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Si les marchés boursiers devraient encore tanguer cette année, cela ne signifie pas pour autant qu’il faut arrêter d’investir. L’important est de conserver une vision de long terme et surtout de ne pas paniquer, nous l’avions évoqué dans le premier volet de cette analyse. Pour se protéger, les investisseurs peuvent recourir aussi à certaines techniques, comme le « Dollar Cost Averaging » (DCA). Elle consiste à investir sur un même actif (action, matière première, or, Bitcoin, etc.) un montant fixe à intervalles réguliers. Explications…

 

TRIBUNE : Ces intervalles peuvent être hebdomadaires, mensuels, trimestriels ou annuels. Le résultat est simple. La technique du « DCA » permet de réaliser des gains tout en lissant les risques sur la durée.

Dans les périodes baissières, en effet, seule une partie de l’investissement est affectée par la baisse des marchés, à savoir les derniers achats. À moins d’un krach boursier, le reste est protégé de la volatilité. Cela ne signifie pas, bien sûr, que l’investissement sera nécessairement rentable, mais les risques seront ainsi plus limités. 

Par ailleurs, les investisseurs peuvent, s’ils souhaitent profiter de la croissance des marchés sur la durée, miser sur des tendances émergentes et prometteuses comme la domotique ou la « cyber sécurité ».

Personne ne peut prédire l’avenir en matière boursière, c’est une évidence. DE même, personne ne peut annoncer que nous serons exonérés de krachs futurs. Pour celles et ceux qui ne sont pas prêts à prendre trop de risques, pour ceux qui veulent un placement sûr et disponible à tout moment il reste… le traditionnel Livret A !

 

 

« Le temps des cerises » où le client encaissait ses dividendes…

 

La rentrée sera sûrement chaude, compte tenu du climat social et économique. Le temps des petits boursicoteurs est donc révolu. Se mettre à une terrasse et lire son journal boursier en sirotant un café afin d’envisager les futurs arbitrages… : ne rêvons plus !

Les ordres de bourse passent à la nanoseconde ; les grands gestionnaires de l’investissement analysent l’évolution des comportements des investisseurs potentiels et arbitrent en conséquence… La finance comportementale et le BIG DATA (des systèmes capables d’intégrer des milliards de données en quelques secondes) gouvernent aujourd’hui la « planète boursière ».

Que dire de ces temps héroïques où les agents de change échangeaient les ordres de bourse à la criée au Palais Brongniart, en balançant leurs mégots de Havane au centre de la corbeille…

Que dire encore de ces touchantes mamies qui venaient à la banque, gants et voilette, pour encaisser, en espèces, le coupon de dividendes ou d’intérêts d’emprunts d’Etat… Ah j’oubliais : « elle avait des cerises sur son chapeau… » !

Enfin, à méditer pour celles et ceux qui veulent tenter l’aventure : « Règle numéro 1 : ne perdez jamais d’argent. Règle numéro 2 : n’oubliez jamais la règle numéro 1. » Warren BUFFETT, la huitième fortune mondiale par ses investissements en bourse !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Sobriété stricte dans le message. Quelques lignes qui ont été rédigées depuis un clavier d’ordinateur, avant d’être adressées par e-mail à l’ensemble des destinataires de la toile. Des mots dont on aurait aimé se passer après les avoir lus et relus en prenant du recul. Personnage incontournable du milieu associatif du Sénonais, Michel GANDOLFO, président du Cercle Condorcet local, a tiré sa révérence à l’âge de 77 ans. Tristesse et consternation…

 

SENS: C’était un transmetteur de savoir. Un pédagogue pur jus qui a donné son existence à la vulgarisation de l’une des plus belles disciplines du parcours scolaire et universitaire offerte par l’Education Nationale : la philosophie.

