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C’est en présence de nombreux habitants, amis et anciens acteurs de la vie locale, ainsi que de plusieurs élus, que la Ville de Joigny a inauguré un nouvel espace paysager au cœur du quartier de la Madeleine. En lui donnant son nom, la municipalité a souhaité rendre un hommage vibrant à l’ancien édile Bernard MORAINE, figure emblématique de la vie associative et politique locale. Un homme de conviction, à la fibre humaniste saluée de tous, un homme engagé, un homme ouvert, un homme tout simplement, dans ce qu’il a de meilleur…

 

JOIGNY : Ce sont les mains sur le cœur que, terrassé par l’émotion et prisonnier de ce corps qui le trahit aujourd’hui, Bernard MORAINE a salué tous ceux qui l’ont longuement applaudi à son arrivée. Pas facile pour le maire actuel, Nicolas SORET, ami et complice de toujours, d’aller jusqu’au bout du discours, quand les larmes prennent le dessus et noient les souvenirs…   

Né dans les années 60, dans l’élan des Trente Glorieuses et construit à la hâte pour répondre aux besoins d’une France en pleine reconstruction démographique et économique, le quartier de la Madeleine est un peu le symbole de tous ces grands ensembles ayant longtemps porté les stigmates d’un urbanisme accéléré et peu soucieux de mixité sociale : « à l’époque on bâtit vite et on a le sentiment de bâtir bien. Les questions de cohésion sociale, de cohésion urbaine entre les différents quartiers de la ville ne se posent même pas. Quant à la qualité énergétique des logements, elle est encore totalement absente des mentalités… ».

Il faudra attendre plus d’un demi-siècle et 2012 pour que le quartier de la Madeleine, devenu « prioritaire » prenne enfin le train de la rénovation urbaine. Siégeait alors à l’hôtel de ville un nouveau maire, élu quatre ans plus tôt, en 2008, qui avait pour nom, Bernard MORAINE, à l’issue d’un scrutin « rocambolesque » le voyant virer en tête avec deux voix d’avance, comme s’en amuse aujourd’hui encore Nicolas SORET : « ses adversaires de l’époque disaient qu’il était devenu maire par erreur, par hasard et par effraction ! Je pense pour ma part que ce n’était ni par erreur ni par hasard, même si je concède l’effraction ! Et je vais même plus loin en affirmant que Bernard MORAINE est l’auteur du braquage politique parfaitement démocratique mais néanmoins le plus ahurissant que notre ville ait connu ! ».

 

 

Un homme de média, un homme du monde associatif

 

Petit tour par le tribunal administratif de Dijon avant de remporter de nouveau les élections l’année suivante mais avec 1 664 voix d’avance cette fois. Un chiffre à faire « mousser » les adversaires d’alors ! Certains leur avaient même trouvé un surnom : « Bernard MORAINE et sa « bande de pieds-nickelés » ! ».  Ce dont s’est réjoui son successeur à la mairie depuis 2020 : « dix-sept ans plus tard et avec quelques victoires au compteur, les pieds-nickelés vous saluent ! ».

S’il fut un maire respecté pour sa fidélité sans faille à ses engagements, Bernard MORAINE s’est très tôt engagé dans le mouvement associatif, fondant en 1978 l’Association de la Madeleine, premier comité de quartier du département. Ciné-club, théâtre, atelier reliure, carnaval, fêtes de quartier, club des Aventuriers, organisation de concerts…, autant d’initiatives culturelles et sociales à son crédit, renforçant s’il en était besoin son attachement à la vie locale et aux habitants. Sans oublier l’aventure de Radio Triage, comme on l’appelait alors, l’une des premières « radios libres » du département, créée en 1981 et dont il fut de toutes les aventures, que ce soit en qualité de journaliste, de directeur ou président. Un parcours rappelé avec beaucoup d’émotion par Nicolas SORET, usant pour l’occasion d’une anaphore dont n’aurait pas eu à rougir un certain François HOLLANDE ! « Toi qui dans les mois, années et décennies qui viennent, viendra te poser dans ce jardin, souviens-toi ! Souviens-toi de celui qui donna tant de temps, tant d’énergie et tant d’amour pour rassembler et nourrir le vivre ensemble ! Souviens-toi de celui qui a tant travaillé à ce que jamais la mémoire de ceux qui ont combattu et résisté, ne se perde ! Souviens-toi du maire rassembleur qui a recousu les fils d’une ville malmenée ! Souviens-toi de l’humaniste au grand cœur qui a travaillé sans relâche, à faire de la fraternité inscrite dans notre devise, une réalité à Joigny ! Souviens-toi de Bernard MORAINE et porte son héritage de partage, d’entraide, de solidarité et d’amour… ».

