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C’est l’une des spécificités de la vénérable institution. S’assurer que l’accès aux soins des personnes en situation les plus précaires soit toujours facilité. Surtout en période de crise sanitaire aussi délicate qui vient impacter le bon fonctionnement de notre pays. En lien avec le tissu associatif local, la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie de l’Yonne multiplie les initiatives pour ne laisser personne au bord de la route…Explications.

AUXERRE : Drôle de période anniversaire que celle-là ! La soixante-quinzième célébration de la Sécurité sociale, l’une des sacro-saintes institutions les plus marquantes de notre histoire qui aura chamboulé l’existence de millions de nos compatriotes au fil de ces décennies.

Et pourtant, même si cette « vieille dame » de la protection individuelle en matière de santé et de soins a troqué son nom de baptême par un acronyme plus dans l’air du temps, ses interventions concrètes n’en sont pas moins toujours aussi prégnantes dans cette France du XXIème siècle.

Avec, actualité oblige, un Hexagone confronté à la pire des pandémies de ce siècle encore balbutiant qui n’est pas sans rappeler la terrible grippe espagnole ayant terrassé des millions d’êtres humains dans le premier quart du vingtième siècle.

Or, il y a nécessairement une similitude troublante quant à l’évocation de ce parallèle historique : les atermoiements d’une frange de la population face à la maladie, celle et ceux qui constituent cette caste désignée par le terme de public dit « fragilisé ».

C’est là que la locution « Sécurité sociale » reprend tous ses droits et ses principes salvateurs pour soutenir les oubliés de nos systèmes économiques, durs et impitoyables, qui régissent depuis des lustres notre société.

L’eau a eu beau s’écouler au fil de ces 75 ans, le combat mené par la Commission de l’Action Sanitaire et Sociale (CASS) de la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie demeure le même. Il s’agit d’accompagner et de soutenir du mieux possible ces publics en position de déshérence, parfois pire. Justement, en leur garantissant l’accès aux soins, la chose la plus vertueuse qu’il soit en ce bas monde avec la possibilité de se nourrir et de se loger dignement.

 

 

Capacité d’initiative et sens de l’innovation : le credo de la CPAM…

 

Fort de ce postulat sociétal, la CPAM n’a eu d’autres alternatives que de réagir en ce sens. Devenant force de proposition au passage grâce à cette spécificité que représente sa Commission de l’Action Sanitaire et Sociale.

L’aide se décline dans chaque caisse départementale de l’organisme ; une aide au financement de soins selon un barème fixé et régi par le règlement intérieur.

Pour en évoquer les contours dans l’Yonne : Marie-Jeanne LECLERC. Responsable de ladite commission, l’oratrice devait succéder aux propos liminaires du président de la CPAM de l’Yonne Bruno BLAUVAC, en brossant un tableau récapitulatif des différentes actions menées en cette période conjoncturelle si particulière.

Au bénéfice de celles et ceux de ces assurés sociaux ou ayant-droits affiliés à la caisse départementale qui rencontrent de sérieuses problématiques d’ordre financier du fait des risques maladie, maternité, accident du travail, maladie professionnelle, invalidité et décès.

 

 

Des aides pour quelle typologie de bénéficiaires ?

 

Qui sont ces publics fragilisés ? Marie-Jeanne LECLERC en donnera un bref aperçu, chiffres à l’appui, lors de sa prise de parole. Ce sont à 70 % des femmes. Elles vivent dans des foyers où il y a en moyenne 1,84 personne et 18 % sont des bénéficiaires de l’ancienne CMU-C, devenue depuis la Complémentaire Santé Solidaire. Socialement, la grande majorité de ce public précaire subsiste grâce à leur retraite, mais on dénombre aussi des salariés, des allocataires de minima sociaux, des étudiants et des travailleurs indépendants.

Précisément, cette dernière catégorie socio-professionnelle peut profiter pleinement des bénéfices offerts par les aides de la CPAM.

Le nombre de demandeurs à l’ASS s’élevait à 1 014 personnes au 01er janvier 2020. Deux-cent-soixante-deux d’entre elles ont essuyé un refus pour cause de dépassement des seuils de revenus.

Les aides sont accordées après l’étude de chaque demande auprès de la Caisse. Elles peuvent concerner le paiement d’une complémentaire santé, la convalescence, les soins d’optique, ceux qui concernent les dents, l’orthodontie, les appareillages auditifs, la pharmacie et les accessoires nécessaires, les frais pour des fournitures médicales non remboursables, le ticket modérateur en cas d’hospitalisation et de soins, les frais de transport pour suivre un traitement sans hospitalisation ou ceux inhérents à l’accompagnement d’un malade.

