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Et si « l’après COVID » était une chance à saisir pour nous permettre de changer de modèle économique et faire du monde d’après un monde meilleur ? C’est en substance le message qu’a souhaité faire passer l’économiste Philippe DESSERTINE lors d’une conférence organisée à la Maison de l’Entreprise, sous l’égide de l’UIMM, du MEDEF et de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne…

 

AUXERRE : A la fois professeur des Universités, directeur de l’Institut des Hautes Finances, membre du Haut Conseil des Finances Publiques, économiste de renom, Philippe DESSERTINE fait partie de ces experts régulièrement invités dans les médias pour commenter l’actualité. Un large public était donc présent dans l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise et n’a pas boudé son plaisir à écouter près de deux heures durant un conférencier passé maître dans l’art de vulgariser cette science qu’est l’économie. Avec le sentiment, comme l’a rappelé dans son message d’introduction Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, « que dans quelques minutes, l’on aura tous l’impression d’être devenu agrégé d’économie et de sciences de gestion ! ».

 

Philippe DESSERTINE prévient : le pire est à venir…


Philippe DESSERTINE sait manier l’oxymore comme personne et n’hésite pas d’emblée, à qualifier de « catastrophe providentielle » la situation économique dans laquelle le monde évolue aujourd’hui. Le tableau dressé n’est pourtant pas des plus réjouissants : une pandémie, des confinements successifs, une reprise ingérable faute de pouvoir s’approvisionner et embaucher, la guerre aux portes de l’Europe avec pour finir, une crise alimentaire qui s’installe. Et selon l’auteur du « Grand basculement », le pire est à venir : « les pâtes et l’huile qui augmentent, c’est une chose, mais la vraie crise alimentaire, c’est le risque de début de famine tout près de chez nous et cela va très vite nous concerner car quand les gens meurent de faim, ils partent sur les routes… ».

Augurant d’un exode massif de populations, notamment du continent africain, bien supérieur à ce que l’on connaît aujourd’hui.

 

 

Quand le cash se transforme en poussière dans les poches…

 

A ces questions de survie se rajoute une inflation galopante que l’on n’avait pas connue depuis plusieurs décennies et un changement de paradigme insoupçonné : « on ne se rend pas compte à quel point nous sommes démunis face à ce qui nous arrive, avec le risque de faire énormément d’erreurs si on continue à fonctionner comme il y a six mois. Non seulement, nous ne sommes plus dans le même contexte, mais il est inversé. Depuis 35 ans, nous sommes habitués à placer le cash, mais avec une inflation à 5 ou 10 %, votre cash se transforme en poussière dans vos poches… ».

Une inflation née du décalage entre la richesse produite par l’économie et la monnaie que l’on met en face, avec aujourd’hui un PIB (Produit Intérieur Brut) mondial de l’ordre de 92 milliards de dollars conjugué à une dette mondiale à 250 milliards de dollars : « dans toute l’histoire, on n’avait jamais connu un pareil décalage… ».

La baisse des intérêts mise en place depuis plusieurs années n’est pas du goût de l’orateur : « un truc de dingue ! C’est donner le signal pour créer de plus en plus de monnaie et par conséquence de plus en plus de dette ! Exactement l’inverse de ce qu’il faudrait faire… ». La peur de la monnaie entrainant les gens vers des valeurs refuges comme l’or, la pierre, voire la terre agricole, « mais c’est super dangereux pour vos entreprises et industries car ils arrêtent d’investir monétairement ».

 

 

Un emprunt « vert » à l’identique de l’emprunt GISCARD !


Autre élément contributif à l’inflation : la pénurie, née d’une reprise trop rapide, à l’heure de « l’après COVID » : « on a eu un tel redémarrage que l’on se retrouve avec de la rareté partout, à commencer par l’énergie… ». Oubliée l’époque pas si lointaine où faute d’activité et de planète endormie, le pétrole se vendait à des cours négatifs ! A ce choc externe qu’est la pénurie, se rajoute une pénurie de main d’œuvre, difficilement compréhensible pour un pays comme la France, imprégné depuis longtemps de la question du chômage : « la filière hydrogène, ce sont 200 000 emplois titre Les Echos, mais on n’a pas les talents, on n’a pas les gens ! ».

