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C’est pour elle une grande incompréhension. Mâtinée d’injustice et d’illogisme. Pourquoi les professionnels d’un IME ne pourraient-ils pas bénéficier des mêmes droits et avantages que ceux exerçant dans les autres secteurs de la corporation ? Juriste de métier, maman de trois enfants, dont deux demoiselles âgées de 19 ans porteuses de trisomie 21, Alexandra DUFOUR pousse le curseur de l’engagement un peu plus loin. Ne cautionnant pas les résultats obtenus après le Ségur de la santé. Un verdict qui créé de nouveaux dispositifs discriminatoires parmi la filière…

 

TRIBUNE: Volontariste, la mère de famille l’est jusqu’au bout des ongles. Et quand il s’agit de défendre les causes, nobles et justes à ses yeux, elle ne recule devant aucun obstacle. Sensible à ce que vivent dans leur quotidien les professionnels intervenant dans le milieu médico-social (ses deux jeunes filles fréquentent un IME depuis bientôt deux ans), Alexandra DUFOUR s’est révoltée intérieurement à la lecture des décisions prises par le gouvernement au lendemain du fameux Ségur de la santé.

Une indignation que cette mère implicitement concernée a su traduire par des actes, en particulier épistolaires, en adressant de sa plus belle plume une missive à l’intention de la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées, Sophie CLUZEL.

Une initiative manuscrite qui ne doit rien au hasard. Non seulement, et curiosité anecdotique de cet échange, la représentante du gouvernement est née le même jour qu’Alexandra. Mais, en outre, un autre aspect de concordance inéluctable unit ces deux femmes : la gestion du handicap à travers leurs filles respectives, porteuses de trisomie 21.

« J’estime que les professionnels des centres médico-social ne sont pas justement valorisés par les attendus du Ségur, précise-t-elle, ce sont les grands oubliés de cette réforme. Il est grand temps que les éducateurs qui travaillent aux côtés des personnes handicapées soient enfin reconnus à leur juste valeur… ».

 

Une volonté de relayer les informations vers les médias…

 

Habile et audacieuse, Alexandra DUFOUR ne se contente pas d’intercéder auprès des services du ministère de la Santé. Elle prend attache en parallèle auprès d’une journaliste de RTL, Odile POUGET, en charge des informations relatives à la santé dans la station radiophonique depuis 2013. Une journaliste qu’Alexandra avait croisée lors d’un reportage réalisé sur l’insertion de jeunes en fragilité.

C’est un véritable cri du cœur et un appel à l’aide que ce contact initié auprès de la représentante du média.

 

 

« Je l’ai contacté parce que je la savais particulièrement sensible à ces professionnels qui réalisent des prouesses au sein de ces établissements dans le médico-social et qui aujourd’hui s’estiment totalement oubliés par les différentes réformes du Ségur… ».

 

Un manque de reconnaissance flagrant qui pénalise les recrutements…

 

Une sensibilité à laquelle Odile POUGET donnera écho largement sur les ondes de sa station périphérique. En faveur de l’assistance envers les plus fragiles et de leur accompagnement pour développer au maximum leur autonomie dans la vie future.

Dans sa démarche, la maman relaiera dans le même temps à son contact une lettre ouverte signée par une très grande majorité des salariés de l’IME « Les Glycines », dans les Yvelines, que fréquentent ses deux filles. Une lettre ouverte qui s’est accompagnée d’une pétition très participative au niveau des signatures.

L’intervention de ces parents, directement concernés par l’injustice provoquée par les décisions du Ségur de la santé, semble porter ses fruits dans la réflexion. D’autant, comme le spécifie la mère des deux jeunes filles trisomiques, que de telles décisions possèdent un corolaire négatif sur le recrutement et les emplois à pourvoir dans ce secteur, celui des IME et des centres médico-social.

« Qui en effet va postuler dans une filière qui n’est pas suffisamment reconnue par son propre ministère de tutelle ? Alors que le manque d’orthophonistes est criant dans l’Hexagone, les carences en matière de recrutement devant le peu d’attractivité faite autour de ces métiers ne sont pas prêtes de se résoudre… ».

Un sacré bon point pour l’initiative d’Alexandra DUFOUR qui ne compte pas en rester là et souhaite secouer encore longtemps le cocotier pour que cesse ce qu’elle considère comme une profonde aberration.

