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En cette période de ralentissement de l’activité économique, la responsable de la société « EPONA COACH » propose des séances de « réveil positif » pour les entrepreneurs confinés. Il s’agit de sessions conçues en visioconférence, du lundi au vendredi de 9h à 9h30. Elles permettent de garder un état d’esprit optimiste et l’envie de continuer à avancer, mais de manière différente. Naturellement, l’altruisme et le civisme prévalent en la matière…

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Le pire des maux pour un chef d’entreprise digne de cette appellation, c’est de vivre confiné. Alors que tout ou presque l’appelle à chaque instant au dehors pour réaliser son business et accroître son chiffre d’affaires.

Or, pour sortir de cet isolement contraint, forcé mais ô combien nécessaire afin d’endiguer la propagation du coronavirus, il est bon de vivre de nouvelles initiatives, plus collectives. Celles qui nous offrent des opportunités de conserver le moral tout en gardant le cap sur une ligne d’horizon professionnelle.

C’est ce que propose depuis quelques jours l’entrepreneure Sandra CACHON installée dans l’Yonne. Sa recette miracle se nomme les « réveils positifs ». Une séance journalière d’une demi-heure sur un référent numérique où pleuvent des conseils à mettre en application.

Parmi ceux-ci : la conservation d’un équilibre financier malgré la situation (démarches administratives, reports, demandes de subsides…), l’entretien de sa forme physique et du rythme orienté vers le positivisme, le sens de l’adaptabilité et de la créativité en ces instants de remise en question, entreprendre ce que l’on n’a jamais le temps de faire, repenser son entreprise et son modèle économique, anticiper la sortie de crise, etc.

Travaillant avec un nombre de places limités, cette professionnelle de la relation à l’autre par le prisme de l’entraide a constitué trois groupes de réflexion sur le département : l’Avallonnais, l’Auxerrois et le Sénonais.

 

Un coach facilitateur de cercles vertueux…

 

C’est en 2011 que Sandra CACHON créée son entreprise, baptisée « EPONA COACH ». Après avoir exercé pendant plusieurs années en qualité d’assistante sociale, comme coordinatrice des centres d’Auxerre, la future cheffe d’entreprise suit une formation universitaire à Paris VIII pour devenir coach.

Elle accompagne particuliers, salariés et entrepreneurs en les aidant à être plus heureux via une palette d’outils éclectiques et pragmatiques. Chaque personne suivie y pioche parmi ceux qui lui sont nécessaires.

En septembre 2018, elle s’installe au « Repaire de Montboulon » à Saint-Georges-sur-Baulche. Ce lieu ressource accueille également des entrepreneurs, soit pour un partage de bureau, voire pour y exercer au sein d’un cabinet de bien-être, ou y suivre des réunions et conférences. Ainsi que l’antenne auxerroise de l’association Cap Saint-Martin qui soutient les personnes atteintes de pathologies lourdes et leurs familles. Après quelques années de pratique, Sandra prend conscience qu’elle aussi est une entrepreneuse à part entière. Elle chemine à son tour et intègre les compétences nécessaires pour développer son entreprise grâce à un cercle vertueux. Du coup, lui est venue l’idée de suivre des entrepreneurs qui ont envie de s’épanouir et de développer leur activité. Aujourd’hui, elle est devenue facilitatrice d’un cercle vertueux en devant animatrice de groupes « Master Minds » dans l’Yonne.

 

 

Plusieurs cerveaux valent mieux qu’un !

 

Initiés au début du XXème siècle aux Etats-Unis, ces groupes permettent à leurs membres de se réunir le temps d’un échange et de pouvoir avancer sur des thématiques précises. Dans le concret, tous les deux mois, des entrepreneurs (PME) possédant des expériences, compétences et expertises complémentaires, se rencontrent une journée entière autour de différents sujets. Ils y présentent leurs problématiques à la recherche et au partage de solutions. L’objectif étant de bénéficier des acquis des autres afin de faire évoluer son propre business. Le plus souvent, les participants à ces sessions sont entourés de leurs pairs, de dirigeants mais aussi de personnes entreprenantes ce qui renforce leur identité de leaders. Des visioconférences sont alors proposées pour approfondir certains items afin de gagner en compétence (tableau de bord, digitalisation, réseaux sociaux…). Bref : un système qui fonctionne à la perfection…

En savoir plus :

Pour rejoindre les groupes de réveil positif des entrepreneurs, un lien  connaître : https://zoom.us/j/548283148?pwd=cThoM3g4b2RIdEFqVUFqbHJWMHlWUT09&fbclid=IwAR3hNCZ7wSOO8fE21v12CJ0dzVBXCqvlQnunTuJsRK3mxbS-Rdsy4o0-xro

Maryline GANDON

 


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Même si nous n’avons aucun chiffre officiel à ce jour, l’hécatombe vécue dans les EHPAD de l’Hexagone s’annonce très sévère. Quant au confinement, il ressemble à l’éloignement de ces pestiférés de jadis que l’on parquait le plus loin possible des autres afin qu’ils meurent discrètement… Pourtant une question subsiste : pourquoi les résidents de ces établissements sont-ils les plus touchés par la propagation de la pandémie de coronavirus ?

TRIBUNE : Comprendre la relation esprit-corps : on sait que les tensions psychiques agissent sur le système immunitaire. Un mauvais moral trouve une traduction dans l’affaiblissement de nos défenses naturelles !

Ce que l’on pense, voit ou entend, engendre nécessairement des répercutions sur notre immunité et la cascade de phénomènes « psycho-neuro-endocrino-neurologiques » qui en découle.

Bref, pour les novices, quand nos pensées sont négatives : c’est comme si nous injections du napalm dans notre système sanguin ! Les liaisons entre l’esprit et le corps font l’objet de multiples recherches et d’expériences. Les scientifiques ont d’ailleurs souvent la grosse tête !

Toutefois, tout repose sur leurs témoignages et les expériences réalisées par leurs soins.  A juste titre, l’expérience n’est pas une loi ! Chaque matin, depuis des générations, on a vu le soleil se lever ! Est-ce la garantie que le soleil se lèvera demain ? Non, bien-sûr…

Voici quelques années, le professeur JASMIN (cancérologue de réputation internationale) a mené des expériences avec l’Institut de psychosomatique. Résultat : les études montrent que les femmes qui avaient vécu un violent stress (veuvage…) développaient plus facilement le cancer du sein.

Chez toutes les femmes diagnostiquées cliniquement, les psychosomaticiens les avaient déclarées « à haut risque ». Nos médecines occidentales, dont on n’a pas à rougir, découpent, saucissonnent le corps, analysent les terrains génétiques… tandis que les orientaux pensent que la maladie témoigne d’un obstacle à la réalisation d’un chemin de vie… In fine, les deux approches se complètent très bien.

 

Une triste fin de vie pour nos anciens…

 

Mais alors, quid de nos anciens ? Nos valeureux « vieux », confinés, hors du monde et du temps, sans pouvoir voir la famille, sont confrontés à une immense solitude depuis quinze jours.

Sur le terrain psychologique, ils sont en proie à des tourments, des réflexions personnelles négatives, des perceptions des autres et du monde erronées, sans espoir. C’est une triste fin de vie !

Pourquoi mon voisin de chambre est-il frappé par cette pathologie ? Pourquoi est-il mort et pas moi ? Les pires pensées peuvent assaillir les patients de nos EHPAD. Les informations sont reçues comme dramatiques. Les savants se contredisent. Dans certaines banlieues, l’Etat a même renoncé à faire respecter le confinement. On le constate : la confiance dans les politiques et  le pouvoir a du plomb dans l’aile…

La désunion provoque l’écroulement de tous les systèmes hiérarchiques !  C’est une situation et une expérience si bien décrites dans le film « I comme Icare (l’expérience de Milgram) » avec le charismatique Yves MONTAND.

Nos retraités dépriment : ils gardent dans leur esprit moult réflexions : « les vieux ne servent à rien, ils coûtent cher, ce sont des inutiles que la société doit prendre en charge, ils ont fait leur temps… ».

De plus, il y a aussi ceux qui, songeant à une mort prochaine, renoncent à vouloir vivre. Leur système immunitaire est nécessairement très faible. L’approche d’une fin certaine et, inconsciemment voulue, entraîne des tropismes de mort.

Se font jour alors des sentiments de culpabilité, de victimisation, des remords, des regrets, des blessures de la vie que l’on ne peut pas (ou on ne veut pas) cicatriser, raviver des souvenirs douloureux.

Pourtant, il faut garder espoir ! Allez les anciens : nous voulons des papys et des mamys souriants ! Racontez-nous encore votre jeunesse, comment c’était le temps où la nature était l’amie des hommes, comment c’était les années 40, comment vous balanciez des pavés en 68 et en criant « mort aux vaches » ! Comment c’était le travail, la vie de famille, vivre sans « ordi » et téléphone portable ?

On a besoin de vous, de votre affection, on pourra comprendre, grâce à vous, le sens de l’histoire : c’est vital ! Restez près de nous, passez le témoin des savoirs faire et du savoir être… Bref, papys et mamys de nos cœurs, on vous aime !

 

Des suggestions pour agir autrement vis-à-vis de nos aînés…

 

Demandez aux « psy » de toute nature de se porter volontaire pour aller dans les EHPAD : leur efficacité n’est plus à démontrer. Puisque « ça coûtera ce que ça coûtera» : il faut offrir à chaque résident un téléphone portable C’est le lien du cœur primordial avec les plus proches. Peut-être qu’un fabriquant offrira le matériel adéquat et que nous trouverons un opérateur inspiré par la notion de service pour offrir un abonnement !

Obtenir le prénom de chaque résident est indispensable afin de leur écrire des lettres personnalisées par mails ! Pire encore, ceux qui sont abandonnés de leurs proches où définitivement seuls sont encore plus vulnérables ! Pour eux, il nous faut trouver urgemment des marraines et des parrains qui pourront les contacter. Dans ce cas, il faudra un engagement durable pour garantir cette correspondance qui ne doit demeurer lettre morte après coup. Sinon, le remède serait pire que le mal !

Merci de faire feu de tout bois autour de vous pour transmettre ces initiatives, les améliorer, en trouver d’autres, mobilisons les médias, les politiques, les élus, le pouvoir et aussi toutes les organisations qui réunissent des bénévoles solidaires de nos anciens en difficulté.

On peut citer : « Retraite plus », « Les Petits Frères des Pauvres », « JALMAV », « Monalisa », « Les Inter-généreux », « les comités de Saint-Vincent de Paul »…

Comme l’écrivait Michel ODOUL : « Les cris du corps sont les messages de l’âme ». Ne l’oublions jamais quand on pense à nos glorieux aînés…

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Le garçon développe depuis toujours un discours clair, simple, lucide et sans complaisance. Aujourd’hui, manager dans le digital, il prône la transparence dans les échanges et construit ainsi, année après année, des relations solides et bienveillantes avec son entourage. Comme avec ses collaborateurs. C’est naturellement sans fioriture qu’il nous fait part de sa conviction. Celle que « la vérité est plus forte que le mensonge… ». Même lorsque celui-ci est déployé avec talent ! Rencontre avec notre contributeur, Philippe CARPENTIER (16h44) pour des explications…

TRIBUNE: Sylvain, tu préconises de toujours dire la vérité à ton collaborateur, à ton client, à ton partenaire. Mais un petit mensonge, ce n’est pas aussi grave que cela, non ?

Bien sûr, il existe des mensonges de convenance. En fonction du degré d’intimité que l’on entretient avec une personne, nous répondons différemment. Dire que l’on va bien même si ce n’est pas tout-à-fait juste est évidemment acceptable, surtout quand la question n’est qu’une formule de politesse.