Avec à la clé un autre choc externe inflationniste renforcé par l’augmentation annoncée des salaires et des pensions : « attention, nous sommes lancés dans un processus infernal sans savoir où ça va s’arrêter ! ». Ironisant au passage sur le premier « emprunt vert » émis par la France, il y a quelques jours : « un emprunt à taux variable ! Quelle super idée, alors que commence l’inflation. C’est le retour de « l’emprunt Giscard » indexé sur l’or, un truc génial ! ». Appelant demain à changer de logiciel, pour redonner un nouveau souffle à l’économie : « la photocopieuse a billets peut fonctionner, mais du vrai argent, avec des richesses en face, on n’en a plus, on est à sec ! ».

 

 

L’humain sait tirer profit de la science…


Philippe DESSERTINE l’avait promis en préambule : avant que tout le monde n’aille se jeter dans l’Yonne ou sorte la corde pour se pendre, il conclurait son propos par quelques réflexions positives !

Il n’est pas certain qu’évoquer le dérèglement climatique soit propice à rassurer l’auditoire, mais l’économiste y voit matière à une « révolution scientifique » sans pareil : « depuis deux décennies, le cerveau humain s’est remis en marche et tous les scientifiques s’accordent à dire que les progrès que nous sommes en train de faire sont fous ! Vous ne pouvez pas être pessimiste quand on vous dit ça… ».

Ce changement de modèle qu’il appelle de ses vœux naîtra-t-il de la possibilité acquise par les humains à « dompter » les données massives ou « Big Data » ? Le conférencier en est convaincu, et y voit même la source d’un nouveau modèle économique : « la science contient toujours le pire mais heureusement, l’humain jusqu’à maintenant, a su surtout en tirer le meilleur… ».

La DATA, au cœur de la réflexion économique mais aussi de l’activité de service : « en clair, le PIB mondial aujourd’hui, c’est 75 % de services pour 20 % d’industrie et plus les humains vieillissent, plus ils ont besoin de services… ».

L’amorce d’un phénomène où la DATA devient vecteur et entraîne une migration de valeurs dans tous les domaines et qui, contrairement à l’inflation, est source de richesses. L’outil digital permettant un fonctionnement diffèrent de tout ce que l’on a connu jusqu’alors : « d’un coup, la possibilité d’organiser la planète autrement existe : on arrête de rassembler les gens avec l’obligation de les concentrer soir et matin grâce au télétravail… ».

Un nouveau modèle économique synonyme d’une forme de nivellement, « avec beaucoup moins de hiérarchie dans les entreprises, où la monnaie n’est plus centralisée, où la décentralisation est le mot absolu… ».

 

 

L’Afrique, terre de promesses où la France est en retard…


Première démographie du monde à l’horizon du siècle prochain, l’Afrique sortira-t-elle grande gagnante de ce nouveau défi ? Philippe DESSERTINE y croit : « les plus grandes puissances sont celles où il y a du monde. L’Afrique nous intéresse, non pas pour ce qu’il y a dessous comme aujourd’hui, mais pour ce qu’il y a dessus ! L’important n’est plus d’exporter des minerais mais bien d’y créer des filières de spécialité mathématiques, de commencer à apprendre le codage, comme on a fait en Inde… ».

Rappelant que les Européens en la matière, préfèrent regarder dans le rétroviseur qu’aller de l’avant, « se faisant piquer toutes les places que l’on avait dans les pays africains par les Asiatiques... ». Juste un retard de cinquante ans : « en France, on ne sait pas coder ! ».

