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Le mot d’ordre servant de fil d’Ariane à cet événementiel décliné en numérique est simple. Sans circonvolution inutile. Il s’agit de construire coûte que coûte la relance économique sans carbone applicable dans les régions de l’Hexagone. C’est la trame éthique prioritaire qui est abordée durant quatre jours d’ateliers et de conférences dispensées jusqu’au 27 novembre…

CHALON-SUR-SAONE (Saône-et-Loire) : L’événement se décline sur quatre jours jusqu’au 27 novembre. Malheureusement, de manière virtuelle. Qu’importe, cela ne nuira nullement à la qualité des débats qui y sont proposés autour d’une thématique pertinente, à la pointe de l’actualité. « Comment construire une relance économique sans carbone sur notre territoire ? ».

Un vaste débat de fond, certes, qui devrait trouver son lot de réponses adéquates lors d’échanges et d’ateliers qui se veulent clairs et engagés au niveau des organisateurs.

En l’occurrence, les responsables de NUCLEAR VALLEY, l’unique pôle de compétitivité de la filière nucléaire civil en France, accueilli dans la capitale de la Saône-et-Loire.

Parmi les participants à cette animation digitale d’envergure, citons chez les incontournables donneurs d’ordre de cette filière : FRAMATOME, EDF Bourgogne Franche-Comté, ORANO et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives).

Une centaine de responsables achats, projets et techniques des donneurs d’ordre et de grandes entreprises de la filière nucléaire se sont également inscrits à cette animation.

 

 

Une initiative encouragée par l’Etat et les régions dont BFC…

 

En outre, de nombreux experts couvrant l’ensemble des domaines du cycle du combustible, de l’extraction au démantèlement, en passant par la recherche, la construction, l’exploitation, la maintenance et la formation suivent avec grand intérêt ces échanges digitalisés.

Dans ce contexte de crise sanitaire et de crise économique, NUCLEAR VALLEY dirigé par Jean-François DEBOST mobilise avec cet événementiel tous les moyens pour dynamiser et lancer des pistes de réflexion favorables à la filière.

En valorisant des préconisations innovantes et durables pour bâtir une relance économique sans carbone, nécessaire à la sauvegarde de la planète. Une relance qui par extension ne peut se concevoir autrement que par le biais de l’innovation, l’emploi et la formation. D’où les nombreux ateliers déclinables lors de cet évènement avec la présence des nombreux donneurs d’ordre de ce secteur d’activité. Soutenue par l’Etat et les régions Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône Alpes, l’initiative démontre ainsi tout le potentiel de la filière nucléaire, une industrie d’avenir et porteuse d’emplois…

 


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L’homme possède une solide expérience dans la sphère économique et institutionnelle de notre territoire. Dirigeant puisqu’il est à la tête de plusieurs sociétés de bâtiment et de recyclage (le groupe éponyme), ce fin connaisseur du syndicalisme patronal de branche et interprofessionnel relève un nouveau défi. Succéder à Xavier PAPIN à la Fédération départementale du bâtiment…

AUXERRE : In fine, il n’aura effectué qu’un seul et unique mandat à la présidence départementale de l’organe patronal du bâtiment. Au soir du 19 novembre, celui qui réveillait l’auditoire (et surtout les consciences) par la qualité vivifiante de ses discours lors d’assemblées générales épiques ou de la traditionnelle cérémonie de vœux, faisant parfois référence à des citations philosophiques pour mieux appréhender les méandres d’un secteur économique en souffrance, a décidé de ne pas rempiler pour un deuxième mandat.

Patron de la société DICTEC CHARPIN, implantée dans le Sénonais, Xavier PAPIN ne repartira pas pour trois années supplémentaires à la présidence de la FFB de l’Yonne.

Son successeur a été désigné par le conseil d’administration du syndicat patronal ce jeudi soir à l’issue de l’assemblée générale ordinaire vécue par le prisme artificiel d’une visioconférence.

