Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

A l’aune d’un nouveau processus organisationnel, la chambre consulaire qui préside à la destinée des entreprises de la filière artisanale dévoilera son nouveau visage au 01er janvier 2020. Le principe de la régionalisation Bourgogne Franche-Comté ayant été depuis longtemps validé par toutes les instances en présence. Favorable à la mutualisation des services et savoir-faire afin de renforcer l’action de l’organisme sur son territoire, le président de la section icaunaise de la Chambre de Métiers Jean-François LEMAITRE est un fervent défenseur de cette ligne stratégique. Elle ne peut être que profitable aux artisans de l’Yonne. Quand le cœur et la raison sont en étroite symbiose dans le sens du progrès…

SENS : Le président de la vénérable institution consulaire de notre territoire sait se faire rare en matière de communication. Notamment dans cet exercice toujours complexe et intransigeant, celui de l’interview directe en vis-à-vis avec un représentant de la caste médiatique.

Pourtant, à sa demande, l’entrepreneur qui défend la pérennité de la filière artisanale a souhaité cet entretien. Car, il a des choses à faire valoir au plan de l’information. En outre, notre interlocuteur ne pratique pas l’art de l’esquive dans les argumentaires qu’il désire développer.

Balayant tour à tour l’actualité riche et éclectique de la corporation, il rappelle en guise de préambule quelques bonnes vérités, toujours agréables à entendre dans la bouche d’un leader institutionnel.

« La Chambre des Métiers et de l’Artisanat n’est pas mon entreprise…Mon rôle est simplement d’insuffler une ligne politique à l’ensemble. Mais, pas de l’exécuter ! ».

Lâchée tout de go, l’affirmation mérite de replacer les choses dans son contexte. Jean-François LEMAITRE s’efface bien volontiers au profit de collaborateurs dont ils vouent les compétences et les mérites. Celles et ceux qui travaillent au quotidien à la bonne fonctionnalité d’une structure qui fédère des centaines d’entreprises et des milliers d’emplois.

« Je préfère être plus en avant auprès de mes équipes professionnelles, ajoute-t-il, rappelant qu’il est lui-même un artisan entrepreneur encore en activité, au sein de la Chambre, ce sont les collaborateurs qui sont en relation directe avec les artisans et qui dirigent les différentes strates décisionnelles de cette entité… ».

Pas de prétentions à la présidence régionale…

Alors, que se profile à horizon 2020 un scrutin très important, celui qui désignera le nouveau président de l’institution régionale, après le regroupement des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté, l’entrepreneur du Sénonais aurait-il néanmoins quelques velléités pour occuper ce fauteuil ?

La réponse ne se fait pas attendre. Nette et précise ! « Je n’ambitionne aucune prétention à vouloir exercer le pouvoir à la présidence régionale ! ».

Saluant le travail de l’actuel président de la Bourgogne, Emmanuel POYEN, Jean-François LEMAITRE confirme son soutien à sa probable candidature. « Nous nous entendons parfaitement bien, je le soutiendrai lors de ce vote régional… ».

Sachant que le président de l’exécutif bourguignon devrait être sans doute opposé à son homologue franc-comtois, Michel CHAMOUTON.

Elu jusqu’en 2021, le président Icaunais possède une conception juste et ordonnée de l’exercice de son mandat. « Qui d’autre qu’un artisan actif peut représenter au mieux les intérêts d’un professionnel ? s’interroge-t-il songeur ».

L’homme possède un sens profond des valeurs humanistes. Elles irradient son regard bleu azur. Faisant montre d’œcuménisme dans la manière dont il appréhende la gestion de la chambre consulaire.

« Vingt-cinq élus et dix suppléants travaillent en parfaite osmose à la destinée de cette chambre. Tous sont associés aux décisions stratégiques importantes, en prenant part activement aux commissions. Même les personnes issues de listes opposantes. Nous sommes tous au service de l’artisanat parce qu’il représente une institution à laquelle nous croyons… ».