 

Dominique BERNERD

 


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Tonnerre n’est pas l’épicentre de la « Diagonale du vide », cette zone blanche où plus rien ne pousse en matière d’initiatives économiques et culturelles, telle qu’on peut parfois encore l’imaginer dans les cénacles parisiens. La présence de deux ténors de la politique hexagonale, François BAYROU et Edouard PHILIPPE, l’aura tout bonnement démontré. Le temps d’un meeting de soutien aux députés sortants, Michèle CROUZET et André VILLIERS où la ville de l’Yonne aura focalisé les intérêts !

 

TONNERRE : « 20 minutes », « Le Figaro », « TF1 », « BFM TV »…une nuée de journalistes, bloc-notes à la main, appareils photographiques en bandoulière, caméras de poche au poing, investissent par une entrée secondaire et dans la précipitation le cadre majestueux de l’Hôtel-Dieu.

Rompant ainsi avec la quiétude onirique de l’endroit qui renferme les dépouilles de quelques sommités de la période capétienne, du temps de Louis XIV, dont le marquis de Louvois.

La vaste salle, dite des « malades » - la vocation hospitalière de ce site patrimonial chargé d’histoire se remémore à nous – bruisse de paroles désordonnées d’un public nombreux et festif – près de 400 personnes présentes selon les organisateurs -, de raclements de chaises continus que l’on déplace afin d’être au plus près de l’estrade, où d’ici quelques minutes débutera le grand meeting de soutien aux deux candidats de la majorité présidentielle encore en lice pour le second tour des législatives.

Un show grandeur nature, orchestré dans un décorum exceptionnel, qui aura été monté de toute pièce en un laps de temps record à la dernière minute ou presque – Richard FERRAND, président du Palais Bourbon y a apporté aussi sa touche personnelle - afin de convaincre celles et ceux des électeurs des deux députés sortants (peut-être les autres, aussi !), placés en ballottage plus ou moins favorables au soir du 12 juin, de l’impérative nécessité de se mobiliser et de voter. Utile, il va de soi !

 

 

Un plateau d’intervenants de premier choix…

 

L’utilité de ce scrutin, justement, aura été incontestablement le fil d’Ariane de cette très longue soirée de monologues très explicites envers les candidats (trop longue au vu de l’inconfort des sièges et surtout de la très mauvaise qualité auditive fournie par la sonorisation, mal calibrée pour couvrir de manière convenable une salle à l’acoustique faite d’échos).

Pourtant, le casting était de premier choix. L’ancien Premier ministre d’Emmanuel MACRON, Edouard PHILIPPE, légèrement hâlé, portant beau et très souriant, à la poignée de main franche, qui s’attardera longtemps auprès de Guy ROUX, l’emblématique entraîneur de l’AJ Auxerre, assis parmi les premières rangées et dont il saluera les qualités intrinsèques de meneur d’homme puisque l’ayant testé lorsque le coach de l’Yonne apportera son expérience unique auprès d’une équipe de football composé d’élus et de parlementaires.

 

 

 

Des citations inspirées de Paul CLAUDEL et de VAUBAN... 

 

Un Edouard PHILIPPE très en verve, micro en main, orateur né et qui aura su insuffler un véritable supplément d’âme à cette rencontre, parfois un peu soporifique, grâce à des formules littéraires empruntées aux plus grands noms de nos talents épistolaires (Paul CLAUDEL) ou se référant à une lecture de VAUBAN faite à LOUVOIS sur la « liberté d’esprit et le besoin d’enracinement pour être utile à son pays ». Un écrit qui pourrait presque s’adapter à André VILLIERS, complètera-t-il avec humour !

Si l’utilité de ce vote était l’un des premiers axiomes explicatifs justifiant la présence du maire du Havre en terre de l’Yonne (« parce que la majorité présidentielle doit rester solide et cohérente devait-il rappeler), un autre mot prit ensuite tout son relief sous la magnifique toiture de l’Hôtel-Dieu, évoquant une coque de bateau renversée à l’instar du superbe château de Sully-sur-Loire. Le terme, enracinement !

