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Si la défenseuse des Droits des femmes, guillotinée en 1793 en pleine période révolutionnaire, ne repose pas encore en paix au Panthéon national, il n’empêche que la capitale de l’Yonne pourrait se souvenir dans un cadre officiel du rôle majeur joué par l’auguste personnage en faveur de l’émancipation féminine dès l’année prochaine. Le Square de la Laïcité, espace mémoriel conçu selon le concept d’une « place des grands hommes », devrait s’étoffer de nouveaux portraits de personnalités en 2021 dont le sien…

AUXERRE: La femme d’esprit Olympe de GOUGES n’est toujours pas invitée à rejoindre le pré carré des personnalités illustres qui ont marqué le destin de la France au Panthéon. Mais, qu’importe !

Il se murmure dans les alcôves de la Ville d’Auxerre que la défenseuse des droits de la femme qui paya de sa vie ses écrits et prises de position qui lui valurent la disgrâce aux yeux de Robespierre pourrait être au centre d’une future cérémonie de dévoilement de portrait, Square de la Laïcité.

L’édile d’Auxerre Guy FEREZ devrait en faire l’annonce au cours du second trimestre 2020. Sachant que cette cérémonie protocolaire s’organiserait l’année prochaine, il va de soi…

Concernant le dévoilement d’un autre portrait, celui de l’européenne convaincue Simone VEIL, ajourné au début de la crise sanitaire, la manifestation figurera au calendrier de mars 2021. Elle sera l’un des points d’orgue de la Journée nationale contre le racisme et l’antisémitisme.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur ces informations du souvenir, signalons que l’écrivain et scénariste espagnol Jorge SEMPRUN sera lui aussi célébré dans le cadre de la cérémonie hommage rendu aux Républicains Espagnols en avril 2021.

A ce particularisme près que la stèle de l’homme politique ibérique sera dévoilée dans le square des Républicains espagnols…

Le maitre de cérémonie de ces manifestations ne sera autre que le directeur adjoint du cabinet de Guy FEREZ, Floris JANSSENS, qui excelle dans la pratique oratoire de ces rendez-vous où émotion et finesse d’esprit vont de pair pour ne jamais oublier…


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Le renvoi d’arguments se poursuit entre les têtes pensantes des forces écologistes auxerroises. En vue d’une hypothétique union des deux listes en présence avant le second tour. Aux récentes questions posées par Maud NAVARRE, chef de file des « Printemps pour Auxerre », se succèdent les réponses apportées par Florence LOURY et Denis ROYCOURT. Le tout dans un esprit qui se veut consensuel. D’autant que le bureau régional d’Europe Ecologie Les Verts (EELV) encourage vivement cette initiative…

AUXERRE : Ce qui se trame à l’heure actuelle dans le landerneau auxerrois, soit la tentative de rapprochement entre les leaders des forces écologistes pour ne faire qu’une seule et unique liste à l’amorce du second tour, suscite bon nombre de réactions de la part des instances régionales.

Ainsi, l’un des responsables historiques du bureau régional, l’élu de Saône-et-Loire et conseiller à la Région Alain CORDIER espère « comme beaucoup d’amies et d’amis du mouvement que cette unité des écologistes sera effective à Auxerre… ».

Son de cloche similaire de la part de Cécile PRUDHOMME qui pense « que la fusion de ces deux listes, « Les Printemps pour Auxerre » et « Auxerre Ecologie La Ville Envie » est impérative… ».

Bref : tous les voyants officiels virent au vert pour initier ce rapprochement nécessaire dans les esprits. Ce qui n’a rien de surprenant au vu de la couleur originelle de la formation politique.

Mais, qu’en est-il exactement sur le terrain ? Sans doute, Maud NAVARRE a dû accuser réception de ce nouveau mail adressé par les deux ténors de la liste « Auxerre Ecologie » en début de semaine. Les réponses à ces deux interrogations majeures y figuraient.

 

Des réponses appropriées aux interrogations initiales…

 

Ainsi concernant la troisième place que la jeune femme pourrait occuper en cas de ralliement à ce nouvel assemblage écologiste, les doutes ne sont plus permis. La question de l’ordre paritaire a été évoquée auprès des services de la préfecture.

« Nous avons obtenu une réponse claire, expliquent de commun accord Florence LOURY et Denis ROYCOURT, il est tout à fait possible d’inverser l’ordre des places dans le duo des têtes de liste dans le cadre d’une alliance au second tour… ».

Dans la pratique, Florence LOURY conduirait alors la liste devant Denis ROYCOURT et…Maud NAVARRE. Si cette dernière était raccord pour tenter l’aventure…

Le choix des candidats reviendrait à un échange entre les trois interlocuteurs et EELV.

« Cependant, précise le mail, nous partons sur le principe qu’il appartient à chacun de désigner ses candidats… ».

Reste la ligne politique de la nouvelle liste qui pourrait constituer le point d’achoppement. Florence LOURY et Denis ROYCOURT s’en réfèrent pour éclaircir leurs positions à une publication du député européen Yannick JADOT, parue dans les colonnes de « Libération » le 18 mai dernier.

Le porte-voix d’EELV écrit « qu’il en appelle à la construction d’une espérance maintenant en demandant aux forces écologistes et de gauche de s’unir pour répondre à la crise actuelle, et dessiner une société durable, solidaire et démocratique… ».

Des arguments envoyés à l’adresse de Maud NAVARRE qui, pour l’heure, n’a pas recontacté les deux émetteurs de ce message…

L’annonce soudaine d’une conférence de presse qui se déroulera ce vendredi 29 mai à la maison de quartier de Sainte-Geneviève au beau milieu de l’après-midi devrait apporter son lot de réponses définitives sur ce dossier.

Surtout qu’elle y convie Maud NAVARRE et…l’édile sortant, Guy FEREZ… 


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Les prévisions économiques et budgétaires de l’Etat sont très pessimistes pour notre avenir ! Les recettes moins les dépenses donnent le niveau du déficit. En conséquence, avec un PIB (Produit intérieur brut) en diminution approché entre 2 000 et 2 100 milliards d’euros auquel il faut ajouter des dépenses qui explosent : le niveau d’endettement risque de  dépasser les 120 % du PIB ! Estimée fin 2020, à plus 2 500 milliards d’euros, la dette de la France représente un additif de plus de 2 670 euros par seconde ! Sidérant…

TRIBUNE : La crise sanitaire nous entraîne vers une crise économique, budgétaire et financière très forte. « Les Français vont souffrir », dixit le président MACRON ! Le « nous allons » aurait été sans doute plus seyant dans la formulation et surtout plus respectueux ! Quand les premiers de cordée méprisent les premiers de corvée, le bail de l’Elysée risque d’être de plus en plus précaire !

Trouver plus de recettes et réaliser moins de dépenses ? Simpliste, me direz-vous ? Peut-être, mais allons plus loin.

Plus de recettes représentent plus d’impôts sur les revenus des particuliers, plus d’impôts sur les sociétés : n’y comptons même pas ! Avec un risque d’inflation avérée, la pauvreté et la précarité vont progresser.

Pour les plus riches, l’Etat devra réfléchir à des barèmes plus équitables. Pour les entreprises, on devra s’interroger sur celles qui délocalisent, créent des filiales afin de limiter leurs impôts en France, tout en profitant des aides publiques liées à la chute des activités : cela devient injuste, non équitable et non égalitaire !

Réduire les dépenses suppose distinguer les dépenses conjoncturelles des dépenses structurelles ! Les diminutions des dépenses de l’Etat concernent surtout le fonctionnement des institutions : frais de gestion, transport et déplacement… Ils projettent de la poudre aux yeux.

Les dépenses structurelles sont principalement liées aux salaires.  Pour l’Etat, il faudrait ainsi diminuer le nombre de haut fonctionnaires, réduire les plus gros salaires, revoir le nombre d’élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux…).

 

Partager autrement la valeur ajoutée : pas si simple de changer les mentalités…

 

Pour nos parlementaires, des coupes franches parmi les frais annexes seraient souhaitables ! Haro sur les avantages en tout genre et surtout, le montant nominal des salaires !

En ce qui concerne le salaire des dirigeants des sociétés privées, il serait de bon ton de fixer un écart maximum entre le plus petit salaire de l’entreprise et le plus important, tout avantage confondu.

On entend souvent dire parmi les réactions la formule suivante : « on risque de perdre nos dirigeants, de les voir partir ailleurs avec les plus gros salaires ! ». Soyons rassurés, l’adjoint de direction promu à ce poste acceptera !

Moins d’activité, c’est aussi moins de TVA donc encore moins de ressources. Seule une relance économique, progressive et réaliste donnera l’impulsion nécessaire au rétablissement de l’activité. Il s’agira aussi de juguler le chômage. Cette relance passe par une relocalisation d’une partie de notre production avec des investissements productifs qui génèrent  des emplois, des taxes et des impôts en plus…

On le sait, les Français sont d’une nature solidaire. Mais, de nombreuses mentalités auront du mal à évoluer : gagner plus que « l’autre », prendre des parts de marché au risque de casser des emplois, partager autrement la valeur ajoutée…

 

Changer de paradigme ou poursuivre sur sa lancée ?

 

Des chiffres donnent le vertige. Selon l’Institut de prévisions économiques, « Coe-Rexecode », la suppression de l’ISF en 2018 génère un manque à gagner de 3,2 milliards d’euros.

L’ISF a été remplacé par l’Impôt sur le Patrimoine Immobilier. Il est peu pertinent aujourd’hui si on veut relancer le bâtiment !

En conséquence, les 1 % des ménages les plus riches ont gagné 6 % de pouvoir d’achat ! Avec ou sans ISF, la fuite des capitaux poursuit sa course vers les pays les plus attractifs et les paradis fiscaux !

On estime à plus de 200 milliards d’euros les capitaux sortis de France et 400 000 emplois directs qui ont été détruits.

En outre, la suppression de l’ISF n’a pas amoindri la fuite des capitaux des plus fortunés et des entreprises. Rétablir l’ISF, ce serait gagner quelques milliards et montrer aux plus humbles la volonté de mieux partager le gâteau fiscal ! Le rétablissement de l’ISF fut rappelons-le, l’une des premières revendications des « Gilets jaunes ».

Si on se résume, cette crise économique qui arrive tel un cheval fougueux lancé au galop va faire chuter le PIB de près de 10 %. L’inflation se situera à 6 ou 8 %, quant aux revenus individuels, ils vont diminuer. Le chômage sera durablement en augmentation, engendrant un appauvrissement global de la nation, donc une croissance importante de notre dette. Tout ceci va influencer notre porte-monnaie mais aussi exacerber les tensions sociales du pays !

Selon Gérald DARMANIN, le ministre des comptes publics, ces chiffres devraient être revus à la hausse !

Nous ne nous inscrivons pas dans les « y’a qu’à faut qu’on » mais dans l’expression de la volonté de changer de paradigme Or, nous constatons que nous n’en prenons pas le chemin !

Le mot « crise » en chinois est représenté par deux idéogrammes : ils signifient danger et opportunité. Il y a toujours dans une crise la possibilité de changer, de s'ouvrir à autre chose, d'en comprendre les causes et d'essayer d'en tirer les conséquences.

Elle peut être une prise de conscience qui nous permet de vivre autrement, tant au niveau individuel que collectif selon l’écrivain et sociologue Frédéric LENOIR.

Il serait impérieux de s’en souvenir à bon escient avant de redémarrer !

Jean-Paul ALLOU


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Le télétravail possède-t-il un réel lendemain ? Après avoir traversé une période exceptionnelle depuis plus de deux mois, à quoi va ressembler le « jour d’après » en matière de travail à distance ? C’est une question que bon nombre d’exégètes de l’emploi se posent désormais dans l’Hexagone. Une enquête agrémentée d’une infographie apporte son lot de réponses précises. Elle émane de TALKSPIRIT, une plateforme collaborative nationale qui facilite la communication et le travail des équipes au quotidien. Explications…

PARIS : Le « home office » va-t-il encore progresser dans les entreprises, les institutions publiques ou encore les milieux associatifs dans les mois à venir ? Face aux chambardements inattendus provoqués par la présence inédite du COVID-19 sur notre territoire, les spécialistes de la RH et les managers se doivent de répondre aux exigences de leurs collaborateurs à l’avenir : oui mais, comment ?

La question, cruciale, en cette période de très lente sortie de crise méritait d’être posée. D’autant que les entrepreneurs ont eu à modifier profondément les règles de l’emploi dans bon nombre de leurs structures. Incitant des milliers de salariés à adopter le travail à distance depuis leur domicile…

Créée il y a une décennie, TALKSPIRIT s’est penchée sur cette pertinente interrogation. Logique pour une plateforme nationale qui équipe aujourd’hui près de 500 clients et plus de 150 000 collaborateurs à l’aide de solutions 100 % made in France dans l’évolution du travail.

L’entité vient de publier les résultats d’une enquête sous la forme d’une infographie analytique qui, par le biais de chiffres-clés, donne un sérieux aperçu des attentes des salariés français à la suite de la mise en place forcée du télétravail dans le pays.

 

90 % de téléchargements d’applications de visioconférence entre 2019 et 2020 !

 

Benoît RENOUL et Hugo BESSAGUET, deux collaborateurs de TALKSPIRIT, sont les auteurs de cette étude qui permet de mieux comprendre les répercussions du travail à distance sur le quotidien professionnel des Français.

Apparu au beau milieu des années 2000, grâce à l’arrivée progressive de l’Internet haut débit dans les foyers, le télétravail n’était jusque-là réservé qu’à une portion congrue de nos concitoyens.

Quelques rares salariés pouvaient en profiter pour des raisons jugées encore « occasionnelles ». Ainsi, selon les chiffres de la DARES (Direction de l’Animation, de la Recherche, des Etudes et des Statistiques) diffusés en novembre 2019, 7,2 % des salariés français étaient concernés par cette méthodologie professionnelle à la limite de la marginalité.

Les choses ont nettement évolué depuis ! Six mois plus tard, à peine, ils sont désormais plus de 30 % des salariés de l’Hexagone à avoir basculé en télétravail selon les données ODOXA du 20 avril 2020 !

Il suffit d’apprécier le nombre de téléchargements d’applications de visioconférence en France pour s’en rendre compte.

Les trois outils (ZOOM, TEAMS et HANGOUT) ont vu le nombre de leur fréquentation exploser de manière soudaine et massive en un laps de temps record. Plus de 22 fois de téléchargements pour la première référence par rapport à la même période en 2019, 16 fois plus pour la seconde ; le pompon revenant à la troisième application. Elle a dépassé de 23 fois le nombre de téléchargements supplémentaires dans le même intervalle de temps ! Sachant que ces données illustrent la comparaison hebdomadaire entre la seconde semaine de mars 2020 versus celle de 2019…

In fine, on dénombre 62 millions de téléchargements d’applications professionnelles (majoritairement des visioconférences), soit 90 % de plus par rapport à la même période de 2019 !

 

Les employeurs sont-ils favorables à l’essor du télétravail à l’avenir ?

 

Toutefois, il est démontré par une autre analyse, celle en provenance de DESKEO, qu’au début du confinement, 76 % des Français en situation de télétravail forcé regrettaient l’ambiance des bureaux.

Un élément logique qui combinait à la fois le cumul imposé par cette expérience anxiogène imprévisible et le télétravail qui pour une part non négligeable de salariés fut très éprouvant.

En cause : la promiscuité, l’impossibilité de pouvoir s’isoler physiquement et numériquement, le sentiment de solitude, le défaut de matériels et leur manque de performance, etc.

Cependant, après quelques semaines, l’analyse de TALKSPIRIT montre le renversement de tendance. Et l’appréciation manifeste des Français pour cette forme de travail dont ils n’avaient pas encore ni la connaissance ni l’usage.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 71 % des personnes qui n’avaient jamais travaillé à domicile avant la crise sanitaire déclarent désormais souhaiter exercer leur métier à distance. Du moins, un jour par semaine. 79 % de ces mêmes salariés sont même prêts à sacrifier leur bureau physique attitré pour effectuer davantage de télétravail à l’avenir !

Nonobstant, une interrogation demeure : les entreprises françaises sont-elles prêtes à faire bouger les codes ?

Si les salariés restent les seuls à avoir fait connaître leur position, il n’empêche que les employeurs sont murés dans leur silence. Question de pure logique : il est encore trop tôt pour eux pour se prononcer après la période économique subie sur les vertus de cette méthode.

Les salariés ont cependant du mal à croire à une « révolution du télétravail » à l’avenir. Certains ont été sondés pour dire ce qu’ils pensent de l’attitude de leur employeur : les résultats sont les suivants. Les employeurs seraient favorables au télétravail à hauteur de 51 %, voire totalement favorables pour 4 % des cas. Mais, 36 % d’entre eux seraient réfractaires, voire totalement contre pour 8 % des cas. Précisons qu’un pour cent de ces sondés ne se prononce pas…

Quant aux freins potentiels au développement du télétravail, ils seraient multiples. La culture du présentéisme à 39 %, l’incompatibilité du télétravail avec le métier exercé à 38 %, le manque de confiance pour 17 % ou le refus sans réelle raison valable pour 26 %.

Le télétravail connaîtra-t-il un « avant » et un « après COVID-19 » en France ? Une chose est sûre, à défaut de réponses concrètes et précises, les dirigeants et les managers des structures publiques ou privées qui agissent dans le domaine économique devront très vite se prononcer…C’est la moindre des choses que de connaître leur avis après ces semaines particulières où le monde du travail a changé totalement de rythme…

 

En savoir plus :

On peut consulter l’ensemble des analyses de cette étude menée par TALKSPIRIT sur la référence suivante :

https://blog.talkspirit.com/apres-covid-quel-lendemain-pour-le-teletravail/


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La sortie de crise aura du bon pour les adeptes de la « petite reine » dans la capitale de l’Yonne ! La municipalité auxerroise va booster l’enveloppe financière consacrée à l’achat de vélos électriques d’ici la fin de l’année. Conséquence : le nombre de cycles proposés à la location par la Maison des Mobilités passera de 60 à 120 appareils…

AUXERRE: C’est la réponse du berger à la bergère ! Il y a quelques jours, les candidats de la liste Auxerre Ecologie interpellaient par missive interposée le maire-président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ sur sa vision stratégique de l’après-crise visant à renforcer la mobilité douce dans la principale ville de l’Yonne.

Les opposants à l’édile d’Auxerre réclamaient davantage de moyens en faveur du développement de la pratique du vélo. Vendredi après-midi, à l’issue de la dernière réunion de la cellule de crise, les premières réponses sont tombées.

L’élu icaunais a décidé de muscler le budget consacré à ce poste en augmentant le nombre de cycles électriques avant la fin de l’année. Le parc actuel doublera de volume, passant de soixante à cent-vingt appareils. Ceux-ci sont mis à la disposition des utilisateurs par le biais de la location (200 euros à l’année).

 

 

L’ouverture de la Maison des Mobilités synonyme de succès…

 

L’an dernier, lors de l’inauguration de la Maison des Mobilités au mois de mai, Guy FEREZ avait dévoilé un concept novateur qui depuis a fait florès auprès de la population locale, en proposant ses services à la location de vélos mais aussi de trottinettes électriques. La soixantaine de cycles affectés à cet égard ne reste jamais très longtemps entreposés au rayon des stocks.

Parallèlement, un nouvel itinéraire qui reliera l’avenue Haussmann au Rond-point de l’Europe devrait voir le jour très prochainement. Ses études de faisabilité sont désormais achevées.

Auxerre ne compte qu’une vingtaine de kilomètres de pistes cyclables à ce jour. Mais, il semble bien que les effets induits de la crise sanitaire puissent modifier radicalement les lignes à ce propos.

La collectivité consacrait jusque-là une enveloppe budgétaire de 50 000 euros à l’année en faveur de la mobilité douce. En dotant les cyclistes de nouveaux moyens techniques et structurels favorisant leur déplacement, l’équipe municipale adopte un plus grand braquet dans ses choix stratégiques…

 

 

 


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