Conserver une part de proximité importante…

Aujourd’hui, l’organigramme de la nouvelle instance régionale s’esquisse petit à petit. Eléments concrets déjà quasi certains : différentes directions régionales seront accueillies à Dijon, Dole et Besançon.

« Mais, concède Jean-François LEMAITRE, nous devrions y voir plus clair dès le début du mois d’octobre… ».

Toutefois, la puissance territoriale, au niveau de la strate départementale, ne sera pas remise en cause à l’issue de ces bouleversements majeurs. Ainsi, il sera conservé une certaine aura en termes d’influence et de fonctionnalité au département grâce à un représentant (directeur), appuyé par deux chefs de service. Une articulation logique, selon le président Icaunais, pour ne pas se couper des entreprises, en quête constante de proximité.

« Ce n’est pas parce que nous aurons désormais une vision globale et opérationnelle au plan régional que nous allons nous éloigner de nos territoires, constate le président de l’Yonne, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat possède d’importantes missions de représentativité avec ses autres partenaires consulaires au sein de la CEA (Chambre Economique de l’Avallonnais), du CDT (Centre de Développement du Tonnerrois), des permanences régulières tenues avec la Chambre de Commerce et d’Industrie en Puisaye-Forterre. D’ailleurs, saviez-vous que depuis la régionalisation, nous avons procédé à la création de deux nouvelles antennes départementales, à Montbard (Côte d’Or) et à Mâcon (Saône-et-Loire)… ».

Certes, un effectif moindre exerce dorénavant ses activités au sein de la vénérable institution. De 130 collaborateurs, la chambre départementale est passée à un effectif de 120 personnes, soit un ratio de 7 % des individus en moins. Mais, cette légère baisse est la résultante de départs volontaires ou de mises à la retraite.

Rappelant qu’il n’y a eu aucune conséquence négative sur les offres de service et prestations déclinées aux artisans, Jean-François LEMAITRE précise qu’aucun licenciement n’a été prononcé.

Une régionalisation profitable à l’attractivité territoriale…

Enumérant une suite d’opérations positives dispensées en faveur de l’artisanat (création d’un CAPI, petits déjeuners au féminin, salon Fiers d’être apprentis…), le président observe avec réalisme que la dynamique dégagée par la chambre consulaire est bien palpable sur le terrain.

« Nos relations avec l’ensemble des communautés de communes sont excellentes : jamais nous n’avons autant travaillé en réseau avec les partenaires institutionnels de ce département ! ».

Paradoxalement, la contrainte budgétaire (une économie substantielle de 300 000 euros sur les dix millions d’euros déployés d’ordinaire au plan régional) n’a pas eu d’impact notoire sur les aides apportées aux entreprises. Même si à l’avenir, davantage de conseils tarifés seront déclinés auprès des entreprises.

Les projets, par ailleurs, ne manquent pas. Le développement d’une plateforme numérique, qualifiée d’importante, nécessitant beaucoup de labeur, s’achèvera au cours de l’été.

L’avenir de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat se joue au détour de diverses expérimentations. Comme celles mises en exergue dans le domaine de la formation ou de la communication.

« Grâce à la régionalisation, nous gagnons en force d’actions, explique Jean-François LEMAITRE, au plus près du terrain. Notre rôle, en définitive, est de nous situer aux côtés des communautés de communes et des collectivités afin de pouvoir optimiser le tissu artisanal de nos contrées. En créant des maillages favorables à l’emploi dans les cantons. Même si 50 % des structures artisanales ne possèdent pas encore de salariés… ».

