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Pris sur le vif, l’instantané photographique illustre l’intérêt porté par la classe économico-politique au monde de l’entreprise. En particulier celui de l’industrie dont FRUEHAUF représente l’un des fers de lance sur notre territoire. Bénéficiaire d’une enveloppe généreuse de 800 000 euros, obtenue grâce au plan « France Relance » institué par l’Etat, le fabricant de remorques et semi-remorques modernisera son outil de production tout en préservant le capital humain dans ses ateliers…

AUXERRE: Une sénatrice, un député, un président de communauté de communes et maire d’une grande agglomération, un président de chambre consulaire, un délégué général d’organisations patronales de poids dans le paysage économique, et pour couronner le tout, le représentant de l’Etat !

Ces éminentes personnalités du sérail économico-politique de l’Yonne étaient au rendez-vous ce jeudi après-midi pour une visite privative du site industriel de la filiale hexagonale du groupe WIELTON, l’emblématique FRUEHAUF.

Un comité, certes très restreint pour cause sécuritaire imputable à la COVID-19, mais ô combien important pour encourager l’initiative de l’Etat à soutenir le tissu industriel via un plan de relance national.

C’est précisément grâce à ce judicieux dispositif baptisé « France Relance » que le directeur général du leader français dans la conception de remorques et semi-remorques Richard RIHOUET était tout sourire en accueillant ses visiteurs.

Logique, l’appel à projets proposé dans le cadre de ce programme solidaire étatique lui est revenu favorable avec à la clé une coquette somme de 800 000 euros, permettant à la société de rebondir de manière optimale face à la crise.

 

Gagner en compétitivité est favorable à l’export et…à l’emploi

 

Une aide importante pour l’essor de l’entreprise qui sera convertie en achat d’une nouvelle chaîne de fabrication de longerons. Pièce névralgique et maîtresse d’une remorque. Datant de 1982, l’équipement actuel apparaît vétuste et ne permet plus à l’usine auxerroise d’augmenter sa capacité de production. Son remplacement, inévitable, s’inscrivait parmi les priorités de la filiale de l’actionnaire polonais WIELTON.

Opérationnelle courant 2021, la nouvelle ligne robotisée favorisera la compétitivité de l’entreprise tant sur le marché français qu’européen. FRUEHAUF exporte les produits nés de son savoir-faire vers le BENELUX, l’Espagne ou la Suède. Sans omettre le prometteur marché du Maghreb.

Mais, ce coup de pouce de l’Etat l’est aussi en faveur de l’emploi et de sa pérennisation. Le site industriel d’Auxerre – l’unique représentation physique que compte FRUEHAUF en France – accueille dans ses bureaux d’étude et ateliers près de 650 collaborateurs. Ce qui en fait l’une des plus grosses sociétés industrielles du département.

L’embauche y est constante tant les besoins de main d’œuvre qualifiée y sont nécessaires. D’ailleurs, une centaine de travailleurs intérimaires ont vu leur contrat professionnel se muer en CDI au cours de ces derniers mois !

Devant ses interlocuteurs, le dirigeant de FRUEHAUF ne pouvait que remercier humblement tous les acteurs qui l’ont aidé à traverser cette crise délicate. Qu’il s’agisse des partenaires sociaux, des contacts institutionnels et économiques ainsi que l’Etat.

« Les services de l’Etat nous ont grandement soutenus, précise-t-il, le chômage partiel aura permis de maintenir l’emploi… ».

Fabriquant 22 remorques ou semi-remorques par jour à l’heure actuelle dans ses ateliers, FRUEHAUF devrait gagner en productivité grâce à ces futurs aménagements de l’ordre de 15 %. De quoi ravir les investisseurs polonais qui s’engagent à soutenir davantage le site icaunais à l’avenir.

 

 

Que les entreprises de l’Yonne soient irriguées par les aides de l’Etat…

 

 

Lors du point presse, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST expliqua les enjeux primordiaux de ce plan de relance dont la cheville ouvrière administrative n’est autre que BPI France. Un budget global de 100 milliards d’euros débloqués par l’Etat. Dont 600 millions d’euros impactent directement les acteurs de l’industrie automobile.

Commentant ces initiatives de l’Etat, le député de la première circonscription Guillaume LARRIVE évoqua le principe vertueux du « service après vote », soit un blanc-seing politique accordé à ce plan de relance en faveur de l’économie nationale.   

« Je veux que ces millions d’euros (3,9 pour le seul département de l’Yonne) équipent et soutiennent les entreprises de notre territoire, souligna le parlementaire LR, nous devons nous saisir de ces atouts de compétitivité et de croissance durable… ».

