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Forcément, il y aura des choses à dire. Tant l’année écoulée a été marquée par les soubresauts de la crise sanitaire avec son corollaire de contraintes et d’atermoiements pour les entreprises. Tout secteur confondu, et pas uniquement sur le seul volet de l’agriculture/viticulture demeurant son cœur de cible. La direction de la Banque Verte se projettera aussi sur les perspectives et enjeux du nouvel exercice qui se présentent à elle. Un exercice déjà entaché par un conflit inattendu à la frontière orientale de l’Europe…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un rendez-vous dont les orateurs ont la parfaite maîtrise dans son approche organisationnelle. Une étape importante dans cette stratégie de communication inéluctable, mise en place depuis fort longtemps qui se greffe dans le calendrier à la suite de l’assemblée générale de l’établissement. Un moment de prise de contact directe avec les médias de la région qui n’en manquent pas une miette.

C’est sûr, pour les journalistes, il y a toujours quelque chose à glaner de cet exercice, une conférence de presse dédoublée dans l’Aube et la Côte d’Or (le respect identitaire de l’appellation de cette structure Champagne Bourgogne) qui permet de procéder à un large tour d’horizon d’une actualité riche en informations.

Et au vu du contexte actuel, entre la COVID et la guerre aux portes de l’Union européenne, gageons que les deux métronomes du Crédit Agricole, Jean-Yves REMILLET, président, et Emmanuel VEY, directeur général, auront des messages à faire passer.

 

 

En puisant dans le récent passé (presque un pléonasme tellement cette notion temporelle nous semble déjà très loin) avec le bilan d’une année 2021 où de multiples actions concrètes furent mises en place par la banque pour enrayer au possible les effets catastrophiques de cette crise sanitaire sans précédent dans l’ère moderne et la projection vers 2022, où les incertitudes dominent du fait de ce conflit évoquant de douloureux souvenirs aux seniors.

Bien sûr : il va de soi que les journalistes régionaux seront tout ouïe pour entendre (et surtout analyser) les messages qui seront adressés à l’intention des milliers de sociétaires d’un établissement qui a su surmonter les épreuves au cours de ces deux dernières années de ce tsunami planétaire qu'aura été la COVID.

 

Thierry BRET

 


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On le sait depuis longtemps déjà : FESTINS n’est pas une entreprise ordinaire en matière de réduction de l’impact carbone sur ses activités. L’utilisation de produits recyclables et le bannissement d’objets en plastique comme les couverts ont intégré la philosophie de la structure, positionnée sur le secteur de l’alimentaire et du réceptif. La société va encore plus loin. En modernisant ses équipements frigorifiques…

 

CHEMILLY-SUR-YONNE : Ca s’affaire avec vigueur sur le parvis de l’entreprise, spécialisée dans l’art de la réception et du traiteur haut de gamme ! Depuis plusieurs jours, des équipes de techniciens procèdent à des travaux de remplacement des systèmes de réfrigération qui rafraîchissent les installations du site historique de l’établissement.

Un panneau spécifie d’ailleurs la nature de ce chantier. Il est consultable sur la grille qui protège ce point névralgique du site. FESTINS modernise ses équipements frigorifiques. Comment ? En faisant abstraction de façon définitive de l’emploi de gaz dans ses systèmes de réfrigération.

 

 

Pour le remplacer, l’unité de production bénéficiera d’un système à la fois plus efficace, gagnant en modernisme et davantage écologique. Grâce à l’emploi de l’eau glycolée.

De quoi s’agit-il ? Cette eau qui circule en réseau est additionnée d’un certain pourcentage de glycol pour que celle-ci ne puisse geler. Utilisée dans les réseaux de chauffage ou de climatisation, cette eau possède des vertus environnementales dans les systèmes de réfrigération, ne faisant plus appel au gaz, plus polluant. Un processus adopté par FESTINS qui s’inscrit pleinement dans sa démarche d’entreprise responsable dans le cadre de la RSE.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Enigmatique Baptiste MALHERBE ! Le double directeur de l’AJ Auxerre et Horizon AJA possède l’art et la manière d’entretenir le suspense à travers ses propos oratoires. Surtout lorsqu’il évoque en préambule de la pose de la première pierre de ce futur musée, consacré au mythique club sportif de l’Yonne, « que celui-ci n’en sera pas un ! ». Un trait d’humour qui a l’heur de faire sourire un copieux parterre d’invités, désireux d’en savoir davantage sur l’ambitieux concept…

 

AUXERRE : C’est un projet de très belle envergure pour un complexe sportif devenu iconique depuis sa lointaine création remontant à 1918 ! C’est un sérieux lifting à réaliser avec les moyens technologiques modernes en quelque sorte afin de valoriser la vieille dame du football hexagonal que représente au fil des décennies l’AJ Auxerre et lui redonner ainsi une seconde jeunesse.

Comment pérenniser dans le temps ce club de football à l’ancrage territorial si bien marqué qui a su faire tache d’huile aux quatre coins de la France, voire de l’Europe, en lui impulsant un zeste de modernisme et d’attractivité touristique ?

C’est le défi relevé par James ZHOU, président actionnaire du club, et ses représentants locaux qui ont choisi pour y parvenir les atouts de l’art muséographique.

 

 

Un projet hybride et immersif totalement novateur…

 

Déjà, il y a le choix du lieu. Le stade Abbé Deschamps, saint des saints conceptuel de cette passion sans borne autour du ballon rond dans l’Yonne, qui fait office de véritable ADN du club. Un complexe qui est accueilli au cœur de la plaine sportive de l’agglomération auxerroise. A l’ancienne, et sans être refoulé dans une lointaine banlieue périphérique hors de la capitale de l’Yonne. Ce lien de proximité avec les supporters et le public est ténu, sans doute très profond.

Ensuite, il y a ce projet de musée. Rares sont finalement les clubs de football de l’Hexagone qui possèdent une telle vitrine. Marseille, Saint-Etienne, le Paris Saint-Germain. Le projet a pour vocation de poursuivre l’aménagement du stade et d’accompagner le projet de développement du territoire. Sous le prisme du rayonnement et de l’attractivité, il va de soi.

Enfin, il s’agira de concevoir dans ce projet autre chose qu’un simple musée traditionnel. Construit dans sa logique de visite habituelle, selon les codes coutumiers en vigueur. Ce sera un concept hybride qui proposera une visite immersive grâce à la découverte de quinze espaces dédiés à la légende de l’AJA. Un parcours qui se voudra initiatique en partageant les passions et les valeurs de ce club emblématique.

 

Les trophées doivent être placés sous la lumière plutôt que de rester dans l’ombre…

 

Qu’est-ce que l’AJ Auxerre à date ? Une structure créatrice d’évènements et d’emplois, qui est aussi porteuse d’émotions, sachant honorer ses engagements dans la promotion et la valorisation de ses actes auprès des plus jeunes, comme des plus anciens.   

Dans ses propos, le directeur général du club, Baptiste MALHERBE n’oubliera pas le volet touristique et l’attractivité croissante qui se dégagera de ce concept insolite, auprès des visiteurs ayant soif de découverte de notre territoire. D’ailleurs, présente à cette cérémonie inaugurale, la directrice de l’Office de tourisme de l’Auxerrois, Annick SOTO, fut citée en qualité de « première supportrice » au développement de ce projet novateur.

Créée en 1905, l’AJ Auxerre a pour objectif de transmettre et de former avant même de satisfaire le plaisir de ses fans. Auprès de toutes les générations, en s’appuyant sur un palmarès qui fait pâmer d’envie bon nombre d’associations sportives de l’Hexagone. D’où cette remarque pertinente de Baptiste MALHERBE, crédité plusieurs fois du prénom de « Jean-Baptiste » par quelques-uns des orateurs devant lui succéder, le confondant avec le prénom du ministre en charge du Tourisme et des PME/PMI Jean-Baptiste LEMOYNE (!), qui ajoutera que « les trophées méritent d’être exposés plutôt que de rester dans l’ombre ».

 

 

Une muséographie en 15 étapes à la gloire du club et de ses hommes…

 

Naturellement, le dirigeant de l’AJ Auxerre fit un clin d’œil amusé à Guy ROUX, l’éternel entraîneur à la silhouette caractéristique de cette formation ayant à son actif plusieurs distinctions nationales. Même si ce dernier avait émis quelques doutes quant à la nature de ce projet. Reste James ZHOU. Un président qui fait office de pierre angulaire désormais dans l’édifice actuel. L’ombre de Jean-Claude HAMEL planera aussi au-dessus des têtes des participants à cette cérémonie.

« Nous aurons à cœur de faire un musée à la hauteur de ce qu’il aurait voulu et de ce qu’il a construit… ».

Ce parcours muséographique s’articulera donc autour de quinze espaces, où seront abordés successivement la création de l’entité, la construction du stade, son fonctionnement, la formation avec son centre dédié, les trophées obtenus au détour des nombreuses compétitions nationales, la présence dans les joutes de l’Europe, les hommes qu’ils soient dirigeants mais aussi joueurs, et aussi les supporters.

« Pour cela, complète Baptiste MALHERBE, on va créer un espace d’accueil de ce musée devant la boutique. Un ascenseur va y être installé pour permettre l'accessibilité à tout le monde. Y seront également aménagés des totems, des vitrines, des écrans. Bref : cela représente encore six mois de travail après la pose de cette première pierre… ».

Des éléments qui seront évolutifs et agrémentés tant au plan numérique que vidéographique de nouveaux contenus par la suite. Un relookage profond de l’attractivité qui nécessitera un budget global de l’ordre de 700 000 euros. Grâce à l’autofinancement de la structure mais aussi la présence financière des forces institutionnelles et des mécènes, toujours aussi nombreux à soutenir leur équipe de cœur parmi ses nombreux projets…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Face à un parterre de chefs d’entreprise industriels dont ceux issus de la filière automobile réunis sous l’égide de l’UIMM à Paris, la candidate du Rassemblement National s’est montrée très catégorique quant aux directives actuelles, devant rendre obsolète les véhicules à motorisation thermique d’ici 2030.

 

PARIS : Parmi le florilège de questions qui lui a été posée lors de sa rencontre publique avec les entrepreneurs de la filière industrielle hexagonale le 09 mars dernier à la Mutualité sous l’égide de l’UIMM, Marine LE PEN a dû réagir à une intervention concernant le devenir du secteur automobile. Une activité économique qui est particulièrement affectée en cette période trouble par la crise sanitaire et le ralentissement des marchés.

 

Un tout électrique imposé sans concertation auprès des acteurs de la filière…

 

L’un des nombreux spectateurs, de facto chef d’entreprise et inféodé à l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie, devait prendre la parole pour l’inciter à donner son avis sur ce thème par rapport à son plan d’action mis en exergue dans son programme de campagne. Une interrogation servant à concilier, d’une part, l’ambition politique de la candidate à la présidentielle, tout en tenant compte des réalités conjoncturelles, inhérentes à l’économie, la technologie et les perspectives sociales.

« Je ne suis pas une idéologue mais une pragmatique, furent dans l’instantanéité de la réponse les premiers éléments de langage de l’oratrice.

Critiquant la prise de décisions initiales de la gouvernance (le tout électrique à horizon 2030) sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation avec les professionnels de la filière, Marine LE PEN a déclaré tout de go qu’en cas de succès à la présidentielle elle reviendrait sur l’interdiction des véhicules thermiques. Une contrainte, selon elle, qu’elle a par ailleurs qualifiée de très brutale, mettant à mal au plan économique et sur le domaine de l’emploi depuis l’ensemble de la filière automobile et ses sous-traitants.

 

 

Des délais qui sont objectivement intenables…

 

« C’est une méthode détestable de prise de décision, ajouta l’intervenante face au millier d’entrepreneurs présents dans la salle.

Un mot, détestable, qu’elle martèlera à maintes reprises, insistant de fait sur le péril qui a été occasionné auprès de toute la filière par la suite.

« La culture du tout électrique, je m’en méfie, devait-elle souligner, on peut l’avoir mais on est pas obligé de l’imposer avec des délais qui sont objectivement intenables… ».

Puis, se référant au passé, Marine LE PEN a expliqué qu’elle avait déjà vécu cela avec le diesel, encensé de prime abord par les pouvoirs publics puis voué aux gémonies de la consommation. Observant que les mesures imposées actuellement aux Français en matière de réglementation thermique ainsi qu’aux filières industrielles n’étaient pas tenables durablement, la cheffe de file du mouvement souverainiste  affirma que cela était le fruit d’une idéologie destructrice.

« Donc, poursuivit-elle, je m’oppose fondamentalement à cela ! ».

 

 

Un soutien à la recherche massive autour de l’hydrogène…

 

A contrario, Marine LE PEN croit beaucoup aux vertus de l’hydrogène.

« On doit investir massivement dans la recherche liée à l’hydrogène, devait-elle expliquer, je pense qu’il faut avoir de tout en matière de moyens énergétiques pour avancer… ».

Se voulant rassurante auprès des entrepreneurs de la filière industrielle, celle qui est créditée de 17 % d’intentions de vote au premier tour de l’élection le 10 avril, a conclu son intervention en précisant qu’une fois élue, elle reviendrait sur l’interdiction très brutale du thermique, imposée à la filière automobile.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est le branle-bas de combat au sein de tous les états-majors de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment. La double échéance électorale, présidentielle et législative, mobilise les troupes à travers l’Hexagone. Faire circuler des messages clairs et forts, sous la forme de propositions constructives favorables à la filière, est plus que jamais le mot d’ordre. La CAPEB veut peser du poids de ses 57 126 adhérents sur les deux scrutins…

 

AUXERRE : Traditionnel vecteur de communication servant à véhiculer des messages informatifs précis et bien ciblés, à la limite de la revendication, le livre blanc refait donc surface dans le sérail du bâtiment à l’approche des élections présidentielles et législatives. Et à ce petit jeu de la transposition épistolaire de suggestions et autres idées lumineuses à adresser aux représentants de la classe politique, la CAPEB demeure une habituée de ce genre d’exercice.