Mais attention, dire à un client qu’il sera livré sous cinq jours, alors que le délai probable est en réalité de six ou sept jours, est une prise de risque. C’est un petit mensonge qui va aider à obtenir une commande. Mais qui peut aussi remettre en question la confiance que le client m’octroie. Ce petit mensonge, à priori inoffensif, va introduire de la méfiance et de la contrariété au sein de la relation que j’entretiens avec le client et portera donc finalement préjudice à cette relation.

Est-ce que j’accorde pleinement ma confiance à quelqu’un que je connais à peine ? Non, car la confiance se construit. Elle nécessite du temps et vient souvent graduellement. Pourquoi, alors, prendre le risque de dégrader ce processus en arrangeant la réalité ? Cela peut à terme coûter cher et avoir des conséquences imprévues.

On ne maîtrise pas toujours tous les paramètres d’une situation (qualité d’une prestation, évolution de la carrière d’un collaborateur, etc.). Comment garder le cap de la vérité coûte que coûte ?

Tout ne se passe pas toujours comme prévu. Mais dans ce cas, l’interlocuteur fait très bien la différence entre un impondérable et un mensonge. Il peut ne pas être satisfait d’une baisse de qualité et décider de changer de fournisseur. Ou ne pas être satisfait d’une carrière bloquée et préférer quitter l’entreprise. Mais cela n’entame pas la notion de capital-confiance de votre relation si vous êtes resté honnête. Vos routes pourront se croiser à nouveau et alors de nouvelles collaborations seront toujours possibles. L’avenir de la relation n’aura pas été hypothéqué.

Pourquoi beaucoup de managers ou de commerciaux cèdent-ils à la tentation du mensonge ?

Un jeune manager peut être victime du syndrome de Pinocchio. Il commence par être un peu imprécis dans son discours. Puis, il est pris à son propre jeu et ajoute du mensonge au mensonge pour rester raccord. Mais la plupart des gens sont intelligents : ils perçoivent le nez qui s’allonge. Si une machine peut détecter le mensonge, il est évident que notre subconscient a des millions de signaux qui lui indiquent que son enfant, son collègue, son manager lui ment. Rappelez-vous du dernier démarchage téléphonique. Je parie que vous avez flairé l’arnaque très vite.

Mais parfois, les mensonges sont la conséquence d’un système. L’illusion du court terme incite à mentir et à s’engager dans une stratégie sans avenir, qui fera peut-être illusion quelque temps. Lorsqu’un manager impose une pression très forte, il incite indirectement ses collègues à avoir recours aux mensonges pour sauver les apparences. Mais la situation est très fragile à long terme.

Comment acquérir le courage de tenir un discours de vérité ?

D’abord, en étant conscient et convaincu que cette stratégie est gagnante à long terme. Notamment en observant comment un échange honnête améliore la relation avec l’interlocuteur. Même les désaccords, commerciaux ou managériaux, peuvent favoriser la confiance s’ils sont menés avec transparence, au-delà des tensions et autres conflits d‘intérêts. Le mensonge constitue une fuite d'énergie, puisqu’il nécessite d’être protégé, de jongler avec la réalité. Il faut prendre conscience que cette énergie, gâchée, peut être mise au service de plus de performance ou de bien-être.

Ensuite, il faut se doter d’outils pour exercer la vérité. Travaillez vos techniques de communication et armez-vous pour pouvoir affirmer un désaccord sans arranger la réalité. Exemple : un client ou un collaborateur fait une demande à laquelle je ne peux répondre positivement.  Au lieu de me dérober et de lui formuler une promesse hypothétique, je peux suivre ce cheminement :

  1. Pourquoi cette demande est-elle si importante pour lui ?
  2. Ai-je une solution pour traiter son besoin ?
  3. Si non, comment trouver une solution créative ?
  4. Si je n’entrevois pas de solution, lui indiquer les contraintes réelles qui font obstacles à sa demande et le laisser agir en conséquence.
  5. Me dire que quel que soit le résultat j’ai fait mon travail.

 

L’application pour adopter un discours de vérité

Dès maintenant, adoptez cet exercice. Avant de répondre à une demande, posez-vous la question : quel message vais-je faire passer ? Est-ce le bon ? Est-ce la vérité ? Corrigez si besoin. En laissant un peu de temps et en vous interrogeant, vous passez du mode automatique au mode préfrontal qui favorise la réflexion et l’intelligence.

Affichez vos engagements. Si c'est clair pour vous et pour les autres, il sera difficile d’être en désaccord avec ce que vous êtes vraiment (ce que vous êtes ou ce que vous mettez en place dans votre travail ?).

Lors de grandes occasions (vœux, événements...), affirmez vos valeurs fondamentales à votre équipe, pour propager des attitudes sincères  autour de vous. Et n'oubliez pas que dire la vérité ne signifie pas dévoiler sa vie privée !

 

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

 


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Composée de huit organisations (ADENY, ALTERNATIBA Yonne, ARPENT, ASEF, C3V Maison Citoyenne, Coquelicots de Joigny, Lucytoyens et SOS Forêt Bourgogne), l’entité a fait connaître sa position suite au rapport du commissaire-enquêteur, rendu public la semaine dernière. Un retour d’analyse qui s’est fait dans un contexte de crise sanitaire particulièrement lourd. On le sait : cette synthèse donne un avis favorable à la mise en application du Plan de servitudes aéronautiques de l’aérodrome d’Auxerre-Branches. Des idées contraires aux desiderata du collectif…

AUXERRE : L’une des craintes essentielles du Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches qui se bat bec et ongles depuis plusieurs mois pour que ne disparaissent pas les trente-trois hectares de bois menacés en lisière de l’aérodrome, est qu’une décision capitale ne survienne au cours de cette période si particulière de crise sanitaire.

Certes, l’inquiétude et le respect des mesures de confinement actuelles éloignent pour un temps les priorités données à ce délicat dossier qui perturbe l’existence des riverains évoluant autour de ce complexe aéronautique depuis de nombreux mois.

A la lecture du rapport d’enquête de ce PSA, les membres du collectif sont formels : le sujet de l’aérodrome d’Auxerre-Branches fera à nouveau l’objet de confrontations et de débats, dès que la normalisation du contexte sociétal le permettra. Evidemment, l’angle économique et sa relocalisation devront être pris en considération parmi les solutions de l’après…

Pour l’heure, le collectif qui a déjà recueilli à ce jour plus de 7 500 signatures sous la forme d’une pétition, n’en demeure pas moins sur sa réserve et dans le respect d’une extrême vigilance.

Un communiqué de presse,  publié le 26 mars, le confirme. Tout en précisant que d’ores et déjà, les représentants des huit associations signataires au principe de ce collectif de défense interpelleront les candidats en lice au second tour de scrutin des échéances municipales.

Sachant que pour l’heure, la projection la plus évidente de la tenue de ce vote au goût d’inachevé pourrait être le 21 juin, selon les préconisations du Premier ministre Edouard PHILIPPE.

Mais, le collectif ne se bornera pas à solliciter les élus du seul scrutin municipal. Il veillera aussi à poursuivre son engagement et à faire part de son entière détermination pour que ne soient pas détruits les arbres des trente-trois hectares de la forêt auprès des futurs élus communautaires qui en découleront sur l’agglomération auxerroise après coup.

 

Les élus concernés par le dossier vont devoir justifier certains points…

 

Quant au rapport d’enquête effectué par le commissaire-enquêteur, le collectif en a pris bien légitimement connaissance. Il a constaté que ce dernier s’était appuyé scrupuleusement sur une analyse inhérente à la conformité technique et réglementaire du dossier. Rappelant de fait que l’objet de l’enquête n’était pas d’en démontrer ni l’intérêt économique ni l’intérêt environnemental.

On peut lire ainsi, un peu plus loin, sur le communiqué de presse le point suivant : « en faisant mention des arguments en défaveur de ce projet (459 observations défavorables sur les 572 recueillies, 18 sans avis déterminant, 42 sans lien direct et 53 favorables), le rapporteur d’enquête indique que la question n’est pas purement technique mais surtout politique dans le traitement de ce dossier… ».

Fort de cela, le Collectif Citoyen pour la Forêt de Branches précise que cette enquête ne peut servir d’alibi aux promoteurs du dossier pour éviter de rendre compte aux populations concernées et justifier leur décision de classer l’aérodrome en catégorie 3.

Au nom de quoi, les élus concernés par le projet sont sommés de se justifier sur une série d’items fondamentaux aux yeux du collectif où leurs réponses apparaitront comme déterminantes.

Parmi les sujets évoqués, citons le solde comptable des années passées qui se rapportent aux charges totales d’exploitation hors fonction régalienne, retombées économiques et touristiques locales tangibles et vérifiables ; le plan de financement pour 2023 date à laquelle la réglementation européenne imposera de ne plus financer le délégataire ; la définition que les élus ont des concepts d’aménagement du territoire et de la mobilité quotidienne ; enfin, de leur volonté de contribuer au dérèglement climatique pour le bien-être des habitants du territoire.

On le voit, en effet, une fois la sortie de crise sanitaire passée, l’épineux dossier de l’aérodrome d’Auxerre-Branches refera surface tel un serpent de mer dans ce qui apparaît comme l’un des enjeux essentiels du second tour du scrutin municipal sur l’Auxerrois.

 

Rapport complet à consulter sur : https://cutt.ly/atnkvod

 

 


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Parmi les professionnels du secteur automobile qui sont encore autorisés à poursuivre leurs activités malgré la pandémie de coronavirus, citons les centres de contrôle technique. Contribuant à optimiser la sécurité sur nos routes de manière très favorable, ces entreprises accueillent de la clientèle en respectant les consignes de protection. Cependant, une tolérance est prévue sur les délais pour réaliser ces opérations…

PARIS : L’information émane du ministère de la Transition écologique et solidaire, dirigée par Elisabeth BORNE, et du secrétaire d’Etat chargé des Transports, Jean-Marie DJEBBARI.     

Les centres de contrôle technique demeurent opérationnels dans l’Hexagone malgré la période de confinement. Assimilés aux activités d’entretien et de réparations des véhicules automobiles (poids lourds et bus également), ils ont reçu les autorisations d’usage pour continuer de recevoir la clientèle. Dans le respect des mesures sanitaires en vigueur.

Toutefois, des délais ont été accordés pour réaliser lesdits contrôles afin de concilier les enjeux de sécurité et les besoins de circulation pour assurer la continuité des services et de la vie économique.

Ainsi, une tolérance de trois mois est possible pour le contrôle technique des véhicules légers. Ce dispositif s’applique également aux délais prévus par la règlementation dans le cadre des contre-visites de ces mêmes véhicules.

 

 

 

 

Quant aux poids lourds et aux véhicules de transport en commun, le contrôle technique continue, compte tenu des enjeux de sécurité. Mais, là aussi, les ministères ad hoc ont adopté un profil de souplesse, accordant des délais supplémentaires de quinze jours afin de  pouvoir réaliser les opérations auprès des centres officiels.

Rappelons que bon nombre de véhicules doivent circuler dans les prochaines semaines sur les routes de France. A commencer par ceux qui vont assurer l’approvisionnement des denrées alimentaires, la livraison des gaz médicaux indispensables au bon fonctionnement des respirateurs artificiels, la livraison de carburants, mais aussi le transport en commun de personnes ou des particuliers qui doivent se rendre sur leur lieu de travail.

L’ensemble des centres de contrôle technique ouverts en France pour les poids lourds et les bus sont également recensés sur le site de BISON FUTE.

 

 

 

 


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