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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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Un parfum de Jeux olympiques a enveloppé de ses effluves de jouvence le cadre historique du cabaret de l’Escale à Migennes. Là même où Johnny HALLYDAY avait allumé le feu de sa future et phénoménale carrière, jadis en 1961 ! A l’initiative de l’un des partenaires majeurs de cette future échéance planétaire, ORANGE, une séance de brainstorming s’est déroulée avec la complicité du Conseil départemental pour étudier les pistes de réflexion quant aux prochaines animations pouvant accompagner la venue de la flamme le 11 juillet sur notre territoire…

 

MIGENNES : En guise de maître de cérémonie de cette animation peu ordinaire au niveau de sa thématique – il est vrai que l’organisation des Jeux Olympiques dans l’Hexagone ne se pratique pas tous les jours ! -, le nouveau délégué régional d’ORANGE Bourgogne Franche-Comté en personne ! L’une des premières sorties icaunaises pour Cyprien MATEOS, digne successeur de Véronique MORLIGHEM – cette dernière avait fait valoir ses droits à une retraite amplement méritée au printemps dernier -, plutôt à l’aise dans cet exercice oratoire dont il possède la maîtrise. Il n’est pas le seul à prendre la parole pour expliquer les contours de ce rendez-vous matinal, accueilli dans l’antre de la variété française à ses origines, j’ai nommé le cabaret de l’Escale ! Responsable du développement commercial de l’opérateur dans l’Yonne, Alexandre ORCEL y va lui aussi de ses mots de bienvenu. Avant de céder le micro à la conseillère départementale, Emmanuelle MIREDIN qui remplace son président Patrick GENDRAUD, excusé et retenu sur l’ouverture du Salon des Seniors à Auxerre et qui n’a pas le don d’ubiquité, comme chacun d’entre nous !

 

 

Le socle de rencontres collaboratives pouvant continuer à l’avenir…

 

Ravie devant l’importance de l’évènement – la réflexion autour des pistes et projets potentiels d’animations à proposer lors du passage de la flamme en juillet prochain -, la jeune élue plaisante sur l’aspect temporel de cette traversée. « La flamme olympique dans l’Yonne, ce n’est pas rien ! On ne le verra pas de sitôt à l’avenir… ».

Bigre ! C’est vrai à l’énoncé du problème, on se sent tout petit à l’échelle du temps qui s’égrène, sans compter le coup de vieux que nous inflige l’oratrice face à la réalité !

 

 

 

Mais, poursuit-elle, au-delà de ce séance de réflexion où émergeront les bonnes idées et les suggestions en vue de cette future animation, c’est aussi, dans le cadre du Club des Partenaires 89, instillé par Patrick GENDRAUD, une excellente opportunité de saisir la balle au bond lors de cette première réunion de travail et de collaborer les uns avec les autres.

« Faire la promotion de ce beau département qu’est l’Yonne, parfois sous-estimé, est une très belle chose, affirme Emmanuelle MIREDIN, c’est aussi le socle de rencontres collaboratives entre les acteurs institutionnels et économiques de notre territoire qui peuvent se poursuivre à l’avenir… ».

 

De l’innovation pour nourrir les échanges

 

La balle est jetée. Et ce n’est pas pour déplaire aux dirigeants d’Orange venus en renfort pour accompagner cette session de travail sous l’égide des J.O. Un vœu qu’exprimera Cyprien MATEOS dans ses propos : « beaucoup d’imagination et d’innovation devraient nourrir nos échanges, des solutions doivent émerger… ».

On l’aura compris, un premier rendez-vous qui en appelle d’autres, assurément. Il n’y a pas à dire mais l’Yonne semble être dans une forme olympique !

 

Thierry BRET

 

 


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Voilà l’un des faits marquants des sénatoriales qui se sont déroulées dimanche dernier dans le pays. Un scrutin ne concernant que les grands électeurs et royalement ignoré de la population ! La moyenne d’âge de la vénérable assemblée de la Chambre Haute de l’exécutif hexagonal s’apprécie désormais à la baisse, à 59 ans et onze mois. Au lieu de 62 ans et 9 mois, jusque-là. Alors que l’âge de la retraite pour la grande majorité de nos concitoyens passe de 62 à 64 ans ! Cherchez l’erreur !

 

Lundi

Mazette ! Un quatre pages sur papier couché de belle facture (c’est le cas de le dire !), imprimé et distribué à des milliers d’exemplaires, cela va chercher dans les combien… ? Mais, c’est bien connu, quand on aime, on ne compte pas ! L’occasion et c’est de bonne guerre, pour le maire d’Auxerre et son équipe, de dresser un bilan des plus flatteurs pour les actions menées depuis leur arrivée au pouvoir. L’occasion aussi pour Crescent MARAULT, d’inviter les Auxerrois à assister aux neuf rencontres organisées dans les différents quartiers, pour « parler des changements qui améliorent la vie au quotidien ». Pas certain que la nouvelle stratégie envisagée en matière de collecte des déchets en fasse partie ! Dommage, que le sujet n’ait pas lui aussi fait l’objet de plusieurs réunions publiques, elles auraient sans aucun doute rencontré un grand succès !  