 

 

« C’est précisément la vocation première du parti « Horizons » qui a pour objectifs d’élargir et d’enraciner la majorité présidentielle, souligna le responsable national de cette formation, un parti qui a fait sien de dépasser les clivages politiques, puisant son héritage intellectuel parmi les valeurs de la gauche, du centre et de la droite ».

Un parti où « André VILLIERS apportera son propre dépassement », devait-il ajouter.

D’ailleurs, Guy ROUX qui a toujours eu du flair – surtout pour détecter les talents footballistiques de demain – gratifiera l’ancien chef du gouvernement d’une pirouette orale qui fera tilt parmi le public, en « souhaitant à Edouard PHILIPPE de s’installer à l’Elysée dès 2027 » ! Prémonitoire ?

 

 

« Désarmer ceux qui veulent nous défendre est un danger »…

 

Auparavant, et accueilli par Pascal HENRIAT (si, si, il était bien là !), François BAYROU s’est fendu d’un très long exposé (parfois difficilement compréhensible de tous du fait de la qualité affligeante de la sonorisation) sur la situation conjoncturelle. Un exercice où le président du MoDem fera part de son extrême inquiétude sur le contexte périlleux dans lequel se trouve la planète à commencer par les enjeux climatiques auxquels l’humanité doit faire face et le conflit meurtrier aux portes de l’Union européenne, opposant Russes et Ukrainiens. S’indignant aussi du choix politique de certains candidats (ceux de la NUPES ostensiblement visés par ses propos), de « vouloir désarmer ceux qui nous défendent – la police nationale – et sortir de l’OTAN, ce serait un danger inqualifiable ».

 

 

Manches d’une chemise blanche remontées au-delà des poignets, pédagogue dans l’âme lors de ses explications, le maire de Pau – il espère voir lui aussi son équipe qui évolue en Ligue 2 rejoindre l’AJA parmi l’élite ! – a clairement tiré la sonnette d’alarme afin que les souverainistes et l’extrême gauche ne prennent pas les rênes de l’Assemblée nationale. Appelant à donner au chef de l’Etat la majorité absolue.

Remerciant la députée de la troisième circonscription, Michèle CROUZET, pour son engagement sur le territoire septentrional de l’Yonne et lui renouvelant sa confiance, le président du MoDem prit ensuite le chemin de la sortie rapidement alors que l’ex-Premier ministre s’exprimait sur scène. En bon dernier arrivé à l’Hôtel-Dieu (aux alentours de 19h30), mais en tout premier à en être sorti, bien avant le terme des échanges ! Mais, « ensemble » tout de même un bon bout de temps durant ce meeting l’un à côté de l’autre sur l’estrade…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La soirée promet d’être blanche. Parce que le « dressing » code impose des tenues vestimentaires immaculées de tout coloris ? Ou parce que cet évènement qui en appelle d’autres par la suite, se prolongera jusqu’à tard dans la nuit du vendredi 24 juin, fleurant bon les températures estivales ? Les deux, en vérité ! Cette animation, première du genre, devrait voir converger la fine fleur des décideurs économiques de l’Yonne au domaine golfique de RONCEMAY…

 

AUXERRE : Heureuse initiative que celle-ci ! Alliant de manière judicieuse le business, la pratique d’une discipline sportive somme toute très plaisante déclinée au beau milieu d’un environnement naturel et la découverte de nouvelles rencontres relationnelles.

Le Trophée « Prestige & Patrimoine » accueillera d’ici peu, le 24 juin, au Domaine de RONCEMAY les entrepreneurs de l’Yonne (et d’ailleurs) désireux nouer des contacts conviviaux, en se référant à la fameuse maxime : « joindre l’utile à l’agréable ».

