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C’est une nouvelle corde à son arc. Une de plus, pourrait-on dire ! Depuis le lancement de son bureau de presse, spécialisé dans la communication des agences de design, d’architecture, d’hôtels-restaurants, du tourisme ou de l’industrie, en 2009, Christophe PAYMAL ne cesse de diversifier ses activités à l’échelle hexagonale – le garçon est très bien implanté à Paris – comme en Bourgogne Franche-Comté. En ajoutant la ligne « vidéo et image » à son catalogue, il compte bien engranger de fructueuses affaires en 2024…

 

CHEVANNES : Ca phosphore beaucoup dans la tête de ce truculent personnage. Un communicant pur jus, il pratique son métier avec passion et bonheur. C’est suffisamment rare pour le signaler dans un secteur fortement concurrentiel où l’a peu près n’est pas autorisé.

Ici, dans ce sérail à réserver aux initiés, on parle de relations publiques, de relations presse, de communication digitalisée ou sur papier, à l’ancienne, avec attachées de presse, journalistes free-lance, entre convivialité et expertise. Le Nirvana de la communication !

Une communication dans la plus pure des traditions entrepreneuriales qui garde encore ses vertus et ses lettres de noblesse dans la filière. Christophe PAYMAL s’est donc fait un nom. Un patronyme à l’anglaise qui lui aura permis de tester ses capacités internationales pour s’envoler vers des expériences heureuses de l’autre côté de l’Atlantique. Aux States, tout d’abord, dans l’une de ses mégalopoles de référence, « Big Apple », évidemment, c’est-à-dire New York, la venteuse et si tempétueuse au niveau de l’esprit, du fun et de sa qualité de vie !

Ensuite, il y aura le retour sur Paris. PAYMAL is back et le fait savoir autour de lui, lui qui rejoindra de prestigieuses agences de communication aux raisons sociales connues et reconnues chez les aficionados : « Carré Noir », « Dragon Rouge ». Tout un programme en somme qui exacerbe sa puissante créativité.

 

Une nouvelle corde à son arc : l’image via la vidéo

 

Ses sphères d’influence sont le design et ses designers (parfois fantasques mais toujours situés aux confins du génie et de la créativité), l’architecture – ce n’est pas pour rien qu’il s’intéresse aux vielles pierres et qu’il vit aujourd’hui dans un ancien presbytère à l’atmosphère cossue et intimiste -, le tourisme, aussi, via deux de ses vecteurs les plus représentatifs que sont l’hôtellerie et la restauration. Ah, ces arts de la table qui font grâce aux épicuriens que nous sommes !

On peut revendiquer la terminologie traditionnelle et non galvaudée de la communication et de ses valeurs tant au niveau des méthodes que de l’esprit sans pour autant ne pas se désintéresser de l’évolution du métier et de ses nouveaux outils digitaux.

 

 

Christophe PAYMAL le prouve en ajoutant une nouvelle corde spécifique à son arc, devenu une harpe mélodieuse au fil du temps, en proposant désormais la communication par l’image, via la vidéo. Pour se faire, le chef d’entreprise s’est appuyé sur les compétences d’un spécialiste de la technique, un vidéaste auxerrois, « véritable geek » selon le portrait qu’il en fait, Geoffrey MANCIAUX. La première des réalisations filmées a vu le jour en ce mois de décembre qui s’achève doucement sur une note de température peu hivernale. Un clip réalisé au profit de la société VALOUR + LEMAIRE, spécialiste comme les puristes de gin, de brandy et de spiritueux le savent, de conception maison de produits à consommer avec extrême modération ! La structure de Tonnerre se sert de ce document comme d’une carte de visite : idéale pendant la période des fêtes afin de vanter la qualité et la gamme de leurs nombreux produits.

 

 

Valoriser le savoir-faire des entreprises sur les réseaux sociaux…

 

« L’image donne un sens à notre évolution naturelle, explique Christophe PAYMAL qui pourrait aussi s’adjoindre les services de nouvelles belles plumes rédactionnelles dans les semaines à venir – chut, c’est encore un secret que nous révélerons un peu plus tard ! – d’autres projets de très courts métrages sont déjà en préparation… ».

Notamment dans le domaine du tourisme et de l’hébergement d’hôtes.

Co-auteur avec le journaliste de France 2 Jean-Claude ALLANIC d’un ouvrage faisant référence sur le sujet cette année (« Parlez-moi de moi, je veux le 20 heures ou les dessous des relations presse », publié aux éditions Designfax), Christophe PAYMAL, aujourd’hui à 100 % bourguignon, veut s’adresser aux TPE,PME et collectivités locales afin de proposer ces nouvelles prestations, au résultat probant et résumé en trois à quatre minutes, pour valoriser leur image et savoir-faire. Une stratégie qui s’avère payante pour les structures ayant déjà fait appel à ses services, y compris pour les diffusions de ces clips sur les réseaux sociaux.

  

Thierry BRET

 


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Il y pense très sérieusement, le responsable de la radio icaunaise. Recruter un technicien à mi-temps pour assurer le développement de la fréquence sur l’Auxerrois ? Pourquoi pas ! D’autant que l’auditoire, fidèle à la programmation très éclectique de RNB (Radio Nord Bourgogne), s’accroît chaque jour un peu plus, d’année en année. La refonte du site numérique de la station devrait permettre à celle-ci d’ancrer davantage sa présence sur le territoire. De quoi satisfaire pleinement Alain DEBENNE, aux commandes de la structure associative depuis…1988 !

 

PONT-SUR-YONNE : Il vient de fêter avec satisfaction les trente-quatre années de présence de la station radiophonique dans le paysage médiatique départemental, Alain DEBENNE. Diffusés via deux fréquences (pour mémoire, 97.2 à Sens et 99.9 à Auxerre), les programmes de RNB (Radio Nord Bourgogne) distillent en 24/24 et sept jours sur sept, informations et rendez-vous musicaux, fort appréciés de son auditoire. Des fidèles d’entre les fidèles qui suivent avec réel bonheur l’évolution de ce média dont le slogan se veut d’une simplicité extrême en termes de message mais qui semble faire mouche : « un max de hits » !

Avec son logo aux couleurs vives, chaudes et chatoyantes reconnaissable de tous – une déclinaison chromatique pas mal ficelée qui s’inspire de jaune, d’orange et de rouge -, RNB dont la structure juridique repose sur les principes de la loi de 1901, propre à toutes les associations qui se respectent, continue son petit bonhomme de chemin dans le paysage radiophonique départemental, fort de plusieurs représentants dignes de cette appellation.

On aurait tort de croire au vu de la signification de son acronyme – RNB égal Radio Nord Bourgogne – que le média audio ne rayonne pas au-delà de ses frontières naturelles. Même si le siège de l’entité est accueilli dans les locaux de la mairie de Pont-sur-Yonne, chère à Grégory DORTE, RNB diffuse ses programmes dans un périmètre nettement plus large. Sur l’ensemble de l’Yonne, voire chez nos voisins du Loiret, de l’Aube et de la Seine-et-Marne. Et même de plus loin comme la Nièvre et la Côte d’Or.

 

Un site totalement refondé opérationnel depuis décembre…

 

Plus de trois décennies après avoir été portée sur les fonts baptismaux de la création, Radio Nord Bourgogne ne cesse d’innover et de se doter des outils nécessaires à la promotion de son essor.

Dernier accessit en date ? Le relooking de son site Internet. Indispensable pour présenter à tout un chacun la diversité de sa programmation musicale, les annonces commerciales de ses partenaires, le contenu informatif de ses points relais d’actualité, son agenda et calendrier de manifestations associatives.

