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Le message est limpide. Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, a profité de la visite des membres du club des Positives Entreprises chez l’industriel ERTOP à la mi-journée pour le rappeler. Les futurs repreneurs d’entreprises sont priés de se faire connaître dès que possible auprès des services de la chambre consulaire départementale. L’enjeu est clair : il faut préserver les emplois…

 

JOIGNY: Le chiffre a été annoncé en guise de préambule à cette passionnante découverte de la société industrielle ERTOP par le club des Positives Entreprises, ce jeudi aux alentours de midi. Environ 1 500 entreprises répertoriées au registre de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de Bourgogne Franche-Comté seront à reprendre au cours de cette année 2024. Dont deux cents de ces structures implantées pour le seul territoire de l’Yonne. Un chiffre important qui a fait dire à Thierry CADEVILLE, président de la CCI 89, qu’il était impératif d’identifier des repreneurs potentiels dès que possible.

« L’enjeu est simple, devait-il déclarer, il s’agit de conserver les emplois et de valider au plus vite les projets de reprise par nos équipes… ».

 

 

Puis, le responsable de la chambre consulaire d’interpeller une assistance composée en très grande majorité d’entrepreneurs : « si vous avez des repreneurs potentiels parmi vos relations, adressez-les à la CCI de l’Yonne ! ».

Un message qui a été entendu par l’auditoire. L’objectif de la chambre départementale est ainsi de faciliter l’accès aux dossiers de cession et de reprise d’entreprises d’éventuels acquéreurs. De les orienter également vers les connaissances ad hoc, inhérentes à ce sujet. Capital à l’avenir afin de pérenniser les emplois.

Thierry CADEVILLE glissa, parmi ses propos, un court laïus sur le passeport « Reprise » que d’autres établissements consulaires ont déjà mis en place dans certains départements de l’Hexagone. Un passeport qui pourrait peut-être voir bientôt le jour dans l’Yonne ?

 

Thierry BRET

 

 


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C’est bien le fils de son père ! Incontestablement, les chiens ne font pas des chats ! Lumineux, le regard se pose sur l’assistance, présente dans la petite salle surchauffée. Il se sert copieusement de boulettes et de riz, des mets à l’odeur si alléchante. Les cheveux ébouriffés, l’humour déjà bien aiguisé et à fleur de peau, Romain COLUCCI partage son déjeuner avec une dizaine de bénévoles des Restos du Cœur. Celles et ceux qui avec humilité et générosité entretiennent l’œuvre de son regretté paternel qui eut la fabuleuse idée, un soir de septembre 1985, de porter sur les fonts baptismaux de la création, une certaine structure associative, toujours aussi solidaire…

 

APPOIGNY : Bon, la première tentative a été avortée et s’est donc soldée par un échec. Point de Romain COLUCCI à 11 heures tapantes, dans les locaux en mode hangar de l’association caritative auxerroise. Hormis les habituels bénévoles qui s’escrimaient dans la dynamique avec des palettes et des monte-charge pour achalander les camionnettes de victuailles prêtes à être expédiées aux quatre coins du département, il n’y avait pas l’ombre du fils aîné de COLUCHE en cette fin de matinée, mardi.

On nous aurait trompés sur la véracité de l’information ? Que nenni ! Le retard du personnage prodigue tant espéré s’expliqua par des soucis techniques, imputables à la SNCF, du côté de Montereau en Seine-et-Marne ! Moyennant quoi : il faudra s’armer de patience, ronger son frein en retournant au bureau après un premier aller-retour pour du beurre et revenir d’ici deux heures, laps de temps nécessaire pour que le garçon, en provenance de la capitale, arrive enfin à bon port, à bord d’une automobile sur son lieu de chute, le siège social des Restos du Cœur auxerrois.

Treize heures, rebelote ! Cette fois, c’est la bonne tentative. Attablé aux côtés d’une dizaine de bénévoles qui discutent gaillardement de leurs projets, fourchettes et couteaux à la main en dégustant de succulentes boulettes de viande, agrémentées d’un riz en sauce, Romain COLUCCI prend le temps de déjeuner. L’appétit est là ! Et le singulier personnage ne plaisante pas avec cela, visiblement !

Répondant aux questions et livrant ses impressions au journaliste que je suis tout en découpant une boulette en deux avant de l’avaler ! Une interview à la mode bonne franquette entre deux cliquetis de couverts que n’aurait nullement renié son regretté paternel, nous ayant tant faire rire !

« Pourquoi suis-je ici ?, s’interroge Romain COLUCCI, c’est très simple : je suis là parce qu’il y a les bénévoles et je suis venu soutenir ces bénévoles… ».