Un professeur émérite qui pendant plus de trois décennies aura enseigné à des milliers d’élèves du lycée local les préceptes vertueux des grands maîtres de cette noble matière, forgeant l’esprit et l’idéologie. S’inspirant beaucoup des philosophes de l’Antiquité et de ceux qui firent reculer l’obscurantisme stérile au siècle des Lumières…

Michel GANDOLFO n’est plus. Lui, le toujours dynamique responsable du Cercle Condorcet du Sénonais malgré les affres du temps et de la maladie, s’est donc éteint lors de ce morne week-end à l’âge de 77 ans.

Un lapidaire mais consternant message, envoyé par l’administrateur du Cercle Condorcet du Sénonais – la belle institution - et ami très proche, Jean-Pierre CHIGNARDET sur les messageries numériques aura délivré la sinistre information. Le décès est survenu ce samedi 03 septembre.

 

 

Une place privilégiée au Panthéon de la vie associative sénonaise…

 

Curieux hasard de la vie et…de la mort, en vérité. Michel GANDOLFO est parti alors que l’actualité de la structure associative dont il présidait la destinée depuis 2011 la place sous le feu des projecteurs avec la Semaine de l’Arbre, qui débute ce lundi 05 septembre dans la ville la plus septentrionale du territoire.

En effet, le Cercle effectue sa rentrée ce lundi au cinéma Confluences à Sens en projetant avec la présence du réalisateur Georges FETERMAN, le long-métrage consacré aux « Arbres remarquables » à 18h30.

Naturellement, tous ses amis du Cercle Condorcet du Sénonais (et les autres) lui rendront un vibrant hommage à cette occasion car le personnage occupait une place privilégiée au Panthéon de la vie associative départementale.

Marié à Véronique, Michel GANDOLFO et sa mémoire seront célébrés au cours d’obsèques émouvantes qui se dérouleront en la cathédrale Saint-Etienne de Sens le jeudi 08 septembre à 10h30…

 

Thierry BRET

 

 


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Elle peut prendre la pose avec le sourire le temps d’être immortalisée sur la photo, la « Dream Team » de la municipalité sénonaise ! En obtenant quatre lauriers – soit la distinction suprême de ce label ayant attrait à l’attractivité sportive d’une ville – Sens rejoint le cercle très hermétique des vingt-quatre agglomérations de l’Hexagone, déjà pourvues de ce précieux sésame.

 

SENS: Assimilée dans les esprits des observateurs comme étant le « poumon économique » du territoire septentrional de Bourgogne, munie de ses quatre couronnes évoquant la qualité de son fleurissement et de ses espaces verts, la ville de Sens ajoute un nouveau trophée de chasse dans sa besace bien garnie : celui, à titre honorifique, de « Ville Active et Sportive ».

Un cocorico retentissant qui a été décerné fin août à la collectivité de l’Yonne pour sa politique sportive, qualifiée d’exemplaire. La remise du diplôme s’est déroulée à Limoges le 25 août en présence, notamment de Romain CROCCO, adjoint en charge des sports et de la jeunesse. Ce dernier a pu prendre dans la cité de la porcelaine pleinement conscience de l’importance d’une telle récompense.

 

Sens, la ville la plus sportive du département ?

 

Deux cents communes devaient recevoir le label ce jour-là dans la capitale du Limousin lors d’une cérémonie orchestrée à l’Opéra Théâtre. Créée en 2017, la labellisation « Ville Active et Sportive » a presque immédiatement souri à l’ancienne capitale des Sénons, et ce dès 2018 avec l’obtention des trois premiers lauriers sous l’ère pugnace de Jean-Pierre CROST, à l’époque en charge du dossier.

Comment en aurait-il pu être autrement surtout lorsque l’agglomération icaunaise accueille soixante-trois clubs sportifs, représentant quarante-cinq disciplines, et plus de neuf mille licenciés ?!

Outre les aspects purement sportifs faisant la gloriole de ces structures associatives et de ses champions, la ville de Sens est pourvue de nombreux équipements et complexes de très belle facture, modernes et très fonctionnels.

