Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Dans sa réponse au discours sur l’Europe du président de la République française, la nouvelle chef de file de la CDU, Annegret KRAMP-KARRENBAUER a mentionné le transfert du Parlement européen de Strasbourg à Bruxelles. La question vient d’être posée au plus haut niveau. Si cette préconisation était adoptée, elle changerait la donne de la représentativité et de la fonctionnel d système européen. Sans omettre les économies réalisées…Il serait peut-être grand temps de s’intéresser de nouveau au socle de cette harmonisation européenne : le rouage franco-allemand… 

TRIBUNE : Un article d’Olivier MIRGUET, paru dans « La Tribune de l’Economie » du 09 mai dernier, met en évidence les courants favorables à ce transfert. Résumons son article : « En 2013, un rapport de l’écologiste allemand Gerald HAFNER, défavorable à Strasbourg, a été approuvé par 73 % des députés, soit les quatre cinquièmes des 750 élus.  Les députés pro-Bruxelles avancent aussi l’argument rationnel d’un travail plus efficace à proximité de la Commission européenne, les lignes aériennes internationales vers Strasbourg sont trop rares…».

Voyons les chiffres à présent, sur le coût réel du siège strasbourgeois du Parlement européen. Comme à leurs habitudes, les statistiques sont contradictoires. Selon la Cour des Comptes européenne, le coût serait estimé à 114 millions d’euros par an. Et selon l’association pro-strasbourgeoise AEJE, il s’élèverait à 50 millions d’euros. Encore faut-il savoir ce que l’on met dans ces millions. De toute façon, le Parlement européen nécessite un budget de fonctionnement, qu’il soit situé à Strasbourg, à Bruxelles ou à Pétaouchnok !

Bruxelles plutôt que Strasbourg : la logique des choses…

Bien entendu, les Alsaciens sont sur la défensive. En 2011, une étude a évalué les retombées touristiques des institutions européennes en Alsace à 637 millions d’euros. Ce n’est pas rien.

« Personne à part le quotidien régional « Les Dernières Nouvelles d’Alsace » ne s’offusque des attaques contre Strasbourg », regrette le député du Bas-Rhin, Thierry Michel (LREM) tandis qu’un autre député alsacien, Éric Straumann (LR), a pris l’initiative d’un rapport d’information sur l’action des autorités françaises pour l’attractivité de Strasbourg, siège européen. Une fois de plus, n’ayons aucune illusion mais rappelons aux Alsaciens ce vieux dicton : « Aide-toi, le ciel t’aidera ».

Néanmoins, que l’on soit pour son maintien à Strasbourg ou son transfert à Bruxelles, il faut reconnaître que ce n’est pas très logique de ne pas rassembler toutes les institutions européennes en un même lieu, de préférence à Bruxelles. Les députés européens gaspillent en effet beaucoup trop de temps et d’argent dans des déplacements chroniques et chronophages entre les deux métropoles.

Faut-il donc mener un combat d’arrière-garde pour maintenir le siège du Parlement européen à Strasbourg ? N’oublions jamais que tous ces combats ont été perdus d’avance. Donc, la seule réflexion qui se pose aujourd’hui est la suivante : « On ne détruit que ce que l’on remplace… ».

La dernière phrase de l’article de « La Tribune de l’Economie » est en cela très significative : « Aucun plan B n’a été prévu pour une éventuelle réaffectation de l’hémicycle qui appartient au Parlement ». Voilà la question essentielle, voilà sur quoi nous devons nous pencher.

Or, l’Europe est en panne. Quel a été l’un des moteurs de l’Europe ? Ce que l’on a appelé le couple franco-allemand. Qui mieux que l’Alsace et les Alsaciens sont à même d’incarner cette quintessence de l’Europe ? Le
musicologue Jacques MERLET a défini un jour Jean-Sébastien BACH comme étant la symbiose parfaite de ce qui fait l’Europe : l’italianité et la germanité, l’italianité dans laquelle s’inscrit la France et la moitié de l’Europe et la germanité qui a irrigué l’autre moitié.

L'inévitable relance du couple franco-allemand…

Il s’agit donc, sans tarder, d’étudier toutes les possibilités qu’offre Strasbourg après le départ du Parlement européen pour attirer des institutions. Mais aussi, des organismes publics et privés et, surtout, des industries franco-allemandes. Et faire de ce bâtiment un phare culturel et économique, indispensable à la magnificence de l’Europe.

Tel Jean MONNET qui a su convaincre Italiens, Néerlandais, Belges, Luxembourgeois, Allemands et Français afin de créer la CECA, voyons comment l’on peut apporter dès lors une dynamique novatrice à Strasbourg sur des projets culturels et industriels franco-allemands.