 

Thierry BRET

 

 


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L’ambiance se veut presque potache. Indéniablement, le plaisir de se retrouver transpire à chaque contact. Et du chef d’entreprise, il y en a à foison au centimètre carré ! Il est vrai que l’espace d’accueil de la Maison de la Mutualité à Paris dispose de solides atouts pour accueillir une telle manifestation. La rencontre de la fine fleur des industriels de France (celles et ceux qui sont inféodés à l’UIMM) et les cadors de la politique hexagonale, en prise directe pour disputer une joute électorale se nommant la présidentielle…

 

PARIS: Sur un plan intellectuel, l’initiative a du bon. Idem au niveau de la communication car l’exercice est suivi par plus d’un millier de personnes. Et pas n’importe lesquelles. Celles qui occupent des rôles stratégiques et d’influence aux manettes du développement économique et sociétal de l’Hexagone, à savoir les patrons. A l’estampille de la seule filière industrielle car il s’agira bien dans les propos qui suivront de débattre autour de l’un des thèmes de campagne fort de cette présidentielle : le renouveau de l’industrialisation.

Une antienne qui au fil de l’eau s’est imposée comme un leitmotiv inéluctable à accommoder à toutes les sauces. Après celles vécues pendant la crise sanitaire où la dépendance industrielle de la France envers les pays asiatiques s’est muée en une véritable plaie béante et douloureuse, traduisant notre incapacité à faire montre de réactivité et d’efficience pour s’équiper de masques et de produits de protection dans les meilleurs délais.

Avec celles que nous vivons désormais depuis un peu plus de trois semaines, du fait de ce conflit inattendu (mais prévisible par les Américains) en Europe, opposant les deux voisins et néanmoins pays frères aux mêmes origines que sont la Russie et l’Ukraine.

Forcément, face à ce millier de personnes à qui on ne l’a fait pas côté tactique industrielle, cela ne devait pas être si aisé de pouvoir dérouler son programme électoral, spécifique à une thématique ô combien fondamentale par les temps qui courent.

 

Industrialisation rime avec formation, fiscalité et emplois…

 

Pourtant, l’équation est tellement simple. Qui dit industrialisation, en effet, suppose dans la foulée de la formation, avec à la clé les nécessaires emplois qualifiés dont ont besoin de manière viscérale les capitaines d’industrie hexagonale, notre indépendance productiviste face aux pays émergents de la mondialisation qui faussent la donne en cassant les coûts de production, une fiscalité adaptée aux réels attentes des entrepreneurs, et in fine une souveraineté énergétique en vue de ne pas subir la poussée de fièvre inflationniste (et surtout très spéculative) assurée par une poignée de profiteurs sans morale aucune ni respect d’autrui.

Voilà sur quoi l’enjeu de cette rencontre passionnante reposait entre les professionnels de la politique, possédant des velléités d’endosser la vêture présidentielle au soir du 24 avril, et des chefs d’entreprise soucieux de repartir avec du concret dans leur escarcelle.     

Certes, on pourra regretter l’absence de plusieurs candidats à ce grand oral, digne d’un concours d’éloquence, minuté, et formaté par les organisateurs de l’UIMM, l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie. Un sérieux poids lourd dans le giron de l’entrepreneuriat français. Excusez du peu mais le président de l’entité syndicale n’est autre que le président de DASSAULT Industries, Eric TRAPPIER !     

Gravitent à ses côtés quelques noms célèbres flirtant avec les indices boursiers du CAC 40 !

 

 

Une brochette réduite à quatre candidats seulement…

 

Mais, revenons à nos postulants. Sommet européen oblige sous les ors de Versailles, le président-candidat Emmanuel MACRON, initialement prévu pour prendre part à cet échange avec les milieux économiques (il adore en règle générale ce type d’exercice oratoire) ne sera pas là. On sent une pointe de déception manifeste parmi l’assistance lorsque la « madame loyale » de la cérémonie, journaliste sur les antennes de Canal +, déroule le contenu de ce copieux menu, à avaler en quantité abondante sur la journée, et fait part de cette nouvelle de dernière minute. Pas même une petite vidéo, histoire de nous mettre l’eau à la bouche sur les intentions élyséennes ?

