Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’urgence. Car nul ne peut plus ignorer les actes odieux dont sont victimes au quotidien les femmes au tréfonds de leur contexte familial. Les chiffres transmis par la délégation ad hoc du ministère de l’Intérieur sont accablants de véracité en ce qui concerne les violences conjugales. Des chiffres qui ont sans doute ému les responsables de l’assureur mutualiste régional déjà positionné sur bon nombre d’opérations citoyennes par le passé…

AUXERRE : Rien que sur l’exercice 2019, ce sont plus de 170 personnes (173 précisément) qui ont payé de leur vie les relations délétères et conflictuelles existantes au sein de leur couple.

Soit une hausse de 16 % par rapport à l’année précédente. Et ce n’est malheureusement pas les périodes successives de confinement, imputables au coronavirus, qui auront modifié les tendances de cette situation insoutenable pour la gent féminine.

Quand les dix présidents des caisses locales de l’assureur mutualiste icaunais ont eu à réfléchir sur le bien-fondé d’une aide salvatrice à apporter à celles qui subissaient les violences physiques et morales de leurs partenaires, ils se sont montrés unanimes dans leur choix.

Primo, l’idée de construire ensemble, avec le concours des services de l’Etat et des associations spécialisées dans la protection des droits aux femmes, une action solidaire et responsable est devenue très vite une évidence.

Dès janvier, ces clés de voûte de l’organigramme représentatif de GROUPAMA sur notre territoire seront réunies, en présentiel ou à distance selon l’état des lieux sanitaire du moment, afin de définir les grandes lignes de cette future collaboration citoyenne.

Parmi les priorités à débattre : la définition d’un budget sur l’année 2021 allouée à cette opération et ses différentes affectations. Un séminaire leur sera aussi proposé pour mieux appréhender les problématiques d’aides au relogement dont ces femmes expriment le besoin en cas de rupture avec leur turbulent conjoint.

 

Un acte de générosité sous la forme d’un chèque…

 

Secundo, il y a peu, l’exécutif de l’assureur mutualiste sur notre département (Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses locales de l’Yonne et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement) ont anticipé le futur de ces projets.

Faisant suite à des échanges constructifs avec le directeur de cabinet de la préfecture Tristan RIQUELME, ils ont procédé à un acte de générosité, sous la forme d’un don au profit des femmes victimes de ces violences conjugales.

Celles-ci, au nombre de vingt-trois, avaient été recommandées par deux organismes qui luttent contre ce fléau : l’ADAVIRS (Association d’aides aux victimes d’infractions et à la réinsertion sociale) et le CIDFF (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Yonne).

D’un montant de 1 500 euros, ce geste salvateur a été officialisé en présence de Juliette ROME, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité. Il a pour vocation d’améliorer le quotidien de ces personnes précaires.

Dans un registre similaire, GROUPAMA Paris Val-de-Loire qui n’en est pas à son coup d’essai dans ses actions en faveur de la citoyenneté et de l’altruisme (marche annuelle sensibilisant au dépistage du cancer du sein, opérations menées dans le cadre de l’Egalité des chances entre les femmes et les hommes dont Jacques BLA NCHOT est précisément le représentant départemental pour l’Yonne) devrait intervenir également en milieu scolaire (primaire et lycée) dès janvier autour de la prévention égalitaire entre les deux sexes.   

    

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Place Emile Blondeau, la vitrine commerciale de la « banque verte » s’est refait une beauté. Une cure de jouvence dont profite depuis peu la clientèle locale. Elle s’inscrit dans le programme de rénovation des agences selon les codes du nouveau concept déployé en Champagne-Bourgogne. Un mode opératoire qui fait la part belle à l’ergonomie et à la digitalisation des services.

BRIENON-SUR-ARMANCON : Alors que certains établissements bancaires éprouvent de plus en plus de difficulté à conserver leur présence physique dans le paysage territorial, d’autres, en revanche, poursuivent leurs investissements en matière de modernisation de leurs locaux. Y compris en zones rurales.

C’est le cas, précisément, de l’une de ces structures dont le milieu champêtre demeure l’une des clés de voûte de sa stratégie commerciale : à savoir, le Crédit agricole.

L’établissement aura mis un point d’honneur à clore l’atypique année 2020 en continuant sa politique de rénovation de ses points de vente sur le département de l’Yonne. A l’instar de ce qui se passe ailleurs parmi les autres territoires de sa zone de chalandise : l’Aube, la Côte d’Or et la Haute-Marne.

 

 

 

 

Disposant au total de 143 vitrines d’accueil pour sa clientèle, l’entité financière régionale vient de réhabiliter l’une d’entre elles à Brienon-sur-Armançon.

Une agence où travaillent six collaborateurs dirigée par un binôme paritaire, Boris JAYET, directeur et Séverine ROBE, directrice déléguée.

 

Banque Populaire

 

Des espaces repensés selon des types de besoins…

 

Pourvue de trois nouveaux univers propices à renforcer les liens avec la clientèle, l’agence de la Place Emile Blondeau a été relookée par des artisans du cru. Un principe fondamental pour le donneur d’ordre qui veut faire fructifier la dynamique économique locale à chaque chantier.

Lumineuse, fonctionnelle, spacieuse, l’agence facilite l’accueil, le conseil et l’expertise dans un souci de confidentialité et de praticité. La technologie y tient sa place avec la présence d’une borne interactive, la signature électronique sur tablette ou l’efficience des automates innovants. Toutefois, la relation humaine n’est jamais très loin. L’assistance et les conseillers peuvent apporter leur savoir-faire à tout moment.

Néanmoins, pour celles et ceux qui ne souhaiteraient pas se rendre sur place pour y effectuer une opération, compte-tenu du contexte sanitaire, précisons que les solutions à distance offrent des possibilités complètes via les applications à découvrir sur le site www.credit-agricole.fr/ca-cb.

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le défi est de taille. Presque surréaliste par l’ampleur de sa configuration. Il en aurait rebuté plus d’un qui se serait déjà contenté de baisser les bras juste à l’idée de le faire. Oui, mais voilà : la directrice de publication du magazine « vitamines » en ingurgite suffisamment à forte dose pour conserver la foi en son « bébé ». Imposer sa revue dans tous les kiosques de l’Hexagone, ce qui n’est pas un rêve pieu. Et en cette période de Noël, on peut toujours croire en son destin quand on sait forcer les choses …

AUXERRE : Il lui en faut de la détermination et du tempérament chaque jour que Dieu crée. Et pas qu’à simple dose homéopathique pour tenir le choc ! Concevoir une nouvelle arborescence à son magazine arts de vivre qui gonfle de volume par rapport à sa version originelle (aujourd’hui 84 pages) nécessite beaucoup d’énergie et de la praticité. De cela, Isabelle COSEMANS n’en manque pas : elle en a à revendre !

Mais, diffuser sous la forme d’une immense phase test son dernier opus, intégralement relooké, auprès de 1 700 points de distribution répartis sur dix-sept départements du secteur Centre-Est ne s’appréhende pas tous les jours ! On la sent fébrile, impatiente de connaître les résultats des premières ventes et excitée par cette toute nouvelle aventure. Qui ne le serait pas en vérité !

 

Une nouvelle mouture diffusée en kiosque depuis un mois…

 

Le média du bien-être et de la détente made in Yonne s’offre donc une cure de jouvence salvatrice trois ans après la publication de son numéro initial. Avec un sérieux changement de cap et de stratégie à son actif.

Exit le support gratuit qui ornementait les devantures vitrées des commerces des cœurs de ville et s’étalaient sur les rayonnages publicitaires ou dans les salles d’attente, place à un tout autre challenge.

D’envergure national, celui-là, qui pourrait augurer de belles perspectives en cas de réussite. Celui de figurer parmi la liste pléthorique de cette presse spécialisée qui fait l’apologie de la détente, des arts de vivre, du bien-être et des loisirs. Des ouvrages pas uniquement destinés à satisfaire le lectorat féminin, on s’en doute…

Certes, la conjoncture liée à la crise sanitaire ne pouvait pas plus mal tomber pour rendre complexe la période de lancement de ce magazine. La fête prévue initialement par la responsable du titre afin d’en officialiser la sortie aura donc tourné court. Un couac indépendant de sa bonne volonté qui lui reste en travers de la gorge avec un brin de désolation dans le regard, en attendant des jours meilleurs.

 

 

Nonobstant, l’édition de ces exemplaires matriciels a pu être réalisée dans les délais impartis par CHEVILLON Imprimeur.

Accueilli en kiosque depuis un mois, avec le concours de la société de distribution MLP, le magazine « bonne mine » est tout de même entré dans la cour des grands. Aux côtés des majors de la presse parisienne spécialisée dans ces thématiques ludiques qui permettent d’éclairer à coups de projecteurs pratico-pratiques et de visuels très alléchants les lecteurs en quête d’inspiration sur la décoration, la mode, le logement, la gastronomie, la santé, le bien-être, l’enfance ou le tourisme. Des cibles de réflexion que reprend à son compte « Co’Coon Magazine » dans sa grille de lecture.

 

Une stratégie économique dûment réfléchi avec un club d’investisseurs

 

Affichant un prix de vente établi à 5,90 euros, le média devrait progressivement être implanté dans le reste de la France sans doute au printemps. Toutefois, la prudence reste de mise compte tenu du délicat contexte actuel.

Epaulée dans le choix de ses orientations stratégiques par le club d’investisseurs KUB, Isabelle COSEMANS cherche à lever des fonds pour rendre viable son produit, ouvert aux abonnements et à la publicité.

Sa présence sur la plateforme numérique ULULE lui offre aussi une tangente visible du côté de l’économie participative via le crowndfunding.

La responsable de la SASU PEP’S Communication qui porte le projet espère publier six numéros à l’année, en sollicitant une équipe de chroniqueurs s’exprimant sans standard et avec légèreté d’esprit dans les formes scripturales pour alimenter les différentes rubriques tendance. Un petit noyau dur, constitué d’autoentrepreneurs, apporte sa plus-value à la conception graphique et visuelle du support.

Vingt-trois numéros de ce magazine édités à 16 000 exemplaires étaient parus lors de la première tranche de vie de ce média au plan départemental qui avait vu le jour en 2017. Combien le seront à la suite de cette nouvelle aventure réalisée à l’échelle de l’Hexagone ? Le plus grand nombre, souhaite l’entrepreneuse icaunaise…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Engagé de la première heure pour soutenir le projet élyséen du candidat Emmanuel MACRON, le référent de La République en Marche dans l’Yonne a été reconduit à son poste pour un mandat supplémentaire de deux ans. Une période faste en échéances électorales avec l’organisation de quatre des scrutins essentiels qui régissent la vie politique de l’Hexagone…

AUXERRE: Chômage et farniente s’abstenir pour le référent icaunais de La République en Marche au cours de ces vingt-quatre prochains mois ! Le renouvellement de mandat de Patrice TAMPIED AZURZA sur une période de deux ans correspond à la tenue de quatre des élections fondamentales qui rythment la vie démocratique de notre pays.

Autant dire que l’historique premier référent du parti présidentiel désigné sur notre territoire devrait être passablement occupé dans les semaines et mois à venir, notamment en vue des futures départementales et régionales de 2021. Rappelons qu’en raison de la crise sanitaire actuelle et de son impact évident sur notre quotidien, ces deux échéances ont été décalées de mars à juin pour optimiser leur organisation.

D’ici là, le référent de l’Yonne aura eu tout le loisir de peaufiner la stratégie du parti présidentiel. En sa qualité de responsable du Conseil territorial LREM Yonne ainsi que du Comité politique.

 

 

 

 

Un binôme avec Jean-Baptiste LEMOYNE pour les départementales…

 

Aux côtés du Secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE (le conseiller départemental de l’Yonne a été nommé coordinateur de LREM sur son territoire de prédilection), Patrice TAMPIED AZURZA travaillera aux enjeux de ces départementales 2021.

Il en fera de même avec le député de la Côte d’Or voisine, Didier PARIS, nommé chef de file de LREM en Bourgogne Franche-Comté dans le cadre des Régionales.

La décision de renouveler sa confiance au référent icaunais a été prononcée le 14 décembre dernier lors de la tenue du bureau exécutif des Marcheurs. Conformément aux statuts, ce sera le dernier mandat pour l’actuel référent qui rendra son tablier après cinq ans d’investissement en octobre 2022.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil