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La prochaine échéance est prévue en 2023. Peu importe que le délai soit encore si éloigné de l’actuel calendrier estival. Entre deux plats qu’il prépare avec minutie pour sustenter une clientèle de plus en plus nombreuse à s’installer sur la terrasse de la fameuse guinguette sise au bord de l’étang, Christian MACARY ne cesse d’y penser. Peaufinant mentalement ses recettes, multiples et variées, afin d’engranger le maximum de points auprès du jury et se hisser ainsi parmi l’élite hexagonale qui se retrouvera lors de la Coupe de France des burgers !

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : La silhouette du tenancier de la Guinguette de la Cour Grenouille va de table en table. Histoire de tâter le pouls d’une clientèle à forte dominante de touristes en goguette et de personnes en quête de villégiature, éprises de petits coins sympas où les arts de la table se respectent selon les sacro-saints principes des règles culinaires à la française.

Ici, la cassolette d’escargots s’apprécie avec gourmandise à l’instar de la poêlée de cuisses du fameux batracien qui a donné son appellation à cet estaminet champêtre et rafraîchissant posé là au bord de l’eau.

Juste en face des sources de la Druyes qui coulent toujours malgré l’âpreté de la température et une sécheresse persistante.  

Mention très bien, en parallèle, aux succulents œufs en meurette qui baignés de leur sauce onctueuse et délicate, offrent un véritable aperçu culinaire de ce chef venu sur le tard dans la profession : Christian MACARY, pur produit du CIFA de l’Yonne avec mention !  

L’expérience réussie d’une semi-sédentarisation …

 

Ce chef dont nous avions découvert avec bonheur l’existence à ses débuts, aux côtés de sa muse et compagne Brigitte MANCINI, évoluant à bord d’un complexe itinérant de belle facture, « L’Authentic Les Saveurs en Mouvement », food-truck de son état ! Déjà dans les recettes concoctées par ce tandem, il y avait de belles surprises prometteuses à se mettre sous la dent.   

Aujourd’hui, et pour cette période estivale lors de cette saison, on retrouve le couple sous d’autres auspices, loin de leur itinérance aventurière habituelle et davantage ancré vers une relative sédentarisation, en prenant les rênes de ladite guinguette de Druyes. Une adresse qui fleure bon les retrouvailles familiales de l’été et que bon nombre d’Auxerrois et de résidents de la Nièvre – quand ce ne sont pas des Franciliens attachés à leurs résidences secondaires – aiment à biffer sur leur agenda. C’est sûr : il est judicieux de réserver avant de s’y attabler !

Cadre bucolique, espace de jeux pour la progéniture ou nos amis les bêtes, présence de couvées de canards qui réclament leur dû sous la forme de miettes de pain à profusion… : bref, l’endroit est idéal pour se détendre tout en dégustant quelques bonnes recettes sorties de derrière les fagots que l’ami Christian prépare savamment avec plaisir. De cela, nous y reviendrons ultérieurement un de ces quatre…

 

 

La promesse de recettes originales et de saveurs novatrices dans ses burgers…

 

Pour l’heure ce qui turlupine intérieurement l’homme au tablier professionnel reconnaissable parmi mille, c’est la future épreuve de la Coupe de France de burgers à laquelle Christian MACARY s’est déjà frotté par deux fois !

Lui qui s’est déjà classé parmi les cent meilleurs spécialistes français dans la préparation de ce plat, pourtant aux antipodes des succulents œufs en meurette qu’il réalise avec succès se dit passionné par cette spécialité américaine. Au point de le proposer à la carte de l’établissement dont il assure la gérance et de pouvoir convaincre les plus réfractaires de ce mets aux joies gustatives retrouvées !

La viande, à la traçabilité française, est savoureuse et tendre ; les ingrédients qui l’accompagnent ne manquent pas d’originalité ni de goût ; le total de tout cela donne  un plat excellent que l’on peut recommander même aux adorateurs des maisons étoilées soucieux parfois d’emprunter aussi des chemins de traverse gastronomiques insolites !