Parmi les grandes nouveautés de 2020, la Commission a décidé de moduler son règlement intérieur afin d’y incorporer deux additifs supplémentaires : l’augmentation du montant de l’aide aux frais d’obsèques (l’aide est portée à 1 200 euros, soit 40 % d’une facture moyenne pour une cérémonie organisée sur notre territoire). Le second point se rapporte à la téléassistance.

L’idée d’une prise en charge de la cotisation mensuelle a été retenue par le Conseil de la Caisse Primaire sous certaines conditions : à savoir la condition de prescription médicale et après déduction des autres aides de type APA et organismes complémentaires.

 

 

Des conventions de partenariat avec le tissu associatif local…

 

La CPAM dans un souci de déploiement de sa stratégie de communication et de développement de ses actions s’est également rapprochée du tissu associatif, un excellent vecteur pour cibler les publics fragilisés.

Aujourd’hui, un certain nombre de conventions de partenariat lie l’organisme à plusieurs structures associatives reconnues d’utilité publique à l’instar des Restau du Cœur, du Secours Populaire, du Secours Catholique, etc.

Vingt-trois d’entre elles sont opérationnelles et génèrent près de 43 000 euros d’aides.

Ce financement s’intègre dans le Fonds d’Action Sanitaire et Social qui donne lieu à un appel à projets chaque année. Cela concerne en priorité des associations qui se positionnent sur le domaine de la prévention de la santé et du social. Signe des temps, mais aussi volonté de ratisser plus large en matière de cibles : neuf associations seulement étaient signataires de tels accords l’année dernière pour un montant de 12 900 euros.

 


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C’était l’une des propositions émanant de la Convention citoyenne pour le climat qui suscitait bon nombre d’interrogations et de polémiques dans la sphère politique de notre pays. Imposé un malus en fonction du poids du véhicule semblait totalement irréalisable pour la plupart des spécialistes de l’automobile. La décision négative prise à l’Assemblée nationale, ce mercredi 07 octobre,  de rejeter l’idée lève le doute sur toute ambiguïté…

PARIS : L’examen du projet de budget 2021 en commission des Finances au Palais Bourbon aura été impitoyable et fatal pour l’une des idées fortes qui prêtait à débat dans le cénacle politique national : l’instauration d’un malus automobile basé sur le poids des véhicules.

L’idée était apparue à la suite des mesures établies par la Convention citoyenne pour le Climat, un organe consultatif où cent-cinquante de nos compatriotes avaient été choisis pour réaliser un panel de suggestions environnementales à déployer dans un proche avenir.

Visiblement, celle se rapportant à une nouvelle taxation sur le poids des véhicules automobiles n’a pas retenu les faveurs de la majorité des membres de la Commission des Finances. Ces derniers l’ayant savamment rejetée.

Ce sont même les députés issus de la majorité présidentielle (La République en Marché) qui ont bouté la proposition hors des débats.

 

 

« Une fausse bonne idée », comme devait le commenter à l’issue de cette séance de travail le rapporteur général du Budget, Laurent SAINT-MARTIN.

A contrario, l’alourdissement du barème du malus auto traditionnel a été conservé dans le champ des propositions 2021. Une décision qui a fait bondir les élus Les Républicains qui estiment que l’industrie automobile française déjà en souffrance sera mise à mal par de pareilles attitudes.

En filigrane, c’est une fois de plus le pouvoir d’achat des Français qui risque d’être impacté par de telles décisions appliquées au nom de l’écologie punitive selon les élus LR.

Le retrait d’une mesure permettant de réduire la taxe sur les contrats d’assurance applicables sur les véhicules électriques ou hybrides, par manque d’information, a été également approuvé lors de cette séance.

 


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L’élue de la troisième circonscription de l’Yonne est intervenue lors de la série de questions au gouvernement ce mardi 06 octobre à l’Assemblée nationale. Une interpellation auprès du ministre de la Justice afin d’évoquer la carence en moyens humains au sein de l’appareil judiciaire sénonais. Elle a obtenu gain de cause avec un certain nombre de décisions à la clé…

PARIS : Pugnace et volontariste pour défendre bec et ongles les intérêts du tribunal judiciaire de Sens, Michèle CROUZET a profité de la séance des traditionnelles questions au gouvernement ce mardi au Palais Bourbon pour interpeller le ministre de la Justice, Eric DUPOND-MORETTI.