Porté par quatre entités professionnelles de l’Yonne, AKOR Immo, L’Atelier de l’Immo, J3G et SP Consulting Informatique, le concept, fruit d’une réflexion mûrie au fil de plusieurs semaines, s’articulera autour de l’activité golfique avec l’organisation d’un tournoi « Pro Am » auquel prendront part vingt-et-une équipes, la détente sous sa représentation artistique (Juliette MORAINE, quart de finaliste de « The Voice » et régionale de l’étape, Jérémy le magicien, le DJ John BARELL pour la partie dance floor …) et la gastronomie avec le maître des fourneaux de l’établissement, l’excellent Pascal GUELLEC qui sait sublimer ses recettes ! Mention particulière aussi pour Olivier LECLERC, et Hélène, de « Numéro 13 » qui ornementeront de leurs compositions florales les tables des convives !

 

 

 

 

Un rendez-vous entre le monde des affaires, le sport et la convivialité…

 

Plus qu’un énième tournoi de golf à répertorier sur un agenda, ce rendez-vous devrait s’inscrire dans le marbre à l’avenir et rendre ses lettres de noblesse aux relations publiques, totalement galvaudées depuis bientôt deux ans à la suite de la crise sanitaire.

Entre « speed meeting » pour mieux se connaître, compétition sportive en étant associé avec une vingtaine de joueurs de belle facture, issus du circuit professionnel hexagonal, démonstration initiatique sur le practice et soirée dansante jusqu’à l’aurore, l’évènement apporte une touche indéniable de nouveauté dans sa conception, avec l’objectif de faire mouche auprès de celles et de ceux de ces chefs d’entreprise qui aiment à se retrouver en mêlant les affaires à la cordialité.

Quant aux dotations, des prix seront remis au « birdy » et à « l’eagle », elles sont plutôt appréciables avec une enveloppe de dix mille euros à la clé pour récompenser les meilleurs du tournoi.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La table est garnie de quelques dépliants. Elle est installée face aux rayons de la distribution alimentaire. Deux chaises l’agrémentent. Elles sont occupées par les collaboratrices du PLIE (Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi). Un peu en retrait des autres activités du lieu. C’est là que se jouent en toute confidentialité les prémices vers un retour à l’activité sociale. Une démarche qui ne dépareille pas avec la philosophie des Restos du Cœur, finalement…

 

AUXERRE : Nouvelle corde tangible à cette harpe harmonieuse que sont les Restaurants du Cœur qui procurent bien et espérance autour d’eux, le retour à la vie professionnelle s’invite depuis plusieurs semaines déjà dans les locaux de l’association caritative à Auxerre.

Sous la forme physique de permanences, et à raison de deux rendez-vous hebdomadaires qui sont orchestrés en fin de mois par le PLIE, le Plan Local pour l’Insertion et l’Emploi. Dans l’enceinte même des Restos du Cœur !

Rien d’étonnant, donc, à constater la présence de ces spécialistes de la formation et du retour à l’emploi en ces murs. Ceux qui accueillent toute l’année plus de 520 familles de bénéficiaires à la distribution alimentaire (environ 900 personnes au total) résidentes sur l’Auxerrois.

 

Entre les Restos du Cœur et le PLIE, un partenariat fait de logique…

 

En avril dernier, une convention a vu le jour entre ces deux partenaires. L’acte a été paraphé de manière officielle. Il court sur les douze prochains mois. Avec sans doute, la possibilité d’une tacite reconduction. Le contenu de l’accord est évident. Il concerne l’aide à la personne. La priorité des priorités, le saint des saints qui s’envisage en complément du soutien alimentaire par un retour vers une activité dans le monde du travail. Par le biais d’un échange et d’une communication, dans un premier temps. Puis, d’un rendez-vous pris directement au PLIE installé au Phare.

De la pure logique donc, puisque le PLIE, dont le responsable local n’est autre que Wilfried RICHEBOURG, est précisément l’un de ses acteurs inéluctables qui favorise le premier pas vers la réinsertion professionnelle. 

Et comme l’antenne auxerroise des Restos du Cœur désirait de longue date se positionner sur ce registre de l’altruisme : la complicité cordiale entre les deux structures n’en est que plus que parfaite !

