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L’intervenant d’envergure hexagonale avait déjà calé la date de la manifestation dans son agenda. Et ce, depuis le mois de juin dernier. Las, mais unanime, le Conseil d’administration de la Maison de l’Entreprise n’a pas eu d’autres choix que de procéder à l’annulation pure et simple de ce qui aurait donné le coup d’envoi de la nouvelle année économique : la traditionnelle cérémonie des vœux accueillant les industriels de l’Yonne…

AUXERRE : C’est une amère désillusion pour les fervents adeptes des retrouvailles corporatistes concoctées sous le sceau de la convivialité, des échanges constructifs et des relations publiques intelligentes.

Crise sanitaire oblige, la traditionnelle cérémonie des vœux aux décideurs économiques de la sphère industrielle de l’Yonne n’aura donc pas lieu en ce mois de janvier.

Comme malheureusement on pouvait le craindre à la simple lecture de tous les indicateurs officiels permettant de suivre l’évolution au jour le jour de la pandémie sur notre territoire.

Le Conseil d’administration de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne a donc pris sa décision sans l’ombre d’un doute courant décembre. La mort dans l’âme, il est vrai.

Le singulier rendez-vous qui lance d’ordinaire la nouvelle année économique sur notre territoire permet, outre de se retrouver nombreux dans l’amphithéâtre de la place, de suivre une conférence, assortie d’un débat, avec l’une des sommités de l’univers économique, philosophique ou sociologique.

Les murs de l’édifice se souviendront encore longtemps des excellentes prestations de l’économiste Elie COHEN en janvier 2019. Ou dans un récent passé de l’ancien ministre et écrivain Luc FERRY ou des éditorialistes de la rédaction du « Figaro », Yves THREARD et de « l’Express », Christophe BARBIER.

Pourtant, de l’aveu de Claude VAUCOULOUX, esthète dans l’art d’animer la soirée, « l’intervention du futur orateur – dont l’identité ne sera pas dévoilée pour autant – était arrêtée depuis le mois de juin… ».

 

 

Pas de placebo numérique mais une nouveauté en préparation au printemps

 

Logique, en soi, puisqu’un tel évènement requiert une préparation minutieuse entamée douze mois auparavant afin d’en harmoniser les agendas et autres subtilités techniques.

L’opportunité de proposer un rendez-vous virtuel aura bien titillé quelques esprits aventureux, voulant en découdre coûte que coûte avec l’omniprésence du coronavirus empêcheur de tourner en rond.

Mais quid de l’environnement convivial si apprécié par les entrepreneurs qui fait la notoriété de cette animation depuis qu’elle est portée sur un piédestal ?

Le  délégué général de la Maison de l’Entreprise ne voulait pas de cela, un ersatz de seconde série où l’orateur n’aurait eu la possibilité de deviser avec le public dans une relation intellectuelle et chaleureuse.

L’idée a été balayée d’un revers de la main par Claude VAUCOULOUX qui a donc préféré, à l’instar du Conseil d’administration, faire l’impasse définitive sur ce rendez-vous 2021.

Sans doute pour mieux se concentrer sur la création d’un nouvel événement, prévu au printemps, à condition que le contexte sanitaire l’autorise enfin.

Ce serait une animation conçue dans l’ADN de la vénérable maison. Quelque chose à la hauteur des attentes des chefs d’entreprise en soif de retrouvailles, avec la référence intellectuelle en plus !

On croise les doigts en espérant que les hirondelles feront bien le printemps cette année !

 

Thierry BRET

 

 


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Voilà un mois de novembre qui aura été grandement profitable à l’enseigne américaine. Au cours de cette période, le constructeur est devenu le deuxième vendeur de véhicules hybrides rechargeables dans l’Hexagone. 17 424 de ses modèles ont ainsi été commercialisés dans son réseau de concessionnaires. Nourrissant de solides espoirs pour l’année 2021. Pas de doute, l’électrification est en marche et cela se voit !