Annet KRAMP-KARRENBAUER : nous vous prenons au mot ! Vous voulez transférer le siège du Parlement européen à Bruxelles. Emmanuel MACRON, nous vous prenons également au mot ! Vous voulez relancer l’Europe. Eh bien montrez-nous comment et ensemble, dans la lignée similaire d’un de GAULLE et d’un ADENAUER, d’un KOHL et d’un MITTERAND, comment pouvez-vous concrètement insuffler une ère innovante et pérenne à ce couple franco-allemand en déshérence depuis plusieurs années. Et par là-même conforter la construction européenne.

Dans ce cas, si le succès était au rendez-vous, nous autres, Allemands et Français, Strasbourgeois et Alsaciens, « marcherions » à vos côtés…

Emmanuel RACINE


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’unique icaunaise présente sur la liste de l’Union des Démocrates et des Indépendants aux élections européennes vit cette période d’avant scrutin avec grande sérénité. Elue au sein du Conseil départemental depuis 2015, elle consacre son mandat à la défense des intérêts du canton de Brienon, en soutenant les élus ruraux qui tentent vaille que vaille de gérer au mieux leurs collectivités en bon père de famille. Regrettant que le multipartisme ne soit pas invité dans les débats, Catherine DUBOIS-MAUDET est viscéralement engagée à la cause des personnes en déliquescence avec la société et des victimes du handicap. Elle nous livre sa vision personnelle de ce que pourrait être l’Europe idéale…

AUXERRE : « C’est consternant : les fonds européens abondent et on ne sait pas les utiliser sciemment en France ! Je ne comprends pas cet état de fait… ». Qu’elle se rassure, Catherine DUBOIS-MAUDET ! Elle n’est pas la seule à être surprise par ce paradoxe opérationnel plutôt déconcertant où l’Europe dispose de subsides importants mais ceux-ci n’atteignent que trop rarement leurs destinataires dans l’Hexagone.

Visiblement, l’élue de l’Yonne n’en peut plus de la récurrente problématique liée à la paperasserie et aux contraintes administratives. Beaucoup de projets, issus de bonne volonté, existent en amont. Mais, peu réussissent en substance à cause de la complexité manifeste dont se gèrent les dossiers.

« De toute manière, lâche-t-elle tout de go, en France, on ne sait pas faire ! ». Elle dénonce l’empilage de ces strates, un véritable pataquès, qui font circuler les demandes de fonds européens parmi de nébuleux méandres administratifs.

La résultante de tout cela est simple : faute de combattants et d’attribution concrète de dossiers, les fonds retournent à leur point de départ, à Bruxelles, où ils alimentent d’autres besoins plus réactifs et moins inféodés à la bureaucratie des technocrates.

« Ce qui est triste dans cette réalité des choses, concède-t-elle, c’est que l’on peut recenser beaucoup de projets en Bourgogne Franche-Comté. Mais, l’argent de cette dotation européenne est investi ailleurs… »

Changer le modèle européen, sans pénaliser quiconque…

Pas adepte de la langue de bois, l’élue départementale explique les motivations réelles de son engagement. « C’est en discutant avec plusieurs amis que j’ai pris acte de valider positivement la sollicitation de la sénatrice Dominique VERIEN de rejoindre la liste de l’UDI. Dans mon entourage, la plupart des personnes interrogées possèdent une vision floue du rôle de l’Europe. Certains ne voient pas l’intérêt de se déplacer le 26 mai. Et puis, il y toutes celles et ceux qui veulent sortir de l’Europe. Si on fait cela, la France ira droit dans le mur… ». Inconcevable pour cette européenne convaincue.

« Le modèle européen doit être changé, sans que cela pénalise les contribuables que nous sommes… ».

Puis, elle déroule les arguties du programme de l’Union des Démocrates et des Indépendants. Une pensée stratégique que le chef de file de la formation politique, Jean-Christophe LAGARDE, est venu défendre en personne à Auxerre le 26 avril dernier.

La fiscalité, à titre d’exemple, mérite une adaptation. Notamment sur les produits carbonés qui proviennent de l’étranger. Mais, ce n’est pas tout. La candidate est favorable à la taxation des transactions qui résultent des marchés financiers ainsi que sur les demandes de visas vers l’Europe. Quant aux entreprises tentaculaires du GAFA, elles n’échappent pas à cette stratégie du prélèvement fiscal à faire valoir.