Une intervention qualifiée de nécessaire selon elle pour attirer l’attention au plus haut sommet de l’Etat sur le manque de moyens humains qui pénalise à l’heure actuelle le bon fonctionnement administratif de cet organe judiciaire.

La députée de la troisième circonscription de l’Yonne a réclamé au Garde des Sceaux la nomination dans les meilleurs délais d’un juge d’instruction au sein de ladite juridiction.

 

 

Preuve que sa prise de parole a su faire mouche auprès des services du ministère, Michèle CROUZET qui siège désormais parmi les rangs du MoDem à l’Assemblée a été entendue.

En effet, l’emblématique ministre ou l’une de ses éminences grises au cabinet lui accordera une audience à l’hôtel de Bourvallais dès la semaine prochaine.

Michèle CROUZET se rendra à ce rendez-vous ministériel avec gaieté de cœur puisque dans le même laps de temps, Eric DUPOND-MORETTI a confirmé la venue dès janvier 2021 de deux greffiers et d’un assistant de justice au sein de la juridiction sénonaise. Un premier motif de satisfaction, en somme…

 


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C’est un véritable retour à la genèse familiale pour l’artiste auxerrois. Un créatif qui vit pleinement sa passion à l’international et évolue dans la sphère culturelle parisienne. Il expose son travail aux quatre coins de la planète (Uruguay, Inde, Roumanie, Suisse…) depuis presque une décennie. Un heureux concours de circonstance, mais peut-on croire réellement aux subtilités du hasard, veut que son retour en terre de l’Yonne se fasse à l’endroit même où vécut son grand-père, au 49 rue Joubert…

AUXERRE : Le jour du vernissage, soit en fin d’après-midi du 11 septembre, on peut supposer que Philippe RAMETTE a eu un peu de vague à l’âme dans son for intérieur. Qui n’aurait pas éprouvé par ailleurs ce même sentiment, teinté de nostalgie et de souvenirs familiaux, à l’idée de présenter ses œuvres là où vécut jadis son grand-père ?

Accueilli par l’association Hors ( ) Cadre, le créateur de l’ « Eloge du pas de côté », l’une de ses dernières réalisations photographiques, a dû ressentir cette présence bienveillante à ses côtés. Dans cet antre de la vie culturelle qu’est devenue cette galerie auxerroise sise au 49 rue Joubert…

Symboliquement, l’œuvre citée qui n’est pas sans rappeler la toile peinte par Caspar David FRIEDRICH en 1818 (« Le Voyageur contemplant une mer de nuages »). Elle représente un personnage placé sur un promontoire avec le pied gauche prenant appui dans le vide (cela ne lui empêche nullement une vraie stabilité) qui évoque la prise de risque et le saut vers l’inconnu. Serait-ce une allusion à peine voilée à contempler différemment le monde dans lequel l’on vit ? Très certainement.

Protéiforme dans sa quête de l’interrogation permanente sur le sens de la vie qu’il décline via ses œuvres peintes, dessinées et photographiées, Philippe RAMETTE s’est ainsi créé au fil de ses pérégrinations artistiques un personnage, vêtu d’un costume sombre agrémenté d’une cravate.

Une vision de l’homme moderne et affairé qui se doit de perdre ses repères s’il veut évoluer dans l’existence en s’ouvrant davantage à d’autres connaissances et à des points de vue constructifs.

 

Des oeuvres déroutantes pour désorienter le spectateur…

 

Les images sont inversées. Voire renversées ! A l’aide de dessins au graphisme épuré (« Monument en l’honneur de ceux qui se sont toujours trompés de direction », une encre sur papier produite en 2015), et de légendes non dénuées d’humour, le natif d’Auxerre propose des visions mentales et des situations irrationnelles. Un jeu étrange et déroutant qu’il établit avec les contemplateurs de ses œuvres.

Se définissant en tout premier lieu comme un sculpteur, Philippe RAMETTE s’exécute dans l’immensité de l’espace ; un espace qu’il éprouve avec son corps et dont il cherche sans cesse à repousser les limites, quitte parfois à défier les lois de la pesanteur.

Cette attitude n’est d’ailleurs pas sans danger. En 2001, dans la célèbre baie de Hong-Kong, l’artiste icaunais réalise une œuvre (« Le Balcon II ») dont la prise de vue nécessite plusieurs essais engendrant une très lourde logistique. L’œuvre est depuis visible au Centre Georges Pompidou à Paris.

A Auxerre, et ce jusqu’au 07 novembre, Philippe RAMETTE livre à ce public féru de découvertes culturelles une partie de son intimité créative. Des œuvres originales qui affectionnent les valeurs qui, dans notre société sont perçues comme des défauts : l’oisiveté, l’échec, le déséquilibre, l’erreur…Entre loupés, ratages et gags visuels ! De quoi nourrir la réflexion intellectuelle de ses admirateurs.

Précisons pour être tout à fait complet que l’exposition a pu être assurée par l’association Hors ( ) Cadre et sa directrice artistique Nathalie AMIOT dans la capitale de l’Yonne grâce au concours de la galerie XIPPAS, de Paris, qui représente l’artiste, pour le prêt des œuvres.

 

En savoir plus :

Exposition Philippe RAMETTE

Galerie Hors ( ) Cadre

49 Rue Joubert à Auxerre

Du mercredi au samedi de 14h à 18 h

Jusqu’au 07 novembre 2020.

Entrée libre

 


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Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne était l’invité du réseau Entreprendre Bourgogne pour les premières retrouvailles en présentiel du réseau de décideurs après de longs mois d’abstinence relationnelle. L’occasion pour le représentant consulaire de dresser un panorama réaliste de la situation économique de l’Yonne telle qu’il la perçoit…

APPOIGNY : Convier à prendre la parole devant un aéropage de chefs d’entreprise masqués et respectueux de la distanciation physique, le président de la CCI de l’Yonne Alain PEREZ a salué les mesures gouvernementales prises avec le plan de relance pour accompagner les acteurs de la sphère économique. Dans un contexte très endommagé par une crise sanitaire qui demeure, et il le regrette, toujours d’actualité.

Et même si on ne connaît pas encore toutes les applications de ce plan, certains éléments à l’instar du PGE (prêt garanti par l’Etat) prouvent que les entrepreneurs sont réactifs à en faire la demande pour bénéficier de ces soutiens. Avec le concours des partenaires institutionnels et financiers.

Le président de la chambre consulaire aura profité de sa prise de parole devant les membres du réseau Entreprendre Bourgogne pour évoquer le travail en parfaite symbiose qui est mené depuis le début de la crise sanitaire avec la cellule économique ad hoc, supervisée par le préfet de l’Yonne.

Puis, détaillant secteur par secteur, Alain PEREZ observa que les professionnels de la filière artisanale et du bâtiment tiraient plutôt bien leur épingle du jeu. Même si une zone d’inquiétude perdurait avec le cruel manque de visibilité quant au carnet de commandes en 2021.

La filière commerce, notamment alimentaire, n’a pas trop souffert, quant à elle, de cette transition conjoncturelle très spéciale. Un constat qui ne se révèle pas du tout de la même facture pour le secteur vestimentaire et les métiers de services, plus à la peine selon le président.

 

 

Une chance pour notre industrie : la taille de ses entreprises et leur diversité…

 

Du côté de la filière industrielle, Alain PEREZ indiqua que « la diversité de notre industrie et l’absence de réelle filière trop spécialisée représentaient une réelle chance pour la sauvegarde de ce secteur sur notre territoire ».

Toutefois, point d’angélisme dans les propos de l’ancien responsable d’industrie sénonais. Alain PEREZ estime que les effets de la crise économique en termes d’emplois pourraient se faire ressentir dès les premiers mois de l’année 2021 lors du remboursement des charges.

Pour autant, les tribunaux de commerce d’Auxerre et de Sens ne présentent pas une activité débordante au niveau des dépôts de bilan et autres redressements judiciaires. Ce qui a l’heur de rassurer pleinement le président de la chambre.

En revanche, Alain PEREZ s’alarme d’une toute autre crise plus pernicieuse qui pourrait anéantir les espérances de celles et de ceux qui tentent de redresser la tête au quotidien : la cyber-attaque.

Les services de l’Etat craignent en effet des attaques informatiques de grande ampleur contre les systèmes numériques des entreprises. Un acte irresponsable s’avérant dramatique si cela venait à se confirmer.

Dans cette optique, la CCI de l’Yonne proposera dans les semaines à venir des webinaires afin d’informer le plus grand nombre d’entreprises sur les risques potentiels pouvant être encourus en cas d’infections virales numériques.

 

 


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