Depuis peu, l’opus de la nouvelle campagne 2022 est remis en main propre aux parlementaires et élus de l’Yonne pour qu’ils s’imprègnent des idées émises par l’ensemble de la corporation qui tente de faire face à la crise. La première, sanitaire tout d’abord, qui aura perturbé quelque peu la progression des carnets de commandes, impactant les chiffres d’affaires de ses acteurs. La seconde, l’opposition belliqueuse entre la Russie et l’Ukraine et ses conséquences sur l’envolée des prix des matières premières et sur le coût de l’énergie, dont on ne connaît pas encore les retombées économiques.  

Dernièrement, Jean-Christophe REPON, le numéro un de la CAPEB, remettait à l’une des têtes pensantes du cercle rapproché de la candidate Valérie PECRESSE, Jean-Michel FOURGOUS, un expert sur les aspects économiques, le précieux document.

Finalité de la mesure : se faire entendre en qualité d’acteur prioritaire de l’économie auprès des forces en présence au plan politique. D’où la publication de ce livre blanc, qui est résolument positionné autour d’une économie plus durable et vertueuse.

 

Un livre blanc articulé autour de trois volets essentiels…

 

Côté argumentaire, de quoi s’agit-il ? Il s’agit d’un triple constat, dans les faits, de la part de la confédération. Primo, obtenir l’équité entre toutes les entreprises du secteur, qu’elles soient petites ou grandes. Avec en filigrane, la place occupée par les TPE au sein de la représentativité patronale. Sur le principe, une entreprise égale une voix.

Secundo, un besoin plus qu’urgent de simplification, applicable au quotidien. La CAPEB souhaite davantage de lisibilité, notamment en matière de besoins administratifs ainsi que pour les dispositifs d’aides aux ménages qui concernent les travaux de rénovation et d’accessibilité. Il est vrai qu’il y a de quoi perdre son latin entre les outils MaPrimeRénov’, ECO PTZ, PTZ Accession, sans omettre tout le volet induisant la RGE et les contraintes de la CEE !

Enfin, ultime requête, celle qui se rapporte à la stabilité et lisibilité des mesures fiscales et sociales. Des règles qui ne cessent d’évoluer en permanence.

 

 

Les offres à 1 euro : l’Eldorado des pratiques commerciales frauduleuses…

 

D’autres ingrédients s’ajoutent à cet inventaire à la Prévert. Les questions inhérentes au recrutement (sempiternelles !), celles qui touchent la valorisation des déchets, l’attractivité des métiers du bâtiment ou encore l’incitation à suivre des cursus formatifs auprès des plus jeunes.

Deux items sont à observer toutefois : celui de la TVA qui pourrait être ramenée à 5,5 %, du fait de l’inflation galopante qui s’applique sur les matières premières, et le serpent de mer historique, la concurrence déloyale.

A ce propos, l’organisme fustige le gouvernement d’avoir laissé faire pour mettre en place des pratiques commerciales agressives, voire illicites, à l’origine de nombreuses fraudes et mécontentements auprès des consommateurs dans le cadre des programmes de ces fameuses offres à 1 euro, très discutables dans le landerneau !

 

Recréer un ministère spécifique à l’artisanat et au commerce ?

 

Les exigences de la CAPEB seront-elles entendues par la classe politique ? En tout cas, comme le martèle Jean-Pierre RICHARD, président de l’antenne de l’Yonne, « le poids de notre confédération n’est pas à négliger puisque nous intégrons l’U2P et quatre autres fédérations entrepreneuriales qui représentent in fine 93 % de l’économie française… ».

Le message est donc suffisamment clair à celles et à ceux qui veulent l’entendre. « Si vous ne nous écoutez pas, le taux d’abstention lors de ces deux futurs enjeux qualifiés de fondamentaux pour l’avenir de notre pays pourrait en être corrélé… ».

Et le président de la CAPEB – il est également le porte-étendard de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – de souligner que l’on ne parle pas assez de l’artisanat dans cette campagne.

« Il serait grand temps de réinstaurer un ministère de l’artisanat et du commerce qui a été supprimé sous l’ère de Nicolas SARKOZY afin que la gouvernance soit à l’écoute constante de nos besoins… ».

Cela ne semble pas être au programme des principaux prétendants au strapontin de l’Elysée. Attention, que ce livre blanc de la CAPEB ne vire pas au livre noir de la colère artisanale…

 

Thierry BRET

 

 


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