« L’Europe doit être plus démocratique, ajoute Catherine DUBOIS-MAUDET, il est nécessaire de simplifier son mode de fonctionnement. D’ailleurs, l’élection du président européen doit être envisagée autrement… ».

Constatant à ce propos une aberration notoire sur ce scrutin : en 2014, 87 % des suffrages exprimés avaient rejeté le programme des socialistes. Mais, in fine, c’est un député de ce parti qui s’est assis dans le fauteuil de commissaire européen.

« Prenons la règle de l’unanimité des états de l’Union : dans le cas d’un vote, un seul des vingt-huit pays peut paralyser l’ensemble du continent sur des sujets ayant attrait à l’économie et au social. Il serait nécessaire d’adopter la majorité qualifiée aux 3/5ème. Même l’article 116 du Code européen le propose… ».

Construire une Europe faite d’équité et de réciprocité…

En matière de sécurité, l’élue de l’Yonne se dit stupéfaite de voir comment se gère le contrôle des frontières terrestres et de leurs côtes.

« Est-ce raisonnable d’envisager une parfaite sécurisation de nos peuples quand on emploie 600 agents qui doivent surveiller en permanence plus de treize mille kilomètres de côtes ! Le problème migratoire ne peut se résoudre que si l’Europe créé une véritable force de police à l’identique de ce qu’ont fait les Etats-Unis avec le FBI. Quand on pense qu’il n’y a toujours pas de centralisation des renseignements entre les différents états ; cela laisse rêveur… ».

Plus nuancée lorsqu’elle aborde le délicat problème des travailleurs détachés, Catherine DUBOIS-MAUDET souhaite que cesse, cependant, cette concurrence déloyale qui sévit dans le monde du travail.

« Il ne faut pas supprimer cette catégorie sociale, précise-t-elle, car je rappellerai que la France envoie ses propres travailleurs détachés dans l’Union européenne. Ce sont 131 000 personnes qui sont ainsi concernés. Simplement, il faut respecter une équité et une réciprocité dans la manière de faire, et que chacun puisse bénéficier de la même protection sociale ».

Inquiète de la prolifération du nombre de suicides des agriculteurs, l’élue du Département espère la mise en œuvre d’une protection agricole raisonnée et de proximité.

« Trouvez-vous logique que l’on impose des normes drastiques aux agriculteurs de notre pays alors que l’on importe une production issue de pratiques déloyales… », questionne-t-elle.

Présidente d’une structure associative regroupant les secrétaires des élus de l’Yonne, la candidate UDI reste une femme proche du terrain avant tout. Avec des convictions bien affirmées. Reste désormais à les faire partager au plus grand nombre…

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les sondages (la peste) claironnent en disant que les populistes, c’est-à-dire le Rassemblement national (le choléra), gagneront les élections européennes. Pourquoi qualifier les sondages de « peste » ? Parce que « nous n’en mourons pas tous », comme l’écrivait si bien Jean de La Fontaine, « mais nous en sommes tous atteints… ». Cette épidémie insidieuse nous envahit au quotidien de manière lancinante via tous les canaux médiatiques. Serait-ce pour influencer nos décisions ? Pourquoi, alors qualifions-nous les populistes de « choléra » ? Parce que ces mêmes canaux qui ont une fâcheuse tendance à nous influencer, le répètent à longueur de journée, en boucle…

TRIBUNE : Depuis maintenant plusieurs semaines, et de façon invariable, les sondages indiquent que le Rassemblement national devrait remporter le prochain scrutin électoral, celui des élections européennes. Qu’est-ce que cela veut dire, gagner ces échéances ? Cela signifie que le vainqueur de ce scrutin aux enjeux continentaux sera le parti qui obtiendra le plus de suffrage en France. A l’heure où se rédigent ces lignes, la tendance indiquée par les instituts qui tâtent notre pouls pour en connaître le moindre soubresaut est de 24 %.

Étant donné que moins de 50 % de nos concitoyens se rendront devant les urnes, le score du RN ne représentera donc in fine que 12 % des électeurs. On ne peut pas parler décemment de raz-de-marée notoire !

Néanmoins, et c’est ennuyeux pour celles et ceux qui croient encore aux vertus de l’Europe. Parce que, et toujours selon les sondages, le parti au pouvoir depuis bientôt deux ans, la République En Marche, risque de n’obtenir que 22 % des intentions de vote.

Cette prévision, si elle devait se confirmer dans les semaines à venir, constituerait une gifle incommensurable pour le mouvement politique instauré par le chef de l’Etat.

L’humiliation serait à son comble pour celles et ceux qui se considèrent comme intellectuellement et moralement sains en y étant adhérent, si c’était une formation politique, ouvertement anti-européenne qui enverrait à Strasbourg le plus grand nombre de députés.