PARIS : Certes, au hit-parade des meilleurs résultats commerciaux obtenus en nombre d’immatriculations, les Japonais de TOYOTA peuvent encore se frotter les mains au terme de cette année si particulière. Mais, une chose est sûre, l’écart avec le second du podium, l’Américain FORD, se resserre petit à petit.  

Le constructeur du Michigan a réalisé de très bons résultats au niveau des ventes de véhicules hybrides rechargeables dans l’Hexagone, se hissant à une méritoire deuxième place au mois de novembre.

Un état des lieux marketing qui n’est finalement guère surprenant. Alors que la crise sanitaire a entraîné une remise en question de nombreux comportements consuméristes, il s’est avéré que l’électrification de l’automobile est devenue une véritable priorité. La source d’un profond bouleversement eu égard aux enjeux propres à la sauvegarde de la planète.

 

 

 

 

Le premier SUV 100 % électrique sera lancé en France en 2021…

 

Aujourd’hui, plus de la moitié des Français succombent au chant des sirènes de ce nouveau mode de propulsion. Cela tombe bien : FORD s’est engagé depuis plusieurs années dans une vaste stratégie d’électrification de sa gamme, proposant sur le marché quatorze modèles hybrides ou 100 % électriques en cette année 2020.

Conséquence, l’industriel d’Outre-Atlantique prévoit la commercialisation d’un million d’automobiles électrifiées en Europe d’ici fin 2022. Soit près d’un véhicule sur deux !

On sait déjà que l’ingénierie du groupe n’a guère chômé : dix autres modèles devraient être lancés sur le marché d’ici 2024. Les puristes de SUV noteront sur leurs tablettes l’émergence d’un modèle qui verra le jour dès l’année prochaine en tout électrique (ce sera le premier du genre) : la Mustang Mach E. Caractéristique principale : une seule charge et pas moins de 600 kilomètres au compteur !

Précisons que les modèles les plus écoulés en novembre ont été le Puma mHEV (11 607 exemplaires), le Kuga mHEV ou PHEV (3 057 exemplaires) et la Fiesta mHEV avec plus de mille spécimens.

 

 

 

 


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L’urgence. Car nul ne peut plus ignorer les actes odieux dont sont victimes au quotidien les femmes au tréfonds de leur contexte familial. Les chiffres transmis par la délégation ad hoc du ministère de l’Intérieur sont accablants de véracité en ce qui concerne les violences conjugales. Des chiffres qui ont sans doute ému les responsables de l’assureur mutualiste régional déjà positionné sur bon nombre d’opérations citoyennes par le passé…

AUXERRE : Rien que sur l’exercice 2019, ce sont plus de 170 personnes (173 précisément) qui ont payé de leur vie les relations délétères et conflictuelles existantes au sein de leur couple.

Soit une hausse de 16 % par rapport à l’année précédente. Et ce n’est malheureusement pas les périodes successives de confinement, imputables au coronavirus, qui auront modifié les tendances de cette situation insoutenable pour la gent féminine.

Quand les dix présidents des caisses locales de l’assureur mutualiste icaunais ont eu à réfléchir sur le bien-fondé d’une aide salvatrice à apporter à celles qui subissaient les violences physiques et morales de leurs partenaires, ils se sont montrés unanimes dans leur choix.

Primo, l’idée de construire ensemble, avec le concours des services de l’Etat et des associations spécialisées dans la protection des droits aux femmes, une action solidaire et responsable est devenue très vite une évidence.

Dès janvier, ces clés de voûte de l’organigramme représentatif de GROUPAMA sur notre territoire seront réunies, en présentiel ou à distance selon l’état des lieux sanitaire du moment, afin de définir les grandes lignes de cette future collaboration citoyenne.

Parmi les priorités à débattre : la définition d’un budget sur l’année 2021 allouée à cette opération et ses différentes affectations. Un séminaire leur sera aussi proposé pour mieux appréhender les problématiques d’aides au relogement dont ces femmes expriment le besoin en cas de rupture avec leur turbulent conjoint.

 

Un acte de générosité sous la forme d’un chèque…

 

Secundo, il y a peu, l’exécutif de l’assureur mutualiste sur notre département (Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses locales de l’Yonne et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement) ont anticipé le futur de ces projets.

Faisant suite à des échanges constructifs avec le directeur de cabinet de la préfecture Tristan RIQUELME, ils ont procédé à un acte de générosité, sous la forme d’un don au profit des femmes victimes de ces violences conjugales.

Celles-ci, au nombre de vingt-trois, avaient été recommandées par deux organismes qui luttent contre ce fléau : l’ADAVIRS (Association d’aides aux victimes d’infractions et à la réinsertion sociale) et le CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Yonne).

D’un montant de 1 500 euros, ce geste salvateur a été officialisé en présence de Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité. Il a pour vocation d’améliorer le quotidien de ces personnes précaires.

Dans un registre similaire, GROUPAMA Paris Val-de-Loire qui n’en est pas à son coup d’essai dans ses actions en faveur de la citoyenneté et de l’altruisme (marche annuelle sensibilisant au dépistage du cancer du sein, opérations menées dans le cadre de l’Egalité des chances entre les femmes et les hommes dont Jacques BLA NCHOT est précisément le représentant départemental pour l’Yonne) devrait intervenir également en milieu scolaire (primaire et lycée) dès janvier autour de la prévention égalitaire entre les deux sexes.   

    

Thierry BRET

 


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Sa plume aiguisée et son talent d’observateur font naître chaque semaine dans nos colonnes bien des réflexions pertinentes et acerbes sur le devenir de notre société. Pour autant, le garçon possède d’autres cordes à son arc. Toujours scripturales, certes, mais sur un tout autre registre que celui de la presse. Son dernier ouvrage le prouve : Jean-Paul ALLOU est bien le meilleur antidépresseur qu’il est judicieux de consommer sans modération en cette période de confinements successifs !

AUXERRE : L’ouvrage se lit de la première à l’ultime page, par dedans, à partir de n’importe où, sans masque ou avec lui si tel est votre désir, devant le feu de bois d’une cheminée chuintante, au fond de son lit douillet ou dans le salon, près du sapin illuminé !

Publié il y a quelques semaines, ce livre se définit tel le parfait antidote à la morosité ambiante, à la sinistrose galopante qui a envahi tel un lichen putride toutes les surfaces de notre âme et de notre corps, renvoyant cette existence qui ne se résume plus que d’ordinaire à cette litanie insupportable, auto, boulot, dodo, à sa triste réalité !

S’inspirer du règne animal pour en tirer des maximes profitables à notre condition humaine est le tour de passe-passe insolite et étonnant dans lequel se sont embarqués les deux co-auteurs de l’ouvrage.

France C. et Jean-Paul ALLOU, que les lecteurs de Presse Evasion, connaissent bien à la lecture de tribunes hebdomadaires qui ne manquent jamais de nous titiller les neurones. Et surtout nous permettre de nous interroger sur le sens profond de ce barnum planétaire où nous nous mouvons au quotidien.

Alors, quand ils décident de concert d’effleurer l’histoire et la culture de ces proverbes qui enjolivent parfois nos discours, c’est une vraie bouffée d’oxygène intellectuelle qu’ils soumettent à notre sagacité.

Une large parenthèse sur les procès d’animaux depuis le Moyen-Age à nos jours, nous offre l’heureuse opportunité de mieux comprendre le fonctionnement de l’humain autour de faits bien réels qui prêtent à sourire, voire à s’esclaffer. Cela va de l’excommunication d’un cochon au XIIème siècle jusqu’à la guillotine réservée à un malheureux perroquet qui osait crier « Vive le roi ! » en 1789. Sale temps pour le volatile !

 

Des bouquets de sourires et un feu d’artifice de bons mots en gerbes de fous rires !

 

Disons-le tout de go, « Animalement Vôtre » se découvre avec finesse et élégance. L’ouvrage ne sera jamais tiré à des millions d’exemplaires sauf si la Sécurité sociale en annonce le remboursement pour ses facultés antidépressives et joyeuses sur l’esprit humain !

A mettre entre toutes les mains, il traduit la belle complicité existante entre ces deux auteurs inclassables, iconoclastes mais tout aussi sages, loin des sentiers battus et qui refusent la dictature de la norme ! Leur humour est potache, décapant à souhait, et nous plonge le plus souvent dans les facéties de notre enfance.

On peut classer ce livre parmi les recueils de dictons, de proverbes et de citations à caractère animalier, agrémentés de jeux de mots et de commentaires tantôt caustiques, parfois aux limites du grivois et souvent aux antipodes du conventionnel ! 

Après deux romans autobiographiques, huit recueils de poésie et la chanson des fêtes du centenaire de la statue de la Liberté (« Liberté » chez Polygram), Jean-Paul ALLOU a su façonner sa prose en la mettant au service de l’humour.

Les illustrations de cet opus sont assurées par France C., écrivaine, artiste peintre, qui a illustré précédemment tous les recueils de poésie de Jean-Paul. Ce nouvel exercice où l’animal règne en maître puisqu’il en est la source d’inspiration organique lui offre la possibilité de démontrer son art et son talent.

Ses illustrations confèrent au livre la cohérence du texte et révèlent le parfum suranné de la légèreté des mots.

 

Un humour potache à partager sans modération au pied du sapin !

 

A la question, comment cette idée de livre a pu germer en vous ? L’auteur et confrère répond avec la complicité de sa proche collaboratrice, de la manière suivante : « Parfois nous joutons sur la foi, la politque, l’économie,…et autres réflexions du genre  « ne pas confondre l’homme et l’acte »… On fait de la philosophie à deux sesterces ! L’un de nous s’est écrié, on peut faire un peu de monnaie avec un bouquin écrit à deux mains ! L’autre répondit « ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué ! ». L’idée d’un ouvrage sur les proverbes mettant en scènes des animaux venait de naître… Avec la volonté de faire sourire et de donner l’envie de rire : attention, ça peut être très pénible une itération de proverbes… De toute façon, on a bien ri en écrivant ce livre et nous espérons partager notre bonne humeur. Comme le disait Coluche : « ce n’est pas parce qu’on est payé quand plus il faut qu’on s’emm… ! »

On ne peut résister devant cet humour contagieux de vous livrer un extrait de ce recueil : « Que dit un quiscale en passant au dessus d’un four à pizzas : cuit,cuit,cuit… ! Définition de quiscale. C’est un oiseau d’Amérique centrale ressemblant au corbeau. Afin que toutes les lettres de l’alphabet soient représentées, nous avons inventé ce dicton qui fera date dans la folle histoire du monde : quiscale un entonnoir sur la tête, psy sur le divan. Lacan Diraton.»

De l’humour au premier degré tel que pouvaient l’imaginer et le transcrire avec subtilité des sommités dans le genre tels Pierre DAC ou Pierre DESPROGES.

Après tout, un adage précise que « le rire vaut bien un bon bifteck », alors en cette période de tristesse absolue et de réveillons à se tirer une balle dans la tête afin de respecter les mesures sanitaires , il n’y a qu’un seul remède : se procurer au plus vite « Animalement Vôtre » et en faire sa saine lecture avant les douze coups de minuit !

 

En savoir plus :

« Animalement Vôtre » de France C. et Jean-Paul ALLOU

Editions EDILIVRE

Sur les plateformes numériques,

25 euros

 

Thierry BRET

 


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Le défi est de taille. Presque surréaliste par l’ampleur de sa configuration. Il en aurait rebuté plus d’un qui se serait déjà contenté de baisser les bras juste à l’idée de le faire. Oui, mais voilà : la directrice de publication du magazine « vitamines » en ingurgite suffisamment à forte dose pour conserver la foi en son « bébé ». Imposer sa revue dans tous les kiosques de l’Hexagone, ce qui n’est pas un rêve pieu. Et en cette période de Noël, on peut toujours croire en son destin quand on sait forcer les choses …

AUXERRE : Il lui en faut de la détermination et du tempérament chaque jour que Dieu crée. Et pas qu’à simple dose homéopathique pour tenir le choc ! Concevoir une nouvelle arborescence à son magazine arts de vivre qui gonfle de volume par rapport à sa version originelle (aujourd’hui 84 pages) nécessite beaucoup d’énergie et de la praticité. De cela, Isabelle COSEMANS n’en manque pas : elle en a à revendre !