« J’ai sollicité Jérôme CASSEGRAIN de CREATIVE COCKTAIL – tiens, tiens, voilà une figure connue et reconnue dans le landerneau de la créativité graphique puisque webmaster et hébergeur de votre site d’information préféré, le nôtre ! – pour qu’il me rénove de A à Z le site existant, devenu obsolète, s’en explique Alain DEBENNE, pianotant les touches de sa console de mixage, le résultat est probant et j’invite les auditeurs à le découvrir… ».

Une stratégie de communication qui augure de la volonté du patron de la station – il travaille aussi en famille aux côtés de son fils, Hugo – d’étendre son champ d’action plus loin encore, en touchant de nouveaux auditeurs via le canal numérique. Y compris au plan sectoriel puisque l’Auxerrois intègre également le cœur de cible à privilégier à l’avenir pour le responsable de la station septentrionale. Un poste de technicien pourrait y créer, à mi-temps, dès l’année prochaine selon les opportunités.

Il est vrai que tout un pan de la jeune génération n’écoute plus la radio que par le prisme des ordinateurs et du multimédia. Nécessité, fait donc loi dans la vision pragmatique d’Alain DEBENNE.

Fonctionnel depuis début décembre, le nouveau site recueille déjà des suffrages positifs en termes de commentaires des fans de la première heure. Etre le trait d’union informationnel entre les collectivités, les associations et les habitants de l’Yonne alimente le moteur de cette antenne qui puise ses ressources musicales dans un mix, finement ciselé, de morceaux dans le vent, entre tubes hexagonaux et références internationales.

Tout ce qui correspond en fait à la personnalité d’Alain DEBENNE, musicien à ses moments perdus – ils sont plutôt rares ! – en qualité d’organiste et amoureux des ondes, de celles qui furent le creuset des plus belles heures aventureuses de la FM, issue de la mouvance des radios des années 80. Que vivent encore longtemps toutes ces radios au cœur de notre paysage !

 

Thierry BRET

 


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Dis donc, Père Noël, et si tu nous apportais plein de jolis cadeaux à déposer au pied du sapin en cette fin d’année 2023 ? Mais, pas nécessairement, ces jouets venant des confins de l’Asie bourrés d’électronique, des bouquins dénués d’intérêt à mettre au pilon, des CD inaudibles à l’écoute, des vêtements que l’on se débarrassera à la première occasion sur un site Internet parce que trop moches ou pas à la bonne taille, et toutes ces choses totalement inutiles, ringardes, voire obsolètes avant même de les déballer que l’on n’oserait même pas offrir à son pire ennemi !

Non, Père Noël, ce que les Françaises et les Français désirent le plus au monde en cette belle fin d’année 2023, si particulière et chaotique, c’est du rêve ! De l’espérance à en revendre, du civisme et du respect à l’état brut ! Du tangible et pas de l’a peu près !

Période de trêve et d’espoir, la célébration de la Nativité et ce, quel que soient les religions, se veut aussi porteuse de fraternité, d’amour, de paix, d’amitié, de promesses. Celle de vivre en paix dans un monde qui se délite un peu plus chaque jour. Celle de connaître des jours meilleurs quand on est dans la peine, la souffrance psychique et morale, la maladie, le handicap.

Cette croyance en ce personnage imaginaire qui aura bercé toute notre petite enfance – du moins l’espère-t-on car le mythe est magnifique à bien des égards quand on l’examine de plus près ! – représente toujours une bulle d’oxygène pour ces parents qui gâtent leur jeune progéniture en leur offrant des cadeaux. Certains, utiles ; d’autres si futiles !

 

Et les adultes dans tout ça ?

 

Et si les adultes se prenaient à y croire, à nouveau ? Que pourrions-nous demander par lettre interposée et sans l’oblitération d’un timbre postal parmi nos souhaits ? Après avoir vécu une telle année 2023, la liste pourrait être très longue, pour combler nos désirs les plus fous et les plus sincères.

L’avancement de la retraite à…60 ans et non à 64 ans tel que cela nous a été imposé de la manière la plus brutale et sans notre consentement – il y a le mythe du Père Noël, assurément, mais en France, il y a aussi le mythe du référendum dont on ne voit jamais la trace ! - ; on y ajouterait parmi les paquets cadeaux la maîtrise de l’inflation et la hausse du pouvoir d’achat !

Merci, par ailleurs, aux valeureux spéculateurs de tout poil de s’enrichir de manière éhontée, abusive et immuable sur le dos de tous les pauvres couillons que nous sommes, nous autres les consommateurs lambda devant satisfaire nos besoins consuméristes ou ceux de notre progéniture !

 

 

Des « bons cadeaux » pour obtenir la paix

 

Sur le plan international, et avec le lot de gabegies planétaires que nous vivons en mode accéléré et que nous avalons telles des couleuvres depuis 2022, on pourrait voir le Père Noël apporter dans sa hotte des « bons cadeaux » donnant enfin droit à la paix et à la sérénité pour des pays et des peuples en déshérence qui en auraient bien besoin.

Bien sûr, le premier d’entre eux serait l’Ukraine qui ne connaîtra pas de trêve des confiseurs, même le jour de la Nativité sous les bombardements meurtriers et aveugles de l’envahisseur russe.

Une simple histoire de famille et de disputes entre Slaves, pourrait souffler Vladimir POUTINE pour qualifier un conflit qui plombe l’économie mondiale – mais pas trop la sienne malgré les sanctions économiques adressées en paquets de douze – et qui menace l’Europe et les pays de l’Est, même si vu de la France, en particulier, cela ne soit guère probable dans les faits. Curieux que nos concitoyens aient la mémoire aussi transparente et si courte quand il s’agit de se remémorer les affres de l’Histoire, période du début des années 1940…au hasard, l’année 1938 !

Le second territoire à y prétendre est évidemment la Palestine. Avec une bande de Gaza, aujourd’hui totalement dévastée et laminée par une puissance militaire, Tsahal, qui ne répond qu’aux principes de la loi du Talion, chère à l’Etat hébreu.

On ne pourra jamais cautionner les actes terroristes et assassins des membres du Hamas – la couverture légitime et suppôt de l’Iran dans cette partie du Moyen-Orient en train de sombrer vers la désespérance et la guerre -, mais ces milliers d’enfants, de femmes et d’adultes palestiniens doivent-ils payer le prix fort de cette barbarie d’un autre âge qu’ils n’ont pas commis ?

Dans les deux cas, cher Père Noël, une simple question à ajouter en additif à notre lettre revendicatrice : jusqu’à quand le massacre ?

 

 

Conserver notre âme d’enfant : le « meilleur est pour demain »…

 

Bien sûr, d’autres régions brûlantes de la planète pourraient aussi bénéficier de la mansuétude et des largesses du fameux bonhomme rouge, faisant le tour du globe avec son traîneau et ses rennes. Ce ne sont pas les conflits qui manquent et qui risquent de se propager dès 2024 avec la crise de l’eau et le réchauffement climatique sur notre bonne vieille Terre ! Non ?

On dit toujours que « le meilleur est pour demain ». C’est peut-être cela, la vraie maxime de Noël, que nous devons tous conserver au fond de nous-même. Une phrase simple à se répéter mille fois, comme une litote qui a force de volonté finira bien par s’ancrer dans nos neurones fatigués et nos rivages où nous vivons au quotidien.

C’est peut-être cela la magie de Noël qui nous permet encore, nous autres les adultes, d’entretenir notre âme d’enfant. Joyeux Noël à toutes et à tous ! Happy Christmas, comme le chantait si bien en 1972, le regretté et pacifiste, John LENNON. Peut-être, certaines et certains parmi vous, ont encore envie de croire au Père Noël…

 

Thierry BRET

 


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Le sentiment du devoir accompli. D’avoir réalisé les choses en son âme et conscience, dans l’intérêt et au service de tous. En particulier, cette population éloignée des soins, ces personnes précaires qui ne peuvent même plus se permettre de consulter le moindre généraliste, faute d’argent. Incontournable figure praticienne du CES (le fameux Centre d’Examens de Santé de l’Yonne, structure gérée par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie), le docteur Saïd BROUCHE tire sa révérence. Un au-revoir mais pas un adieu à la générosité, l’altruisme, la prévention…et les projets.

 

AUXERRE : Etonnamment, le responsable du Centre d’Examens de Santé de l’Yonne n’a pas revêtu sa fidèle blouse blanche, en ce vendredi matin, premier jour de l’hiver. Pourtant, fidèle au poste, il a bien débuté sa énième journée de travail en recevant dans son grand bureau, une patiente. Perfectionniste et humain jusqu’au bout des ongles, Saïd BROUCHE reste avant toute chose un médecin attentionné. Lui qui jadis a obtenu ses diplômes médicaux dans des disciplines thérapeutiques qui se complètent comme la gériatrie et la pneumologie, il demeure égal à lui-même. Un homme simple, accessible, agréable et rassurant, qui aime être utile à son prochain, respectueux du serment d’Hippocrate qu’il a prêté en 1978 en qualité de jeune médecin. Son credo : mieux vaut prévenir que guérir ! Son leitmotiv : faire le bien autour de lui en accueillant parmi ses services les défavorisés de la vie, les oubliés de l’existence, les paumés du quotidien…Même si l’ensemble de la patientèle compte énormément pour lui.

Calme, posé, détendu, silhouette de gentleman-farmer avec son pull à col roulé sombre, le docteur Saïd BROUCHE irradie la pièce où il m’accueille d’une légèreté intellectuelle très subtile. C’est un rendez-vous express, prit sur le pouce, et qu’il m’accorde malgré la journée symbolique qui se présente à lui ce vendredi 22 décembre : son départ à la retraite. On ose à peine y croire !

 

41 années dans la filière médicale : de l’expérience à revendre !

 

Lui qui incarne de par sa présence, son style de management paternaliste avec ses équipes – près de vingt-cinq personnes essentiellement féminines -, son sens relationnel aiguisé avec la patientèle qui défile par petites grappes dans les locaux avant d’entreprendre le fameux parcours de soins prévu sur une matinée, le Centre d’Examens.

41 années d’exercice dans la filière médicale, ça parle ! Dont une présence connue et reconnue au sein de ce centre d’examens, si particulier, un outil très précieux à l’estampille de la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) où tous les assurés sociaux ont droit de visite et de découverte. Responsable de cet endroit, le docteur auxerrois a pu mettre en place bien des aventures structurées et autant de projets judicieux durant toutes ces années. De l’accompagnement de l’informatisation de ce lieu aux différentes conventions paraphées avec une cinquantaine de structures départementales partenaires, rien ne sera laissé au hasard, dans le fruit de cette stratégie.

 

 

L’une de ses plus belles réussites – il le révèle lors de la discussion – l’existence des unités mobiles facilitant la prévention et l’orientation vers les solutions thérapeutiques à distance : Avallon, Sens, Tonnerre, trois villes qui en bénéficient.

L’un de ses gros challenges qu’il aura eu à aborder : l’adaptabilité du CES à assurer la gestion de la crise sanitaire imputable à la COVID et aux différentes vagues successives de la pandémie. Une réactivité qui s’appliquera sur le terrain via les campagnes de vaccination, de dépistage, de traçabilité…

Mais, ayant ce sens de la perfection aigüe, Saïd BROUCHE reconnaît aussi avoir eu à subir des revers durant sa carrière, lui procurant des regrets.

« Nous n’avons jamais pu développer l’unité mobile du CES sur le secteur de la Puisaye-Forterre, concède-t-il, le regard un peu plus sombre. A l’instar de la mise en place d’un centre de vaccination dans la Nièvre… ».

 

 

Un binôme 100 % féminin pour commencer 2024

 

A contrario, le visage de notre interlocuteur s’épanouit à l’évocation des innombrables campagnes de sensibilisation, mises en place par le Centre d’Examens de Santé, en direction des populations désireuses d’en connaître davantage et de se prémunir contre les risques des cancers, en particulier celui du sein et du colon, par le biais des dépistages. Des campagnes qui concernent aussi les maladies cardio-vasculaires et le diabète.

« Je suis fier de tout ce que nous avons entrepris, souligne-t-il avec humilité, et je n’oublie pas d’y associer l’ensemble de l’équipe... ».

Une équipe qui habillée pour certaines personnes avec des parures de Noël accueillait les premiers patients se rendant sur place, vendredi matin.

Membre créateur de l’association TABAGIR aux côtés d’une autre figure de la profession médicale icaunaise (le docteur Serge TCHERAKIAN), Saïd BROUCHE n’a pas encore réfléchi à la suite, souhaitant profiter pleinement de son nouveau statut de retraité, valable au 31 décembre.

Toutefois, le médecin qui veut être utile à la société possède plusieurs pistes de réflexion ; elles sont même multiples d’après lui !

« Toujours est-il, affirme-t-il, je resterai en lien avec des projets autour des personnes âgées et des personnes en précarité… ».

Et si, glissera l’une de ses collaboratrices, prénommée Mélanie, un peu émue par ce départ, le docteur Saïd BROUCHE nous revenait de temps à autre au CES pour y apporter sa bonne humeur ? Une chose s’avère évidente : c’est bel et bien le docteur Estelle HINCELIN qui prendra le gouvernail de ce vaisseau amiral de la CPAM pour naviguer sur les mers de la prévention, du dépistage, de l’orientation et du suivi des soins en 2024. La nouvelle « capitaine » sera soutenue dans cette aventure par la directrice adjointe de la CPAM, Christelle ROUTIER. Un joli binôme, 100 % féminin, pour augurer des belles perspectives 2024…

 

Thierry BRET

 


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Une histoire d’hommes. Voilà ce qu’est l’existence d’une coopérative – comme de toute entreprise qui se respecte - malgré les aléas de la vie économique et sociétale. Des hommes (mais aussi des femmes, il va de soi !) qui sont à la base de tout. Depuis la construction des silos ô combien capitaux dans l’essor d’un groupe aussi important que peut l’être YNOVAE ; mais aussi dans la création de projets, sur lesquels repose une stratégie. A l’aise derrière le pupitre, Laurent PONCET, président de la structure, a rendu ainsi hommage à celles et ceux qui ont fait et qui font cette coopérative, prête à relever les enjeux de demain…

 

SENS : Au bout du compte, 2023 aura-t-elle été une année de grands changements ou de simple transition ? La balance penche volontiers vers le premier item, à l’écoute du discours prononcé par le président de la coopérative agricole, un Laurent PONCET toujours prolixe et à l’aise derrière le micro. Des changements, certes, il y en aura eu ! Surtout sur le registre humain, le nerf de la guerre décisionnelle que doit mener un grand groupe ayant de réelles ambitions sur ces marchés.

Les hommes. Rouage inconditionnel de la réussite d’une politique. D’une stratégie devant mener à plus de résultats, de rentabilité, de succès, aussi. Chez YNOVAE, tout a commencé dans ce jeu de chaise musicale promotionnelle avec l’arrivée de Georges LEMINEUR. Un nouveau directeur commercial, possédant une solide expérience, des qualités de manager et la connaissance suffisante du territoire pour mener à bien les missions régaliennes qui sont les siennes. Aborder, avec les solutions appropriées, l’avenir.

 

Etienne HENRIOT raccroche les gants

 

Même le Conseil d’administration n’échappe pas à ce grand « nettoyage » de printemps, mais qui n’a rien de péjoratif, naturellement. La règle du temps qui passe est ainsi faite : les fonctions demeurent, celles et ceux qui les occupent bougent d’un mandat à l’autre ! Deux des administrateurs en ont pris conscience cette année en quittant d’ici quelques jours leurs fonctions.

Et du haut de sa tribune au décorum YNOVAE, Laurent PONCET de citer les patronymes de ceux qui quittent le navire sans l’abandonner.

« D’une part, il y a Marc GAILLOT, membre du bureau et administrateur depuis 2011 qui n’a malheureusement pas pu être avec nous aujourd’hui, précise l’orateur face au public. D’autre part, le second administrateur a quitté ses fonctions, n’est autre que Etienne HENRIOT – l’ancien président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne - et si on l’avait écouté, il serait parti incognito ! ».

 

Question cruciale avec suspense : qui après Jean-Luc BILLARD ?

 

Mais, le clou du spectacle si l’on pouvait s’exprimer ainsi en considérant ces départs importants arriva ensuite par la bouche du président.

« Beaucoup d’entre nous ont du mal à se faire à cette idée, mais cette assemblée générale est la dernière de notre directeur général Jean-Luc BILLARD… ».

Silence profond parmi l’assistance qui retient son souffle. Légitime, en fait, car un changement majeur dans une coopérative agricole peut susciter  bien des inquiétudes.

On ne présente plus Jean-Luc BILLARD. Le garçon était reconnu pour ses compétences, ses qualités de manager et sa proximité avec ses collaborateurs, les administrateurs et les adhérents. Une question cruciale revenait en boucle dans tous les esprits mais qui pour lui succéder ?

Réponse de Laurent PONCET qui aura ménagé le suspense un court instant : « Avec mes vice-présidents et les membres du bureau nous avons pu nous appuyer sur les conseils et sa méthode de Jean-Luc BILLARD pour définir le profil de son successeur… ».

Ouf ! Nous voilà rassurés ! D’autant que l’ouverture du poste de directeur général d’YNOVAE a généré un très grand nombre de candidatures.

« C’est une grande satisfaction car cela tend à prouver que notre coopérative jouit d’une belle réputation et suscite de l’intérêt, commenta le président PONCET, mais cela nous a surtout permis d’avoir un réel choix parmi de belles compétences… ».

  

Yohann GIROD, promu à la direction générale dès le 08 janvier

  

Le nom du successeur fut communiqué ensuite. Yohann GIROD. Il n’était pas nécessaire de le chercher alentour dans la salle : le futur directeur général arrivera dans l’entreprise à la reprise du 08 janvier en qualité de directeur-adjoint et accèdera au poste de directeur général, à l’issue de la période de tuilage, prévu au départ en retraite de Jean-Luc BILLARD.

On sait faire les choses avec un certain code déontologique, dans une coopérative agricole ! Agé de 46 ans, Yohann GIROD vient de la coopérative VIVESCIA où il a gravi tous les échelons pendant plus de 22 ans jusqu’à occuper plusieurs postes de direction. Fort de son expérience et de ses compétences dans le domaine agricole, il apportera une vision nouvelle à l’entreprise. Sans omettre de s’inscrire dans la continuité de la stratégie déclinée par la coopérative.

Une autre nomination fut également annoncée par un Laurent PONCET volubile. A peine arrivé au sein du groupe, Georges LEMINEUR est déjà propulsé au poste de directeur général adjoint, sa fonction devenant plus transversale et formera un binôme avec le nouveau directeur général Yohann GIROD afin d’assurer et sécuriser le fonctionnement du groupe YNOVAE. Les hommes, clés de la réussite de la coopérative de l’Yonne : indéniablement !

 

Thierry BRET

 

 


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