Pas de Jean-Luc MELENCHON, non plus ! Dommage : il aurait été passionnant de suivre les échanges par questions interposées entre le tribun volubile qui n’a pas sa langue dans la poche et les représentants de ce monde économique, à l’origine de tous les maux de la société selon sa perception des choses. Yves JADOT ne dévoilera pas non plus ses positions contradictoires sur sa vision de l’économie industrielle et écologiste.

A contrario, Marine LE PEN (RN), Anne HIDALGO (PS) et Valérie PECRESSE (LR) donneront le change à ce public impatient, se succédant l’une après l’autre au pupitre de cette scène immense. A l’instar du candidat souverainiste de Reconquête, Eric ZEMMOUR, électron libre de la pensée politique du moment.

Galanterie oblige du fait d’une parité excédentaire en faveur de la gent féminine (!), c’est ce dernier qui ouvrira donc le bal. Sous les yeux scrutateurs de milliers de têtes pensantes qui n’en manqueront pas une miette !

 

 

 

Se passer de la main d’œuvre étrangère : le credo du candidat ZEMMOUR !

 

Bille en tête, l’ancien éditorialiste mais toujours polémiste démarre au quart de tour sur la main d’œuvre issue de l’immigration ! Un des participants, composant le petit groupe UIMM de l’Yonne, glisse fort à propos de manière ironique : « Ca y est, c’est parti : on en a pour quarante minutes de cette litanie ! ».

Pointant de l’index les impôts de production et les effets de seuil qui ne permettent pas aux PME de croître, Eric ZEMMOUR égrène différentes propositions utiles lui permettant de démontrer que la chose économique ne lui est pas aussi étrangère que l’on veut bien lui prêter. Si la priorité nationale s’apparente à une évidence dans les commandes publiques,  le candidat souverainiste fustige les frais de successions et surtout les inégalités dès qu’il évoque la concurrence internationale. Quant à l’immigration et ses multiples travers (le credo du personnage), elles auront été longtemps explicitées durant cette intervention.

 

 

Anne HIDALGO :  une odyssée de l'économie en quatre actes…

 

Que dire de la prestation à contre-courant de la maire de Paris, la socialiste Anne HIDALGO ? Une candidate qui a suscité bon nombre de sourires moqueurs de la part du public, affirmant au passage qu’elle avait pu relier la Défense à la Maison de la Mutualité en moins de vingt minutes, montre en main. Un exploit en matière de locomotion qui a su faire germer le doute quant à la véracité de ces propos aux heures sombres de nombreux bouchons et autres embouteillages dont les Parisiens sont coutumiers !

Puis, revenant au sujet du jour, la candidate du PS a décliné la présentation de son « odyssée » qu’elle souhaite appliquer à l’économie française. Une odyssée segmentée en quatre actes : la santé, les énergies renouvelables, la mobilité et le numérique. Elle s’appesantira passablement sur la formation et la promotion de l’individu à travers l’égalité salariale entre femmes et hommes. A compétences identiques, il va de soi. Avec l’obligation pour les entreprises de s’y soumettre, et d’obtenir des bons points à l’appui pour les meilleures d’entre elles et surtout des sanctions économiques pour celles qui refuseraient de le faire !

Des pistes de réflexion qui n’ont guère convaincu l’assistance peu encline à devoir subir d’autres griefs économiques au vu de la conjoncture…

 

 

Marine LE PEN : " La France doit rester maître de ses moyens industriels"…

 

Souriante, très à l’aise, ne lisant pas ses notes, l’égérie du Rassemblement National Marine LE PEN s’est entretenue ensuite avec ce « jury » spécifique du grand oral de l’industrie. « Les pays en possession de leurs moyens industriels restent maîtres de leurs orientations ! ». Le ton est donné pour l’oratrice qui avait échoué en 2017 à accéder à la présidence. La faute à un débat télévisé pour le moins curieux si ce n’est catastrophique.

Lors de cette prise de parole, la cheffe de file du mouvement bleu marine parle de nucléaire comme de l’automobile, surfant sur le coût des énergies et le besoin de s’engouffrer vers l’hydrogène. Favorable à la nationalisation des autoroutes, l’oratrice rappelle que réindustrialiser la France représente un enjeu d’aménagement du territoire essentiel à notre pérennité. La boucle est bouclée et aux dires de plusieurs rangées de spectateurs interrogés, le dossier est maîtrisé.