 

 

 

Une date, celle du 10 mai, comme un symbole

 

La « chienne de maladie » montre chaque jour un peu plus ses crocs et c’est par la voix de Muriel Le ROY, amie de toujours, que Bernard s’est exprimé, pour remercier de l’hommage rendu. Des mots à son image, empreints de fraternité et d’espoir, avec cette touche d’humour qu’on lui connaît : « cette date du 10 mai, quand même, quel symbole ! ». Ravi du choix du lieu qui portera désormais son nom : « sans porte ni grillage, on y viendra un moment pour se reposer, y retrouver des amis, un lieu où nous ferons société ensemble, dans la recherche de ce qui nous unit plutôt de ce qui nous divise… ».

Espérant que ce jardin de lecture abrite aussi demain de jolies histoires de rencontres, d’échanges et d’amitié : « qu’il soit un havre de paix car je crois, avec toutes les forces qui me restent, qu’un monde meilleur est possible… ».

Parmi tous les amis présents en cette fin d’après-midi, plusieurs représentants de la communauté franco-musulmane jovinienne partagent leurs souvenirs : « il a appris aux gens à vivre ensemble, il n’a jamais dévié, il aime les gens… ».

Des mots forts, faisant écho à ceux prononcés un jour par le grand Jacques BREL : « être de gauche, c’est aimer les autres… ».

« Le rire est dans le cœur, le mot dans le regard. Veux-tu que je te dise ? Gémir n’est pas de mise aux Marquises… ». 

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Secrétaire nationale du PS en charge de la lutte contre l’extrême droite, Sarah KERRICH-BERNARD était l’invitée des socialistes icaunais, réaffirmant lors d’une réunion publique à Joigny la nécessité absolue d’une gauche unie et rassemblée, pour empêcher le Rassemblement National de prendre demain les rênes du pouvoir lors des prochaines échéances électorales.

 

JOIGNY : Dans ses mots d’introduction, Mani CAMBEFORT, secrétaire fédéral du PS dans l’Yonne a d’emblée rappelé le contexte : « bienvenue dans ce département, terre de mission contre l’extrême droite » ! Mais en y réalisant le grand chelem aux dernières législatives, le Rassemblement national a mis la barre très haute, tant la dynamique électorale en sa faveur est forte, notamment dans les zones rurales.

Pour l’invitée du jour, il ne suffit plus aujourd’hui de s’opposer à l’extrême droite sur le terrain des idées, il faut aussi la dénoncer sans complaisance pour ce qu’elle est et représente, citant pour exemple les conseils municipaux auxquels elle assiste régulièrement à Hénin-Beaumont en sa qualité de première secrétaire de la fédération PS du Nord : « l’opposition n’a même pas le droit de parler et les gens qui y assistent sont en fait des militants entraînés à applaudir alors que le public n’est pas censé interagir. Des débordements de mon point de vue trop longtemps tolérés par la sous-préfecture et par l’Etat… ».

Bien décidée désormais, à développer à l’encontre du RN une stratégie d’intervention d’action en justice pour tout manquement à la loi. L’occasion pour Sarah KERRICH, d’un tacle sévère adressé au député de la première circonscription de l’Yonne, Daniel GRENON, récemment condamné en justice : « lorsque l’on tient des propos discriminatoires, racistes, islamophobes, je suis désolée de la dire, mais ça devrait être une cause d’inéligibilité ! Il n’est pas normal de tolérer que des élus de la République puissent ainsi continuer à porter leur écharpe… ».