 

 

Plus d’1,2 million de repas servis dans l’Yonne en 2023

 

Le regard malicieux, le sourire aux lèvres, le fil aîné de COLUCHE est en tournée. Non pas pour y interpréter l’un des titres fétiches de son père, « Misère », mais pour être au plus près de celles et de ceux qui perpétuent le souvenir toujours très vivant de l’humoriste qui avait lancé sur les ondes d’Europe 1 le 26 septembre 1985 ce fameux dispositif, « Les Restos du Cœur », de plus en plus opérationnel et obligatoire sur le terrain.

D’ailleurs, ne serait-ce que dans l’Yonne, 8 000 personnes de tout âge bénéficient désormais de ces services. Une manière de lutter contre la précarité alimentaire, l’inflation galopante, le coût de la vie qui s’envole. En 2023, ce sont 1,2 million de repas qui y ont été servis dans les seize centres accueillis en Bourgogne septentrionale. Des Restos qui ne cantonnent plus à la distribution de repas et de nourriture. Mais, aussi proposent désormais de l’aide à la personne, grâce à des conventions signées avec des unités territoriales, dépendantes du Conseil départemental. Loisirs, culture, retour à l’emploi, santé…autant d’orientations utiles qui viennent se greffer à l’existant.

Entre deux bouchées, Romain COLUCCI se désole de la situation conjoncturelle, impitoyable envers les plus défavorisés. L’an passé, il a rendu visite à plus de cent-trente centres, répartis aux quatre coins de l’Hexagone. Il espère en découvrir 150 en 2024. Un vrai tour de France en hommage à l’altruisme et au bénévolat. Qui l’emmènera à Bourges, au Mans d’ici peu.

 

 

Honte aux élus qui pratiquent le déni de pauvreté !

 

« Plus la situation est difficile, souligne-t-il, plus il est nécessaire et indispensable de soutenir les bénévoles. Les Français sont généreux dans l’ensemble. Comme dans l’Yonne, où deux sociétés privées nous donnent des quantités de palettes de nourriture en abondance, EURIAL pour les laitages et yaourts, et la FOURNEE DOREE pour les viennoiseries. Sans oublier le groupe SCHIEVER… ».

A contrario, Romain est très critique contre celles des localités qui ne jouent pas le jeu. Sans les citer, il les pointe d’un doigt honteux : « ce n’est pas une histoire de couleur politique, mais c’est une histoire de courage personnel et de déni de la part des édiles. Certains élus nous disent qu’il n’y a pas de pauvreté dans leur commune, ce qui n’est pas vrai ! ».

Citant les chiffres de l’INSEE, Romain COLUCCI est à ce titre très catégorique : en France, dix millions de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté. Dont 550 000 personnes supplémentaires dans la seule année dernière !

« Evidemment, ces gens-là vivent dans toutes les communes de France : cela me révolte de le nier ! ».

Le porte-parole des Restos ne demande pas l’aumône vis-à-vis de ces élus peu engageants : « on ne souhaite parfois qu’un simple local que l’on nous refuse sous prétexte qu’il n’y a pas de pauvres dans ces localités ! ».

En 1985, COLUCHE s’était intéressé de près à la cause des chômeurs de longue durée. Justifiant sa célèbre démarche associative que l’on connaît depuis. Aujourd’hui, outre ce phénomène, il y a la problématique des travailleurs précaires, des personnes qui possèdent une activité professionnelle mais très mal payée.

« Quand on calcule le reste à vivre, argumente Romain COLUCCI, une fois enlevées les charges et les taxes, ces personnes peuvent prétendre aux aides des Restos du Cœur ! ».

Et de ce citer les 400 familles impactées par la disparition de BENTELER à Migennes qui vivent depuis deux ans très difficilement des allocations du chômage aujourd’hui.

 

 

La France n’arrive même pas à nourrir sa propre population

 

D’ailleurs, la liste des bénéficiaires des Restos ne s’arrête pas là. « On peut y ajouter les étudiants, et surtout une catégorie sociale dont on parle beaucoup ces jours-ci, ce sont les agriculteurs ! ».

26 % de la profession agricole vit à date sous le seuil de pauvreté en France. Quant aux seniors et aux petites retraites, Romain COLUCCI les ajoute à cet inventaire à la Prévert.

Mais, l’émotion surgit dans le regard de notre interlocuteur lorsqu’il s’attarde sur le sort des enfants. « Avant quand j’allais aux Restos du Cœur, je ne voyais que des adultes, aujourd’hui, est-ce normal qu’il y a de plus en plus de gamins… ». Un sacré paradoxe dans le pays de la bouffe par excellence ?

« C’est tout de même terrible que la France, pays de production alimentaire, n’arrive pas à nourrir sa propre population… ».

Faisant dire à l’interviewé, « il ne faudrait pas oublier que les Restos du Cœur sont un des maillons de la souveraineté alimentaire en France… ».