Ainsi, la Fédération des entrepreneurs et artisans du BTP de l’Yonne a tranché en se dotant d’un nouveau porte-étendard, le chef d’entreprise auxerrois Didier MICHEL.

 

 

Au service des entreprises du BTP à travers de nombreux mandats…

 

Un responsable, loin d’être un inconnu dans le microcosme économique et institutionnel, puisque à la tête de plusieurs entités professionnelles qui sont positionnées dans le bâtiment et le recyclage.

Précisons que le nouvel homme fort de la FFB 89 aura occupé les fonctions de maire-adjoint à la Ville d’Auxerre et de conseiller communautaire de l’Auxerrois, avec comme dénominateur commun la gestion de l’économie sous l’ère de Guy FEREZ.

Sur un registre plus corporatiste, Didier MICHEL occupe différents mandats départementaux et régionaux qui lui permettent d’être en phase directe avec le suivi de l’actualité propre au secteur BTP.

Président de la Commission environnement et développement durable au sein de la Fédération régionale du bâtiment, l’entrepreneur d’Auxerre est membre du CESER (Conseil économique et social) de Bourgogne Franche-Comté, président du SEDDRE (Syndicat des entreprises de démolition désamiantage et de recyclage), président de la commission Economie circulaire de la FFB nationale et co-président de la commission économique du MEDEF Bourgogne Franche-Comté.

Il prend ses fonctions dans un contexte délicat lié aux conséquences de l’épidémie de coronavirus.  

Thierry BRET

 


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Le co-auteur de « Yvonne ne veut pas partir » se rappelle à notre bon souvenir. En publiant un nouvel opus consacré à la joie de vivre. L’un de ses thèmes de prédilection après celui du bonheur dont il nous avait gratifiés les louanges avec son compère Dominique COJAN via de nombreux témoignages recueillis auprès de personnes âgées. Edité début 2021, « Les Enjouées » fait l’objet d’une souscription. Afin d’en savourer son contenu aux premiers jours du printemps…

AUXERRE : Entamé voici un an, le nouveau travail scriptural de cet adepte du partage et de la transmission des émotions joyeuses se termine. Cependant, la  parution des « Enjouées », titre de cet ouvrage conçu en solitaire par son auteur, est prévue pour les premiers jours de mars 2021. Logique car la distribution et la vente des livres répondent à une réglementation stricte.

Mais, le plaisir n’en sera que plus grand que de découvrir ce copieux opuscule, garni de ses trois cents pages qui brossera les portraits d’une trentaine de femmes dont le dénominateur commun n’est autre que le travail. Une source de joie incommensurable et de plaisir à vivre à l’infini, synonyme d’épanouissement et de croissance de l’âme…

A la lecture de ces pérégrinations testimoniales couchées sur le papier, Jean-Eric FRAY évoquera ces métiers au féminin dont certains sont encore l’apanage des hommes. Il présentera ces activités à forte connotation économique et culturelle qui s’exercent dans l’agriculture, l’industrie, l’artisanat, l’alimentaire, etc. Il y détaillera aussi l’expression de ces valeurs d’un engagement féminin dont le courage, la curiosité, la créativité, le respect, la bienveillance, l’amour…sont les dignes représentants.

 

Trente-et-un portraits gorgés de pur bonheur…

 

Bref, l’écrivain a mis sa plume au service d’une noble cause : celle de la mise en lumière du plaisir de travailler. Un plaisir qui se décline dans l’apprentissage des gestes professionnels, les relations à développer avec les autres, les découvertes nombreuses qui entourent le sachant, enfin le grandissement de soi…

Chacun des trente-et-un témoignages sera ponctué par les impressions de Constance, une jeune béotienne de vingt ans en quête d’un métier qui lui procurera de la joie.

Gorgé de perceptions vibratoires à consommer sans modération, le livre de l’écrivain-conseil icaunais s’adresse à toutes les générations. Aux plus jeunes en quête d’inspiration comme aux plus anciens à la découverte d’autres horizons professionnels. Mais, aussi à celles et à ceux de ces lecteurs qui désirent retrouver les vertus du travail réalisé avec justesse, dans le plaisir…et la passion.

 

En savoir plus :

« Les Enjouées » est un ouvrage qui fait l’objet d’une souscription en amont de sa publication valable jusqu’au 31 décembre 2020.

Celle-ci de l’ordre de 18 euros hors frais (les frais de port s’élèvent à 6 euros) permet d’acquérir le livre à un prix avantageux tout en facilitant son édition.

Le livre est édité aux éditions La Huppe Messagère basée dans l’Yonne à Chassy au 3 Le Grand Chaumont.

Il sera disponible chez les libraires et les centres culturels de Bourgogne Franche-Comté début mars...

 

Contact par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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Quel avenir sera réservé au fameux Pôle environnemental ? Alors que le bâtiment dont les travaux se sont achevés début 2020 était à l’aune de son inauguration au printemps, le doute sur la finalité exacte de ce concept persiste depuis le changement de gouvernance à la municipalité d’Auxerre, et par effet gigogne à la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Pour l’un de ses instigateurs, l’écologiste Denis ROYCOURT, l’abandon du projet en l’état représente un réel gâchis. Explications…

AUXERRE: Les supputations les plus insolites s’accélèrent dans le microcosme institutionnel-politique de l’Auxerrois sur l’affectation du fameux Pôle environnemental et de son édifice aux formes si caractéristiques. A quoi ce bâtiment va-t-il être destiné en définitive ?

Ce projet dont les origines datent déjà de 2008, aura pris son temps avant de se matérialiser à nos yeux, douze années plus tard.

Prêt à être inauguré au printemps, ce bâtiment de huit cents mètres carrés flambant neuf brille aujourd’hui par son inactivité chronique. Ce ne fut pas forcément le cas à l’achèvement des travaux à l’hiver dernier.  

Une exposition y avait été installée avec une thématique de choix portant sur le délicat dossier de l’eau potable. Mais, celle-ci s’est très vite évaporée dans les limbes de l’oubli en se conjuguant avec les temps du passé ! Version décomposée !

Jamais inauguré de manière protocolaire, l’édifice à l’abandon ressemble désormais à une spacieuse coquille vide venue s’échouer sur les rives de l’Yonne, laisser là en plan à quelques encablures du parc des expositions dont il devait être un corollaire d’attractivité.

Pourtant, trois entreprises du cru, sélectionnées pour leur appétence au développement durable et à l’économie verte auraient dû s’installer dès que possible dans ce cadre agréable où le bois reste ce matériau noble et prédominant à sa construction. Or, elles n’y sont toujours pas. Et ne le seront jamais, sans doute…

Autre signe de vie tangible qui était prévu pour agrémenter le site : l’accueil de l’équipe ad hoc, garante de sa bonne fonctionnalité. Celle-ci  a été déplacée dans un bâtiment bien trop exigu, accueillant déjà le service développement durable de l’Agglo.

Plusieurs raisons expliquent ce singulier tableau qui n’a rien d’idyllique dans les faits aujourd’hui : la persistance du confinement imputable au coronavirus qui aura paralysé toutes les velléités opérationnelles liées à l’emménagement des trois entreprises dans ces locaux et surtout le changement de gouvernance, survenu au lendemain des échéances municipales, aussi bien à la ville d’Auxerre qu’un peu plus tard à l’Agglo de l’Auxerrois.

 

 

 

Une infrastructure trop coûteuse dans la conjoncture actuelle…

 

Lors d’un récent conseil communautaire, la question du devenir de cette infrastructure fut d’ailleurs abordée par l’un des instigateurs du projet, l’écologiste Denis ROYCOURT. Il interpella le nouveau président de l’Agglo Crescent MARAULT sur cet épineux sujet. En pointant de l’index un hypothétique abandon du projet.

La réponse du maire ne se fit pas prier pour dénoncer le coût prohibitif de ce complexe (rappelons que le bâtiment aura coûté la coquette somme de trois millions d’euros à la communauté) et ses frais de fonctionnement nécessaires pour en assurer le maintien, soit une enveloppe annuelle de 500 000 euros.

 

 

Disant stop de manière ferme à ces coûts budgétaires qui ne sont plus supportables pour la collectivité, surtout en cette période de crise exceptionnelle, Crescent MARAULT renvoya la balle dans le camp de son interlocuteur en précisant, en outre, que les trois start-ups initialement choisies pour s’installer dans les murs du Pôle environnemental ne correspondaient pas à la finalité première du projet : à savoir celui de capter des entreprises extra territoriales.

Dubitatif et insatisfait par les réponses obtenues, Denis ROYCOURT s’interroge aujourd’hui sur les perspectives de ce qu’il qualifie de véritable gâchis.

« Le personnel compétent est totalement démotivé, précise-t-il, y-a-t-il encore un pilote à la direction de la Communauté ? ».

 

Un plan d’occupation mis en place dès le mois de mai 2019…

 

« Avant même de lancer un appel à projets en direction des entreprises vertes pour rejoindre ce pôle, ajoute l’un des chefs de file d’Auxerre Ecologie, ce dernier avait reçu et accepté les candidatures de plusieurs start-ups, soucieuses de s’y installer. C’était le cas d’AK TEAM (bureau d’études en écologie), de PHENIX (entreprise gérant la seconde vie des produits et luttant contre le gaspillage alimentaire), de DIVINE (avec sa filiale de recyclage des collants usagés), d’INGENT (bureau d’études et recherche & développement en géosciences). D’autres frappaient également à la porte, à l’instar de BIO Bourgogne qui souhaitait y ouvrir un espace de huit personnes travaillant sur le développement des circuits courts. Quant à l’association AUX’OLEIL (toits solaires), elle avait fait part de sa volonté de rejoindre le pôle… ».

Et Denis ROYCOURT de rappeler les trois missions fondamentales qui avaient été retenues par le conseil communautaire à l’origine du concept. La première d’entre elles consistait à devenir grâce à cet outil le « haut-parleur » de la politique environnementale de l’Agglo. Notamment dans le domaine de l’eau, de l’air, de l’énergie, des déchets et des mobilités.

Le Pôle s’inscrivait comme un lieu d’accueil privilégié d’exposition et d’expérimentations présentant des campagnes d’informations et de sensibilisation destinés aux scolaires mais aussi aux citoyens, aux collectivités et aux acteurs de l’économie.

 

 

 

La seconde mission du Pôle reposait sur la constitution d’un réseau fédérant les acteurs de l’Auxerrois positionnés sur le développement durable et l’économie verte. Un comité de suivi avait déjà été créé pour en assurer les aspects opérationnels.

La troisième orientation du site se rapportait à l’innovation et à l’aide apportée au développement de l’économie verte.

L’accueil d’un incubateur de projets verts visait à faciliter l’émergence d’activités novatrices en provoquant l’installation d’entreprises qui auraient par la suite rejoint la zone d’activités Aux-R-Parc.

Parmi les secteurs qu’il convenait de retenir : l’alimentation durable, les énergies renouvelables, la gestion des déchets, les transports, le bâtiment ou encore l’écologie industrielle.

Le Pôle environnemental qui sommeille dorénavant dans une profonde léthargie avait acquis une véritable notoriété au plan de l’Hexagone. En obtenant trois distinctions : le TEPC (Territoire à énergie positive pour la croissance verte), le GPATIC (Grand prix d’aménagement en territoire inondable constructible) et le Prix de la sélection FIMBACTE.