Satisfait de ce bilan, tant au plan humain que sur les déclinaisons événementielles qui en découlent, le président LEMAITRE se veut être l’un des chantres de cette régionalisation réussie qui aura in fine permis à l’Yonne artisanale de devenir plus forte en mutualisant compétences et enveloppes budgétaires…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Personnage emblématique de la vie politique de notre territoire, l’Auxerrois qui fut le plus jeune conseiller municipal de la capitale de l’Yonne de 1989 à 1995, se lance un nouveau défi : celui de la bataille des Européennes. C’est toujours sous l’étiquette du Mouvement démocrate (MoDem) dont il est l’incontournable leader dans le département que l’adjoint au maire d’Auxerre a été investi sur la liste nationale, RENAISSANCE, pilotée par Nathalie LOISEAU…

AUXERRE : Agé de 58 ans, le cadre bancaire et supporter actif de l’AJ Auxerre ne désarme pas dans son engagement au service des citoyens. Cette fois-ci, le représentant charismatique du MoDem de l’Yonne s’intéresse aux échéances européennes, celles du 26 mai, lui qui a déjà participé à plusieurs joutes électorales depuis ses débuts dans le sérail politique en 1989.

Conseiller départemental de l’Yonne, Pascal HENRIAT a décidé, à la demande du MoDem, mais aussi de La République en Marche, d’Agir-la droite constructive et du Mouvement radical, de rejoindre la liste nationale des 79 prétendants au suffrage européen, fédérés sous le sigle RENAISSANCE.

L’entité est structurée sous le sceau du rassemblement de compétences et de l’engagement à l’action présidentielle. Le candidat Icaunais y figurera en 58ème position.

Une liste ouverte à l’éclectisme…

Il ne sera d’ailleurs pas le seul à vouloir défendre les couleurs du landerneau nord-bourguignon sur cette liste pro-européenne puisque la conseillère départementale et membre du parti Agir-la droite constructive, Irène EULRIET, y est également présente.

Maire de La Ferté-Loupière, et docteur en sociologie, l’élue du canton de Charny qui avait failli créer la surprise lors de l’élection au perchoir départemental, obligeant un troisième tour de scrutin très serré face au président Patrick GENDRAUD, y occupe la 49ème place.

Les deux candidats de l’Yonne retrouveront sur la liste RENAISSANCE des personnalités politiques et de la société civile de premier plan, à l’instar de Pascal CANFIN, ancien directeur général de WWF France, de la navigatrice Catherine CHABAUD, l’ex-président des Jeunes Agriculteurs Jérémy DECERLE ou encore l’avocat Jean VEIL, fils de la regrettée Simone VEIL, européenne convaincue.

Rappelons que l’une des pierres angulaires de cette liste, la sénatrice et ancien édile de Strasbourg, Fabienne KELLER (Agir-la droite constructive), visitera deux journées durant les 03 et 04 mai l’Auxerrois, à l’invitation de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, élu régional et responsable départemental du mouvement Agir-la droite constructive.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les cendres de Notre-Dame de Paris s’étant à peine refroidies, le président de la République s’est donc exprimé devant tous les Français. Puis, les postes de télévision se sont éteints. Les journalistes, éditorialistes et pseudo-penseurs de tous poils se sont précipités sur leurs porte-plumes et claviers d’ordinateur tandis que les ténors et même les mini-sopranos des partis politiques ont donné de la voix. Déclenchant de facto une avalanche de commentaires, d’analyses, de jugements et, surtout, de critiques, de remontrances, de récriminations, de blâmes…comme il est d’usage dans de telles circonstances dans notre pays. Restons Français !

TRIBUNE : De prime abord, traçons les grandes lignes de ce qui a été annoncé par l’occupant de l’Elysée. En guise de préambule, une baisse d’impôts de cinq milliards d’euros. Il faut ajouter à cela l’allongement du travail. Car, on ne peut envisager sciemment une autre alternative que celle de cotiser davantage même si l’âge de départ à la retraite reste inchangé.