 

Des déçus du socialisme qui s’expriment…

 

Si des initiatives concrètes sont en cours, passant notamment par la constitution de cellules de riposte juridique ou la production de fiches argumentaires pour déconstruire point par point le discours du RN, l’urgence aujourd’hui pour la gauche, est bien d’éviter de répéter les erreurs du passé et un « programme édulcoré », en proposant un projet alternatif audacieux susceptible de redonner espoir à celles et ceux qui se sont détournés d’elle, voire éloignés des urnes. Pas si facile que cela pour le Parti à la rose, à en juger par les propos sans appel de cette militante se réclamant de la gauche extrême, présente dans la salle : « il y a dans ce pays tout un potentiel de gens qui pourraient voter pour une gauche de rupture, mais qui ne votent plus, parce que la gauche pour eux, c’est le Parti Socialiste et quarante ans de politique anti sociale. Comment accepter qu’un gouvernement si proche de l’extrême droite, puisse continuer, grâce au refus d’une motion de censure ? Pour moi, c’est fini, je ne revoterai plus jamais pour le PS ! ».

L’attitude ambiguë de certains élus face aux différents gouvernements jugés trop libéraux se paie cash et l’amertume est aujourd’hui bien présente chez tout un pan de l’électorat. Un constat que reconnaît bien volontiers Sarah KERRICH, persuadée que seule l’union de toutes les forces de gauche peut empêcher le Rassemblement National d’arriver au pouvoir : « il faut porter un discours cohérent et ne pas se tromper de débat. Si on en est arrivé là, c’est que faute d’alternative proposée par la gauche, le vote refuge, qui permet de changer les choses et d’avoir un impact sur le réel, est pour beaucoup, devenu le vote RN… ».

Mais comment renouveler le logiciel et récupérer ces électeurs ? « Si c’est pour proposer une version édulcorée du macronisme où l’on va juste faire un peu moins de casse sociale, un peu moins de casse fiscale et financière, ça ne servira à rien… ». D’autant que le Rassemblement National a réussi pleinement dans son objectif d’inverser la charge, se présentant aujourd’hui comme seul parti du changement.

 

 

La déshérence des communes rurales

 

La question du terrain reste plus que jamais centrale et le porte-à-porte, la proximité, la compréhension des réalités locales au plus près des habitants, sont des leviers essentiels pour regagner la confiance des citoyens, souvent déçus par la politique traditionnelle. Et cela passe par du lien social, par du « communalisme » mettant en avant la société civile et les associations, comme le souligne François, néo-jovinien à la fibre participative : « je pense qu’il est important d’avoir une présence, pas seulement politique, mais également dans le tissu associatif, d’être proche des gens lors d’évènements, y compris des choses toutes bêtes comme des fêtes de village… ».

Un discours partagé par un autre intervenant résidant en milieu rural : « là où l’on vote le plus pour l’extrême droite, même lorsque le village ne compte aucun étranger… ».

Avec des habitants qui ont souvent l’impression d’être oubliés, isolés et en déconnexion totale avec la société : « plus le village est petit, plus grand est le sentiment d’abandon, le sentiment que toutes les aides vont dans les grandes villes ou les quartiers difficiles et qu’ils n’ont plus rien. Plus de poste, plus de médecin, plus de bistro et ils sont tout seuls… ». Une frange de la population devenue hermétique au message politique classique et perméable à l’information véhiculée par une partie des médias : « et pendant qu’on focalise l’attention des gens sur l’immigration, sur les sans-papiers, on oublie de parler du CAC 40, on oublie de parler du scandale de l’exode fiscal en France empêchant de financer les services publics qui manquent au milieu rural, les maisons de retraite, les transports, les moyens de santé… ».

 

 

Ne plus être en interaction avec l’intelligence des Français

 

Engagé depuis 17 ans en politique, le maire de Joigny et vice-président du Conseil régional, Nicolas SORET croit fermement que la clé réside dans la confiance et la capacité à expliquer les problématiques aux citoyens en proposant des alternatives concrètes : « mais ce qui m’a marqué lors de la campagne, l’an dernier et c’est la première fois que cela m’arrivait, c’est que je ne suis pas parvenu à entrer en interaction avec l’intelligence des gens. J’ai labouré, labouré et j’avais en face de moi des gens s’apprêtant à voter BARDELLA ! Même pas ODOUL, mais BARDELLA ! ».

Confrontée aujourd’hui à une ère de post-vérité où ce qui importe n’est plus la vérité mais la croyance, la gauche est-elle de taille pour contrer la mainmise de certains médias et des réseaux sociaux sur l’information ? La secrétaire nationale du Parti Socialiste a son idée sur la question : « dire la vérité, c’est dire que deux et deux font quatre et pas autre chose. Et à part interdire tout ce qui relève du faux et du fake news, je n’ai pas d’autres solutions… ».