Autant de reconnaissances qui n’avaient rien d’honorifiques puisqu’elles avaient permis d’apporter de précieuses subventions à sa réalisation !

De précieux subsides dont il faudra peut-être un jour rembourser au centime près à ses donateurs si le projet initial devient définitivement obsolète ?

Thierry BRET

 

 


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Le futur siège social de l’établissement bancaire régional au Parc Valmy se veut unique en France. De par sa structure constructive qui privilégie la savante alliance très esthétique entre le béton et le bois. Livré fin 2021, l’édifice accueillera les collaborateurs au terme du premier semestre de l’année suivante. Une vraie prouesse technique que l’on doit à la quarantaine d’entreprises du cru intervenant sur ce projet…

DIJON (Côte d’Or): Modernisation et ergonomie, les maîtres mots de ce chantier débuté il y a plusieurs mois occupent les esprits des nombreux artisans retenus sur ce projet d’envergure.

Immanquablement, le futur siège social de la Caisse d’Epargne de Bourgogne-Franche-Comté va faire peau neuve dans l’un des quartiers de la capitale des ducs les plus attractifs : le Parc Valmy.

Grâce à sa carapace protectrice et rassurante, faite de béton et de bois telle qu’elle a été imaginée par les malicieux créatifs de l’agence francilienne GRAAM Architecture.

L’achèvement de la première phase de cette œuvre singulière l’atteste : la structure bois crée l’originalité de ce bâtiment de six étages qui aura pour vocation de regrouper in fine l’ensemble des collaborateurs du groupe bancaire répartis jusque-là sur plusieurs sites administratifs.

Le 12 novembre dernier, le président du directoire Jean-Pierre DERAMECOURT et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS) Eric FOUGERE ont pu constater de visu les faits aux côtés de François REBSAMEN, édile de Dijon : le premier chapitre menant à l’édification définitive de ce nouveau siège social se clôturait. De manière plutôt brillante au vu du résultat !

Dès lors, les habillages intérieurs et l’aménagement des espaces bureaux, tels qu’ils ont été suggérés à la suite de l’implication des collaborateurs concertés à ce sujet, peuvent commencer. L’objectif étant d’accueillir les futurs occupants des lieux, quatre cents collaborateurs, avant l’été 2022.

 

 

Un projet qui s’inscrit dans les valeurs de la RSE…

 

D’une surface de 9 500 mètres carrés, long de soixante-dix mètres et haut de vingt-deux mètres, la construction en impose. Sa finalité est de faciliter le travail collaboratif et la transversalité des services en favorisant l’adaptabilité des organisations propres à l’établissement.

Passif, l’édifice qui a été érigé dans le respect des valeurs de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises) dont la CEB BFC se fait le porte-étendard, ne consommera pas plus de 40 kwh par mètre carré et par an. Mais, l’audace de ses concepteurs réside en l’utilisation harmonieuse du bois qui offre des avantages thermiques et énergétiques appréciables.

 

 

 

Sise sur une dalle de béton (il en aura fallu 3 032 mètres cubes), la structure bois et son exosquelette sont visibles sur l’ensemble du bâtiment selon un processus constructif à colombages. Une enveloppe de verre agrafé assure un confort thermique et protège la matière noble qui trouve de plus en plus sa place en milieu urbain grâce à un effet « double peau ». Le résultat est saisissant. D’autant que l’usage du bois, 2 500 mètres cubes utilisés, permet de générer le stockage de 2 500 tonnes de CO2.

Un projet mûrement réfléchi qui offre l’opportunité à la banque régionale de participer au dynamisme du territoire en valorisant les filières d’activité développement durable comme le bois.

Piloté par FORESTARIUS en tant qu’entreprise générale, le projet s’est également appuyé sur les compétences pour la maîtrise d’ouvrage du promoteur LCDP, la SEM ainsi que de trente-neuf entreprises régionales pour la plupart reconnues pour leur savoir-faire.

Thierry BRET

 


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