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Voilà vingt ans, par un froid lundi morvandiau de février (le 24 précisément), l'emblématique cuisinier Bernard LOISEAU, établi à Saulieu en Côte d'Or, mit fin à ses jours, dans sa maison familiale, au cœur de cette bourgade qu'il affectionnait tant depuis un peu plus d'un quart de siècle. Pourquoi ? Comment ? Son terrible secret, cet homme fragile et attachant de 51 ans, l'emporta avec lui…

 

SAULIEU (Côte d’Or) : Ce midi-là, le service se déroula paisiblement. A son issue, le chef roula impeccablement son tablier. « A ce soir, chef ! » lui envoya Cédric, l'un de ses chefs de partie. Pour la dernière fois de sa vie, Bernard referma la porte de la cuisine, avant de rentrer chez lui, faire une petite sieste, l'une de ses habitudes coutumières...

Puis, après un temps de repos, ce chasseur saisit son fusil de chasse pour commettre l'irréparable. La suite, on s'en souvient. Médias et TV qui débarquent dans le Morvan, frappé au cœur du départ de ce truculent  personnage qui aimait la presse télé et radios.

Je me souviens parfaitement de ce lundi 24 février 2003. Ce jour-là, nous étions à Paris avec le chef sénonais Patrick GAUTHIER qui venait de décrocher deux étoiles au Michelin pour son restaurant «  La Madeleine » ainsi qu'un « bib » gourmand pour son bistrot du « Crieur de Vin », deux distinctions perdues depuis.

Après son interview depuis le plateau de « Gourmet TV », en direct du Salon de l'agriculture parisien, nous étions allés boire un ou deux verres d'Alsace, et tandis que nous sortions du salon, en passant le long du stand limousin, nous apercevions de plantureuses cartes postales illustrées d'une tête de veau. Sachant que Bernard appréciait ce mets - il allait parfois le déguster en famille à « L'Auberge Ensoleillée » de Dun-les-Places dans la Nièvre -, tout comme nous, c'est à l'unisson que nous lui adressions cette amicale missive, vers l'heure de son décès.

 

 

Un pied de romarin près de la pierre tombale…

 

Le lendemain, en découvrant l'horrible nouvelle, nous avons tous eu un peu la gueule de bois. Dans l'Yonne, où Bernard était fort connu, je me souviens d'une indicible émotion palpable. Ce personnage et ses expressions favorites (« Je suis au taquet, j’ai la niaque !») faisaient un peu partie de notre quotidien, tout comme sa bonne bouille.

Le vendredi 28, jour de son enterrement, nous sommes nombreux à déjeuner au sud de l'Yonne, à « L'Auberge des Cordois », sise à Sainte-Magnance, tenue par le cuisinier Sylvain GAUTHIER, désormais avallonnais. De cet enterrement, sous un beau soleil d'hiver, j'ai le terrible souvenir de Blanche, sa dernière gamine, qui tandis que le cercueil paternel quittait la basilique, s'accrocha alors à l'une des poignées en hurlant : « papa, papa.. ».

Bernard repose désormais au cimetière de Saulieu. Au pied de son impeccable pierre tombale, pousse un pied de romarin, l'une de ses herbes culinaires préférées. 

Dès le lendemain, Dominique, sa courageuse veuve, maman de trois enfants, encore mineurs (Bérengère, Bastien et Blanche), solidement épaulé par le chef Patrick BERTRON rouvrit l'établissement. C'était il y a vingt ans.

 

 

 

Un bref retour dans le passé, nous ramène alors au milieu des années 70. Bernard a 24 ans. Après son apprentissage chez « Troisgros » à Roanne, marqué par l’obtention des trois étoiles Michelin en 1968, il se promit alors d'y arriver le jour venu. 

Après une période parisienne à « La Barrière » de Clichy, il s’installe au « Relais de la Côte d'Or » au 2, rue d'Argentine à Saulieu. La maison eût un  glorieux passé, trois étoiles Michelin dès 1933 - année de leur création - avec le chef Alexandre DUMAINE, secondé par Jeanne, son épouse polyglotte.

 

 

Le vague à l’âme quelques jours avant son décès…


Mais, la maison dans laquelle s’investit Bernard est un peu défraîchie. Les étoiles Michelin se sont un peu envolées. Bernard et sa petite brigade se retroussent les manches et se mettent au boulot. En 1977, la première étoile Michelin est décrochée pour la salade d'écrevisses, les aiguillettes de canard aux pêches et le gâteau au chocolat. En 1982, Michelin double la mise pour le foie gras, le ragoût de homard et toujours les aiguillettes de canard. Bernard s'endette et rachète l'établissement. Arrive ensuite un jeune cuisinier depuis sa Bretagne natale : Patrick BERTRON.

Bernard et sa jeune épouse en veulent plus. Beaucoup plus. Ils vont s'en donner les moyens. 1982/1991 : sûrement la plus belle décennie de la carrière de Bernard, et sa cuisine très personnelle, tout près du produit. En 1991, le Michelin accorde trois étoiles au chef Bernard LOISEAU pour les grenouilles à la purée d'ail et jus de persil, le sandre rôti au vin rouge, ou encore le blanc de volaille de Bresse et foie gras au jus de truffe.

Vingt-trois ans après la famille Troisgros, Bernard entre dans la cour des grands. Ensuite, la maison se développa : Paris, Beaune,  la bourse. Cette vie trépidante et endettée le rendait-il heureux ? N'aurait-il pas aimé parfois, retrouver le tapis vert d'une partie de cartes avec son copain Jean DUCLOUX (cuisinier emblématique de Tournus) ou le plaisir campagnard d'une journée de chasse ?

Quelques jours avant son décès, M et Mme LOISEAU déjeunaient avec leurs amis BOCUSE à Collonges-au-Mont d'Or.  Paul remarqua alors le vague à l'âme de son ami bourguignon. Peut-être était-il déjà trop tard ?

On peut penser qu'il aurait été fier du devenir et du positionnement actuel du groupe LOISEAU, vingt ans après, en ce 24 février 2023, où l'on se souvient toujours du personnage avec autant d’émotion.

 
Gauthier PAJONA

 

 


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Non, ce n’est pas un énième commerce de plus qui va accueillir ses premiers clients à la date du 22 mars prochain dans l’Yonne. Une clientèle ciblée sur l’Auxerrois puisque l’enseigne, novatrice dans le paysage de la distribution hexagonale, a prévu l’implantation de l’un de ses dix premiers points de vente sur notre territoire. Son nom de baptême est à retenir parce qu’il sonne bien : « TOUJUST ! » Son positionnement et sa politique de prix, tout autant ! Du pur discount, proposant 70 % de produits sans marque connue…

 

MONETEAU: Le concept devrait faire florès très rapidement dans l’Hexagone. Puisque une cinquantaine de magasins devrait y être opérationnels d’ici la fin de l’année. Avec en guise de perspectives stratégiques, à horizon cinq ans, l’implantation de plus de trois cents boutiques ! Des supermarchés d’un peu moins de mille mètres carrés qui commercialisent une large gamme de produits (plus de 7 000 références) à dominante alimentaire. Nom de code à graver dans les neurones des futurs visiteurs : « TOUJUST » !

Un drôle de patronyme commercial certes, mais très explicite quant à sa fonction première de démocratisation des prix ! Un concept ultra réfléchi par son instigateur, Fabrice GERBER – le personnage possède une très solide expérience de la grande distribution et des politiques de tarifications appliqués en ces lieux (LECLERC, SYSTEME U…) – qui devrait porter un rude coup concurrentiel à des valeurs sûres de ce secteur déjà bien ancrés auprès des habitants de nos territoires, ALDI ou LIDL.

C’est clair et après l’avoir entendu expliquer sa déontologie professionnelle auprès de la journaliste Apolline de MALHERBE sur les ondes de RMC dans l’une de ses matinales, cette semaine, on peut dire aisément que le dirigeant de ce nouvel acteur de la distribution désire placer les prix des produits commercialisés dans ses magasins, juste en dessous de ceux des principaux acteurs du low-cost alimentaire en France. Soit de 2 % moins chers !

 

 

Un défi hors du commun en France avec près de 4 000 emplois…

 

D’ici juin 2023, l’implantation d’une première série de dix supermarchés permettra de poser les jalons de ce nouveau concept encore plus discount que les précédents ! Parmi les villes sélectionnées, citons Alès, Lens, Montauban, Saint-Quentin ou Saint-Maur. Précisons, qu’une trentaine de sites étofferont ce début de maillage hexagonal au cours du second semestre. Particularisme important, il n’y aura pas de MDD (marque de distributeurs) proposées parmi les rayons. Pourquoi ? Afin de ne pas engendrer de coûts supplémentaires chez les industriels.

Se définissant comme « un expert de la distribution désireux se lancer dans un défi hors du commun en France », Fabrice GERBER veut avec cette démarche originale occulter le maximum d’intermédiaires dans les règles du jeu. Celui du commerce de proximité à prix doux ! Un garçon qui en connaît un rayon sur le sujet en sa qualité de petit-fils et fils de commerçants, comme il l’expliquera volontiers sur les ondes de RMC.

Celui qui recherche des réponses appropriées pour soutenir le pouvoir d’achat des Français dans leur consommation quotidienne a conçu ce modèle de supermarchés coopératifs qui s’associe aux fournisseurs.

Une centaine d’entre eux seraient déjà identifiés, participant à la nouvelle aventure pour une durée de vingt ans, en échange de 25 % des profits.

Côté emplois, grâce à ce futur réseau de plus de 300 vitrines commerciales réparties sur l’Hexagone, TOUJUST disposerait d’une force de frappe de près de quatre mille collaborateurs d’ici les cinq prochaines années. De quoi susciter des appétits auprès des villes moyennes de 8 000 à 12 000 habitants qui constituent le vivier naturel pour y implanter l’enseigne.

 

Thierry BRET

 


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Le choix est responsable. Il émane de manière consensuelle des élus siégeant au conseil municipal. Suite à leur dernière séance de travail cette semaine, ils ont pris la décision, dans un climat qualifié d’harmonieux par le premier d’entre eux Magloire SIOPATHIS, de ne pas accroître la fiscalité et de pénaliser ainsi les habitants cette année malgré un contexte conjoncturel particulièrement sensible…

 

APPOIGNY : C’est un ouf de soulagement que peuvent pousser depuis vingt-quatre heures les habitantes et habitants de la commune de l’Auxerrois. La fiscalité n’augmentera pas cette année même si les incertitudes inhérentes à la crise économique et énergétique planent au-dessus des têtes des élus de la collectivité et de leurs administrés.

Réuni jeudi soir, le Conseil municipal a donc tranché en son âme et conscience – et surtout dans un climat consensuel harmonieux – pour ne pas revoir à la hausse les taxes qui auraient pu interférer avec les orientations budgétaires 2023, examinées durant la séance.

 

 

Le maire, Magloire SIOPATHIS devait le rappeler durant son analyse de la situation – et malgré le contexte inflationniste qui perturbe l’environnement des collectivités -, « nous sommes en mesure de dégager un résultat plus que correct en 2022 ».

Conséquence immédiate, le choix de ne pas faire progresser les impôts lors de ce nouvel exercice s’imposait donc comme une évidence.

Une heureuse nouvelle accueillie avec satisfaction par le Conseil qui en  profitera ensuite pour célébrer comme il se devait le départ de l’ancienne directrice générale des services et l’assistante du maire, parties sous d’autres cieux professionnels.

 

Thierry BRET

 

 


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Sous l’égide du ministère de l’Agriculture, le camion de « L’Aventure du Vivant » multiplie les escales à travers la France depuis deux ans. Objectif : faire découvrir la diversité des métiers et formations proposés par la sphère agricole à de jeunes collégiens ou lycéens ainsi qu’à des personnes en reconversion professionnelle. Il a jeté l’ancre quatre jours durant à Auxerre et Avallon, embarquant à son bord plus de 300 jeunes et nombre d’adultes, loin jusque-là d’imaginer tout le champ des possibles et les clés d’avenir qu’offrent les différents secteurs présentés.

 

AUXERRE: Avec ses 18 mètres de long et sa robe orange façon « Casimir et l’Ile aux Enfants », solidement ancré sur le parking auxerrois de la Porte de Paris, le camion de « l’Aventure du Vivant » tranche sur le paysage urbain.

A l’intérieur, une flopée d’équipements high-tech : un simulateur de conduite d’engin agricole, des tablettes connectées, des lunettes de réalité virtuelle, des écrans interactifs, tous destinés à promouvoir les richesses de l’enseignement agricole et ses multiples facettes. Avec pour objectif affirmé, de chasser les aprioris encore trop présents aujourd’hui sur les métiers liés à l’agriculture, notamment auprès des plus jeunes. Si la brouette a encore sa place dans les cours de ferme, il y a longtemps qu’elle se conjugue avec l’informatique et le numérique.

« Il y a urgence, rappelle France LAHUTTE, animatrice à l’antenne icaunaise de l’ANEFA, l’organisme gérant l’emploi et la formation en milieu agricole : « rien qu’en viticulture, sur le département plus de 200 postes de tous niveaux restent à pourvoir. Le secteur souffre notamment de l’absence de tractoristes où là, le déficit est immense… ».

Pas faute de communiquer pourtant, auprès des personnes en recherche d’emploi : « dans l’Yonne, l’on ne peut que se féliciter des passerelles existantes avec Pôle Emploi, une super équipe avec qui l’on travaille très bien, en un véritable partenariat… ».

Mais, les préjugés et clichés préconçus sont encore légion et difficiles à faire tomber, reconnaît Jean-Baptiste THIBAUT, vice-président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et administrateur à l’ANEFA 89 : « sur tout un tas de corps de métiers, nous sommes en déficit de recrutement. Une dynamique existait mais la COVID est passée par là, cassant depuis deux ans ce qui avait été mis en place… ».

 

 

Une palette de plus de deux cents métiers dans la filière…

 

Reconnaissant toute l’importance d’une manifestation de ce type : « en fait, la plupart des gamins n’ont aucune idée en arrivant, du nombre de métiers gravitant autour de celui d’agriculteur. Là où avant il y avait cinq personnes sur une ferme, la mécanisation a fait qu’il n’y en a plus qu’une, mais sans compter tout le savoir-faire extérieur dont nous avons besoin pour nous aider à exercer notre métier. Beaucoup de jeunes pensent que l’activité se résume à conduire un tracteur, sans imaginer toute l’importance d’un électro mécanicien pour le réparer en cas de besoin. Même chose en ce qui concerne l’informatique embarquée dans le tracteur… ».

Il y a longtemps que les formations de l’enseignement agricole vont bien au-delà du seul domaine de la filière. Aujourd’hui, existent plus de 150 formations générales, techniques ou professionnelles pour plus de 200 métiers dans les domaines les plus divers, comme le rappellent à leur jeune public, Amélie et Charlotte, les deux animatrices accompagnant le camion de « l’Aventure du Vivant » à travers la France : « de l’agroalimentaire avec la transformation des produits agricoles à la protection de l’environnement, en passant par la gestion des forêts ou de l’eau, les nouvelles technologies robotiques, le transport, l’aménagement des espaces, le service à la personne dans les territoires, ou encore, les métiers de l’enseignement… ».

Pour autant, la sphère agricole semble encore souffrir d’un déficit de notoriété chez les jeunes, à l’image de cette collégienne dont se souvient Amélie, « revenue le soir avec sa maman, avec tout un tas de questions car très intéressée, mais n’osant pas les formuler devant les autres élèves de sa classe… ».

 

 

Un enjeu majeur : le renouvellement des générations d’agriculteurs…

 

L’intérêt porté au simulateur de conduite d’engin agricole semble lui bien réel à en juger par le nombre d’élèves de cette classe de 3ème du lycée Vauban se pressant autour, mais pas facile de manœuvrer un tracteur et sa remorque de six mètres : « tu as renversé les bidons et maintenant tu roules sur les pots de fleurs ! ».

Pas certain qu’à l’issue de sa courte expérience, le jeune Marceau se tourne vers l’agriculture ! A contrario de son camarade Augustin qui lui a déjà choisi : « mon oncle et mes grands-parents le sont déjà et ça me plaît depuis que je suis tout petit, c’est mon truc depuis longtemps… ».

Un truc et une passion qui devraient tout naturellement le conduire à exploiter une ferme un jour. Et lui aussi aura besoin demain, de tous ces corps de métiers intermédiaires pour l’accompagner au quotidien dans l’exercice du sien. Si le renouvellement des générations d’agriculteurs est un défi majeur, celui des professions gravitant autour l’est tout autant.

A noter pour les personnes n’ayant pu profiter de l’arrêt dans le département du bus de « l’Aventure du Vivant », que celui-ci sera présent Porte de Versailles à Paris, tout le temps du Salon de l’Agriculture, du 25 février au 05 mars prochains.

 

Dominique BERNERD

 

 


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On la disait légèrement stressée, un peu soumise au trac avant qu’elle ne prenne la parole et officialise ainsi sa nouvelle fonction, celle de présidente du mouvement des « incubateurs citoyens », soit la Jeune Chambre Economique d’Auxerre. Force est de constater que l’oratrice d’un soir, Maud DUSSOL qui a succédé au président en chair, Jean-Baptiste HORTON, a produit une prestation de belle facture, lors de la passation de pouvoir, cérémonie orchestrée dans la parfaite des traditions…

 

MONETEAU : Elle est à l’aise dans ses baskets, la nouvelle présidente de la structure associative. Faisant démentir avec le plus bel effet celles et ceux de ses camarades qui avaient laissé courir le bruit – une blague de potache sympathique ! - quelques minutes avant qu’elle ne débute la cérémonie de passation de pouvoir que le trac l’a gagnait !

Certes, même si les membres de la JCE sont rompus à ce genre d’exercice, multipliant les colloques, séminaires, conférences et autres commissions tout au long de l’année – si, si, il existe aussi des ateliers de prise de parole en public, - il n’est jamais aisé de s’exprimer devant un parterre d’invités, lorsque l’interlocuteur devient l’astre diurne de la manifestation.

En l’occurrence, dans le cas présent, la nouvelle responsable d’une Jeune Chambre Economique auxerroise, située la saison dernière tout en haut de l’affiche comme le clamait un Charles AZNAVOUR au meilleur de sa forme et de sa plume avec « Je me voyais déjà » ! Une JCE sur le toit du monde, le temps d’une convention nationale épique et populaire – plus de six cents visiteurs – accueillie dans la capitale de l’Yonne…

 

 

Alors, c’est sûr, il en fallait davantage pour déstabiliser la manager de commerce exerçant ses activités professionnelles au sein de l’Agglomération de l’Auxerrois et vice-présidente de ce club en charge des actions – et dieu sait qu’il y en a qui ponctue le calendrier de cette entité ! - : Maud DUSSOL au pupitre, c’était un sans-faute assuré !

Impliquée, motivée, souriante, dynamique : la jeune femme a déroulé son laïus explicatif, mettant en exergue son bureau et annonçant la feuille de route à tenir au cours de ces prochains mois, sans que rien ne vienne la perturber d’un iota. La parfaite maîtrise de soi-même, en vérité !  

Mais qui a dit que la nouvelle capitaine de ce navire dont le cap est bien solide était sujette au stress ?! Une bonne blague, en résumé…

 

Thierry BRET

 

 

 


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