Une affaire encore sous le sceau de la présomption d’innocence…

Selon le principe et le respect d’une équité intellectuelle et démocratique, ce n’est pas cela qui peut gêner le plus aux entournures dans cette affaire, quoique...Même si on parle de plus en plus d’une hausse de la proportionnelle…

Ce qui serait très grave, en revanche, au niveau de l’éthique, ce serait de sanctifier la victoire éclatante de l’ancien Front national qui demeure toujours sous le coup d’une procédure judiciaire. D’ailleurs, référons-nous aux nombreuses publications qui parsèment l’univers du multimédia depuis plusieurs mois à ce propos.

Que peut-on y lire précisément ?

Grâce à un simple clic sur leur ordinateur, les Français peuvent avoir accès à des développements très pertinents sur ce sujet aux contours ténébreux. Par exemple, ce qui suit :

« L’affaire des assistants parlementaires du Front national au Parlement européen est politique et judiciaire. Elle porte sur des soupçons d’emplois fictifs qui concernent les assistants parlementaires des députés européens du parti français, dénommé depuis le 01er juin 2018, le Rassemblement national. Cette affaire débute en 2014 et continue durant la campagne pour l’élection présidentielle française de 2017… ».

Un peu plus loin, et sur une registre similaire, on peut toujours lire à propos de cette même histoire les points suivants :

« Les députés sont soupçonnés d’avoir employé ces assistants pour servir les intérêts de leur parti sans travailler réellement sur les dossiers européens. Dans le cas où ces accusations seraient fondées, cela correspondrait à des emplois fictifs financés par le contribuable européen, et constituerait un délit représentant un préjudice évalué entre 5 millions d’euros (entre 2012 et 2017) et 7,5 millions d’euros entre 2010 et 2016… ».

En son âme et conscience au fond de l’isoloir…

Bref, à la lecture de ces lignes qui circulent sur la toile (cf : WIKIPEDIA), une certaine gêne ne peut qu’envahir l’esprit éveillé et attentif des électeurs que nous sommes.

Que le Rassemblement national, sous le coup d’une procédure judiciaire pour une affaire qui relève du délit, devienne de facto le parti politique de référence français au Parlement européen serait un signe ostentatoire du délabrement significatif de l’institution.

Certes, me direz-vous, il y a la classique présomption d’innocence. Tant que l’affaire n’a pas été jugée. Mais, chacun connaît dans son for intérieur la ritournelle. Une fois jugée en première instance, elle pourra faire l’objet d’une procédure d’appel, englobant tous les délais d’usage et arguties multiples qui ne manqueront pas de renvoyer le dossier aux calendes grecques !

Conséquence : lorsque l’affaire sera définitivement jugée, si tant est qu’elle l’est réellement, on en serait déjà à faire campagne pour une nouvelle élection européenne, en 2024, voire en 2029. 

Un état des lieux qui décrédibiliserait totalement le Parlement européen aux yeux de nos compatriotes. Déjà peu amènes avec tout ce qui touche de loin ou de près aux institutions européennes dans leur ensemble.

Le fait que cette instance, ô combien capitale pour notre avenir, soit devenue un exutoire de la classe politique française, où l’on recycle celles et ceux qui sont les recalés des suffrages nationaux, ne plaide pas en la faveur de l’organisme unioniste.

Alors, quel espoir pérenne offrira cette Europe où plus de dix millions d’électeurs français en rejettent à la fois sa classe politique dans son ensemble et ses fondements en particulier au soir du 26 mai ?

Eliront-ils au Parlement européen pour les représenter des députés qui sont à la fois eurosceptiques ou viscéralement anti-européens, voire en attente de décisions judiciaires ?

Ou rejoindront-ils les rangs exponentiels de ces adeptes de l’abstention à tout prix ? Dans l’isoloir, tout reste possible : comprenne qui pourra avec la peste et le choléra !

Emmanuel RACINE


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le Sénonais Julien ODOUL et le franc-comtois Jacques RICCIARDETTI, élu du Doubs, représenteront les intérêts de la Bourgogne Franche-Comté sur la liste du Rassemblement National aux prochaines élections européennes du 26 mai. Leur investissement officiel a été rendu public il y a quelques jours par les instances suprêmes de la formation politique, créditée de 23 % dans les sondages…

PARIS : Le chiffre 31 pourrait-il sourire au président du groupe Rassemblement national qui siège au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le Sénonais Julien ODOUL ?