De son côté, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ confirma que « la compétitivité d’aujourd’hui n’est autre que la préservation et la création des emplois de demain ».

Il s’est dit très favorable à ce plan de relance qui « peut remettre de l’ordre dans la compétitivité des entreprises industrielles qui ont souffert après plusieurs mois d’immobilisme… ».

Alain PEREZ souhaite en conclusion que « tous les territoires de notre département soient suffisamment irrigués par cette manne financière et que cela ne se cantonne pas uniquement à certaines grandes entreprises… ».

 

 

Le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX s’est montré très satisfait que le projet de développement porté par FRUEHAUF auprès de BPI France soit retenu. En espérant que ces investissements soient très vite injectés dans l’entreprise afin d’en assurer son essor.

Quant au maire d’Auxerre et président de l’Agglo de l’Auxerrois Crescent MARAULT,  il a rappelé qu’il était indispensable de faire preuve de solidarité autour du tissu entrepreneurial grâce à ce plan de relance coopératif.

« L’Etat investit dans notre bassin pour préparer l’avenir et ses relais de croissance ; ce qui ne peut être que profitable aux emplois… ».

Reste la sénatrice Marie EVRARD : cette dernière concluait ce tour de table testimonial en faisant part de sa fierté dans les projets mis en œuvre par le constructeur de remorques et semi-remorques, un leader national implanté à Auxerre. Toute étonnée d’y découvrir un site industriel qui conçoit ses produits de A à Z…

Les fondements même d’un véritable savoir-faire made in Yonne dont on ne peut que s’enorgueillir et exporter !

 

Thierry BRET

 


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Les vérités de La Palice n’auraient pas trouvé mieux. Pour qu’il y ait un accroissement de la sensibilisation des automobilistes français au véhicule électrique, il serait nécessaire de disposer au détour d’une route, d’un parking de centre commercial ou d’une place de village davantage de points de recharge. Si tel était le cas à présent, ce serait quatre de nos concitoyens sur dix qui opteraient volontiers pour l’achat de ces modèles…

PARIS : On le sait, l’objectif du gouvernement sur ce volet capital de la transition énergétique est de pouvoir disposer de 100 000 points de recharge au terme de l’année 2021.

Un maillage ambitieux qui permettrait de conforter l’orientation stratégique en faveur de l’essor consumériste des automobiles électriques.

Aujourd’hui, l’Hexagone se situe à la troisième position européenne du nombre de bornes installées dans son paysage. Près de 30 000 unités.

Une présence intéressante, certes, mais qui est encore loin, somme toute, de l’Allemagne qui, pour une fois avec ses 41 461 recharges (chiffres communiqués par AVERE-France) se classe à la seconde place. Ce sont les Pays-Bas qui caracolent en tête de ce classement avec plus de 58 000 unités.

L’accélération de la pose de ces structures est indispensable au rayonnement du véhicule électrique.

Entre 2019 et 2020, leur part de marché a évolué de 1,6 à 6,1 %. On est encore très loin des réelles potentialités offertes par ces modèles dont 70 % de nos compatriotes seraient friands à condition qu’il y ait plus de bornes de recharge ! Bref, c’est le serpent qui se mord la queue !

 

 

75 % des Français disent ne pas trouver de bornes sur les longs trajets…

 

 

Du côté des constructeurs, 41 % aimeraient que ces bornes soient davantage présentes dans le cœur des villes où il est vrai, elles brillent le plus souvent par leur absence.

Bon nombre de stations-services n’en possèdent toujours pas. Quant aux professionnels de la grande distribution, ils commencent à s’y intéresser en leur dédiant un espace sur l’un de leur parking.  

Dans un marché atone qui a connu une dégringolade de près de 27 % au niveau des ventes cette année, contexte sanitaire oblige, les véhicules électriques symbolisent ce renouveau tant attendu par les concessionnaires.

A la seule condition que très vite fleurissent de nouveaux appareils de recharge. 75 % des automobilistes français se plaignent de ne pas trouver ces précieux points de ravitaillement en électricité lorsqu’ils empruntent un parcours relativement long.

Il n’y a donc plus de temps à perdre pour la gouvernance qui veut changer le paradigme de la mobilité en France…

 


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Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…

VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.

A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.

 

Un établissement fonctionnel depuis 1975…

 

Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.

Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.

Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.

De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.

 

  

 

Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…

 

 

Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.

Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.

D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).

Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.

S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.

 

 

Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…

 

Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.

L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.

Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.  

Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.