Un dernier mot avant d’afficher de nouveau un large sourire sur ce sympathique visage qui perpétue dans la bonne humeur l’œuvre de son père. « Tant qu’il y a la bonne ambiance aux Restos du Cœur, nous sommes dans l’esprit COLUCHE ! ».

Qui mieux que son fils aîné pour le dire, à quelques jours de la collecte nationale qui sera organisée les 01er et 02 mars prochains…C'est l'histoire d'un mec !

 

Thierry BRET

 

 


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Depuis 1990, le leader national des collants en mode « fantaisie » n’en finit plus de faire parler de lui, depuis sa base arrière, à Migennes. Le créateur de bas pour femmes a fait du collant un accessoire de mode très prisé des références stylistiques de la haute couture, mais aussi parmi les acteurs de la grande distribution. La structure entrepreneuriale a reçu la visite de la sénatrice de l’Yonne, féminine jusqu’au bout des ongles, et très curieuse d’en apprécier toutes les nouveautés…

 

MIGENNES : On se souvient tous de « La Fille aux bas nylon », chère à Julien CLERC ! Serait-ce la parlementaire qui siège au Palais du Luxembourg dans cet antre que l’on nomme le Sénat ?!

La présidente de la Délégation nationale aux Droits des Femmes et féminine jusqu’au bout des ongles, Dominique VERIEN, n’en est pas moins une élue passionnée par la chose économique, synonyme d’attractivité territoriale et d’incontestables plus-values pour la zone géographique dont elle défend vaillamment les couleurs : le département de l’Yonne.

Sollicitée de plus en plus souvent aux quatre coins de l’Hexagone avec ses nouvelles missions qui lui permettent de valoriser et promouvoir l’égalité des chances entre les deux sexes, la parlementaire de l’Yonne a pu s’autoriser une salvatrice pause, cette semaine, à Migennes pour y découvrir la société DIVINE Paris, belle PME pilotée par un tandem de choc, jadis, dans la sphère rugbystique : Laurent TROGNON et Frédéric AUSTRUI !

 

 

Le spécialiste de la confection de collants et de bas a pu accueillir l’élue de l’Yonne pour un temps de présentation complet des ultimes innovations apportées au développement de la structure. Et notamment le fameux projet de recyclage des textiles composés de nylon, décliné par la start-up auxerroise, ECOLLANT, qui a déposé un brevet visant à redonner une seconde vie à ces précieux ustensiles de l’esthétisme au féminin.

Rappelons-en les fondements : l’objectif est de développer, voire d’industrialiser à large échelle, une solution de recyclage unique qui vise à extraire le nylon des collants et autres textiles en fin de vie, afin d’en reconstituer une fibre nouvelle, prête à l’emploi. Bref, la valorisation d’une filière textile qui est en quête de renouveau dans l’esprit pérenne des circuits courts et du développement durable.

Curieuse, Dominique VERIEN a pu poser toutes les questions qui lui tenaient à cœur durant cet entretien instructif. Démontrant ainsi, en bonne ingénieure qu’elle est à ses origines professionnelles, que les innovations en la matière l’interpellaient au plus haut niveau.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Cela semble être une évidence pour la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY, de passage à Joigny ces jours-ci à l’occasion de la séance des vœux de Nicolas SORET – le président de la CC et maire de la Ville est le numéro trois de l’institution régionale -, « il ne peut y avoir une intégration réussie des personnes étrangères en France sans la maîtrise de la langue ». Des cours financés par la Région. Ce que conteste ouvertement le Rassemblement National…

 

JOIGNY: Non, elle ne regrette pas, cette action sociale. Si c’était à refaire, elle le referait ! Foi de Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté ! Pas tendre avec son opposition d’extrême-droite, la patronne de la contrée dit en avoir assez de ces critiques scandaleuses.

« Nous finançons des cours de français à destination de nos concitoyens qui ne maîtrisent pas suffisamment leur langue maternelle chaque année, explique-t-elle, devant un mini auditoire lors de sa visite chez DECLIC Emploi, la structure d’intérim gérée par Sylvie SIDOU et sa fille Axelle. Nous avons étendu ce dispositif aux personnes étrangères parce que cela repose sur du bon sens. La maîtrise de la langue, c’est la première d’intégration dans un pays… ».

Pas faux ! Or, l’enseignement de notre langue aux personnes étrangères est aujourd’hui régulièrement décrié par les représentants du Rassemblement National, le président de son groupe, Julien ODOUL, en  tête.

« Pour le RN, c’est simple, ajoute l’élue régionale, je dilapide l’argent public en de futiles actions. C’est proprement scandaleux car sans cours de français, il ne peut y avoir intégration dans notre société… ».