Mais, diffuser sous la forme d’une immense phase test son dernier opus, intégralement relooké, auprès de 1 700 points de distribution répartis sur dix-sept départements du secteur Centre-Est ne s’appréhende pas tous les jours ! On la sent fébrile, impatiente de connaître les résultats des premières ventes et excitée par cette toute nouvelle aventure. Qui ne le serait pas en vérité !

 

Une nouvelle mouture diffusée en kiosque depuis un mois…

 

Le média du bien-être et de la détente made in Yonne s’offre donc une cure de jouvence salvatrice trois ans après la publication de son numéro initial. Avec un sérieux changement de cap et de stratégie à son actif.

Exit le support gratuit qui ornementait les devantures vitrées des commerces des cœurs de ville et s’étalaient sur les rayonnages publicitaires ou dans les salles d’attente, place à un tout autre challenge.

D’envergure national, celui-là, qui pourrait augurer de belles perspectives en cas de réussite. Celui de figurer parmi la liste pléthorique de cette presse spécialisée qui fait l’apologie de la détente, des arts de vivre, du bien-être et des loisirs. Des ouvrages pas uniquement destinés à satisfaire le lectorat féminin, on s’en doute…

Certes, la conjoncture liée à la crise sanitaire ne pouvait pas plus mal tomber pour rendre complexe la période de lancement de ce magazine. La fête prévue initialement par la responsable du titre afin d’en officialiser la sortie aura donc tourné court. Un couac indépendant de sa bonne volonté qui lui reste en travers de la gorge avec un brin de désolation dans le regard, en attendant des jours meilleurs.

 

 

Nonobstant, l’édition de ces exemplaires matriciels a pu être réalisée dans les délais impartis par CHEVILLON Imprimeur.

Accueilli en kiosque depuis un mois, avec le concours de la société de distribution MLP, le magazine « bonne mine » est tout de même entré dans la cour des grands. Aux côtés des majors de la presse parisienne spécialisée dans ces thématiques ludiques qui permettent d’éclairer à coups de projecteurs pratico-pratiques et de visuels très alléchants les lecteurs en quête d’inspiration sur la décoration, la mode, le logement, la gastronomie, la santé, le bien-être, l’enfance ou le tourisme. Des cibles de réflexion que reprend à son compte « Co’Coon Magazine » dans sa grille de lecture.

 

Une stratégie économique dûment réfléchi avec un club d’investisseurs

 

Affichant un prix de vente établi à 5,90 euros, le média devrait progressivement être implanté dans le reste de la France sans doute au printemps. Toutefois, la prudence reste de mise compte tenu du délicat contexte actuel.

Epaulée dans le choix de ses orientations stratégiques par le club d’investisseurs KUB, Isabelle COSEMANS cherche à lever des fonds pour rendre viable son produit, ouvert aux abonnements et à la publicité.

Sa présence sur la plateforme numérique ULULE lui offre aussi une tangente visible du côté de l’économie participative via le crowndfunding.

La responsable de la SASU PEP’S Communication qui porte le projet espère publier six numéros à l’année, en sollicitant une équipe de chroniqueurs s’exprimant sans standard et avec légèreté d’esprit dans les formes scripturales pour alimenter les différentes rubriques tendance. Un petit noyau dur, constitué d’autoentrepreneurs, apporte sa plus-value à la conception graphique et visuelle du support.

Vingt-trois numéros de ce magazine édités à 16 000 exemplaires étaient parus lors de la première tranche de vie de ce média au plan départemental qui avait vu le jour en 2017. Combien le seront à la suite de cette nouvelle aventure réalisée à l’échelle de l’Hexagone ? Le plus grand nombre, souhaite l’entrepreneuse icaunaise…

 

Thierry BRET

 


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