 

Un label national attribué pour une durée de trois ans…

 

Ce résultat correspond tout bonnement à une addition de compétences et de bonne volonté, dixit Marie-Louise FORT, édile de la commune et présidente du Grand Sénonais, qui savoure l’instant.

C’est le fruit de la bonne entente et de la cohésion entre les élus selon elle. Sans omettre le rôle expert des professionnels des services de la collectivité, celui du sport en tête !

Décerné pour une durée de trois ans par le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, l’ANDES (Association nationale des élus en charge du Sport) et l’Union Sport et Cycle, ce label a déjà été attribué par le passé à 607 localités de l’Hexagone.

Comportant quatre niveaux de valeurs, ses critères d’attribution reposent sur la politique sportive de la collectivité, la motivation des élus à l’appliquer, la qualité des équipements, l’accueil et l’organisation d’évènements sportifs, les initiatives populaires permettant de faire rayonner la pratique des disciplines auprès du plus grand nombre (enfants, seniors, handicapés, malades…), etc.

 

Intégrer la « cour des grands » comme Nice, Grenoble, Nancy ou Dijon…

 

Pas étonnant que Sens ait depuis rejoint le programme « Terre de Jeux », à l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024. Et que son infrastructure sportive fasse l’objet de convoitises appréciables auprès de délégations internationales soucieuses de choisir ce cadre de villégiature salvateur pour y faire séjourner ses athlètes avant les épreuves.

Au-delà du futur rendez-vous olympique – Sens devrait sans doute se plier au cérémonial du passage de la flamme dans ses rues au printemps 2024 -, la cité des Sénons accueille de nombreuses compétitions à la notoriété nationale, parfois internationale.

C’est le cas du triathlon, du trail, du fameux tournoi de football Sans Frontières, du National de pétanque ou encore de l’Open de tennis.

Quant aux évènementiels issus du service des sports, ils sont pléthoriques pour optimiser la cohésion sociale et intergénérationnelle que procure la pratique de ces disciplines, avec « Sports à Sens », « Cité Sport », les écoles de sport,…

Naturellement, les enjeux du développement durable ne sont jamais très loin pour encourager les efforts physiques. Et cela compte, forcément, pour convaincre le jury du label du bien-fondé de ses choix !

A l’instar de Grenoble, Nancy, Nice ou Limoges – des villes d’une toute autre dimension et aux budgets conséquents -, Sens peut s’enorgueillir de posséder désormais ses quatre lauriers comme les deux autres villes de Bourgogne Franche-Comté à les avoir décrochés : Dijon et Besançon.

C’est-à-dire la cour des grands !

 

Thierry BRET

 


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Jusqu'au début du siècle, Saint-Florentin compta une table réputée, et même étoilée au Michelin. On venait de loin pour s'attabler à « La Grande Chaumière » où le chef BONVALOT et sa brigade régalaient leurs convives de soufflé de brochet au Chablis, de ris d'agneau au Soumaintrain et autres noisettes d'agneau en meurette. Oui mais ça, c'était avant !

 

SAINT-FLORENTIN : Retour en 2022, le long de l'Armance ! L'endroit fut longtemps fermé. Cette guinguette lui a redonné vie voici quelques années. Poussons-en la porte, et attablons-nous ! La salle est lumineuse. Elle domine le cours d'eau vaguement à sec en cette période estivale, ainsi qu'un verdoyant verger qui aurait bien besoin d'être fauché !

J'arrive laborieusement à me faire expliquer l'apéritif : va pour le punch planteur, rafraîchissant et assaisonné.

 

 

Le tarama truffé est remplacé par de l’avocat !

 

En entrée, je choisis cinq escargots de la ferme de Vosnon, le saumon fumé du « Borvo » et le tarama à la truffe. L'entrée arrive sans le pain, ni le vin, pourtant commandé. 

