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Voilà une nouvelle qui tombe à pic. A la fois pour le plaisir des retrouvailles, d’autant que toutes les réunions proposées dans le cadre de la Communauté des Positives Entreprises avaient été réduites à néant du fait de la pandémie, mais aussi pour s’immerger au cœur de ces projets qui confortent le rayonnement de notre territoire. Le 18 mai, à l’initiative de la CCI de l’Yonne, le concept éolien des Hauts de l’Armançon, porté par WPD, fera l’objet d’une analyse appropriée.

 

AUXERRE : Cela a un parfum de rentrée des classes après une trop longue période d’absence qui aura duré presque deux saisons. La Communauté des Positives Entreprises, chère à la chambre consulaire de l’Yonne qui en fédère l’esprit, renouera avec ses rencontres mensuelles. A la fois au cœur des entreprises, dès les mois de juin et juillet, mais aussi sur des sites idéalement choisis pour illustrer ses thèmes.

Le 18 mai, Christine JAN, animatrice experte de ladite communauté (au même titre que le Business Club de Sens ou les RIDY), accueillera ses « élèves » entrepreneurs et cadres dirigeants au Pôle Environnemental d’Auxerre pour y narrer tous les derniers développements relatifs au projet du parc éolien des Hauts de l’Armançon. Un concept de grande ampleur qui répond à ce besoin d’opportunité de créer une dynamique favorable à l’essor des énergies renouvelables. Vu le contexte international, cela tombe peut-être à point nommé…

 

Un projet né d’une concertation de trois communes…

 

En février dernier, ce projet d’implantation de 18 éoliennes nécessitant un investissement de 130 millions d’euros en travaux d’infrastructures avait été longuement explicité lors de la signature d’un partenariat, réunissant autour de la même table, la Région (Stéphanie MODDE, vice-présidente en charge de l’Environnement, Vincent MARTIN, président de la Fédération Régionale des Travaux Publics et Delphine POIRSON, l’une des dirigeantes de la société WPD en sa qualité de directrice du management).

Né d’une volonté commune entre les localités icaunaises d’Aisy-sur-Armançon, Cry et Nuits, ce projet éolien est à l’heure actuelle en cours d’instruction par les services de la préfecture. Avant que le parapheur n’arrive pour la signature définitive sur le bureau du nouveau représentant de l’Etat, Pascal JAN, qui a pris ses fonctions début avril.

 

 

Privilégier les emplois aux entreprises du territoire…

 

En toute logique, la construction de ce parc de 18 éoliennes commencerait en 2024. C’est le souhait de WPD, société qui a été mandatée pour initier le projet dans le respect de la protection environnementale, selon une charte englobant une cinquantaine de mesures établies en concertation avec les acteurs du territoire.

Naturellement, ce nouveau parc donnera naissance à des emplois, assurés en priorité par les entreprises locales. Notamment dans les secteurs carrière et béton, raccordement électrique, géomètre, contrôleurs, gardiennage, hydrogéologue, suivi de la qualité des eaux, bûcheronnage, paysagistes, sans omettre les sites d’hébergement et de restauration qui accueilleront les professionnels de ce vaste chantier.

Une priorité à l’emploi local que n’a pas manqué de saluer le président de la FRTP, Vincent MARTIN, lors de la signature de la charte d’engagement en faveur de l’attractivité économique, environnementale et sociale des territoires le 23 février dernier. Une convention pérenne sur les cinq prochaines années. D’ailleurs, ce serait un équivalent de 15 millions d’euros qui pourrait in fine revenir dans l’escarcelle des entreprises locales.

 

 

En savoir plus :

Dix-huit éoliennes de nouvelle génération seront implantées sur les communes de Cry, Nuits et Aisy-sur-Armançon. Elles pourraient permettre d’alimenter un tiers de l’Yonne pour sa consommation résidentielle d’électricité.

Elles produiraient 104,4 MW de puissance une plus-value indéniable pour la sécurité d’approvisionnement en énergie de la région. Economisant plus de 20 000 tonnes de CO2 chaque année.

Début 2021, la filière française est forte de plus de 22 600 emplois, dont près de 1 000 emplois en Bourgogne-Franche-Comté (en augmentation de 8 % par rapport à début 2020).

La société WPD Onshore France est présente en France depuis 2002. Elle emploie 100 salariés et a développé 32 parcs actuellement en exploitation ou en construction. Elle possède notamment une agence à Dijon, ainsi que six autres agences à Lille, Limoges, Nantes, Lyon, Cholet et Boulogne-Billancourt, son siège.

En Bourgogne-Franche-Comté, WPD a déjà développé depuis 2005 trois parcs éoliens en exploitation dans le Montbardois (Côte d’Or) et dans le Serein (Yonne).

 

Thierry BRET

 


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De cette rencontre, il en ressortira toujours quelque chose. La présence de Thierry CADEVILLE lors des travaux de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux lundi soir est loin d’être anodine. D’autant qu’entre le président de la CCI de l’Yonne et la structure associative, le mot « attractivité » résonne en parfaite symbiose…

 

AUXERRE : C’est un évènement peaufiné aux petits oignons pour les représentants de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux de l’Auxerrois. La venue de l’un des responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, en l’occurrence, Thierry CADEVILLE revêt du plus grand intérêt.

Lundi en fin d’après-midi, les membres de ladite commission accueilleront au cours de leurs travaux habituels le président de la chambre consulaire départementale. Une rencontre, une première fois décalée pour cause d’incompatibilité d’agenda, qui se formalisera enfin, à l’invitation de la présidente de la structure associative auxerroise, Marité CATHERIN.

 

 

Outre les présentations d’usage, il sera question d’attractivité du territoire, tant au plan sociétal qu’économique, avec des éclairages intéressants qui seront apportés par le chef d’entreprise et patron de la société ALGAN-SIREC, successeur d’Alain PEREZ à la tête de l’institution.

La CCI de l’Yonne devrait vivre une période de profonde mutation au cours de ces prochaines semaines afin de renforcer sa présence auprès des entreprises et avant de vivre son déménagement de la rue Etienne Dolet. Gageons que Thierry CADEVILLE devrait faire toute la lumière sur ces différents chantiers et répondre aux interrogations d’une commission économique qui fourbit ses armes en vue d’un rendez-vous automnal consacré à l’attractivité sous la forme d’un colloque.

 

Thierry BRET

 

 


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Décidément, la capitale de l’Yonne pouvait se passer de cette publicité gratuite pour asseoir sa renommée bien au-delà de sa sphère d’influence. Depuis que l’affaire du « challenge des marginaux », puisque telle est son appellation désormais, a été révélée au grand jour, une kyrielle de médias nationaux, et non des moindres – le dernier en date à relayer cette information sordide n’est autre que « Le Figaro » - s’est engouffrée dans la brèche. La Ville d’Auxerre ne pouvait que réagir. En diligentant une enquête interne afin de mieux cerner la genèse de cette problématique.

 

AUXERRE / En termes de communication, il existe un principe fondamental qui est observé scrupuleusement à la lettre au sein de la Ville d’Auxerre selon les évènements qui s’y déroulent. Celui de ne jamais réagir à chaud au niveau médiatique et prendre le temps de l’analyse avant de donner un commentaire aux journalistes.

Depuis qu’a éclaté l’affaire dite du « challenge des marginaux » - un encouragement à bénéficier d’avantages en nature (et surtout gourmands) pour les représentants de la police municipale si les SDF stationnant aux abords du magasin Monoprix y étaient délogés d’ici le 30 avril (ceci reste d’ailleurs à vérifier, à savoir s’il s’agit d’une curieuse et amorale blague de potache ou de l’emploi de procédés beaucoup plus réels et douteux) -, les élus de la majorité municipale ne s’étaient pas encore exprimés à ce sujet.

C’est chose faite. De manière officielle, par la présence d’un très lapidaire communiqué de presse qui a été publié sur le site de la ville,  www.auxerre.fr. Un document comportant un paraphe collectif, validé par le maire, Crescent MARAULT, et les élus qui composent sa majorité.

 

Ouverture d’une enquête en interne pour faire toute la lumière…

 

Si les élus de la capitale de l’Yonne (ceux de la majorité) apportent « tout leur soutien et leur confiance aux agents de la police municipale face à l’ampleur de leur délicate mission ô combien difficile à exercer au quotidien », il n’empêche que sans même attendre une éventuelle suite judiciaire à donner à ce dossier (le parquet a lancé une investigation en ce sens), une enquête interne est ouverte. Afin de faire toute la lumière et en savoir plus sur cette affaire qui pour l’heure manque quelque peu de transparence.

Il est précisé qu’en parallèle, « un rappel des règles déontologiques a été réalisé auprès des agents ». Une petite piqûre sur l’épiderme qui ne fait donc pas de mal à personne afin de bien préciser les limites à ne pas dépasser pour ces personnels de la fonction publique.

Selon ce communiqué, il semblerait que c’est dans un contexte, celui de la préservation et de l’amélioration de la qualité de vie et le respect de la tranquillité des citoyens qu’une initiative individuelle, dite du « challenge », a été prise sans qu’elle n’émane d’un quelconque ordre officiel venu de plus haut ou de la hiérarchie. Une démarche surprenante que le maire et les élus de son bord politique qualifient « d’inappropriée et contraire aux valeurs défendues par leurs engagement citoyens ».

 

 

Une initiative individuelle inconcevable en termes de moralité…

 

Certes, face aux problématiques et désagréments qui surviennent sur la voie publique de manière récurrente (mendicité, agressions verbales, voire physiques, alcoolémie…) dans le centre-ville d’Auxerre, Crescent MARAULT et l’équipe municipale tentent en permanence de juguler ces méfaits, occasionnant la gêne des riverains habitant les quartiers concernés. Des solutions où interviennent également les services sociaux de la ville.

Mais de là à encourager l’organisation d’un défi de motivation où des paniers gourmands, des confiseries faites maison et des bons cadeaux seraient offerts aux représentants de la police municipale pour les récompenser d’avoir délogé les SDF du cœur de ville ; cela ne saurait se concevoir en termes de moralité.

Bref, on ne connaît pas encore l’auteur ou les auteurs de cette initiative individuelle qui fait aujourd’hui le tour de l’Hexagone de l’actualité. Même si le pot aux roses n’avait été éventé par l’un des élus de l’opposition (Rémi PROU-MELINE), qui sait si l’idée d’instaurer un système de parrainage à la « France Loisirs » pour faire gagner une cafetière électrique ou sa théière afin d’agrémenter la dégustation des fameuses meringues faites maison n’aurait pas été la prochaine étape de ce procédé pour le moins peu académique dans l’approche de la gestion humaine ? Peut-être à réserver lors du challenge de l’été ?

 

Thierry BRET

 

 


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Une fine poussière rougeâtre recouvre la moindre partie métallique du trommel. Souvenir poussiéreux du sable chaud de Mauritanie, celui du Sahara si envoûtant et incitatif au voyage. L’engin, un immense cric de grande capacité avec un tambour circulaire permettant de séparer les matériaux par taille, est déjà soumis à l’examen minutieux des équipes de Georges FERRARY. L’appareil facilite le concassage de pierres afin d’obtenir des granulats. Comme ceux qui furent utilisés sur un chantier aquatique près de Nouakchott…

 

APPOIGNY : Mine de rien, le rapatriement de cette imposante machine n’a pas dû être une mince affaire pour la société YCARE. Le spécialiste en exploitation minière et traitement des déchets de la filière BTP a réalisé une sacrée prouesse logistique en ramenant sur le sol hexagonal ce trommel. Utilisé pendant dix-huit mois pour les travaux de soubassement sous-marin d’une digue de plus d’un kilomètre de long pour le compte du client final BP, le spectaculaire engin intervenait en Mauritanie. D’où la présence de ce sable couleur ocre fortement prononcée sur les flancs métalliques de la « bête » !

Deux de ces machines, appartenant à EIFFAGE, travaillaient à la mise en œuvre de ces soubassements en milieu maritime. L’un de ces spécimens, racheté par YCARE, se présente devant nos yeux. Durant tout le laps de temps passé au Maghreb, le trommel a produit 1 250 000 tonnes d’enrochement ayant constitué à l’issue la base de cette fameuse digue.

 

 

 

 

Un toilettage de la machine avant qu’elle ne reparte dans de nouvelles aventures…

 

Saisissant l’opportunité du rachat de cet appareil très particulier, YCARE a donc organisé après coup son retour alors que l’engin était situé dans une carrière à près de quatre cents kilomètres de la capitale mauritanienne.

Transitant par le port de Belgique d’Anvers, le trommel arrivera à sa destination définitive début mars, sur le site de la nouvelle zone d’activités d’Aux-R-Parc, par le truchement d’un convoi exceptionnel.

Première du genre à être rapatriée sur le sol français, la machine n’a pas pour vocation de rester indéfiniment dans la périphérie auxerroise. En effet, un client national de la SAS YCARE devrait la réemployer dans les mois qui viennent, une fois qu’aura été procédée sa remise en état.

Pour se faire, YCARE n’a pas hésité à débourser pour le rachat de cette machine, avant sa remise en condition, et avant déduction de ses coûts de main d’œuvre et de pièces, une enveloppe de 445 000 euros. Sachant que neuf, ce trommel aurait nécessité la bagatelle d’1,150 million d’euros.