Reste à savoir si les électeurs perdus savent encore compter !     

 

Dominique BERNERD

 


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Harmonieuses et entremêlées, leurs voix de la plus grave à la plus aigüe donnent la chair de poule tout en procurant un réel plaisir à l’assistance, nombreuse, à avoir pris place dans l’un des salons de l’hôtel de ville. Sur la scène, quatre chanteurs, impeccablement vêtus, à l’allure joyeuse, créent une atmosphère incroyable derrière un jeu de trois microphones. Leur interprétation de grands standards du « negro-spirituals » se vit comme une communion, agrémentée de la patte virtuose d’un pianiste discret. La prestation des « ZITISA SINGERS », formation originaire du Congo, mérite amplement le détour ! Une belle entrée en matière pour commémorer l’abolition de l’esclavage…

 

JOIGNY : C’est l’une des rares communes de l’Yonne à s’être emparée du sujet dans le contexte actuel ! Suffisamment important pour que l’on s’y intéresse de plus près ! L’abolition de l’esclavage. Une action assortie à la reconnaissance de la traite des personnes de couleur en tant que crime contre l’Humanité. Forcément, des thèmes qui ne pouvaient laisser indifférents les représentants de l’équipe municipale de Joigny, encline à célébrer à sa façon cet épisode très marquant de l’Histoire humaine.

Les salons de l’hôtel de ville ont ainsi accueilli, vendredi en fin d’après-midi, un triple évènement. D’une part, le récital composé de quelques morceaux de ce groupe, situé entre gospel et negro-spirituals, d’origine congolaise, les « ZITISA SINGERS ». D’autre part, à l’inauguration de l’exposition réalisée par l’association « La France Noire », structure à vocation pédagogique et au devoir de mémoire, sur le « marronnage et l’appel de la liberté ».

A l’époque coloniale tant aux Amériques qu’aux Antilles, ce terme se rapportait à la fuite d’un esclave hors de la propriété de son maître. Les fuyards étaient alors désignés sous le terme spécifique de « marrons », auxquels les maîtres réservaient de dures représailles corporelles en cas de capture des malheureux. Conçue à l’aide de différents panneaux explicatifs, cette exposition sera par ailleurs visible jusqu’au 31 mai dans les salons de l’hôtel de ville.

 

 

Un message de paix ponctué de standards du negro-spirituals

 

Troisième temps fort de ce rendez-vous : celui des prises de parole. Co-présidente de l’association « La France Noire », Françoise ROURE – ancienne conseillère départementale de l’Yonne – profita de sa longue intervention liminaire pour évoquer la dure réalité de Haïti à qui la France doit environ trente milliards d’euros du fait d’une dette imposée à l’ancienne colonie envers les propriétaires esclavagistes une fois que cette pratique inhumaine fut abolie ! En guise de conclusion, elle rappela la règle des 3 R concernant ce sombre épisode de l’Humanité : reconnaître, réparer et réconcilier.

Edile de Joigny, Nicolas SORET s’inscrivit lors de son discours sur une ligne identique que la précédente interlocutrice : « il nous faut refuser l’inacceptable en luttant contre toutes les formes de rejet et de domination… ». Fier d’être à la tribune afin d’honorer la mémoire de celles et ceux qui ont souffert dans leur chair. « Soyons à la hauteur de ces évènements commémoratifs et dignes… », devait conclure le président de la Communauté de communes du Jovinien.

 

 

On retiendra enfin le message de paix et de fraternité de l’autre co-président de cette association « La France Noire » qui a pris racine à Joigny – racine ? cela ne vous rappelle pas la fameuse production américaine relatant la fin de l’esclavage ! -, l’excellent Raphaël ADJOBI, ayant animé de main de maître le déroulement de cette soirée chargée en émotions et en humilité.

Le final de cette manifestation se fit par la voix multipliée par quatre des brillants interprètes de « ZITISA SINGERS » qui firent même un joli cadeau pour les puristes du gospel, en achevant leur set par une version personnelle du « Oh When the saints go marching » popularisé par l’éternel Louis ARMSTRONG, morceau composé en 1896 par un certain James MILTON BLACK…Sublime !