Une fois que tout est remis en ordre, je constate que le tarama truffé a été remplacé par de l'avocat ! Point de pic à escargot, je me débrouille donc avec le manche de ma petite cuillère pour extraire de la coquille le gastéropode ! Quant au saumon, il est quelconque : j'ai connu meilleur au  « Borvo » ! Là, on dirait un « machin » de premier prix, sorti tout droit de sa pochette en plastoc…

 

 

 

Un étonnant vin blanc du Bugey…

 

 

Le tarama arrive enfin, après l'avoir là aussi réclamé. Il sera d'ailleurs oublié aussi à la table voisine. L’entrée est décevante, indigne d'un menu à 35 euros. Heureusement, le pain est bon ainsi que le vin, un étonnant blanc du Bugey (domaine de la Ferme de Jeanne à Flaxieu dans l'Ain - très jolis périples que sont la vallée de l'Ain, les Monts du Bugey vers Seillonnaz puis Belley...).

A la table d’à côté, une dame narre amusée à ses amis le débarquement de matériel inhérent aux petits enfants désormais par le fait de jeunes parents semblant très vite débordés !

 

 

 

 

Le bœuf carotte à la bourguignonne : dans la plus pure des traditions…

 

La suite sera meilleure avec le bœuf carotte à la bourguignonne, lard et champignons, pâtes bio du coin « 89440 » (pourquoi ne pas avoir plutôt indiqué la commune ?!). La viande est bonne. La sauce nappe l’ensemble. Les champignons sont variés. Quant aux grosses carottes, elles sont coupées en sifflet et sont fondantes. Les délicieuses pâtes « 89440 » pourraient bien provenir de l'Isle-sur-Serein, après vérifications postales !

Bref, c’est un fort bon plat qui dénote : les cuisiniers connaissent donc leurs gammes. Dommage de ne pas l'avoir démontré dès l'entrée. Surtout, dans un restaurant qui s’affiche comme « bistronomique » !

 

 

 

 

C’est parfait pour le dessert !

 

 

Le dessert est classique et frais, avec un moelleux au chocolat. Il est accompagné d'une délicieuse tuile aux amandes. En traversant la D 905 pour retrouver ma moto, je suis tombé sur cette enseigne d'un autre temps, à la peinture largement défraîchie mais toujours là : « Hôtel de Bourgogne, bière Gangloff ».

Quant aux plaques « Bergers blancs » rouillées, y'a bien longtemps qu'elles n'ont pas vu un glaçon !

 


En savoir plus :

 

Les - : un service gentiment débordé (trois serveuses pour quinze couverts ce midi-là). Un minimum de formation semble nécessaire pour ces deux débutantes, car la gentillesse est là...Le menu n’est pas toujours très simple à comprendre.

Les + : le cadre est lumineux avec sa jolie vue vers l’extérieur.

 

 

Contact :

 

La Guinguette de l'Armance

17, rue du Faubourg du Pont

89600 Saint-Florentin

Téléphone : 09.82.38.26.46.

Première formule proposée à partir de 17 euros.


Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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La capitale de la contrée septentrionale de notre département aime les fleurs ! Malgré les contraintes importantes, liées aux restrictions d’eau du fait de la canicule, près d’une trentaine de Sénonais ont décidé de braver ces conditions météorologiques dantesques en s’inscrivant au traditionnel concours du fleurissement communal. Le jury, composé d’élus et de professionnels, était à pied d’œuvre cette semaine…

 

SENS : Objectif avoué de cet évènement annuel : l’amélioration du cadre de vie des quartiers de la ville. En ajoutant deux nouvelles catégories – l’arbre et le potager - à ses possibilités habituelles, le concours du fleurissement communal élargit donc le potentiel d’aficionados concernés par cet embellissement collectif.

D’ailleurs, le jury, articulé autour de professionnels de l’horticulture, des agents du service parcs, jardins et espaces verts ainsi que des élus, a eu tout le loisir de déambuler dans les rues de Sens afin de noter les réalisations.

« De belle qualité », selon les appréciations de l’adjoint municipal en charge de l’amélioration du cadre de vie, Amine HIRIDJEE qui conduisait le jury.

 

Thierry BRET

 


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