 

 

Une structure familiale qui a le vent en poupe…

 

Désormais, et durant plusieurs semaines, le trommel qui a dû supporter les températures caniculaires de la Mauritanie (50 ° !) et la poussière saharienne va vivre un sérieux lifting pour le rendre acceptable ! Et surtout opérationnelle dans le but de nouvelles missions titanesques.

Une rénovation que maîtrise parfaitement le groupe industriel de l’Yonne. Dix collaborateurs exercent leur savoir-faire au sein de l’entité qui pèse presque dix millions d’euros de chiffre d’affaires.

Parmi l’une de ses vitrines commerciales qui est la plus visible, YCARE assure la location, celle avec option d’achat et la vente de machines neuves, grâce à une activité de négoce, destinées aux milieux des carrières.

Il y a quinze mois, YCARE avait vendu par ailleurs deux machines plus petites que l’imposant trommel à la filiale de BOUYGUES, le groupe COLAS qui les exploite aujourd’hui sur l’île de Madagascar.

Profitant d’une excellente dynamique et de superbes locaux à peine érigés du sol (1 600 mètres carrés) de la nouvelle zone d’activités Aux-R-Parc, YCARE, groupe familial par excellence avec Georges, le patriarche et ses fils, Nicolas, à la manœuvre pour la technique et le commerce et Marc, responsable du développement et du bureau d’études, a le vent en poupe en cette année 2022.

 

 

De nouvelles activités à prévoir pour optimiser le chiffre d’affaires du groupe…

 

Des forces vives devraient être recrutées dans les semaines à venir dont des conseillers commerciaux et un responsable d’atelier. Sachant que l’objectif du groupe est de doubler ses effectifs d’ici un, voire deux ans.

Un atelier de chaudronnerie mécanique devrait être reçu dans le nouveau bâtiment, projet de développement qui aura permis de mettre l’Agence Economique Régionale (AER), pilotée localement par Angélique FAVIER, sur le projet.

En outre, et pour être tout à fait complet sur ce point, YCARE souhaite étendre son périmètre professionnel vers une activité de transport exceptionnel afin d’offrir un service plus performant à sa clientèle.

Notamment dans le cas de rapatriement d’engins de fort tonnage sur site afin d’en assurer la maintenance et le remplacement, une activité qui est désormais rendue possible du fait de la nouvelle infrastructure fonctionnelle, en bordure de l’ancienne nationale 6. Ce qui suppose, aussi, de trouver des chauffeurs afin de pouvoir honorer cette activité complémentaire à la prometteuse destinée.

Gageons qu’en se dotant de ce trommel de belle capacité, de fabrication irlandaise (MDS International, une filiale du géant américain TEREX), YCARE veuille conforter son envol dans la cour des grands de ce milieu très hermétique des carrières.

En tout cas, côté visibilité, c’est réussi : les automobilistes empruntant la route entre Appoigny et Auxerre doivent s’interroger quant à la nature fonctionnelle exacte de cette étrange machine qui nous arrive d’Afrique !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Toujours vaillante, la présidente de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux ! A l’heure de dresser le bilan de la saison écoulée, ternie par une trop longue crise sanitaire faite de périodes de confinement, Marité CATHERIN s’est volontairement projetée vers l’avenir. Celui de cette association phare qui évolue dans le paysage de la société civile auxerroise. Autour de deux credo : le renforcement des liens à l’international, son violon d’Ingres, et l’attractivité du territoire, sur son versant économique qui se développe…

 

AUXERRE : Certes, l’assistance était quelque peu faiblarde à l’amorce des trois coups servant de prélude au lancement de ce rendez-vous annuel. Dommage, en vérité ! Car, une assemblée générale n’est jamais un moment anodin dans l’existence d’une structure associative qui, de surcroît, possède de réelles prétentions pour initier des projets fédérateurs et éclectiques, favorables à son rayonnement.

Et en matière d’influence au-delà de sa proche zone de confort géographique, cette maison peu singulière aux trois étages (jumelages, francophonie, échanges internationaux) rivalise d’ingéniosité et de besoin de créer. En permanence, c’est plus fort qu’elle !

 

Une cité espagnole pour étoffer le nombre de villes jumelées…

 

Primo, les liens entretenus avec les quatre villes étrangères, jumelles de la capitale de l’Yonne. Pour mémoire, Redditch, l’anglaise, Worms, l’allemande, Greve in Chianti (la bien-nommée transalpine !) et Plock, à l’ouest de la polonaise Varsovie, à la prononciation linguistique si particulière que les seuls initiés savent pratiquer avec perfection !

Des relations de gémellité auxquelles il est indispensable d’ajouter deux communes hexagonales, Saint-Amarin, en terre d’Alsace, et la bretonne, Roscoff, qui a donné son patronyme à l’espace verdoyant et arboré situé entre la Chambre de Commerce et d’Industrie et le port de plaisance.

Une nouvelle destination à ajouter dans l’escarcelle des jumelages point à l’orée du jour (lequel ?), du côté de la fière péninsule ibérique. Santo-Domingo-de-la-Cazalda. Des liens étroits existent déjà avec l’un des établissements pédagogiques de la ville. Le lycée des métiers Vauban qui a déjà sauté le pas en nouant des relations éducatives fortes. Logique, puisque la localité espagnole bénéficie de la forte renommée de ses vignobles, au cœur de la Rioja ! Sans omettre son patrimoine culturel très riche qui ne passionne pas uniquement les pèlerins se rendant à Compostelle. La balle est dans le camp de la Ville d’Auxerre qui a connaissance du dossier.

 

 

Un webinaire à géométrie internationale avec Corinne LEPAGE…

 

Secundo, l’entité associative n’en oublie pas moins son rôle d’acteur essentiel de la citoyenneté locale. A travers, son programme pédagogique où l’apprentissage des langues (anglais, italien, espagnol) prédomine.

Même si les cours ont subi quelque peu les affres de la pandémie lors de ces deux dernières saisons très perturbantes en termes d’agenda. Les volets jeunesse, sportifs et culturels sont aussi usités à bon escient pour faire de cette Maison, l’univers de chacun. Via la concrétisation de défis physiques (ce sera le cas lors du Trophée des Jeunes proposé lors du week-end de l’Ascension avec des représentants juvéniles d’Auxerre et de Worms) ; via des opérations menées durant la Semaine de la Francophonie, intense quant à son copieux menu déclinable aux quatre coins de la Bourgogne Franche-Comté.

La francophonie, parlons-en ! Sceau fédérateur unissant plus de quatre-vingts cinq pays de par le monde qui offre la sublime opportunité d’extérioriser Auxerre et son bassin vers d’autres civilisations, la discipline sera une fois encore au cœur de l’actualité en ce mois d’avril.

 

 

Plus précisément, en date du 22, à l’occasion de la Journée internationale de la Terre (elle en a grandement besoin !) où à l’initiative de l’ancienne ministre de l’Environnement Corinne LEPAGE, présidente de Cap Ecologie, sera organisé un webinaire porté par la Déclaration des Droits de l’Homme et le Réseau International des Maisons de la Francophonie (RIMF).

Réseau dont sont adhérentes évidemment les Maisons de la Francophonie de France, et par effet gigogne, celle d’Auxerre qui revendique aussi l’appellation de maison de Bourgogne Franche-Comté (cocorico !).

L’une des membres de la structure locale, Laura NAUDET-DEON, aura le privilège de pouvoir s’exprimer avec de jeunes interlocuteurs reliés sur les cinq continents grâce à la magie du numérique.

 

 

L’économie et l’attractivité, autres terreaux de la quintessence proactive…

 

Tertio, l’autre versant de cette structure protéiforme, le développement économique des relations à l’international engendrées par ces jumelages et la francophonie, s’est concrétisé depuis plusieurs années par la création d’une commission qui n’a rien de « Théodule » dans son aspect.

Se réunissant par quinzaine selon son rythme de croisière, et englobant en son sein des acteurs de la vie institutionnelle et économique du sérail, cette « cellule » intellectuelle avait organisé en novembre dernier un colloque consacré au poids de l’international vu par le prisme auxerrois (culturel, associatif, jeunesse, économique). La manœuvre se réitérera à l’automne prochain à partir d’un tout autre item, mais très complémentaire : l’attractivité du territoire, selon ses forces, ses faiblesses et l’apport de suggestions concrètes pour remédier au dernier aspect.

On le voit : l’oisiveté n’est pas la mère de tous les vices au sein de cette structure, qui certes a vu décroître le nombre de ses adhérents historiques (102 cotisants à ce jour) du fait de deux années de réduction de la voilure de ses activités (merci qui ? A la COVID 19 !), mais qui conserve un noyau dur d’optimistes quant à son avenir et à sa multitude de projets ayant pour vocation à faire bouger les lignes. Une forme de quintessence proactive, en somme…

 

Thierry BRET

 


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