 

 

En savoir plus :

Dans le prolongement de cette commémoration, un ciné-débat autour du film « Ni chaînes ni maîtres », de Simon MOUTAIROU aura lieu lundi 12 mai à 20h15 au cinéma Agnès-Varda de Joigny (tarifs habituels du cinéma ; 4€ pour les adhérents de CinETC).

L’exposition réalisée par l’association La France noire, intitulée « Marronnage, l'appel de la Liberté », sera présentée visible jusqu’au 31 mai.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une décennie, déjà, pour Sonia PATOURET, en qualité de membre du Conseil d’administration du principal bailleur social sur notre territoire ! Elle en est aujourd’hui la présidente, et est secondée par le vice-président, Pascal HENRIAT. Autant dire que le logement social à l’estampille de DOMANYS n’a plus de secrets pour la conseillère départementale de l’Yonne qui a ainsi hérité de la fonction, jadis occupée par le regretté Patrick GENDRAUD. Une structure que l’élue de l’Avallonnais connaît de l’intérieur depuis pas mal de temps…

 

AUXERRE : Aux côtés de la directrice de l’Office public de l’habitat au service des Icaunais Karine LASCOLS, la représentante de la nouvelle gouvernance du bailleur social, DOMANYS, fait plutôt bonne figure au niveau oratoire, dans ses explications de texte. Une conférence de presse, organisée ce lundi 05 mai en fin de matinée dans l’antre de la vénérable institution, membre du groupe « IDELIANS », proposant plus de 8 500 logements sur le département septentrional de la Bourgogne, devait le démontrer durant plus de soixante minutes.

Sonia PATOURET a intégré la structure il y a plus de dix ans. Elle connaît donc les rouages de la maison sur le bout des doigts ! Une entité apparue dans les années 1950 qui agit en faveur de l’amélioration des conditions de vie des locataires et de l’habitat des familles aux revenus modestes sur notre territoire.

 

Des locataires satisfaits à 87 % de l’offre de services

 

Avant même que ne débute l’exercice oratoire concocté par le service communication de DOMANYS dans l’une des salles de son siège social, Sonia PATOURET se sera épanchée un court instant sur les raisons de sa présence auprès des journalistes. Elle qui est déjà pas mal investie sur le registre de l’insertion par l’emploi au sein du Conseil départemental de l’Yonne où elle assure un mandat de vice-présidente.

Un rôle qui lui sied à merveille que ce nouveau poste de présidente de DOMANYS, car entre le logement social et les acteurs du monde de l’emploi qui peinent parfois à trouver de quoi se loger, il n’y a qu’un pas. Une mission que l’élue a su prendre à bras le corps. D’ailleurs, elle aura beaucoup insisté lors de sa présentation sur l’offre de services réservée aux locataires du bailleur social de l’Yonne. Notamment celle qui est destinée aux jeunes gens âgés de moins de trente ans (« Loc Izy ») avec ses 158 logements labellisés dont deux résidences étudiantes fonctionnelles à Auxerre et à Sens.

 

 

Preuve que ce dispositif est très satisfaisant : le réseau « ORVITIS », intervenant sur la Côte d’Or et membre du groupement « IDELIANS », est en train de bâtir l’une de ces résidences, boulevard de la Trémouille à Dijon, non loin de l’hôtel de la Région. Autre particularisme : « SERENITIS » ! Ce n’est pas le nom d’une déesse de l’Egypte antique ! Mais, bel et bien, la désignation de l’offre de service spéciale « seniors » déclinée par DOMANYS qui possède déjà sept résidences adaptées à la réception de personnes âgées de plus de 65 ans dans notre département. Soit un total de 550 logements ! Mais, il y aussi tous les services d’entretien usuels qui se rapportent au chauffage, à l’eau, aux espaces verts, etc.

S’adapter aux enjeux sociétaux, économiques et environnementaux dans la résolution de l’habitat pour les familles les plus modestes semble être un leitmotiv constant dans l’esprit de l’élue de l’Yonne. Au vu de ses explications, elle a ainsi pu confirmer aux termes de l’exercice de communication le rôle d’acteur local majeur du logement, joué par DOMANYS.