Et de rappeler en substance que parmi les nombreuses compétences de l’organisme régional, l’illettrisme et l’analphabétisme intègrent les priorités. Une double notion applicable aux Français, évidemment mais étendue à l’ensemble de la population étrangère.

« Les besoins sont là, conclut la présidente confortée par Nicolas SORET, il est capital d’assurer ces cours de français, point de départ vers une intégration réussie… ».

L’enseignement de la langue de Molière aux étrangers ne fait donc pas l’unanimité de la classe politique régionale. Celles et ceux qui sont en attente de la régularisation de leurs statuts pour mieux s’intégrer en France ne doivent pas penser la même chose, c’est certain.

Entre « Les Fourberies de Scapin » ou les « Précieuses Ridicules », ils n’ont donc que l’embarras du choix pour se faire une  opinion de la réalité de la situation !

 

Thierry BRET

 

 


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Vu le temps glacial et le froid qui mordent cruellement les joues, ils ne chôment pas les salariés de BERNER ! Trop affairés à apporter la couche de peinture nécessaire pour embellir les petits cabanons, ceux qui ont pour pensionnaires une cohorte de chats domestiques qui observe avec curiosité toute cette agitation humaine. « Le Secours Félin », refuge perdu au milieu de nulle part mais havre de paix royale pour les animaux en attente de maîtres, est le grand bénéficiaire de cette opération altruiste concoctée par l’entreprise allemande implantée à Saint-Julien-du-Sault. Le Noël des chats, en somme ?!

 

CHAUMOT : Les doigts sont gourds, et il n’est pas si simple d’immortaliser via l’appareil photographique tenu tant bien que mal dans les mains gelées le chantier en cours, assuré par les collaborateurs volontaristes du groupe BERNER ! Un premier cabanon présente une flamboyante physionomie rouge qui dénote avec le décorum ambiant du refuge, géré par l’association « Le Secours Félin ». Un second où s’active l’équipe en place se teinte de vert. De manière progressive, à grands coups de pinceaux et de rouleaux. Que du matériel et des produits à l’estampille de BERNER, c’est logique ! D’ailleurs, on est jamais aussi bien servis que par soi-même, non ?

Depuis 2017, c’est la même en couleur ! Avec un plaisir identique et une bonne humeur communicative entre les membres de cette opération qui apprennent aussi à mieux se connaître. En matière de cohésion de groupe, ce dont rêvent tous les dirigeants d’entreprise et spécialistes des ressources humaines, c’est plutôt réussi. Vêtus de leurs combinaisons blanches qui se tâchent petit à petit de peinture verte, les acteurs de cette animation à vocation sociétale et environnementale se détendent tout en effectuant leur labeur. On rigole, on plaisante, on s’entraide, on mutualise les efforts, on abat la carte de la solidarité : bref, on est dans la fierté de réaliser quelque chose de bien !

 

Des travaux tous azimuts pour le confort des chats

 

Aujourd’hui, et malgré ce froid de canard (cela aurait plu aux félins maintenus dans leurs enclos d’en avoir quelques-uns avec eux, histoire de s’amuser !), une quinzaine de salariés sont à pied d’œuvre. Certains verdissent l’extérieur de la cabane – une chatterie – de leurs coups de pinceaux experts ; d’autres sont à l’intérieur afin d’isoler au maximum le toit du petit bâtiment, chauffé d’ordinaire. Les chats du refuge, même s’ils ont été abandonnés ou en quête de maîtres gentils avec eux, méritent bien un peu de chaleur ambiante. Avant de recevoir celle des humains.

 

 

Bénévoles, les participants de cette belle opération digne d’un conte animalier de Noël ont réalisé lors de ces derniers jours des travaux de ponçage, d’isolation thermique, de peinture, d’aménagement extérieur en créant des espaces de suspension et de jeux pour leurs amis à quatre pattes. De velours, de surcroît !

 

 

Un don de 6 000 euros à toutes fins utiles

 

Outre le geste symbolique – celui de retrousser les manches via ses salariés pour améliorer le site -, BERNER s’est également mobilisé en proposant le don de matériel indispensable à la réalisation des travaux et à la redistribution d’une collecte comprenant nourriture et litière. Collecte qui fut organisée au siège social de Saint-Julien-du-Sault en amont.

La cerise sur le gâteau, elle se présentait sous la forme d’un fac-similé de chèque en version grand format pour annoter la somme offerte par le spécialiste de la distribution de matériels et outillages industriels : soit la coquette enveloppe de 6 000 euros ! Et pour parodier le célébrissime film de saison du SPLENDID, une note d'humour de circonstance : « Joyeux Noël, Félix ! ». Le chat, bien entendu !

 

Thierry BRET

 

 


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