En d’autres termes, cela signifie résoudre le problème de la quadrature du cercle. Parmi les autres préconisations présidentielles qui entreraient en vigueur au fil des mois : l’introduction d’une dose de proportionnelle aux prochaines élections ce qui va permettre au Rassemblement national (RN) mais aussi à d’autres composantes politiques de figurer au Parlement comme l’avait si bien organisé en son temps le président François MITERRAND. Côté retraite, un minima sera fixé à mille euros. La création de nouveaux bureaux d’accueil dans toute la France, maintenant on appelle cela les « territoires », est également prévue.

Inutile de continuer cette énumération à la Prévert ! Référez-vous à votre quotidien habituel. Et oublions, au passage, le déficit du budget de l’État qui s’est élevé à 76 milliards en 2018, les réformes structurelles dont on nous rabat les oreilles depuis des décennies, le classement « PISA » de l’OCDE sur l’éducation qui situe la France à une médiocre vingt-sixième position sur soixante-dix pays, la dette qui s’élève à 2 200 milliards d’euros et que, soi-disant, les générations futures devront s’acquitter. Ou encore la fin de non-recevoir de Annegret KRAMP-KARRENBAUER, la nouvelle présidente de la CDU allemande, aux propositions de réforme sur l’Europe suggérées par notre président de la République. Et revenons-en simplement aux Français.

Comment convaincre des « Gaulois » qui n’entendent plus la voix présidentielle ?

Que pensent-ils de tout cela ? Pour le savoir, il suffit d’une baguette magique qui s’appelle les sondages. Celui réalisé par l’institut Odoxa Dentsu Consulting est révélateur des atermoiements de l’opinion publique et des sentiments que les Français éprouvent à l’issue de cet exercice oratoire présidentiel.

76 % des Français ne sont pas rassurés par ce qu’ils ont entendu. 59 % considèrent que le président n’a pas su tirer les leçons du Grand Débat. 54 % pensent qu’il n’a pas compris les préoccupations des Français. Là, j’émets une hypothèse : seul Dieu, s’il existe, et sous toutes ses variantes religieuses, me paraissent en mesure de tirer une leçon claire et, mieux encore, de rassembler un ensemble de propositions susceptibles d’être réalisées. « Va, ta foi t’a sauvé ! » (Marc 10 : 46-52).

milieu articles

En résumé, et sans l’once d’une surprise, les Gaulois ne sont ni convaincus, ni rassurés et, probablement, ni calmés par les mots du président de la République. Les « Gilets Jaunes » vont reprendre leur farandole hebdomadaire, devenu leur idiome expressif dans la rue tandis que les « Black-blocs » continueront de tout casser en dépit du bons sens.

Le paiement des pensions alimentaires : une mesure fondamentale

Toutefois, il y a une mesure remarquable dont on peut s’étonner encore que tous les ministres de la Justice, le Syndicat de la Magistrature et les différents représentants de la gouvernance étatique qui avaient en charge la question de la famille, ont toujours feint d’ignorer : c’est celle du paiement des pensions alimentaires.

Voilà un drame national qui concerne plus d’un million et demi de familles monoparentales. Le gouvernement s’inquiète enfin du paiement de ces pensions mensuelles, véritables bouées de sauvetage de nombreux parents en détresse qui élèvent parfois en solitaire leur progéniture.

Quelques chiffres : il y a en France deux millions de familles monoparentales. Parmi celles-ci, 80 % sont représentées par une mère isolée. Et ces femmes courageuses, presque toujours en difficulté et, pour beaucoup d’entre elles, souvent dans la détresse matérielle et morale, doivent exercer, comme le disait l’une d’entre elles, trois métiers : leur activité professionnelle, leur rôle de mère et la fonction du père absent.

Rappelons également que 70 % environ des emplois à temps partiel contraint sont occupés par des femmes à l’heure actuelle.