 

Thierry BRET

 

 


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Le mot « engagement » lui va comme un gant ! Le terme « implication », aussi. On pourrait y ajouter volontiers, « investissement » ! Mais, jusqu’où ira la jeune présidente directrice générale du groupe industriel « MOMENTUM » – l’entité regroupe sous ce vocable trois entreprises spécialisées en solutions de manutention dont l’icaunaise « FIMM » à Joigny – dans cette quête décisionnelle et implicative qui lui est si chère ? En rejoignant le conseil d’administration de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain, l’entrepreneuse de 37 ans ajoute une nouvelle corde à son arc professionnel…

 

AUXERRE : Serait-ce une corde supplémentaire à son arc ? Que nenni ! Ce n’est d’ailleurs plus un arc mais bel et bien une harpe très harmonieuse dont il s’agit-là, où bon nombre de cordes s’ajustent dorénavant à merveille pour permettre à l’élégante cheffe d’entreprise de l’Yonne de se projeter vers tous les arcanes de la chose institutionnelle et économique afin d’y jouer un rôle ! Et non des moindres !

A 37 ans, celle qui se destinait à une carrière à l’international dans le cadre d’une…ONG est devenue en peu de temps l’une des figures de proue de la réussite entrepreneuriale au féminin de la Bourgogne septentrionale, via ce département de l’Yonne qu’elle connaît comme le fond de sa poche.

Dans un domaine un peu particulier, il est vrai pour une représentante de la gent féminine : celui de la manutention et des solutions à apporter aux professionnels afin d’y améliorer les conditions de travail, la sécurité et la performance.

 

Une étoile en courbe ascendante de sa carrière !

 

Il y a quelques jours sur la scène d’AUXERREXPO, la souriante mais tout de même émue Julia CATTIN, PDG du groupe MOMENTUM, a donc ajouté une nouvelle ligne à son CV !

Elle la doit à Michel GRASS, le président du Conseil d’administration de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain, qui devait l’inviter sur l’estrade devant plus de 500 sociétaires de l’établissement bancaire régional réunis lors de l’assemblée générale annuelle, accueillie cette année à Auxerre.

Le Sénonais achevant son mandat de président du CA après quinze ans de bons et loyaux services eut de l’émotion dans la voix pour présenter celle qui allait intégrer désormais l’organe administratif régional de la banque, représentant ainsi l’Yonne et le secteur industriel.

En l’espace de dix ans, l’étoile de Julia CATTIN n’a cessé de briller. Avec davantage d’intensité au gré de ses pérégrinations professionnelles. La jeune femme a accumulé titres et propositions. L’idéal pour elle puisque toujours soucieuse de s’engager vis-à-vis des défis sociétaux et environnementaux de notre quotidien.

Qu’on en juge : plébiscitée nationalement par le média, « L’Usine Nouvelle » en 2019, Julia reçoit alors lors des Trophée des Femmes de l’industrie la distinction de « Femme Entrepreneure de l’année » ! Son cheval de bataille de l’époque : l’égalité homme/femme à toutes les sauces !

 

 

Une intégration avec force d’enthousiasme et de détermination

 

Engagée au sein du réseau « Femmes Chefs d’entreprise de l’Yonne », elle rejoint le Conseil d’administration de la Chambre de Commerce et d’Industrie de ce département, avant d’en prendre l’une des vice-présidences !

Puis, ce sera l’implication au sein du Conseil d’administration de l’Agence Régionale Economique de Bourgogne Franche-Comté (AER) ; un poste éminemment important lui permettant de posséder une vision globale des orientations stratégiques et opérationnelles de l’activité de cette agence à l’échelle régionale.

La semaine dernière, l’Icaunaise a accepté de rejoindre le Conseil d’administration de la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain, un autre poids lourd des acteurs de l’économie territoriale.

En quelques mots, elle se présentera aux sociétaires de la banque à la signalétique si caractéristique. Censeur depuis un an et demi au sein de l’établissement bancaire régional, Julia CATTIN aura pu profiter de cette période pour se former et découvrir toutes les subtilités administratives qui régissent cet établissement.

« C’est donc en connaissance de cause que je suis devant vous ce soir ; l’engagement de cette banque en faveur du territoire et de l’économie locale résonne avec les valeurs qui sont les miennes au quotidien dans la gestion de mes entreprises, précisa-t-elle sans sourciller, c’est avec enthousiasme et détermination que je suis prête à assumer ces nouvelles responsabilités… ».

Une corde de plus à la palette de responsabilités déjà détenues par la jeune femme, donc. Qui ne devrait pas en rester là, c’est certain, au fil du temps !

 

Thierry BRET

 


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