 

En savoir plus :

 

Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :

CFA Agricole de l'Yonne

La Brosse

89290 Venoy

03.86.45.15.23.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Son idylle avec le monde bancaire s’est achevée de manière soudaine au printemps 2019. Quatorze années de bons et loyaux services pour porter le Crédit Foncier sur un piédestal avant que l’aventure ne tourne en eau de boudin. Il n’en fallait pas davantage pour redonner du punch à cette femme dynamique. Depuis, son rêve d’enfance se réalise : elle pilote une SAS dans le secteur du bâtiment…

AUXERRE : Voilà l’exemple parfait d’une reconversion professionnelle réussie ! Celle qui illustre la nouvelle aventure entrepreneuriale de l’ex-adjointe de la Ville d’Auxerre, Sarah DEGLIAME-PELHATE.

Logique, en vérité que le succès soit au rendez-vous de sa réorientation de carrière ; elle qui avait en charge la jeunesse, la formation et l’enseignement supérieur lors de la précédente mandature sous l’ère de Guy FEREZ.

Depuis le 01er avril, cela ne s’invente pas ( !), cette amoureuse des vieilles pierres et du patrimoine préside à la destinée de son nouvel outil, une SAS baptisée BATRIUM RENOV.

La structure se positionné sur la pratique des règles de l’art de la rénovation et de la réhabilitation d’espaces habitables au cordeau. Ses agréments en poche après avoir suivi les cycles très instructifs de l’Ecole européenne des arts et de la matière à Albi, Sarah complète son cursus par des établissements pédagogiques qui lui confèrent une acuité très approfondie sur les pigments et les trompe l’œil.

Aux côtés de son époux, Bruno qui a endossé la vêture de directeur général de la TPE, la dirigeante fréquente à bon escient et avec beaucoup d’enthousiasme les chantiers où s’effectue la rénovation de bâtisses traditionnelles et d’anciennes demeures bourgeoises à l’instar de cet édifice datant du XVIIIème siècle implanté dans le Bordelais.

 

Un signe zodiacal qui ne trompe pas dans son obstination : le taureau !

 

Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, la cheffe d’entreprise a même pris soin de peaufiner les moindres détails de l’architecture en travaillant le travertin, une pierre spécifique de cette contrée de Gironde.

Elle ne rechigne pas à mettre la main à la pâte ! Ou plutôt à poser le carrelage, à réaliser des travaux de peinture, à concevoir les aménagements intérieurs et extérieurs avec cette obstination caractéristique qui lui est propre en sa qualité de native du signe du taureau !

 

 

 

 

Rendre leur cachet et leur typicité à ces demeures qui ne demandent qu’à briller de mille feux après ce travail minutieux de lifting est son leitmotiv.

Issue d’une famille d’artistes qui se passionnent pour la mode et la musique, Sarah souhaite laisser une trace pérenne de son œuvre professionnelle après elle. Ce qui ne l’empêche pas, au quotidien de suivre l’administratif et de réaliser les devis et les plans de ses interventions (elle a suivi une formation de métreur au CFA Bâtiment d’Auxerre), étapes obligatoires qui mène à l’obtention d’un marché.

 

La ligne bleue des Vosges de la pérennité professionnelle…

 

A 51 ans, Sarah DEGLIAME-PELHATE rayonne dans sa nouvelle existence. La vie après la vie ! Un choix longuement mûri de près de deux ans, la période nécessaire qui lui aura fallu pour évacuer définitivement les reliquats de sa précédente carrière bancaire.

Pas de regrets selon elle : même si le métier lui a ouvert de jolis horizons intellectuels, elle a su couper court avec ce cordon ombilical qui la reliait et l’entravait au monde financier. Une profonde entaille inéluctable faite dans une quiétude et une détermination qui frisent l’insolence.

Epanouie, confiante et optimiste quant à son devenir, elle est l’incarnation même de cette opportunité heureuse qui peut se présenter à chacun d’entre nous afin de mieux rebondir dans sa vie professionnelle.

D’ailleurs, malgré le contexte sanitaire du moment, elle se projette volontiers sur l’horizon 2021 en le distinguant comme la ligne bleue des Vosges : la création d’une embauche et l’apport de nouvelles perspectives en termes de services ne sont pas à exclure dans ces douze prochains mois.

 

Thierry BRET

 

 


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Solidarité et altruisme. Humaniste, aussi, l’intervention de l’assureur mutualiste de Paris-Val-de-Loire pour faire face au contexte sanitaire. Une épidémie qui a frappé de plein fouet des pans entiers de notre économie et touchée au cœur des millions de nos compatriotes. En injectant 25 millions d’euros dans de nombreux rouages, le spécialiste de l’assurance-prévoyance n’a fait qu’appliquer à la lettre sa fameuse maxime : « J’agis là où je vis… ».

AUXERRE : L’ancrage territorial demeure l’une des valeurs maîtresse qui explique la stratégie de l’assureur mutualiste sur sa zone de prédilection : les départements de ce grand bassin géographique constitué par Paris-Val-de-Loire. La crise sanitaire inhérente au coronavirus vient une fois encore de le remémorer à nos esprits.

Très investi auprès de ses sociétaires à la moindre turbulence fâcheuse de la météorologie et aux conditions climatiques en surchauffe d’année en année, GROUPAMA n’a pas failli à sa mission première avec l’omniprésence de ce nouveau fléau pathologique qui s’est abattu sur sa zone d’influence.

Etre à l’écoute et au service de celles et de ceux des particuliers, entreprises et collectivités qui ont noué des contacts professionnels utiles avec cette structure dont l’éthique repose sur les principes fondamentaux du mutualisme. Partage, bienveillance et équité…

Au 15 novembre, le montant global de sa mobilisation s’élevait à 25 millions d’euros. Une enveloppe déjà fort conséquente qui ne devrait pas en rester là, somme toute, car c’est sans compter sur les effets induits de la deuxième phase de confinement qui, à date, est encore loin d’être achevée…

 

Une kyrielle de mesures pour accompagner l’économie…

 

Dans le détail, la contribution du groupe assurantiel s’est tout d’abord effectuée en faveur de l’effort de solidarité nationale voulu par la gouvernance de notre pays. Soit une somme de 7,4 millions d’euros dont 6,3 millions ont été répartis vers le seul secteur sanitaire. Le reliquat d’1,1 million est venu abonder le fonds de soutien mis en place par l’Etat.

Les entreprises, nerf de la guerre inéluctable dans l’essor du groupe au niveau de ses parts de marché, ont bénéficié pour 800 d’entre elles d’une réduction de cotisations équivalente à 1,1 million d’euros.

 

 

Ces mesures de soutien ont été accompagnées d’autres initiatives pertinentes pour un total de 8 millions d’euros aux professionnels. 17 355 sociétaires ont profité de cette manne providentielle. Celle-ci a été attribuée de la manière suivante : 1,2 million d’euros pour le report des cotisations, 1,5 million d’euros de réduction de cotisations à hauteur de 10 %, 1,5 million d’euros pour la réduction de cotisations à hauteur de 50 % au titre de l’année 2020, 758 000 euros de réduction de cotisations à hauteur de 25 % sur l’exercice 2021, 65 000 euros de suppression de franchise en cas d’arrêt de travail pour les professionnels de santé atteints de la COVID-19, 227 000 euros de remise de cotisation automobile à hauteur de vingt euros, 343 000 euros affectés à une enveloppe perte de denrées et 455 000 euros de chèques solidaires commerces.

Signalons pour être tout à fait complet sur le sujet que deux millions ont été destinés à la participation sous forme de prêts au fonds de revitalisation REVI’CENTRE en soutien des TPE et petites entreprises.

 

 

Des dons au bénéfice des personnels soignants et de secours…

 

Filière historique inféodée à la politique de développement économique de l’assureur, le monde agricole via ses 11 230 sociétaires s’est vu octroyé un budget solidaire de 5,4 millions d’euros.

Sa déclinaison en est la suivante : 900 000 euros représentent le report de paiement des cotisations ; 1,9 million d’euros équivaut au remboursement de deux mois de cotisations sur les tracteurs ; 1,9 million d’euros se rapporte à la réduction de cotisations à hauteur de 50 % ; la réduction de cotisations des serres et des centres équestres, très impactés par la crise, s’élève à 400 000 euros.

Quant à l’avance de trésorerie sous forme de prêts accordés aux viticulteurs, elle dépasse la barre des trois cent mille euros (303 000 euros précisément).

Une quarantaine de locataires ont vu l’abandon de leurs loyers pour un équivalent de 142 000 euros.

Tandis que les mesures de soutien aux particuliers (100 400 sociétaires) se sont approchées de trois millions d’euros (2,7 millions avec exactitude) : elles ont permis l’obtention d’une remise de vingt euros sur les cotisations du poste automobile par ménage.

Pour clore ce premier bilan chiffré de la gestion de crise, il ne faut pas omettre les dons effectués au nom du principe vertueux de la solidarité à divers bénéficiaires, en particulier les personnels soignants et de secours mais aussi les syndicats professionnels.

Ainsi, l’obole consentie par l’assureur régional s’élève à 337 000 euros. Une aide financière appréciable qui sera convertie en fait à l’achat de masques, gel hydro-alcoolique, blouses, visières, plateaux repas, matériels informatiques, et même des fleurs…Un clin d’œil agréable et bucolique dans ce monde incertain ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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