 

 

Oui à l’innovation et la simplification administrative pour Valérie PECRESSE…

 

Reste pour clore ce concours d’éloquence un peu spécial le passage de Valérie PECRESSE, leader des Républicains. La présidente de l’Ile-de-France semble être à l’aise à la tribune, après sa déconvenue orale du Zénith. L’industrie, elle connaît en parfaite technicienne et en visiteuse d’entreprises qui pullulent sur son territoire de prédilection. Et paradoxalement, c’est vers la revitalisation des territoires ruraux qu’elle intensifiera ses propositions !

Dénonçant au passage l’application du « zéro artificialisation nette ». Entre innovation et recherche, entre souplesse et simplification administrative, la représentante de la droite et du centre droit veut remettre le pays en ordre de bataille, n’oubliant pas l’emploi et la formation qui vont de pair. Un message fort à destination de son électorat potentiel, les chefs d’entreprise.

Au-delà des quatre interventions, une chose est sûre en qualité de dénominateur commun aux propositions faites ce jour-là à Paris : réindustrialiser la France s’inscrit parmi les priorités régaliennes de ces candidats.

Mais, après les paroles qui ont été prononcées, il est clair que la sphère entrepreneuriale dans son ensemble (et bien au-delà de l’UIMM) attend maintenant une véritable concrétisation de ces idées sous la forme d’actes clairement réalisés. Autant dire que le temps des promesses futiles est révolu !

 

Thierry BRET

 


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La mesure se veut symbolique. Mais, juste selon ses cinq signataires. Face au refus de Farah ZIANI de suspendre temporairement ses activités d’élue de l’opposition municipale d’Auxerre, suite à sa condamnation par le tribunal correctionnel (lire l’article consacré dans nos colonnes à ce sujet), le groupe « L’assurance d’une transition sereine » cesse toute collaboration commune avec l’intéressée. Une décision qui repose sur les principes de l’éthique…

 

AUXERRE : Certains pourraient gloser à la lecture de cette information. Celle qui touche le groupe d’opposition de la municipalité d’Auxerre, ayant pour nom de baptême originel, « L’assurance d’une transition sereine ».

Drôle de sérénité, en vérité, ricane-t-on déjà dans les soupentes du landerneau politique de l’Auxerrois. D’autant que les nouveaux développements de l’affaire judiciaire se rapportant à l’une de ses membres (l’élue Farah ZIANI condamnée il y a quelques jours par le tribunal correctionnel d’Auxerre pour escroquerie à quatre mois de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité applicables en fin de mandat) ont engendré les réactions de ses coreligionnaires dès le lendemain.

Dans un communiqué de presse, paraphé de cinq signatures (celles de Mani CAMBEFORT, Mathieu DEBAIN, Sophie FEVRE, Isabelle POIFOL-FERREIRA et Rémi PROU-MELINE), les représentants du groupe ont fait part de leurs états d’âme.

 

« Farah ZIANI doit se mettre en retrait de toute activité municipale… »...

 

Primo, même si les signataires respectent la présomption d’innocence de leur collègue (Farah ZIANI a décidé de faire appel de ce jugement), ils n’ignorent nullement le rendu du jugement initial.

Secundo, sur les bases de la déontologie politique et de la confiance accordée par les citoyens à leurs représentants politiques, ils ont décidé d’en tirer les conséquences. Celles-ci sont catégoriques.

« Nous avons demandé à Farah ZIANI de se mettre en retrait total de ses activités municipales le temps de la procédure d’appel… ».

 

 

Dans les faits, cela induit que la jeune femme n’assiste plus aux différentes réunions liées à la fonction d’élue. Et par effet gigogne, qu’elle suspende sur le champ sa participation aux travaux du groupe d’opposition.

« En ce sens, ajoute Mani CAMBEFORT, le premier fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne et élu auxerrois, on est en parallélisme des formes et de la conduite à tenir à l’identique de l’affaire juridique vécue par Crescent MARAULT. Nous avons dans ce cas présent exigé la mise en retrait du maire. Nous faisons de même avec Farah ZIANI… ».

 

Une décision de suspendre l’activité du groupe irrévocable ?

 

L’équité au nom du sacro-saint principe du bon sens, en somme. Cette mise en retrait n’a pour l’heure pas été actée par l’intéressée.