Pas étonnant que le jury de cette Coupe de France des burgers ait un faible pour les produits imaginés par Christian MACARY qui promet déjà monts et merveilles au niveau des saveurs et de la texture lors de sa prochaine participation au printemps 2023.

Evoquez un peu le sujet avec lui, entre deux services : vous ne le regretterez pas car vous recevrez les commentaires enthousiastes d’un passionné et peut-être deviendrez-vous à votre tour un ardent défenseur de ces burgers moulinés à la sauce hexagonale que les adeptes de la gastronomie à la « Escoffier » sont en train de s’accaparer de plus en plus avec certaine volupté ! C’est ça la France de la grande cuisine !

 

Thierry BRET

 

 


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Trois longues années de phase préparatoire. Une éternité, tout de même, quand on a l’âme chevillée au corps pour vivre à fond la passion de cette discipline qui permet de tutoyer les nuages. Pourtant, l’abnégation était au rendez-vous en ce jour de festivité nationale qui n’aurait pas déplu à Jacques TATI ! Car, au-delà de la tentative, celle de battre le record de France en séquence de grande formation, c’est bel et bien à un « Jour de Fête » que nous ont conviés les vingt-quatre parachutistes réunis sur la base de « Paris Jump »…

 

SAINT-FLORENTIN : Sur le papier, et vu de la terre ferme, cela semble si facile. La règle du jeu apparaît d’une aisance extrême. Il s’agit de construire deux figures accueillant vingt-quatre parachutistes en chute libre. Un vol en formation qui s’appréhende toutefois à 4 400 mètres d’altitude, très haut au-dessus de nos têtes. Une paille pour les sportifs chevronnés qui ont décidé de tenter le coup et de s’offrir un nouveau titre de gloire à ajouter à leurs brillants palmarès !

Le projet se nomme « le Challenge 2022 ». Ce n’est ni plus ni moins qu’une tentative de record hexagonal à réaliser dans le ciel du Florentinois, un jour de 14 Juillet.

Plusieurs essais ont eu lieu la veille. En vain. Mais, pas grave : c’était surtout pour se mettre en jambe, façon de parler quand on est suspendu à son parachute le nez dans les nuages, et trouver les bonnes sensations, favorables à la confiance collective. Rappelons que pour être homologuée et validée par les trois juges internationaux, la séparation entre les deux figures doit être totale. Logique, car tout le monde doit avoir lâché la main de son coéquipier avant de construire la seconde image.

 

 

Motiver les quadragénaires de la discipline autour d’un projet…

 

Partis de deux avions, les vingt-quatre champions réussiront donc l’exploit avec pugnacité le 14 juillet. Donnant encore plus de relief et de cocorico à leur tentative ! Précisons que pour mener à bien cet exercice qui sera immortalisé désormais dans le livre des records des parachutistes, les sportifs étaient coachés par Paul (Polo) GRISONI, un cador de la discipline qui possède l’un des plus beaux palmarès tricolore, et Nicolas DAVID. Le tout aura été filmé et photographié par Guy MARCEAU, Olivier JEAN et Pascal HONS.

Programmé depuis 2019, le projet repose sur l’initiative portée par Alain LIMONIER. Le proposant à Paul GRISONI, l’objectif est de préparer un record de France, catégorie « vétéran », qui soit réservé aux adeptes de la discipline de plus de quarante ans. Après moult séances d’entraînements, conçues en soufflerie, à bord d’avions, la motivation est intense entre ces quadras toujours verts, prouvant ainsi que la dynamique au sein des parachutistes passionnés n’atteint pas le nombre des années !

On connaît la suite. Il aura fallu au total trois saisons pour peaufiner chacun des gestes minutieux indispensables à la conception de la double figure, au sol et dans les airs, avant de se lancer avec bonheur dans le grand bain.

La performance est belle. Engendrant de facto les records tellement espérés par ses auteurs, tant vétéran que national, qui sont tombés comme de jolis fruits mûrs et juteux dans l’escarcelle de ces acteurs de l’impossible posée sur l’aérodrome de Saint-Florentin.

 

Thierry BRET

 


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4900 kilomètres aller/retour pour rejoindre à moto, depuis le Sénonais, (et en revenir aussi !), la cité blanche au pays bleu, plus communément dénommée, Lisboa (Lisbonne) ! Ce fut récemment notre objectif commun, avec « Gégé » et « Oliv », plus particulièrement pour célébrer le cinquantenaire de nos amitiés familiales ! 1972 : une autre France, celle d'une autre époque !

 

LISBONNE : Cette semaine passée chez nos voisins et amis de ces pays ibériques, dont bon nombre d'icaunaises et d'icaunais sont originaires (on pense notamment à la ville de Fafe au nord de Porto) fut des plus intéressantes. En effet, lorsque désormais l'on traverse la France, par ses chemins de traverse, on peut y observer, avec autant d'incrédulité que de réalisme la quasi- disparition de moult commerces villageois ou citadins.

Adieu bistrots, auberges de bord de route, et autres. Tout y est bien souvent fermé à tout jamais, ou encore à vendre. L'Yonne et la Nièvre n'échappant pas à cette terrible et actuelle spirale de déshumanisation.

Seules demeurent bien souvent  ces zones commerciales aux entrées d'agglomération, sans âme aucune, avec ces sortes d'usines alimentaires liées à des chaînes d'inspiration américaines. C'est triste, mais c'est ainsi.

 

 

L’accueil si sympathique dans les estaminets…

 

Rien de tout  cela chez nos voisins, chez lesquels demeurent encore nombre de commerces locaux. Dans vingt ans, sera-ce encore le cas ? Trop tôt pour le dire, mais  aujourd'hui en 2022, cela existe encore, alors une fois franchies les Pyrénées, sachons en profiter !

Force est de reconnaître aussi, que bien souvent ces estaminets - et leurs toilettes ! - y sont d'une propreté irréprochable et que l'accueil y est plutôt gentil ! Les chaînes d'infos n'y règnent pas en maîtresse absolue, et du coup, les gens discutent entre eux. C'est bête, mais il fallait y penser !

 

 

Il y a toujours des clients même en rase campagne…

 

Le café y est plutôt bon, et avec l'apéritif, olives, fromages ou rondelles de saucisson y sont aimablement  servies. Au nord de Porto, dans un petit hameau cerné de vignes, tandis que nous nous arrêtons dans un petit café, où nous commandons trois verres de « vinho verde », histoire de se désaltérer de cette route sous 35 degrés, il nous fut apporté une carafe de vin bien frais, du pain, du fromage ainsi que des olives. Le tout pour 4 euros ! Oui, vous avez bien lu. Du coup, il y a toujours des clients dans ces établissements, même en rase campagne.

 

 

Une appréciable liberté qui n’est pas normée comme en France…

 

Ce petit geste de service fait plaisir à la clientèle. Il est pratiqué aussi en Italie, bien souvent. Mais, nos bistrotières et bistrotiers hexagonaux, eux, l'ont totalement oublié. Cela n'obère pourtant pas le chiffre d'affaires, peut-on penser. Au contraire, on peut songer que cela pourrait générer un retour - ou une venue nouvelle - de certains clients.

Peut-être existe-t-il encore dans ces deux pays que sont l’Espagne et le Portugal, une forme d'appréciable liberté qui chez nous, devient  chaque jour, plus strictement normée.

 

 

Des 200 000 bistrots des années 60, il doit n'en demeurer qu'environ 28 000 à ce jour. Ce symbole de la France heureuse est en train de disparaître. Point besoin de les « muséifier » pour les bobos parisiens ! Il faut juste les faire vivre pour ce qu'ils sont, ces chouettes lieux de vie et de convivialité !

A charge aussi pour ces professionnels de s'adapter parfois, en regardant ailleurs - pas très loin d'ailleurs !- ce qui se fait de bien !

En la matière......gracias et obrigado à nos voisins, qui en demeurant fidèles à certains fondamentaux, contribuent à une certaine forme de pérennité commerciale.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Comme il est de tradition, c’est par une cérémonie de prise d’armes avec revue des troupes, suivie d’un défilé à pied et motorisé, qu’ont débuté à Auxerre mercredi soir, place de l’Arquebuse, les festivités de célébration de la Fête nationale. Avant le non moins traditionnel vin d’honneur offert par la municipalité…

 

AUXERRE : Il y a bien longtemps qu’Auxerre n’est plus ville de garnison et le 4ème régiment d’infanterie ne survit dans les mémoires que par le travail des historiens. Ils avaient fière allure tous ces troupiers qui, au début du siècle dernier et jusqu’à la Première Guerre mondiale, paradaient chaque année au 14 juillet, place de l’Arquebuse à Auxerre, avant de traverser la ville pavoisée aux couleurs nationales. Le régiment s’en est allé mais la tradition est restée. Pour preuve la cérémonie organisée conjointement cette année encore, au même endroit, par la préfecture de l’Yonne, la ville d’Auxerre et la délégation militaire départementale, sous la présidence du préfet Pascal JAN.

 

 

C’est aux accents de la « Marche de la garde consulaire à Marengo », superbement interprétée par l’Harmonie d’Auxerre et la section musique de l’AJA, qu’accompagné par le commandant des troupes et délégué militaire départemental, Thierry POILVERT, le préfet de l’Yonne a passé les troupes en revue sur l’esplanade de l’Arquebuse.

Des troupes alignées comme « à la parade », dans le sens premier du terme, parmi lesquelles le peloton du groupement de gendarmerie départemental, ainsi que ceux de la DDSP 89 et des sapeurs-pompiers du SDIS 89.

 

 

 

Remise de décorations à plusieurs récipiendaires…

 

Etaient présents également, un détachement de surveillants pénitentiaires de la Maison d’arrêt d’Auxerre et du Centre de détention de Joux-la-Ville, ainsi qu’un peloton composé de onze volontaires du Service Civique représentant les 300 jeunes en cours de mission cette année dans le département.

Sans oublier les dix-huit volontaires du Service National Universel (SNU) représentant les 120 jeunes en séjour de cohésion dans notre département, venus de Côte d’Or, du Jura, du Doubs et de Saône-et-Loire, les officiers et sous-officiers d’active et de réserve des quatre grandes forces armées, ainsi que les porte-drapeaux des associations patriotiques.

 

 

La cérémonie aura également été l’occasion d’une remise de décorations à plusieurs récipiendaires méritants, parmi lesquels la maire de Coulanges-la-Vineuse, Odile MALTOFF, élevée au grade de Chevalier dans l’ordre national du Mérite.

Avant qu’elle ne s’achève par le traditionnel défilé des troupes à pied et motorisées, boulevard du 11 novembre, clôturé par les véhicules des pompiers, dont la cote de popularité reste toujours aussi élevée dans le cœur de la population, à en juger par les applaudissements nourris des Auxerrois à leur passage.

  

Dominique BERNERD

 

 

 