 

 

Mardi  

A nouvelle saison, nouveaux spectacles… Un papier dans l’Yonne Républicaine de ce jour dévoile la programmation à venir du site Auxerrexpo, qui, selon le titre de l’article, affiche de « nouvelles ambitions ». Avec, parmi les soirées à venir, plusieurs comédies dont, le 15 décembre prochain, « Dîner de cons », le 20 janvier, « Bal des couillons » et le 22 mars, « C’est décidé, je deviens une connasse »… Ne manque que le spectacle « Vieux con » de Christophe ALEVEQUE pour parachever le programme… Mais bon, tant que l’on ne prend pas le spectateur pour un c… ! 

 

Mercredi

Il est des pays bénis des dieux, il en est d’autres qui trinquent tous les jours avec le diable. Classé parmi les pays les plus pauvres au monde, Haïti a tout connu : esclavage, dictature, crises institutionnelles, épidémies meurtrières, ouragans, tremblements de terre… Avec une espérance de vie pour les hommes ne dépassant pas 57 ans (60 ans pour les femmes), la plus faible de tous les pays de l’Amérique latine. Et s’il était besoin de noircir un peu plus le tableau, plus de 2 500 personnes tuées depuis le début de l’année, victimes des bandes armées et de l’emprise des gangs qui contrôlent désormais près de 80 % de la capitale, Port-au-Prince. Pauvre Toussaint LOUVERTURE, qui guida le pays vers sa liberté, après être né esclave, avant d’être déporté sur ordre de Napoléon, au fort de Joux, où il mourut de froid et de maladie en 1803. Se serait-il battu ainsi s’il avait su ce qu’il adviendrait de son pays… ?

 

 

 

Jeudi

Charles Philip Arthur George (et les autres…), était invité à Versailles avec Madame. Roi de profession, classé trois à l’arrivée sous le dossard WINDSOR, il méritait bien que le dîner soit royal et il le fut ! Avec notamment ce homard bleu servi en entrée, dont l’évocation gourmande fut reprise par tous les médias, sans que l’on sache très bien si c’était pour faire saliver le bon peuple ou l’inciter à se scandaliser devant un tel faste. L’occasion pour l’ancien candidat à la présidentielle et président de l'Union Populaire Républicaine, François ASSELINEAU, d’alimenter une fois de plus les réseaux sociaux par une fake news dont il est coutumier, affirmant que chaque invité serait reparti avec un double magnum de Château Mouton Rothschild 2004, d’une valeur de près de 3 000 euros ! Stéphane BERN ou Charlotte GAINSBOURG, repartant de Versailles, leur litron sous le bras, l’on imagine d’ici l’image ! Quand au homard il était bien bleu, n’en déplaise aux jaloux, l’on dit même qu’il était de couleur « bleu roi » !

 

Vendredi

Ce n’est pas tous les jours qu’une aubade à la cornemuse se fait entendre sur le parvis de la cathédrale. Tout juste rentrée du championnat mondial de pipe bands de Glasgow, Sophie LHOMME a animé de son instrument et de façon magistrale, la traditionnelle remise de diplômes de la certification « Cambridge » aux élèves du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle. Un instrument parfois décrié si l’on en juge par cette citation attribuée à Woody ALLEN, reprise par le regretté Pierre DESPROGES : « Un gentleman, c'est quelqu'un qui sait jouer de la cornemuse et qui n'en joue pas. » !

 

 

Samedi

Pauvre Gérald DARMANIN, obligé d’écouter sans moufter au stade vélodrome à Marseille, les saillies verbales d’un pape « islamogauchiste » s’octroyant le droit de rappeler dans une homélie aux accents politiques, les failles de notre société et de notre président. Nombre de ses anciens camarades, à l’instar d’Éric CIOTTI ou Bruno RETAILLEAU ont esquivé le pensum par leur absence. Ne restait au ministre de l’Intérieur qu’à imaginer ce qu’il dirait le soir venu à ses plus proches conseillers, paraphrasant les mots de STALINE : « Le pape, combien de divisions de migrants… ? ».

 

 

Dimanche

Il est des mots qui semblent à jamais antinomiques, comme « sénat » et « jeunesse ». Les élections de ce dimanche ont pourtant redonné un petit souffle juvénile à la Haute Assemblée, faisant chuter la moyenne d’âge à 59 ans et 11 mois, contre 62 ans et 9 mois jusque-là. C’est même la première fois qu’elle passe sous la barre des 60 ans. Encore un petit effort et pour son 13e mandat, à l’horizon 2045, son vénérable président, Gérard LARCHER devrait bien réussir à lui faire franchir la barre des 50 ans !

 

Dominique BERNERD

 


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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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Comme un trait d’union entre le séjour du roi Charles III en France et la venue du pape François à Marseille, la cérémonie de remise des diplômes « Cambridge » aux élèves du groupe scolaire Saint-Joseph-La-Salle avait cette année valeur de symbole, ponctuant une semaine riche en émotions et une année de travail ardu pour les récipiendaires. Un évènement à la fois festif et solennel, en phase avec le nom de la prestigieuse université à laquelle il est rattaché.

 

AUXERRE: Ce n’est pas tous les jours que l’Union Jack orne les murs de la cathédrale Saint-Etienne et que sous ses voûtes s’envolent les notes sonores et acidulées d’une cornemuse ! Comme il est de tradition, c’est dans l’enceinte de l’illustre édifice gothique que les jeunes diplômés se sont vu remettre leur précieux sésame. Une cérémonie haute en couleurs, sous la houlette de Philip GOMIS, directeur du centre d’examens Cambridge de Dijon, représentant de ladite Université en Bourgogne-Franche-Comté, honorée de la présence des différents chefs d’établissement et enseignants, ainsi que de très nombreux parents comblés de voir leurs enfants ainsi récompensés. Au total, ils sont 159 cette année à avoir validé l’examen, à des degrés divers, allant du A1 Movers pour les élèves de 6e et 5e, après une première étape et le passage du PreA1 Starters en CM2, jusqu’au prestigieux et très sélectif C1 Advanced d’envergure internationale. 

 

L’anglais, la langue indispensable pour qui veut réussir sa vie

 

Des diplômes, précise Philip GOMIS, « qui émanent de l’université de Cambridge, remis au nom de son recteur et non du ministère de l’Education Nationale, ce qui nous donne entièrement le droit de le faire en ce lieu… ».  Une cérémonie respectant en tous points le code de la seconde université du monde anglophone par l'ancienneté, comme la lecture d’un passage de l’Evangile ou la bénédiction des lauréats. Une bénédiction parfois très arrosée, précise d’un sourire le maître de cérémonie : « à Cambridge, l’on utilise un goupillon avec des crins d’animaux et je peux vous dire que les étudiants se prennent une douche… ! ».

Rapportant les propos échangés la veille avec le roi Charles III, qu’il eut le privilège d’accompagner dans son périple parisien : « il m’a dit : j’espère que vous expliquez aux jeunes que l’anglais est un pont entre les peuples, qui permet de découvrir le monde et ne pas avoir peur de l’autre… ».

Autant d’arguments partagés par les jeunes « Lassaliens » qui n’hésitent pas le temps de l’année scolaire à effectuer ainsi plusieurs heures de travail personnel supplémentaire par semaine, pour mieux s’imprégner de la langue anglaise et se doter d’un « passeport » aujourd’hui indispensable pour qui veut réussir sa vie professionnelle.

 

 

Que toute la ville vous entende !

 

C’est, après avoir remercié de leurs applaudissements parents et enseignants, que les lauréats ont reçu par groupe de six et au son de l’hymne officiel de Cambridge, leur diplôme, avant de se voir coiffés du « mortarboard », symbole de leur réussite et de toute « graduation ceremonie ».

Pas toujours facile de mettre en place le précieux couvre-chef et les conseils avisés de Philip GOMIS, sujet britannique à l’âme ô combien francophile, sont de mise : « on met le chapeau la pointe sur le crâne et on tourne le pompon de gauche à droite… ».

C’est sur les notes de l’un des hymnes les plus célèbres et les plus émouvants du monde anglo-saxon, « Amazing Grace » que s’est ponctuée la cérémonie, avant une dernière photo de groupe sur le parvis de la cathédrale. L’heure des « hip hip hip hurrah » et du « hat Throwing », chapeau tenu au-dessus de la tête ou jeté en l’air avec cette ultime recommandation de Philip GOMIS : « il faut que concrètement, tout le centre-ville vous entende… ».

Pari tenu : plus de 150 jeunes enthousiastes, d’excellence de surcroît, cela fait du bruit !

 

 

En savoir plus :

Répartition des diplômes obtenus :

A1 Movers : 51 lauréats (6e / 5e)

A2 Key : 51 lauréats (4e / 3e)

B1 Preliminary : 26 lauréats (3e / 2e)

B2 First : 18 lauréats (1ère / T)

B1 Preliminary : 4 lauréats

B1 Business Preliminary : 5 lauréats

C1 Advanced : 4 lauréats

 

 

Si vous deviez en quelques mots expliquer ce que représente cette certification « Cambridge » ?

Philip GOMIS : « Cette année en Bourgogne Franche-Comté, pas moins de 5 000 diplômes ont été validés, depuis le CM2 jusqu’au Post-bac et 143 cérémonies comme celle de ce soir s’y sont tenues. L’Université de Cambridge est l’une des meilleures à travers le monde et comporte depuis des centaines d’années un département de certification en langue anglaise qui lui est rattaché. C’est la seule université au monde qui délivre des titres diplômants valables à vie, sans date d’expiration. Il existe, à Yale notamment, des tests comme le « TOEFL », mais valables seulement deux ans. Les diplômes « Cambridge » certifient un niveau d’anglais au travers d’examens à reconnaissance internationale, comme les B2 et C1, contrairement au « Cambridge English Certificate » ou CEC, en lien avec l’Education nationale, mais non reconnus internationalement. Et d’ailleurs, j’ai pu remarquer que cette année, parmi tous les lauréats de notre région, 124 élèves avaient intégré les plus grandes universités à travers le monde… »      

 

Dominique BERNERD

 


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