Face à son refus, le porte-parole du groupe « L’assurance de la transition sereine » se refuse à cautionner l’attitude de Farah ZIANI. Le collectif a donc décidé de facto de cesser d’exister, sous sa forme actuelle. Réfléchissant à la constitution prochaine d’un nouveau groupe à l’appellation bien différente et moins équivoque.

Sachant que cette notion de « transition sereine », chère à l’époque à l’ancien édile Guy FEREZ, faisait plutôt allusion à l’écologie et aux aspects intergénérationnels inhérents entre les élus.

Alors, cette décision de suspendre l’activité du groupe est-elle irrévocable ? Pas si sûr selon Mani CAMBEFORT. Il suffirait que l’élue auxerroise revienne sur sa position initiale et accepte de se mettre en retrait de manière temporaire. Histoire de conserver un peu de sérénité dans les rangs ?

 

Thierry BRET

 

 

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Président d’honneur du Club Ferguson France, l’artiste s’est accordé un petit moment de détente ce samedi après-midi avant de monter sur la scène d’AUXERREXPO pour son récital. Passionné par ces mythiques engins agricoles, des tracteurs de première génération dont le fameux « Petit Gris », il a partagé le verre de l’amitié aux côtés de Jean-Baptiste TREHOREL et de quelques amis férus de mécanique, sur le parvis du parc des expositions.  

 

AUXERRE : Parler de « Petit gris » en Bourgogne est de la pure logique. Au pays de la gastronomie et des traditionnels escargots qui ont fait saliver tant d’épicuriens fréquentant les tables régionales, c’est presque une lapalissade. Sauf que là, dans les discussions du jour entre l’interprète de l’indémodable « Céline » et la poignée d’amis icaunais venus saluer l’artiste sur le parvis du parc des expositions, c’est bel et bien de mécanique agricole dont il a été question !

Affable, affichant une excellente forme, le chanteur a retrouvé un public de connaisseurs en matière de « Ferguson TE 20 », le fameux modèle qui a envahi les espaces agricoles de l’Hexagone au sortir de la Seconde Guerre mondiale grâce au Plan Marshall. D’ailleurs, Hugues AUFRAY en possède plusieurs exemplaires.

Nommé président d’honneur du Club Ferguson France, l’admirateur de Bob DYLAN a pu admirer deux jolis spécimens de tracteurs, exposés devant l’entrée du parc auxerrois. Des engins placés là non pas du fait du hasard, naturellement !

Touché par cette délicate attention, l’artiste a pris le temps de déguster un petit verre de blanc du terroir régional (ce qui ne manque pas par ailleurs !), et prendre la pose avec ses amis du jour. Depuis 2014, Hugues AUFRAY est le président d’honneur de cette structure associative dont il est membre depuis fort longtemps. Celle-ci compte aujourd’hui 580 adhérents répartis aux quatre coins du pays.

Jean-Baptiste TREHOREL, l’un des administrateurs dans l’Yonne, a pour objectif de la développer au fil de ces prochains mois. Le 14 mai, au gîte « Ferme du Bois de la Dame » se déroulera la 19ème assemblée générale nationale du club à FESTIGNY dans l’Yonne. Une manifestation que sans doute d’ores et déjà Hugues AUFRAY a pu biffer sur son agenda…

 

Thierry BRET

 


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Elle a décidé d’interjeter auprès de la Cour d’Appel de Paris. Réaffirmant au passage son innocence par un lapidaire message vocal, adressé à notre rédaction. Malgré le jugement, rendu en première instance par le tribunal correctionnel d’Auxerre qui la condamne à quatre mois de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité pour escroquerie, la conseillère municipale d’opposition d’Auxerre se dit confiante en l’avenir. Mettant en exergue la « présomption d’innocence » qui l’a fait réagir…

 

AUXERRE : Elle n’aura donc pas tardé à remonter à la surface après avoir accusé le coup, suite à sa condamnation en première instance, rendue par le tribunal correctionnel d’Auxerre. Désireuse de couper court aux multiples réactions qui fleurissent çà et là depuis sur les réseaux sociaux et se propagent dans le landerneau icaunais à la vitesse d’un cheval lancé au galop, Farah ZIANI a décidé finalement de s’exprimer. Elle qui s’était mise en retrait total depuis plusieurs semaines de la sphère médiatique afin de mieux préparer, en toute sérénité, sa défense.