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C’est l’un des talents artistiques à découvrir cet été au « Moulin à Tan » dont on ne se lassera pas de contempler les œuvres picturales. Entre couleurs vives, voire flamboyantes et visions animalières des plus explicites. Presque à la limite de l’onirisme vu depuis un jardin d’Eden où le règne animal reprend toute sa force et ses droits. Sa façon à elle de traduire les « sourires de la vie » qui lui sont si chers et qui l’accompagnent au gré de son parcours créatif mêlant avec bonheur musique et peinture…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Cela se vit, cela se respire et c’est intense ! Celle et ceux qui résumeraient les fondamentaux de notre existence à la seule dualité chromatique du noir et blanc, entre tristesse et morosité, en seront pour leurs frais. Voilà une artiste qui n’a pas peur de coloriser ses œuvres jusque dans ses derniers retranchements. En quête de luminescence absolue. Claire BAUGER ! Où l’art et la manière de donner du sens à cette gamme « arc en ciel » qui compose notre environnement de coloris chatoyants à l’œil. Tout en laissant la part belle à l’imaginaire. Il suffit de découvrir sa série de toiles animalières pour mieux s’imprégner de la vista de cette créatrice qui expose d’habitude ses tableaux aussi bien en galeries parisiennes qu’à La Baule, site privilégié et recherché par les férus de culture avec un grand « C »..

C’est dans le village médiéval de Forterre que l’artiste auxerroise se définissant comme une pure coloriste dévoilera ses ultimes créations en ce mois de juillet. Dont ce splendide tigre bleu dont le regard nous sonde avec beaucoup de mystères et de profondeur. Maniant avec dextérité l’art de l’aquarelle comme celui de l’huile, Claire BAUGER se joue des couleurs, en les mélangeant, en les superposant, en prêtant vie à de nouvelles variantes dont elle possède le savant secret en véritable alchimiste de la création coloriste qu’elle est devenue avec pugnacité dans son approche d’artiste.

 

Eclectisme artistique de belle envergure…

   

La peintre auxerroise partagera l’affiche de cette exposition estivale (du 13 au 31 juillet) concoctée par l’association locale, « Arts et Décors sans Frontières » avec d’autres valeurs ascendantes – voire confirmées ! - de la grande fratrie des adeptes du couteau, du burin et de la palette de couleurs. On notera l’excellent travail de Marie-Françoise DURNERIN, chantre de l’huile figurative dans lequel elle excelle depuis une quinzaine d’années maintenant. La franc-comtoise Catherine CORDIER-MARC donnera aussi un très bel aperçu de son immense talent grâce à son panel de toiles proposées à l’appréciation des visiteurs.

Jeux de lumières, transparences et flamboyance des couleurs constituent la touche artistique de Stéphane-Françoise CLEMENT qui offrira une note d’exotisme enthousiasmante lors de cette exposition, s’étant inspiré du travail original des maîtres de la peinture nippone.

 

 

La part belle à la sculpture et à la céramique…

 

Parallèlement, les réalisations du sculpteur Jean DOMERGUE et celles de GARY interpelleront les visiteurs contemplatifs de tant d’imaginaire exacerbé, trônant en bonne place dans cet antre au supplément d’âme que représente ce « Moulin à Tan », cher à Chantal MILLOT. Vaillante présidente d’une association qui nous régale à chaque été.

N’omettons pas dans cet inventaire à la Prévert les pièces de la céramiste Brigitte MILLOT, habituée des lieux et de ce rendez-vous à l’atmosphère si conviviale qu’elle n’occulterait de son agenda pour rien au monde.

Notons pour les puristes, la présentation d’un projet artistique original réalisé à l’échelle autour de la maquette de l’église locale de Saint-Romain et conçu par l’une des emblématiques figures du savoir historique et intellectuel de ce charmant village : Robert NEMO, ancien instituteur qui rédigea plusieurs ouvrages de référence sur la commune.

Enfin, pour être tout à fait complet, Frédérique BONVALOT, graphiste et esthète dans la réalisation de peintures murales, dévoilera les travaux réalisés par de jeunes élèves dans le cadre de l’atelier « Bonne Mine ».

 

 

En savoir plus :

Exposition collective « Arts et Décors sans Frontières »

Au Moulin à Tan de Druyes-les-Belles-Fontaines

Du 13 au 31 juillet 2022

11 rue de Chanzy

Entrée gratuite

Ouvert tous les jours de 15 à 19 heures.

Site : www.moulin-a-tan.com

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 


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