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« Absence d’infraction ». C’est par ces quelques mots lapidaires que le Procureur de la République d’Auxerre, Hugues de PHILY, a définitivement classé sans suite une affaire qui a pu apporter la confusion dans les esprits et une relative noirceur sur les élections départementales vécues en juin dernier sur le canton d’Auxerre 2. A l’origine, une plainte pour suspicion de fraude électorale. Elle se rapportait à une vingtaine de signatures qui furent dénoncées comme « litigieuses ». Avec le rendu de ce verdict, levant les doutes, c’est un « ouf » de soulagement pour le maire Magloire SIOPATHIS…

 

APPOIGNY : Elle fait bloc derrière son élu, l’équipe municipale locale. Sans fioritures, ni triomphalisme aucun. Peut-être juste un goût d’amertume un peu trop prononcé dans la bouche, avec quelques couleuvres qui ont du mal à être avalées. On sent la rancœur. Peut-être la rancune chez certains ?

Pourtant, la décision du ministère public est revenue positive. « Une absence d’infraction ». Clouant ainsi au pilori tous les ragots et autres commérages de bon ton qui circulaient abondamment depuis plusieurs semaines chez ces persifleurs du post vindicatif et assassin sur les réseaux sociaux. Satané, outils numériques ! La lie de la société ?

Grave, les yeux encore trop mouillés de larmes après avoir mis en terre son épouse, le maire Magloire SIOPATHIS rassure ses ouailles. La fin des turpitudes juridiques et l’honneur lavé ? Oui, incontestablement.

Puisque le Procureur de la République a tiré un trait indélébile sur cette affaire de suspicion de fraude électorale qui in fine n’en était pas une. Besogneux, le travail de fourmi des enquêteurs a payé puisque rien n’a été révélé de suspicieux. Et s’ils existaient des « absences de conformité » à ce dossier, elles auront « trouvé leurs explications logiques », selon le représentant du barreau.

 

« La polémique n’a jamais fait partie de notre programme… »…

 

Alors, comme qui dirait, tout est bien qui finit bien ? Pas si sûr. Les séquelles sont visibles et douloureuses parmi l’équipe un brin éprouvée pour tous ces embrouillaminis juridiques. Des salamalecs qui n’avaient pas lieu d’être, selon ses représentants, lors de ce scrutin de juin 2021, relatif aux départementales organisées sur le second canton auxerrois.          

Pourtant, comme le stipulera l’édile de la localité périphérique d’Auxerre en préambule de la conférence de presse qu’il organise à ce propos, « la polémique n’a jamais fait partie de notre programme ».

Un exercice oratoire sobre qui s’avère nécessaire selon lui, pour tirer les conclusions de ce dossier et surtout pour y mettre un terme de manière irrévocable, en « tournant la page ». Ne se concentrant uniquement après coup que sur le travail à exercer sur le canton. Le fondement même de toute élection.

Evoquant de douloureux souvenirs personnels, liés à la dernière période de congés vécue aux côtés de son épouse, Marie-Aimée, disparue depuis peu, et qui fut très affectée de subir cette affaire, Magloire SIOPATHIS s’indigna de la manière brutale dont se sont déroulées les circonstances autour de la récupération du procès-verbal du bureau de vote numéro un. Un bureau au cœur de la suspicion de fraude. Ecourtant ses vacances, le couple SIOPATHIS reviendra dare-dare à leur domicile afin de produire une copie de ce fameux procès-verbal, dont l’original était à la préfecture, comme il se doit. Dans le respect de la procédure.

 

 

La légitimité sectorielle adossée à l’expérience…

 

Puis, le maire et conseiller départemental de l’Yonne s’adressa à ses électeurs. « Mes pensées vont naturellement vers eux, expliqua-t-il, à celles et à ceux qui nous ont accordé leur confiance et leur soutien devant cette indignation et ce manque de si peu de respect du résultat démocratique. Nous avons, Arminda (GUIBLAIN, le maire de Monéteau) et moi une trop grande estime de nos institutions pour n’avoir pu imaginer un seul instant faire ce qu’on nous a accusé. Cela démontre que certains préfèrent user de tous les moyens pour garder ou obtenir un statut plutôt que d’œuvrer sur le terrain pour mériter la confiance des électeurs… ».