Oui mais voilà, afin de circonscrire au plus vite le feu brûlant de ces réactions exacerbées qui lui portent fatalement nuisance, la conseillère d’opposition de la ville d’Auxerre s’est fendue d’un communiqué de presse dont chaque ligne et chaque mot ont été minutieusement pesé pour traduire au plus juste le fond de sa pensée.  

« Depuis le début de ma mise en cause, je voudrais persister à me déclarer innocente et à ne pas accepter le verdict, explique-t-elle, d’où ma décision, sans hésiter, à faire appel et déposer toute ma confiance sur le futur jugement d'arrêt de la Cour d’Appel de Paris ».

Rappelons, que l’appel est suspensif et que la présomption d’innocence demeure tout en restant réelle et valide.

 

D’abus de confiance à escroquerie : une accusation sans fondement…

 

Pour mémoire, Farah ZIANI est suspectée d’avoir détourné une somme de dix mille euros lors d’une transaction commerciale lorsque cette dernière exerçait la fonction de négociatrice commeciale en immobilier pour le compte d’un professionnel de la place auxerroise. En résumé, une affaire d’abus de confiance, selon le corps juridique. Qui s’est muée, ensuite après requalification des faits par le tribunal, en pure escroquerie.

Conséquence, à cause de cette sanction juridique, Farah ZIANI se voit ainsi priver du droit d’éligibilité pendant cinq ans. Sachant que, paradoxe contradictoire, elle peut cependant poursuivre son mandat actuel jusqu’à son terme...

C’est précisément le volet de la requalification de la faute en escroquerie qui a fait sortir de ses gonds la jeune femme.

« Je voudrais réagir à cette requalification, précise-t-elle, à la requête du Parquet, ne faisant à mon sens que mieux démontrer une tentative ultime pour essayer de trouver une issue à une accusation sans fondement avec la qualification première d’abus de confiance… ».

 

 

Puis de continuer en argumentant ainsi : « il semble très probable que ce changement aura été la conséquence de la lecture des conclusions apportées et communiquées au tribunal. Des conclusions au fin de relaxe qui, rappelons-le, ont été déposées deux jours avant l’audience et qui démontraient l’erreur et les faiblesses de la qualification d’abus de confiance, donc ma probable relaxe... ».

Une requalification de dernière minute qui est d’autant plus étonnante pour Farah ZIANI.

« En effet, lors de la demande de renvoi du 20 janvier 2022, il avait été précisé que pour signifier plus encore mon opposition à cette requalification surprise, annoncée seulement en début d’audience, je rappellerai que le dossier ne date pourtant pas d'hier, j'étais donc dans le respect du droit de la défense d’avoir communication de cette demande de requalification, en amont, et non juste avant que ma défense soit présentée… ».

 

Un engagement au conseil municipal qui se poursuivra…

 

Conclusion de l’interlocutrice : « il m'a été reprochée lors de ma première audience en renvoi que j'avais tout le loisir de pouvoir préparer ma défense. Je crois que le procureur, depuis décembre 2020 (soit plus d’un an de procédure), aurait pu apporter ses conclusions et nous prévenir avant, plutôt que l’annoncer durant l’audience conclusive... ».

Des éléments qui expliquent que la conseillère d’opposition d’Auxerre interjette auprès de la Cour d’Appel de Paris.

Quant à l’aspect politique, il est abordé par la jeune femme. Qui pointe du doigt les réseaux sociaux où s’étalent des messages à charge contre l’élue qui chercherait à maintenir sa fonction de conseillère municipale pour d’obscures raisons financières.

« Je rappellerai que seul le maire et les adjoints touchent une rémunération. La conseillère d’opposition que je suis n’a qu’un important engagement citoyen, engagement non entamé malgré ce moment difficile… ».

Une manière de clarifier les choses. Sera-ce suffisant alors que les autres élus de son groupe, « L’assurance d’une transition sereine », réclament son retrait de la vie politique locale ? Certainement pas.

Puisque que le groupe d’opposition municipale a décidé tout bonnement et pour toute réponse devant le refus de l’intéressée de clore leur collaboration commune. Dont acte.

 

Thierry BRET

 

 


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