 

« Les bénéficiaires des Restos du Cœur souhaitent le retour à l’emploi… »…

 

D’ailleurs, le succès de l’initiative, débutée au printemps, s’avère satisfaisant. En quelques séances explicatives, le PLIE a enregistré bon nombre de demandes de la part d’un public d’allocataires du RSA qui veut retrouver le chemin de l’employabilité.

« Les gens souhaitent travailler, commente Michel PANNETIER, en charge de la communication et responsable du site auxerrois des Restos du Cœur, l’accueil de ces permanences régulières est plutôt bon ».

Une accointance sur ce projet avec le PLIE semblait logique. « Cocoonés », choyés, placés sous le feu des projecteurs de l’écoute et de la solidarité, les demandeurs d’emploi de l’Auxerrois savent qu’ils peuvent raviver leur confiance en sollicitant les services du PLIE. Un organisme habitué à l’accompagnement sur plusieurs mois vers le monde actif.

Proposer ces rencontres utiles au cœur de l’altruisme exprimé dans sa plus simple expression – la collecte alimentaire auprès des Restos du Cœur – apparaît d’une rare évidence, en fait. Les personnes les plus démunies, les déshérités du dialogue et de l’écoute n’ont in fine que quelques mètres à effectuer, pour quitter l’un des rayons alimentaire du circuit de distribution afin de s’asseoir à la table de discussion où interviennent les collaboratrices du PLIE. Et se projeter ainsi vers leur nouvel avenir ?

 

Thierry BRET

 


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La Police nationale s’affiche comme le dernier gros bastion du syndicalisme à la fois de la fonction publique et du privé. Les deux syndicats les plus importants, « Alliance Police nationale » et « UNSA Police », ont finalisé leur partenariat mardi 14 juin lors d’un congrès national dans le Sénonais. Leur objectif est de peser plus lourd lors des élections professionnelles du 08 décembre. Cela donnerait davantage de poids à leurs revendications.

 

MALAY-LE-GRAND : Avec un taux de participation aux élections qui avoisine les 90 % et un taux de syndicalisation de près de 80 %, le syndicalisme de la Police nationale mobilise encore fortement les professionnels et ce, pour deux raisons selon Olivier VARLET : « Des fondamentaux qu’on continue à respecter. C’est-à-dire un syndicalisme de proximité, un syndicalisme humain » et « surtout, à la différence de ce qui se passe ailleurs, on a un métier ultra exposé ».

Le secrétaire général d’UNSA Police pense particulièrement au taux de suicide « dramatique » observé, soit 45 disparitions par an en moyenne selon « Checknews ».

 

Aujourd’hui, les deux syndicats les plus importants « UNSA Police » et « Alliance Police nationale » ont décidé de s’unir pour renforcer la défense des intérêts des fonctionnaires, d’améliorer leurs conditions de travail et d’« améliorer l’offre de sécurité pour nos concitoyens ». Ce partenariat historique vise la majorité aux élections professionnelles. Ce qui permettra ensuite de faire bloc face aux mesures gouvernementales qui les inquiètent, notamment la réforme des retraites.

 

 

Point de collusion entre la Police nationale et le ministère de l’Intérieur donc. Ce rapprochement « dérange certains » d’après Olivier VARLET. Et même si Fabien VANHEMELRYCK admet que les relations avec Gérald DARMANIN « sont très bonnes ». Le secrétaire général garde un esprit pragmatique.

« On n’est pas là pour être le copain du ministre » rappelle-t-il, « mais pour faire avancer les choses. S’il y a une ambition commune, tout va bien. S’il vient à aller à contre-courant et ne plus défendre les policiers comme certaines déclarations, de Christophe CASTANER, par exemple, on saura faire savoir qu’on n’est pas d’accord… ».

D’ailleurs, comme aux présidentielles, aucun de ces organismes ne lancera un appel au vote pour le second tour des législatives de ce dimanche.

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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