Une phrase qui sera suivie d’un silence approbateur dans la salle du conseil municipal où prenait part, également, en qualité de soutien au ticket vainqueur de la départementale de l’été 2021, Jean-Luc LIVERNEAUX, maire de Gurgy.

Poursuivant, avec la même intonation de gravité dans la voix, Magloire SIOPATHIS insistera sur le principe du gain de l’élection en démocratie : « elle se gagne dans les urnes et de manière régulière, comme nous l’avons fait en ce soir de juin 2021. Une élection ne se remporte pas en employant des méthodes peu dignes, ou dignes de ce qui se pratiquait jadis sous d’autres cieux. Notre binôme est sorti en tête de ce scrutin aussi bien au soir du premier que du second tour. Je n’ose même pas rappeler le score : il ressemblait à celui d’un scrutin soviétique avec près de 77 % des suffrages ! ».

Bref, devait-il souligner, un résultat traduisant la confiance des électeurs, à défaut un plébiscite. Evoquant la légitimité de sa candidature, en qualité de représentant de la quatrième localité de l’Agglomération de l’Auxerrois et celle de sa collègue élue à Monéteau, Arminda GUIBLAIN, Magloire SIOPATHIS rappela qu’il n’était pas insensé de prétendre à une telle échéance électoraliste (les départementales), affublés de deux autres communes Charbuy (Gérard DELISLE, absent, a été cité parmi les soutiens de l’initiative du soir) et Gurgy, pour représenter le canton en siégeant dans l’hémicycle de la Pyramide à Auxerre.

« En outre, ajouta-t-il, votre serviteur possède pas moins de vingt ans d’expérience au sein de l’institution départementale, tant dans l’Yonne que dans le Limousin par le passé, pour connaître suffisamment les arcanes de cette collectivité ô combien importante que représente un Département… ».

 

 

La main tendue pour un travail de concertation ensemble…

 

Rien d’étonnant, au final, à ce que l’ancien directeur de service du Conseil départemental de l’Yonne postule en candidatant à cette mandature territoriale.

« J’hésite beaucoup entre donner une suite judiciaire à ce dossier et prendre le risque peut être de salir la mémoire de mon épouse qui a été affectée par cette affaire ou au contraire de saisir cette occasion pour taper du poing sur la table en disant à un moment donné, il faut arrêter. J’ai échangé avec mon avocate qui va se rapprocher des services qui sont en charge de ce dossier. En fonction de son analyse, elle nous conseillera utilement quant à la suite judiciaire ou pas à donner à ce dossier… ».

Toutefois, lors de sa conclusion survenant un peu plus tard, Magloire SIOPATHIS semblait vouloir tourner la page. Ouvrant la suivante pour mieux se consacrer avec son équipe au travail à assurer dans l’intérêt des habitants du canton.

« On n'est pas élu pour polémiquer, martela-t-il au terme de sa prise de parole, certes, on a du mal à associer les deux autres communes à nos projets (Branches et Perrigny) mais, on espère après tout ça que l’on trouvera un moyen de pouvoir les attirer vers nous et travailler ensemble de manière positive dans l’intérêt du canton et de ses concitoyens ».

Une main tendue par le maire d’Appoigny qui ne veut plus se diluer et perdre son temps dans des polémiques futiles. Voire stériles…

 

Thierry BRET

 


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Et si le coup d’essai qu’il entreprend en accointance avec le retour du printemps se muait en un véritable coup de maître in fine ?! Pour cela, il lui suffit de rallier les déçus des formations politiques traditionnelles, dont certaines y laisseront des plumes au lendemain des présidentielles et de convaincre les férus indécrottables de l’abstentionnisme au sein de ce parti du progrès social et de l’humanisme pur jus. Pas si bête, en somme !

 

AUXERRE: La démarche pourrait reposer sur une simple nostalgie de façade mais ce n’est pas cela qui anime aujourd’hui le quotidien de l’un de ces personnages majeurs de la vie politique auxerroise. Une figure charismatique qui ne se range pas dans la catégorie des « perdreaux » de l’année. Pour autant, ce n’est pas parce que le compteur du temps a déjà égrené 68 coups à l’horloge qu’il serait impensable de ne pas se projeter encore en avant, vers de nouveaux projets et de réelles perspectives. Qu’elles soient associatives ou politiques. Voire les deux, si on les additionne. Car tel devrait être le cas d’ici quelques semaines.