Investi il y a quelques jours par la présidente du parti, Marine Le PEN, le jeune stratège du RN y occupe un positionnement idéal qui peut lui permettre de nourrir quelques espoirs au soir du 26 mai.   

Membre du bureau national du RN, délégué de la présidente du parti dans le département de l’Yonne, l’élu icaunais ne sera d’ailleurs pas le seul candidat à défendre les intérêts du territoire régional sur cette liste.

C’est le franc-comtois, originaire du Doubs et maire de Tressandans, le vice-président du groupe RN à la Région Jacques RICCIARDETTI qui constitue l’autre pôle d’intérêt régional à suivre de près lors de ce scrutin. Ce dernier se présente à la 49ème place.

Ces deux militants et responsables politiques reçoivent ainsi les fruits de leur engagement quotidien aux côtés de la présidente du Rassemblement national. Une implication qui se décline par un regain de l’enracinement local, observé lors des précédentes élections, qu’elles soient présidentielles ou législatives.

Pour les porte-voix du RN, ces élections européennes s’avèrent cruciales à bien des égards au moment où la France traverse une crise sociale particulièrement complexe et assujettie à bon nombre de décisions européennes.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Présenté par les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, l’amendement déposé dans le cadre de l’examen de la loi d’orientation des mobilités propose de confier aux acteurs de terrain, en particulier le préfet de département et le président du Conseil départemental, le soin de décider, au cas par cas, de la vitesse autorisée sur le réseau routier, dans la limite de 90 km/h. Le texte est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Mettra-t-il enfin un terme à ce long feuilleton qui n’en finit pas de durer ?

PARIS : Depuis le 01er juillet 2018, date à laquelle le gouvernement a décidé l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur le réseau routier secondaire, il ne se passe pas un jour où le flou artistique qui règne en maître absolu autour de ce dossier, ne ressurgisse à la surface médiatique et ne soit comparable à un véritable casse-tête chinois pour l’exécutif.

Il est vrai que prendre la décision de réduire de dix kilomètres par heure ladite vitesse, soit de 90 à 80, ne pouvait engendrer une cote de sympathie naturelle à ce projet quelque peu alambiqué. Et pour le moins inattendu…

Même si celui-ci était défendu bec et ongles dès le début par le Premier ministre. Instigateur du concept, Edouard PHILIPPE avait déjà utilisé les forceps pour « vendre » l’idée au président de la République, guère convaincu par la pertinence de cette suggestion forcément impopulaire.

La mobilisation sociale de la mi-novembre n’aura pas manqué de cibler ouvertement cette baisse généralisé de la vitesse sur les routes françaises et de l’inscrire parmi le lot des revendications privilégiées.

Avec en toile de fond, un argument tangible se rapportant aux habitants des territoires ruraux : leur pénalisation assurée puisque ne disposant pas d’alternative possible pour se déplacer autrement dans leur vie de tous les jours.

Faciliter l’arbitrage par le préfet et le président d’un conseil départemental…

Or, les choses évoluent, semble-t-il, autour de ce texte législatif. Ce lundi 29 avril, lors de la séance de l’Assemblée nationale où les parlementaires examinaient le projet de loi d’orientation des mobilités, les deux députés de l’Yonne, le Républicain Guillaume LARRIVE et l’UDI André VILLIERS, sont donc montés au créneau : ils ont présenté l’amendement numéro 305.

L’exposé du texte, signé en tandem par les élus de l’Yonne, demande une justification formelle et chiffrée de cette mesure perturbante pour les automobilistes.

« Si la diminution du nombre de victimes d’accidents de la route est un objectif essentiel de toute politique de sécurité routière, il reste toutefois à démontrer que cette mesure contraignante et applicable à un réseau routier de 400 000 kilomètres ait pu y contribuer…écrivent de concert les députés icaunais.

S’en suivent deux alinéas. Le premier concerne le rôle du président du Département. Ce dernier, par arrêté motivé, fixerait la vitesse maximale autorisée pour les routes départementales, celles qui ne possèdent pas de séparateur central et hors agglomération, dans la limite de 90 km/h.

Le deuxième définit l’intervention du représentant de l’Etat dans le département. Ainsi, le préfet pourrait, en concertation directe avec le président du Conseil départemental, fixer la vitesse maximale autorisée pour les routes nationales et selon les conditions similaires au précédent alinéa. Une manière intelligente de gérer au cas par cas et selon les typologies de ces routes du réseau secondaire la mise en application de la loi. L’amendement est en cours de traitement par les services de l’Assemblée. Beaucoup croisent aujourd’hui les doigts pour que cet additif soit au final retenu par le Parlement…et applicable sur les routes de France.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil