambule, celle-ci ne manqua pas de saluer l’équipe de collaborateurs (conseillers bancaires, chargés de clientèle, managers) en place au sein du bureau d’Auxerre centre-ville, piloté par son directeur de secteur, Fabien BASSARD.  

Le secteur d’Auxerre est composé de 24 agences postales communales et de 9 relais poste commerçants. Soit un maillage géographique qualifié de « puissant » par la dirigeante.

Evoquant la genèse de ce projet d’un coût de 774 000 euros d’investissement, Sylvie GUILLAUME expliqua les différentes étapes de la modernisation du site. Des travaux qui ont couru sur une courte période comprise de juillet à octobre 2023. A date, ce sont environ trois cents clients qui fréquentent au quotidien le bureau du cœur d’Auxerre, et plus de 800 clients journaliers sur la totalité du secteur auxerrois.

 

 

S’adapter entre digital et présence physique…

 

D’une surface de 450 mètres carrés, dédiés aux 19 500 clients particuliers et 500 professionnels, le bureau central d’Auxerre occupe une place prédominante dans la stratégie de La Poste.

« On est un point de commerce attaché aux services, rappela Sylvie GUILLAUME, insistant sur l’aspect présence postale. C’est notre philosophie et notre ADN d’être à l’écoute de nos clients. On doit naviguer entre digitalisation et de présence de proximité. On est là aussi pour aider les personnes qui ont besoin de chaleur humaine… ».

Grâce à ce dispositif, La Poste renforce son leadership économique dans l’ancrage territorial. « Un modèle qui se tient, selon la responsable régionale, malgré l’attrition du volume de lettres en décroissance, mais c’est un contexte auquel  nous devons faire face en nous diversifiant car nous écrivons plus de mails que de courriers ! On se renouvelle avec des modèles différents… ».

Sylvie GUILLAUME aborda également sous les yeux du président de la CDPPT 89, Gilles DEMERSSEMAN, la présence postale sur le territoire de l’Yonne.

« C’est notre troisième défi, affirma-t-elle, dans l’Yonne, on est très présent avec 181 points de contact. Nous avons rénové le bureau de Sens (centre-ville) récemment ainsi que celui des Champs-Plaisants dans la même ville avec le concept France Services. Nous allons rafraîchir le bureau de poste de Toucy. Sans omettre l’Etape numérique de Monéteau, ouverte depuis peu. Afin d’accompagner les clients qui sont en difficulté avec le digital. Nous travaillons à un maillage important qui correspond aux besoins des habitants de ce territoire en concertation avec la Commission départementale de la Présence Postale du Territoire dont je salue le président... ».

Du pain bénit pour Gilles DEMMERSEMAN et Marcel CHEVILLON, membres de la commission, qui assistaient à la cérémonie !

 

Thierry BRET

 

 


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« Le travail, c’est la santé » chantait l’amuseur public numéro un de la variété française, le regretté Henri SALVADOR, en 1965. Une chanson de potache, à ne pas prendre au sérieux et à mettre entre toutes les oreilles des citoyens dans la France de De Gaulle, qui eut un succès retentissant en pleine période des « Yéyés » et avant que ne s’abatte sur l’Hexagone la déferlante pop de la perfide Albion ! Si le titre ne figure plus depuis très longtemps dans les playlists des radios FM qui programment de manière très artificielle et numérique, logiciels oblige, leur contenu musical en 24X24 ; le second couplet de ce morceau sympathique, lui est aujourd’hui totalement d’actualité !

« Rien faire, c’est la conserver… ». On a l’impression désormais que ce leitmotiv, ode au farniente, à la détente et à la paresse, est devenu l’apanage de millions de personnes en France, et ce depuis quelques années. Ces travailleuses et ces travailleurs, comme l’aurait dit l’égérie de Lutte Ouvrière Arlette LAGUILLIER du temps de sa superbe, qui aujourd’hui éprouvent un ras-le-bol généralisé avec ce terme, limite grossier, synonyme de contraintes, d’enfermement, d’ennui, de non-reconnaissance, de pénibilité… : le travail !

Bref, ce mot semble sortir tout droit d’un autre temps, et d’un autre monde, avec ses qualificatifs qui procurent du stress, de la sinistrose et de l’urticaire (quand ce n’est pas une autre pathologie) à bon nombre de nos compatriotes lassés de vivre cela dans leur quotidien. Productivité, rentabilité, profit, implication, horaires…

 

A l’origine du mal : la COVID-19, les confinements et le télétravail !

 

Le pire, c’est que ce ressenti anti-travail continuel qui secoue la France (mais pas que) telle une tempête de force 9 depuis un long moment ne touche pas que la nouvelle génération et ses fameux milléniums, comprenez par-là, celles et ceux qui ont vu le jour dans les années 2000 ! Même les seniors s’y sont mis avec enthousiasme, et ce dès la petite cinquantaine – rappel pour mémoire et selon les critères de l’INSEE tout individu ayant dépassé le cap fatidique des 45 ans intègre de facto cette « sinistre » catégorie dans laquelle on accepte d’être jetée tel un vieux Kleenex usagé à se débarrasser dans la bonne poubelle pour rester dans l’esprit écolo ! – et quittent à tour de bras en démissionnant pour un désir d’autre chose leurs postes de cadre à responsabilités, quand ils ne se font pas débarquer de façon inopinée à cause de la limite d’âge par une DRH toujours condescendante et bienveillante !

L’origine de tous ces maux est souvent identifiée avec la crise sanitaire, celle de la COVID-19, qui a bouleversé le monde au début de l’année 2020. Certaines et certains en regrettent même encore les bienfaits des confinements successifs  qui auront permis de goûter aux joies du repos forcé mais salvateur, loin des crises de nerf d’un supérieur obséquieux à la limite du burn-out et glapissant ses ordres dans les bureaux, à la limite du harcèlement, parce que cela existe bel et bien dans l’univers parfois un peu trop doré et propret que l’on veut bien se faire du monde professionnel…Et ce, tout secteur corporatiste confondu.

 

 

Les sombres perspectives des seniors, déjà qualifiés de vieux !

 

Alors, oui, c’est un constat qui ne cesse de s’amplifier parmi les observations officielles, confortées par les études des cabinets spécialisés dans la sociologie qui moulinent des tonnes de données à n’en plus finir qui, in fine, ne changeront rien ni à la situation, ni à l’équation  : le rapport des Français avec le travail évolue en grande profondeur, c’est désormais une évidence avec lequel il faudra bien composer. On oserait même dire que cela ne semble être que le début, au vu de l’accélération du processus et de son inexorabilité.

Si les jeunes générations désirent davantage de flexibilité, de moments à eux avec des plages de détente et de liberté, les plus vieux – pour éviter ce terme de « senior », employé à toutes occasions par les adeptes du marketing de bas étage qui nous conditionne et qui nous hérisse le poil nous autres actifs de plus de 45 ans ! – espèrent eux de la reconnaissance, du pouvoir d’achat, de la prise de responsabilité, de la progression de carrière, de l’assouplissement, aussi, dans leur rythme de travail intense qui peut frôler la sinécure chronique et la perte de repères.

La réforme de la retraite à 64 ans va donc créer, mais tout le monde s’en fout dans les soupentes de la technocratie hexagonale, une génération de personnes désabusées et fatiguées, des gens usés par 43 ou 44 années de labeur, pour certaines vécues dans la très grande pénibilité, à courir tous les jours après on ne sait quoi, perclus par les douleurs rhumatismales et avec le moral en berne, au fond des chaussettes de ne pouvoir vieillir correctement…sans souci ni pression.

        

Une France du travail à deux vitesses !

 

C’est sûr, les initiatives portées par l’Etat et ses opérateurs publics à l’instar de Pôle Emploi se multiplient à tous les étages (des forums, des colloques – ils ont le mérite d’exister !) pour optimiser la valeur travail auprès de la population !

C’est bien normal si la France veut regagner tout ce qu’elle a perdu en matière de productivité – celle-ci est d’ailleurs très faible à l’échelle mondiale -, le retour à l’industrialisation optimale et même au travail à temps complet puisque notre pays, selon la toute récente étude publiée cette semaine par REXECODE la situe dans les limbes des classements européens, occupant l’avant-dernière place derrière la Finlande !

Les Français travaillent de moins en moins, c’est une certitude avec une durée moyenne de 124 heures de moins par rapport aux ténors de l’Union européenne. Il serait peut-être judicieux d’analyser la situation de près et surtout de remédier à cela dans un pays où existent les RTT, les arrêts maladie, les congés parentaux, les vacances, etc. si l’on veut reprendre notre lustre d’antan, lors des années glorieuses, tant dans le privé que le public.

Nonobstant, un sacré bémol apparaît pourtant : les professions libérales, les commerçants, les artisans, les entrepreneurs indépendants sont parmi ceux qui bossent le plus dans leur quotidien à l’échelle européenne. A croire qu’il y aurait donc une France à deux vitesses dans le monde professionnel, avec celles et ceux qui triment avec plus de 70 heures par semaine, les avantages et la sérénité en moins ! Un aspect égalitaire avec le reste du monde professionnel déconcertant.

« Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os… ». Sacré Henri ! Et si ta chanson était vraiment prémonitoire…

 

Thierry BRET

 


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