Jacques HOJLO, puisque c’est de lui dont il s’agit, refait surface. Pas comme un serpent de mer faisant le yoyo selon les courants ou un intriguant perfide qui reviendrait pour brouiller les cartes dans le jeu très complexe du microcosme politique local actuel en quête de quelque chose.

D’ailleurs, ce qui frappe quand on discute tranquille avec cet humaniste au grand cœur, c’est son humilité profonde. Une sagesse mâtinée avec l’âge de ses artères mais attention qui reste toujours dans le vent et au contact des réalités. Ce n’est pas parce que l’on est sexagénaire, que l’on possède un solide passé d’élu derrière soi que l’on est tout juste bon à incarner un cacique de la vie publique à jeter comme un Kleenex usagé !

 

Des bisbilles entre radicaux de gauche et valoisiens un tantinet à droite…

 

Certes, ce serviteur des autres se revendique de la plus vieille formation politique de France, apparue en 1901 ! Cela ne s’invente pas. Le Parti Radical. Et d’évoquer à la façon d’un inventaire à la Prévert (tiens, un autre Jacques là-aussi !) les patronymes célèbres de ses pairs qui ont su porter hautes les couleurs de cette structure en France dans une période que les moins de vingt ans (mais aussi beaucoup d’autres !) n’ont pu connaître.

Georges CLEMENCEAU, Jean MOULIN, Jean ZAY, pour les fondamentaux mais aussi Pierre MENDES-France ou encore Robert FABRE, clé de voûte de l’Union de la Gauche en 1972 lors du Congrès d’Epinay qui allait placer sur orbite un François MITTERRAND goguenard vers la victoire présidentielle moins de dix ans plus tard.

Bon, c’est sûr : tout n’est pas rose non plus dans le milieu du radicalisme à la française. Des disputes se succèdent en divorces au fil des ans entre ceux qui prônent leur appartenance à la mouvance de gauche et sociale, et leur corollaire, les Valoisiens, nettement plus libéraux et un tantinet à droite toute !

 

 

D’ailleurs, en 2017, une tentative de rapprochement entre ces deux tendances a viré au flop, entraînant un nouveau déchirement parmi les lointains héritiers du « Tigre ». Georges CLEMENCEAU pour les incultes !

L’une des personnalités marquantes de ces grandes années qui titille encore l’esprit de Jacques HOJLO se nomme Jean-Baptiste BIENVENU-MARTIN. Eh oui, on connaît son nom en l’identifiant avec un établissement scolaire du secondaire qui a connu des déboires fonctionnels qui lui furent fatals. On imagine que de là-haut ce personnage, nommé trois fois ministre du Culte, du Travail et de la Justice en qualité de Garde des Sceaux a dû se tourner maintes et maintes fois dans sa tombe en apprenant la nouvelle de la fermeture du collège auxerrois qui portait son nom !

Alléluia ! Le patronyme de ce représentant de l’Etat va reverdir localement. Pas plus tard qu’au cours de ces prochaines semaines en désignant l’appellation du futur cercle collectif (peut-être sous la forme juridique d’une association) que Jacques HOJLO, rempart immuable de la laïcité et du progrès social va faire naître dans le département.

 

Un cercle Bienvenu-Martin pour faire phosphorer les idées…

 

Objectif de ce cabinet de réflexion à maturité constante : l’organisation de rencontres et de réunions participatives se rapportant aux préoccupations régaliennes de la société, à savoir le travail, la justice, le progrès social. Trois sujets centraux qui sont le fondement du parti radical en plein renouveau.

Dans le concret, l’ancien élu socialiste de l’équipe de Guy FEREZ (devenu durant ses mandats ardent défenseur de la cause radicale de gauche) s’appuiera sur un autre visage de l’époque « rose » qu’a connue la ville d’Auxerre : l’ancienne élue Elodie ROY.

Tout ceci se fera sous l’égide des grands préceptes de la majorité présidentielle, Jacques HOJLO est l’un des membres du comité de soutien du président de la République Emmanuel MACRON.

Avec cet outil associatif, le cercle Bienvenu-Martin, le chef de file du Parti Radical de l’Yonne souhaite attirer à lui des personnes éloignées de la politique, des réfractaires aux partis actuels qui risquent de se disloquer après la présidentielle, des représentants de la société civile mais aussi des abstentionnistes, dont les rangs ne cessent de grossir en France.

Vice-président national du réseau « Habitat et Francophonie » dont il a aussi géré le mandat de président par le passé, Jacques HOJLO demeure un maillon fort au sein de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat. Il fut pour mémoire président de l’Office Auxerrois de l’Habitat.

Le second souffle donné au Parti Radical en France induit nécessairement une action directe lors des prochaines législatives de juin. Jacques HOJLO qui ne brigue rien à titre personnel entend en revanche positionner sur les bons rails celles et ceux de ces bonnes volontés qui pourraient jouer un rôle crucial de catalyseur dans le sérail.

« Nous n’avons aucun complexe, précise-t-il, le passé flamboyant plaide en notre faveur, et nous pouvons être très utile à notre pays, au demeurant à notre territoire départemental… ».

Le Parti radical effectue donc son come-back. Oyez, oyez braves gens : il faudra désormais compter sur lui pour impulser de nouvelles espérances et des lignes novatrices à celles et à ceux qui croient toujours en l’humanisme et au progrès sociétal ! Ainsi soit-il !

 

Thierry BRET

 


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Elle a beau enchaîner les récitals aux quatre coins de l’Hexagone, voire sous d’autres cieux éloignés du continent européen ; l’auteure-compositrice et interprète, éprouve toujours un immense plaisir à se produire sur l’une des scènes de son territoire de prédilection : l’Yonne. D’ailleurs, son public, fidèle parmi les fidèles, le lui rend bien à chaque prestation. Voix de velours et look « glamour », cette « crooneuse » de charme a su s’essayer avec bonheur aux rythmes suaves du jazz et devrait combler d’aise les spectateurs de Perrigny le 02 avril.

 

PERRIGNY : Nul ne peut rester insensible à un tour de chant assuré par Christelle LOURY. Sa prestance, tout d’abord, traduit le professionnalisme de l’artiste, façonné par des heures et des heures de travail. Une construction infime du personnage public autour de la pugnacité et du volontarisme qu’elle dévoile sous les feux des projecteurs depuis bon nombre d’années. La voix, ensuite. Peaufinée, maîtrisée qui lui permet en changeant de tessiture et d’intonation de se balader avec aisance et grâce parmi le répertoire qui demeure, et de très loin, son cœur de cible : la chanson française.  

Pas ces airs racoleurs de bas étage, façon « variétoche » qui n’excèdent pas dans nos souvenirs le temps d’un été maussade ! Non, Christelle LOURY, ce qu’elle aime, ce sont les grandes dames de ce patrimoine culturel qui parfois, à l’aide de quelques pépites intemporelles, arrive à faire le tour de la planète et à s’imposer dans des contrées situées loin du berceau initial. Edith PIAF, Juliette GRECO, BARBARA. Du lourd, du très lourd en somme qui résonne encore à nos oreille captives à leur moindre évocation.

Seule en scène, accompagnée d’un instrumentiste, en l’occurrence du virtuose Jean-Christophe KOTSIRAS, derrière le Steinway noir ébène, la chanteuse se donne corps et âme à son public. Par le biais de ces textes qu’elle interprète sans retenue aucune, jusqu’au moindre bout de souffle, et Dieu sait qu’elle en a ! On fait fi du pastiche ou de l’imitation. Les plus anciens d’entre les spectateurs se souviendront de la silhouette filiforme de GRECO, de la noirceur nimbant l’existence de PIAF ou des douleurs intérieures insondables que révèle dans « l’Aigle noir » l’évanescente BARBARA. Christelle LOURY ne les mime pas. Elle ressuscite ces trois anges par sa gestuelle, son timbre, sa présence. Qui ne peut être que bouleversante au fil de l’heure et demie de spectacle. Fermez les yeux et laissez-vous bercer par ce parcours initiatique, au confluent de « la femme, l’amour et la liberté ».

 

 

En savoir plus :

Christelle LOURY en concert le samedi 02 avril 2022 à la salle polyvalente de Perrigny à 20h30.

Entrée à 20 euros.

Informations et réservation sur le 06.81.97.33.96.

Création et mise en scène de Christelle LOURY, avec Jean-Christophe KOTSIRAS, premier prix du Conservatoire de Paris.

Un site pour suivre l’actualité de l’artiste : www.christelleloury.com

 

Thierry BRET

 


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L’ambiance se veut presque potache. Indéniablement, le plaisir de se retrouver transpire à chaque contact. Et du chef d’entreprise, il y en a à foison au centimètre carré ! Il est vrai que l’espace d’accueil de la Maison de la Mutualité à Paris dispose de solides atouts pour accueillir une telle manifestation. La rencontre de la fine fleur des industriels de France (celles et ceux qui sont inféodés à l’UIMM) et les cadors de la politique hexagonale, en prise directe pour disputer une joute électorale se nommant la présidentielle…

 

PARIS: Sur un plan intellectuel, l’initiative a du bon. Idem au niveau de la communication car l’exercice est suivi par plus d’un millier de personnes. Et pas n’importe lesquelles. Celles qui occupent des rôles stratégiques et d’influence aux manettes du développement économique et sociétal de l’Hexagone, à savoir les patrons. A l’estampille de la seule filière industrielle car il s’agira bien dans les propos qui suivront de débattre autour de l’un des thèmes de campagne fort de cette présidentielle : le renouveau de l’industrialisation.

Une antienne qui au fil de l’eau s’est imposée comme un leitmotiv inéluctable à accommoder à toutes les sauces. Après celles vécues pendant la crise sanitaire où la dépendance industrielle de la France envers les pays asiatiques s’est muée en une véritable plaie béante et douloureuse, traduisant notre incapacité à faire montre de réactivité et d’efficience pour s’équiper de masques et de produits de protection dans les meilleurs délais.

Avec celles que nous vivons désormais depuis un peu plus de trois semaines, du fait de ce conflit inattendu (mais prévisible par les Américains) en Europe, opposant les deux voisins et néanmoins pays frères aux mêmes origines que sont la Russie et l’Ukraine.

Forcément, face à ce millier de personnes à qui on ne l’a fait pas côté tactique industrielle, cela ne devait pas être si aisé de pouvoir dérouler son programme électoral, spécifique à une thématique ô combien fondamentale par les temps qui courent.

 

Industrialisation rime avec formation, fiscalité et emplois…

 

Pourtant, l’équation est tellement simple. Qui dit industrialisation, en effet, suppose dans la foulée de la formation, avec à la clé les nécessaires emplois qualifiés dont ont besoin de manière viscérale les capitaines d’industrie hexagonale, notre indépendance productiviste face aux pays émergents de la mondialisation qui faussent la donne en cassant les coûts de production, une fiscalité adaptée aux réels attentes des entrepreneurs, et in fine une souveraineté énergétique en vue de ne pas subir la poussée de fièvre inflationniste (et surtout très spéculative) assurée par une poignée de profiteurs sans morale aucune ni respect d’autrui.

Voilà sur quoi l’enjeu de cette rencontre passionnante reposait entre les professionnels de la politique, possédant des velléités d’endosser la vêture présidentielle au soir du 24 avril, et des chefs d’entreprise soucieux de repartir avec du concret dans leur escarcelle.     

Certes, on pourra regretter l’absence de plusieurs candidats à ce grand oral, digne d’un concours d’éloquence, minuté, et formaté par les organisateurs de l’UIMM, l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie. Un sérieux poids lourd dans le giron de l’entrepreneuriat français. Excusez du peu mais le président de l’entité syndicale n’est autre que le président de DASSAULT Industries, Eric TRAPPIER !     

Gravitent à ses côtés quelques noms célèbres flirtant avec les indices boursiers du CAC 40 !

 

 

Une brochette réduite à quatre candidats seulement…

 

Mais, revenons à nos postulants. Sommet européen oblige sous les ors de Versailles, le président-candidat Emmanuel MACRON, initialement prévu pour prendre part à cet échange avec les milieux économiques (il adore en règle générale ce type d’exercice oratoire) ne sera pas là. On sent une pointe de déception manifeste parmi l’assistance lorsque la « madame loyale » de la cérémonie, journaliste sur les antennes de Canal +, déroule le contenu de ce copieux menu, à avaler en quantité abondante sur la journée, et fait part de cette nouvelle de dernière minute. Pas même une petite vidéo, histoire de nous mettre l’eau à la bouche sur les intentions élyséennes ?

Pas de Jean-Luc MELENCHON, non plus ! Dommage : il aurait été passionnant de suivre les échanges par questions interposées entre le tribun volubile qui n’a pas sa langue dans la poche et les représentants de ce monde économique, à l’origine de tous les maux de la société selon sa perception des choses. Yves JADOT ne dévoilera pas non plus ses positions contradictoires sur sa vision de l’économie industrielle et écologiste.

A contrario, Marine LE PEN (RN), Anne HIDALGO (PS) et Valérie PECRESSE (LR) donneront le change à ce public impatient, se succédant l’une après l’autre au pupitre de cette scène immense. A l’instar du candidat souverainiste de Reconquête, Eric ZEMMOUR, électron libre de la pensée politique du moment.

Galanterie oblige du fait d’une parité excédentaire en faveur de la gent féminine (!), c’est ce dernier qui ouvrira donc le bal. Sous les yeux scrutateurs de milliers de têtes pensantes qui n’en manqueront pas une miette !

 

 

 

Se passer de la main d’œuvre étrangère : le credo du candidat ZEMMOUR !

 

Bille en tête, l’ancien éditorialiste mais toujours polémiste démarre au quart de tour sur la main d’œuvre issue de l’immigration ! Un des participants, composant le petit groupe UIMM de l’Yonne, glisse fort à propos de manière ironique : « Ca y est, c’est parti : on en a pour quarante minutes de cette litanie ! ».

Pointant de l’index les impôts de production et les effets de seuil qui ne permettent pas aux PME de croître, Eric ZEMMOUR égrène différentes propositions utiles lui permettant de démontrer que la chose économique ne lui est pas aussi étrangère que l’on veut bien lui prêter. Si la priorité nationale s’apparente à une évidence dans les commandes publiques,  le candidat souverainiste fustige les frais de successions et surtout les inégalités dès qu’il évoque la concurrence internationale. Quant à l’immigration et ses multiples travers (le credo du personnage), elles auront été longtemps explicitées durant cette intervention.

 

 

Anne HIDALGO :  une odyssée de l'économie en quatre actes…

 

Que dire de la prestation à contre-courant de la maire de Paris, la socialiste Anne HIDALGO ? Une candidate qui a suscité bon nombre de sourires moqueurs de la part du public, affirmant au passage qu’elle avait pu relier la Défense à la Maison de la Mutualité en moins de vingt minutes, montre en main. Un exploit en matière de locomotion qui a su faire germer le doute quant à la véracité de ces propos aux heures sombres de nombreux bouchons et autres embouteillages dont les Parisiens sont coutumiers !

Puis, revenant au sujet du jour, la candidate du PS a décliné la présentation de son « odyssée » qu’elle souhaite appliquer à l’économie française. Une odyssée segmentée en quatre actes : la santé, les énergies renouvelables, la mobilité et le numérique. Elle s’appesantira passablement sur la formation et la promotion de l’individu à travers l’égalité salariale entre femmes et hommes. A compétences identiques, il va de soi. Avec l’obligation pour les entreprises de s’y soumettre, et d’obtenir des bons points à l’appui pour les meilleures d’entre elles et surtout des sanctions économiques pour celles qui refuseraient de le faire !

Des pistes de réflexion qui n’ont guère convaincu l’assistance peu encline à devoir subir d’autres griefs économiques au vu de la conjoncture…

 

 

Marine LE PEN : " La France doit rester maître de ses moyens industriels"…

 

Souriante, très à l’aise, ne lisant pas ses notes, l’égérie du Rassemblement National Marine LE PEN s’est entretenue ensuite avec ce « jury » spécifique du grand oral de l’industrie. « Les pays en possession de leurs moyens industriels restent maîtres de leurs orientations ! ». Le ton est donné pour l’oratrice qui avait échoué en 2017 à accéder à la présidence. La faute à un débat télévisé pour le moins curieux si ce n’est catastrophique.

Lors de cette prise de parole, la cheffe de file du mouvement bleu marine parle de nucléaire comme de l’automobile, surfant sur le coût des énergies et le besoin de s’engouffrer vers l’hydrogène. Favorable à la nationalisation des autoroutes, l’oratrice rappelle que réindustrialiser la France représente un enjeu d’aménagement du territoire essentiel à notre pérennité. La boucle est bouclée et aux dires de plusieurs rangées de spectateurs interrogés, le dossier est maîtrisé.

 

 

Oui à l’innovation et la simplification administrative pour Valérie PECRESSE…

 

Reste pour clore ce concours d’éloquence un peu spécial le passage de Valérie PECRESSE, leader des Républicains. La présidente de l’Ile-de-France semble être à l’aise à la tribune, après sa déconvenue orale du Zénith. L’industrie, elle connaît en parfaite technicienne et en visiteuse d’entreprises qui pullulent sur son territoire de prédilection. Et paradoxalement, c’est vers la revitalisation des territoires ruraux qu’elle intensifiera ses propositions !

Dénonçant au passage l’application du « zéro artificialisation nette ». Entre innovation et recherche, entre souplesse et simplification administrative, la représentante de la droite et du centre droit veut remettre le pays en ordre de bataille, n’oubliant pas l’emploi et la formation qui vont de pair. Un message fort à destination de son électorat potentiel, les chefs d’entreprise.

Au-delà des quatre interventions, une chose est sûre en qualité de dénominateur commun aux propositions faites ce jour-là à Paris : réindustrialiser la France s’inscrit parmi les priorités régaliennes de ces candidats.

Mais, après les paroles qui ont été prononcées, il est clair que la sphère entrepreneuriale dans son ensemble (et bien au-delà de l’UIMM) attend maintenant une véritable concrétisation de ces idées sous la forme d’actes clairement réalisés. Autant dire que le temps des promesses futiles est révolu !

 

Thierry BRET

 


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Faire perdurer la tradition. Celle de l’organisation de superbes concours de coiffure où s’affrontent les meilleur(e)s de leurs spécialités. Qu’il s’agisse de coiffes de mariées, de coupes masculines, de projections futuristes ou que sais-je encore. Trente-six candidates se sont retrouvées à Migennes le 13 mars dernier. Objectif : se qualifier pour les finales nationales devant se dérouler en 2023…

 

MIGENNES : Ah, l’élégance et la maestria de ces jeunes apprentis coiffeurs et professionnels confirmés qui exécutent des coupes remarquables où l’inspiration se transmet jusqu’au bout des doigts via la paire de ciseaux et ne cesse de nous émerveiller ! Concocté par l’antenne départementale de l’Yonne de l’Union Nationale des Entreprises de Coiffure (UNEC), le challenge « Trophy », proposé il y a peu à Migennes, n’a pas usurpé sa réputation.

Banque Populaire

Voilà une excellente interprétation de ce que sont ces métiers de l’artisanat et des services (la coiffure) qui procurent toujours d’agréables sensations. Chères à la CNAMS (Confédération nationale de l’Artisanat, des Métiers et des services) qui en défend les valeurs et la pérennité sous l’égide de son organisme.

 

 

Ce concours, annuel quand il n’est pas perturbé par une crise sanitaire, aura prouvé que la dextérité peut réaliser des prouesses lorsque l’on maîtrise les bases fondamentales de la corporation. De l’art à l’état pur ! Et une excellente opportunité pour celles et ceux qui en sont ses ambassadeurs de pouvoir s’illustrer sous le feu nourri des projecteurs, notés par un jury d’experts.

Un challenge encouragé par la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté. L’organisme accompagne ainsi sur le terrain l’une de ses fédérations professionnelles adhérentes, en faisant toute la lumière sur ce beau concours qui a su faire rêver celles et ceux qui suivent de près l’actualité de l’artisanat. Une réussite, vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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