Voilà donc une mesure essentielle qui tombe à point nommé. Et on peut rendre grâce au président Emmanuel MACRON d’avoir vu juste dans son degré d’application. Et là, je pose deux questions fondamentales : comment se fait-il que des juges prennent des décisions ? Et qu’ils ne se soient jamais inquiétés de leur application ?

Doit-on y voir présentement l’inconsistance de tout cet aéropage de ministres et moralistes en charge de cette question ?

Dernier point : cette annonce sera-t-elle réellement suivie d’effet ? Plutôt que d’avoir des doutes, qui semblent légitimes tant les textes législatifs sont parfois galvaudés, pourrait-on recevoir de réelles garanties sur leurs applications ?

Emmanuel RACINE

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En poste depuis un semestre, l’ancien responsable de l’entité beaunoise, Jean-Pierre CHAPUIS, devenu entre-temps directeur d’établissement de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne, se dit très satisfait des réelles potentialités de développement qui prévalent sur ce territoire. En accointance avec le directeur de l’agence principale d’Auxerre, Pascal THOLLON, le manager a innové dans la manière de communiquer en proposant une rencontre opportune et directe avec les acteurs locaux du marché professionnel. Réunis dans le magnifique hall de cet édifice à l’architecture séculaire, artisans, commerçants mais aussi institutionnels et professions libérales ont pris part à ce premier rendez-vous exploratoire qui, d’emblée en appelle déjà d’autres…

AUXERRE : L’effervescence était de mise dans le majestueux hall d’entrée de la principale agence départementale de la Caisse d’Epargne. Concoctée en termes de faisabilité et de logistique par son propre directeur, Pascal THOLLON, soutenu par son équipe d’une douzaine de collaborateurs, une rencontre informelle ouverte aux représentants du marché professionnel s’est tenue il y a quelques jours dans un esprit d’échange et de convivialité.

Ce fut une grande première placée sous le signe de la communication et du partage informatif. Une opération, somme toute réussie au vu de la représentativité, selon le directeur d’établissement icaunais, Jean-Pierre CHAPUIS qui devait en apporter les conclusions et remerciements d’usage.

Ce dernier ne pouvait pas mieux faire coïncider son sixième mois de présence sur notre territoire avec l’organisation d’un évènementiel dont il avait soutenu l’initiative avec ardeur.

La présence de quelques clients particuliers était à noter lors de cette manifestation qui toutefois s’arc-boutait sur une forte représentation d’entrepreneurs, de responsables associatifs et de porte-paroles de structures institutionnelles. Cette nouvelle stratégie en matière de communication directe avec le monde professionnel devrait faire florès et se réitérer prochainement de l’avis du manager de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne.

milieu articles

Démonstrations de savoir-faire avec les directeurs de marché…

Présent sur ce marché depuis plusieurs décades, le groupe bancaire se définit au plan déontologique comme un acteur économique de proximité, soucieux de prodiguer conseils et préconisations utiles auprès des 77 % d’artisans et commerçants en portefeuille dans la région. Le reliquat se composant des professions libérales.

Outre la présentation individuelle de chacun des collaborateurs de l’agence principale auxerroise, Pascal THOLLON expliqua ensuite par effet gigogne le rôle spécifique des directeurs de marché.

En particulier, ceux joués par Romain BARNAY, responsable de la gestion privée qui fit une brillante démonstration de son savoir-faire et de ses références historiques en renvoyant les visiteurs d’un soir à l’aune de la crise américaine des « subprime » de 2008.

Crise majeure dans l’immobilier qui provoqua un séisme planétaire incommensurable dont certains entrepreneurs ne sont jamais remis, y compris dans l’Hexagone.

Puis, Victor PINTO, directeur du marché de l’immobilier, fit une intervention détaillée sur les vertus fiscales des textes législatifs régissant cet item, à savoir PINEL et MALRAUX, toujours d’actualité. Avant d’évoquer le cruel déficit de logements qui touche notre pays.

Le terme de cette invitation taillée sur mesure de la discussion ouverte et relationnelle entre tous ces acteurs de l’économie de proximité ne pouvait s’achever autrement qu’en levant le verre de la convivialité. Un axiome important qui ne doit jamais se départir de toute stratégie de communication directe qui se respecte !


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Pâques sanglantes sur l’ancienne île de Ceylan. Une série d’attentats à l’aveugle a endeuillé la contrée insulaire qui vivait depuis six années dans une parfaite harmonie après une longue période de troubles. De sinistres mémoires car coûteux en vies humaines, ceux-ci opposaient alors les Tamouls au pouvoir en place. Un groupuscule islamique ayant prêté allégeance à DAESH vient de rompre la trêve en semant l’effroi parmi une population désemparée et meurtrie au plus profond de son âme. Plus de 350 personnes de toutes confessions ont perdu la vie à cause de fanatiques irrespectueux de l’existence…Provoquant la panique généralisée chez les occidentaux qui ont fui en masse le pays.  

BILLET : Croire que l’Etat islamique n’est plus de ce monde parce que les territoires annexés initialement par les intégristes religieux en Syrie et en Irak ont été reconquis depuis par la coalition internationale serait un leurre. Hydre aux multiples ramifications, le réseau terroriste polymorphe à la tête de cet état de parade n’a en fait que déplacer son terrain de jeu vers d’autres endroits sensibles de la planète.

La corne de l’Afrique mais aussi la région du Sahel ou le Sud-Est asiatique (Indonésie, Philippines) constituent un terreau de propagande savamment entretenu pour les branches tentaculaires de ce mouvement nihiliste. Il faudra désormais y ajouter le Sri Lanka.

Stupéfait, le monde a vu la énième résurgence de ce système implacable de la barbarie renaître tel un Phénix malsain de ses cendres. Par le biais d’une série d’explosions assassines ayant provoqué le chaos et la terreur dans ce paradis exotique, royaume des éléphants et des couchers de soleil flamboyants.

Frappant pêle-mêle, autochtones et étrangers, touristes et habitants, croyants et athées, jeunes et vieux, de tout âge et de toutes conditions sociales, les adeptes de cette fratrie de l’inéluctable, répondant aux principes suicidaires d’un dogme archaïque, ont tué de sang-froid des centaines d’innocents. Des êtres purs qui n’avaient rien demandé à personne. Juste le droit de vivre en paix et en harmonie…  

Le symbole de la Résurrection : la renaissance…

Tout ça pourquoi ? Au nom d’une idéologie intégriste et malveillante qui n’a de religieux que le nom. Si ce n’est cet impitoyable extrémisme, chevillé au corps de leurs adeptes, additionné à la haine farouche envers les bien-pensants. Les autres, c’est-à-dire les composantes démocratiques et progressistes de notre société.

Choisir le jour de Pâques n’est évidemment pas le fait du hasard. Planifiés de longue date, bien orchestrés par les spadassins de ces basses œuvres, ces attentats ont été méticuleusement préparés. Au nez et à la barbe des forces de l’ordre et des structures internationales qui vouent une lutte implacable contre les acteurs de ce terrorisme intolérable.

Mais, ont-ils pensé, ces funestes personnages, qu’au-delà de cibler l’un des symboles fort de la chrétienté, ils confortaient ainsi chacun d’entre nous, toute religion confondue, à sublimer cette irrésistible envie de vivre en totale liberté qui nous anime partout sur le globe !

C’est peut-être cela le miracle de la Résurrection et de son symbole ! De renaître au grand jour afin de jamais baisser les bras face à l’adversité et ne céder le moindre pouce de terrain au plus vil de nos condisciples. Le peuple sri-lankais mérite nos encouragements et notre total soutien pour sa reconstruction. Et de partager cette espérance dont il a aujourd’hui tant besoin pour faire face à ce drame et à l’inacceptable…

Thierry BRET

      

  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil