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Passer des bancs de Sciences Po à une activité salariée au sein d’un cabinet londonien de conseils en développement international relève d’un parcours des plus classiques. Abandonner sa carrière de consultante et partir se mettre au vert dans le Gers pour se lancer dans l’élevage bio de porcs gascons l’est beaucoup moins ! Un chemin de vie atypique que Noémie CALAIS est venue raconter le temps d’une escale auxerroise à Saint-Germain, dans le cadre des « Conversations de l’Abbaye »…

 

AUXERRE : Depuis le film éponyme d’Étienne CHATILIEZ, l’on sait qu’en terre gersoise, le « bonheur est dans le pré » ! Noémie CALAIS pour sa part, a trouvé le sien sous les pattes de ses cochons, des porcs noirs gascons qu’elle élève en bio et en plein air depuis cinq ans. Une reconversion imposée par des problèmes de santé, liés à la pollution citadine, qui s’inscrit aujourd’hui dans un choix de vie et une réflexion collective visant à concilier résultats économiques, ambition écologique, bien-être animal et alimentation de qualité au juste prix pour le consommateur.

Débarquée par hasard dans le Gers - « et comme beaucoup, restée par choix… » - cette jeune femme d’une trentaine d’années s’est installée à Montegut. Une commune située à une dizaine de kilomètres d’Auch, au sein d’un projet agricole collectif et durable, regroupant plusieurs producteurs tous engagés en bio.

 

Un rapport à la mort ayant changé son approche de l’élevage…

 

Confessant un véritable coup de cœur pour le cochon - « un animal qui symbolise la joie, l’interaction et avec lequel on ne s’ennuie jamais… » -, l’ancienne consultante s’est rapidement interrogée sur le sens de la mort infligée à l’animal.

« On ne tue pas impunément un animal qui a un prénom et avec lequel on travaille et vit au quotidien. C’est quelque chose sur lequel, il faut mettre des mots et des émotions pour ne pas créer une rupture dans notre société entre le discours végan et celui des éleveurs… ».

Un rapport à la mort qui a changé son approche de l’élevage, réduisant son cheptel pour lui redonner une fonction complémentaire de toutes les autres activités de la ferme collective. A commencer par l’absorption de tous les déchets alimentaires, « le sens historique paysan de l’histoire du cochon, c’était d’être la poubelle des fermes ». Pas d’abattage systémique et régulier, mais une mise à mort dictée seulement par la nécessité, ce qui ne l’empêche pas de continuer à recevoir des messages d’insultes de la part de personnes végans : « c’est très violent de se faire traiter d’assassin ! ».

 

 

Le Français paie-t-il le juste prix de son alimentation ?

 

Le bio et l’élevage haut de gamme peuvent-ils suffire à nourrir le monde ? Le débat est loin d’être clos et alimente toujours les passions, comme l’a rappelé Arnaud DELESTRE, président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et autre grand témoin de la soirée : « l’agriculture est multiple et répond à des enjeux différents. L’on se doit d’apporter de la nourriture à l’ensemble de nos concitoyens, avec des normes de qualité mais aussi d’autres « process », permettant de répondre à tous les marchés… ».

Saluant dans le même temps le parcours inattendu et salutaire de la jeune éleveuse à une époque où le renouvellement des générations est devenu le premier enjeu de l’agriculture en France et en Europe, avec plus de la moitié des exploitants prévoyant un départ en retraite dans les dix ans.Le consommateur paie-t-il son alimentation au juste prix ? Là encore, les avis divergent.

 

« Les aides de la PAC, c’est avec nos impôts ! »…

 

Par le biais de la vente directe et une marge conservée sur l’exploitation à chaque étape du « process », Noémie CALAIS parvient à maîtriser ses coûts de production et à en faire bénéficier ses clients avec des prix « moins élevés que ceux de la boucherie traditionnelle installée en face du marché où je vends mes produits ».

Exploitant céréalier installé à Charbuy, Samuel LEGRAND transforme aujourd’hui une partie de ses céréales en farine traditionnelle sur meule de pierre et a une idée tranchée sur la question : « le consommateur doit payer ! Il faut à un moment qu’il y ait un choc dans les esprits et tant qu’il mettra plus d’argent dans son « iPhone » que dans son alimentation, rien ne changera… ». L’ancien président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, aujourd’hui conseiller départemental et « jeune retraité » de l’élevage Gilles ABRY s’est lui aussi exprimé sur le sujet.

Rappelant que si le consommateur ne payait pas son alimentation au juste prix, c’était parce qu’il s’en acquittait en amont par le biais de l’impôt : « il en est ainsi depuis des décennies et si l’Europe verse des aides PAC, c’est bien avec l’argent de nos impôts… Si aujourd’hui l’on veut remettre en place une vraie société, avec un meilleur respect de l’environnement et d’autres moyens de production, il faut que les consommateurs achètent leur alimentation au juste prix et que les agriculteurs vivent de leurs produits et non de leurs aides… ». Pas certain en effet que, dernier acteur de la chaîne alimentaire, le consommateur par son acte d’achat accepte de passer deux fois à la caisse !

 

 

 

En savoir plus

« Plutôt nourrir - L’appel d’une éleveuse » de Noémie CALAIS

Tana Editions - Prix 18,90 €

Dans ce livre écrit à quatre mains avec Clément OSE, un ancien condisciple de Sciences Po, Noémie CALAIS raconte son combat quotidien pour continuer à travailler dans le respect du vivant et le refus de tout modèle d’élevage intensif.

 

Prochains rendez-vous des Conversations de l’Abbaye :

Jeudi 11 mai 18h30 Salle de conférence
« Vivre et écrire le pouvoir » avec Camille PASCAL
Auteur de romans historiques, Camille PASCAL a aussi été conseiller à la présidence de la République. Son œuvre a été saluée par le grand prix de l’Académie française. Dans son dernier ouvrage, « L’air était tout en feu », il fait renaître le temps enflammé de la Régence et de l’enfance du Roi-Soleil…

Jeudi 15 juin 18h30 Salle de conférence
« D’Auxerre aux sommets du cinéma » avec Jean-Paul RAPPENEAU
L’Auxerrois Jean-Paul RAPPENEAU est une légende du cinéma français. Né en 1932, il a réalisé plusieurs chefs-d’œuvre comme « Cyrano de Bergerac » avec Gérard DEPARDIEU, « La Vie de château » avec Catherine DENEUVE, « Tout feu tout flamme » avec Yves MONTAND et Isabelle ADJANI…

 

Dominique BERNERD

 


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Effet de surprise garanti pour la « vedette » du jour. Un léger voile trouble, aussi, le timbre de sa voix, confirmant son émotion. Sacré Pascal ! Il ne s’attendait pas à être à pareille fête, mercredi en cette fin d’après-midi. En présence de nombreux amis, qui étaient réunis sous les rayons encore agréables d’un soleil printanier illuminant le complexe golfique. Une réception offerte en son honneur de la part des maîtres des lieux – le Domaine du RONCEMAY – afin de saluer son départ à la retraite...

 

DOMAINE DU RONCEMAY : Son agneau du Quercy, sublimé au parfum de morilles et agrémenté de ses cannellonis de légumes, aura titillé bon nombre de palais enthousiastes et admiratifs à la dégustation de ce mets. Du terroir mais aussi d’ailleurs.

Son bar de ligne, concocté avec de jeunes pousses d’épinards sur une émulsion au lait d’amande, le tout servi avec ses pommes de terre aromatisées au thym et au citron fait encore saliver les papilles des plus gourmets d’entre nous, rien que d’y penser !

Celles et ceux qui auront eu un jour l’opportunité, que dis-je la chance, de pouvoir se sustenter de son appétissante cuisine n’oublieront jamais la succulence des recettes préparées, la saveur des goûts et la qualité humaine de ce chef, Pascal GUELLEC, si discret, mais toujours souriant, et d’une rare positivité même dans les moments les plus âpres d’une vie professionnelle bien remplie avec on l’imagine ses aléas. Ainsi va la vie…

 

Un chef au grand cœur et fidèle à la cuisine d’ESCOFFIER…

 

Dire que Pascal, figure charismatique du fameux restaurant du Domaine du RONCEMAY – une référence gastronomique dans le landerneau - va nous manquer, serait un doux euphémisme !

Sa présence, sa faconde, son humour, mais aussi, son humanisme et sa simplicité laisseront des empreintes presque indélébiles en ces murs où il aura exercé avec maestria son rôle de toque culinaire indiscutable durant une dizaine d’années. Que l’on soit adepte d’un parcours de golf, féru de spa et de détente ou tout simplement un épicurien qui raffolait de sa cuisine finement élaborée et tellement savoureuse en bouche.

Pascal GUELLEC : un destin hors norme, un amoureux de la cuisine traditionnelle – il avait effectué ses gammes derrière les fourneaux à Toucy dans sa « Vieille Auberge » à l’excellente notoriété mais aussi à Paris -, un garçon qui savait aussi bien préparer avec dextérité la tête de veau – on se souvient encore de ces concours pantagruéliques conçus autour de ce plat franchement « gaulois » où était associée forcément la célèbre Confrérie départementale jadis -, un garçon ayant un faible pour le sens du relationnel et l’altruisme. Ses nombreux amis lui rendaient si bien…

 

 

La relève est assurée avec de réelles ambitions culinaires...

 

D’ailleurs, les plus gourmets de ces « camarades » venant le visiter de manière régulière lui et sa brigade compétente dans cet établissement fenêtre ouverte sur dame Nature ne venaient-ils pas aussi se délecter de ses déclinaisons gourmandes proposées autour du chocolat ? Ou apprécier ce fruit de saison que représente la fraise, travaillée en soupe avec du poivre, de la gelée de champagne, et agrémentée d’un délicieux sorbet ?

Décidément, que l’on était salé ou sucré, il y en avait pour tous les goûts avec Pascal GUELLEC et sa cuisine raffinée au fond de l’assiette !

Que l’on se rassure pour les nostalgiques – et pour l’avoir déjà testée à plusieurs occasions ! – la relève assurée par le binôme Virginie JACQUET et Anish CHOUREY, les nouveaux chefs du restaurant, est de première excellence ! Tous deux savent jouer leur partition culinaire en sublimant les produits du terroir sans les dénaturer…On sent poindre de sérieuses ambitions pour figurer tôt ou tard dans un célèbre guide à la couverture rouge ! Mais, ceci est une autre histoire que l’on ne manquera pas de vous narrer !

 

 

Un avenir autour de sa passion : la transmission et le partage !

 

Depuis le 03 mars 2008, celui qui avait exercé ses talents de restaurateur émérite auprès de Françoise et Hubert COUILLOUD, les anciens dirigeants, puis avec la nouvelle équipe de responsables, composée de Jeanne FRANGIE, Thierry GARRET et Fanny GARRET, a donc bouclé la boucle de son parcours professionnel bien rempli, tout naturellement. Un départ en règle après de bons et loyaux services à l’âge de 62 ans – sacré Pascal, il échappe de justesse aux nouvelles contraintes imposées de ladite réforme ! -, n’en a pas fini pour autant avec son pêché mignon : la cuisine !

Disciple d’ESCOFFIER, membre de l’Académie culinaire de France, adhérent de l’Amicale des Cuisiniers de l’Yonne – son président Jean-Michel LAMOUREUX ne manquera pas de lui offrir un présent de la part de tous ses condisciples – Pascal GUELLEC ne laissera pas visiblement de côté les casseroles et fourneaux à l’avenir. Mais, ce sera uniquement pour le plaisir et le partage afin de mieux initier les néophytes aux joies extrêmes des arts de la table lors de salons officiels avec on l’espère dégustations à l’appui !

Chantre de la cuisine fraîcheur, de terroir et sans « prétention » - ça, c’est lui qui le dit ! -, Pascal GUELLEC avait aussi pour passion l’art de la transmission à des jeunes pousses, qui de facto devenaient ensuite de véritables émules. On a hâte de le retrouver au détour d’une foire gastronomique, d’un salon ou d’un concours culinaire pour que jamais ne cesse cette envie de partager avec lui cet amour incommensurable du métier…

 

Thierry BRET

 

 


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Le chiffre « quatre » vient de lui porter bonheur ? « Quatre », pour évoquer en termes de symboles le solide, le tangible, le sensible. « Quatre », aussi, qui rappelle par ordre de croissance sa qualité de nouvelle présidente de la structure chapeautant le programme artistique des « Amis de l’Abbaye de REIGNY ». Elue à l’unanimité au terme d’une assemblée générale « musicale », Florence TRUBERT occupe désormais le fauteuil de responsable de l’association…

 

VERMENTON : Insuffler une programmation culturelle ayant du sens. Et de la voix dans un cadre qui jadis, à l’époque cistercienne et monacale, privilégiait la contemplation du beau et de l’esthétisme en adoptant les préceptes de la règle du silence. Fil d’Ariane personnel de la nouvelle présidente, ce choix stratégique devrait nourrir les ambitions de Florence TRUBERT afin de perpétuer l’œuvre déjà entamée par ses trois prédécesseurs, Philippe ALBOU – le fondateur de la vénérable association -, Claude MARTIN et Olivier DUMAS, avec cette accession à cette présidence.

La quatrième responsable des « Amis de l’Abbaye de REIGNY », en poste depuis le 02 avril, souhaite ainsi, parmi ses axes prioritaires, offrir une scène de renom aux artistes confirmés mais aussi aux néophytes qui deviendront les talents de demain. Ouvrant grandes les portes à des publics éclectiques, de tous les âges et de tous les horizons, prêts à être immergés dans une programmation de qualité et jubilatoire pour l’esprit cette saison. Les mélomanes savent de quoi l’on parle, évidemment !

Un avant-goût de la richesse programmatique et de son excellence auditive a pu être donné aux deux cents adhérents de l’entité culturelle, à l’issue d’une assemblée générale qui aura permis d’installer de manière unanime dans son fauteuil présidentiel, l’ex-vice-présidente de l’association.

Grâce à un trio d’instrumentistes hors pair, revisitant les œuvres de SCHUBERT et de RACHMANINOV : l’ukrainienne Anna JBANOVA au piano, le russe Dimitri MASLENNIKOV au violoncelle et le français François PINEAU-BENOIS, violoniste de son état.

 

Même les Jeux olympiques vont s’inviter dans la programmation 2024 !

 

Familière des univers cisterciens – elle a collaboré à la création d’un opéra donné en plein air pour l’Abbaye de ROYAUMONT dans le Val d’Oise – Florence TRUBERT a également publié une monographie sur l’Abbaye de CLAIRMONT, édifice situé dans la Mayenne, lors de la célébration du neuvième centenaire de la naissance de Saint-Bernard.

Il est vrai que l’univers du patrimoine représente plus qu’une passion pour cette érudite ! Florence TRUBERT n’est-elle pas la rédactrice en chef de la revue « Demeure Historique », un média ciblant plus spécifiquement les propriétaires de monuments et jardins historiques privés dans l’Hexagone ?

D’ailleurs, c’est à ce titre là que Florence sera chargée en 2024 de coordonner les manifestations propres à la célébration du centenaire de la Demeure Historique dont l’Abbaye de REIGNY est adhérente.

Toujours en 2024, le porte-étendard des « Amis de l’Abbaye de REIGNY » profitera de l’actualité – à savoir les Jeux olympiques accueillis à Paris – pour thématiser les spectacles du site cistercien en fonction de cet évènement planétaire. Le sport fera donc une entrée remarquée dans ce bâtiment chargé d’histoire : à l’heure où se rédigent ces lignes, on ne sait pas encore de quelle manière officielle !

Un élargissement des possibles culturels qui a déjà reçu, on s’en doute, le soutien indéfectible des propriétaires des lieux, Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS, ainsi que de leurs enfants, impliqués tous ensemble dans cette aventure collective et associative. Faire revivre un site cistercien par la voix de la culture où autrefois ne régnait que le silence…

 

En savoir plus :

La programmation 2023

Week-end du 06 au 08 mai : chantier avec travaux de peinture et de jardinage, en soirée la pièce d’Eugène LABICHE, « Les 37 sous de Mr Montaudoin ».

Le 11 juillet : traditionnel spectacle des jeunes avec « La Soupe à la grimace » donné par TOUK TOUK Compagnie.

Le 23 juillet : déjeuner en blanc au bord de la Cure organisé au profit de la restauration du moulin…

Le 30 juillet  à 17 heures : 16ème édition de « Jazz sous les Tilleuls » avec le concert «  Swingin’ the Boogie » par le trio Jean-Pierre BERTRAND (piano), Gilles CHEVAUCHERIE (contrebasse) et Lionel GRIVET (batterie).

Le 17 septembre : Journées européennes du Patrimoine avec une conférence sur l’exposition universelle de 1867 à Paris par Edouard VASSEUR, professeur à l’école des Chartes et séance de dédicace de son ouvrage à l’issue de sa conférence.

Le 15 octobre à 15h30 : Concert des jeunes talents Barbara et Nathalie DIOME, pianiste et violoncelliste, elles interpréteront des œuvres de TCHAIKOVSKY, PROKOFIEV et STRAVINSKY.

 

Thierry BRET

 

 


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L’heure du bilan. C’est un exercice peu aisé quand la plupart des indicateurs de l’économie s’affolent à grands coups de crises inflationnistes et de turbulences internationales qui prennent leurs origines dans les méandres de la géopolitique de plus en plus belliqueuse. Pourtant, vue de l’Yonne, et malgré deux longues années de disette imputables à une autre crise, sanitaire cette fois, le côté de la lorgnette avec lequel on examine la situation s’avère plutôt satisfaisant pour les professionnels. Une belle année de reprise même, selon les observateurs aiguisés de l’agence de développement Yonne Tourisme…

 

CHABLIS: 2022, le retour en grâce du tourisme et de ses activités dans l’Yonne ? Oui, le confirme l’agence de développement départementale qui a dévoilé il y a peu les éléments de référence allant dans ce sens, lors de sa traditionnelle assemblée générale, accueillie dans l’antre du BIVB (Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne) à Chablis.

On le pressentait déjà au sortir de l’année écoulée, le bilan intermédiaire de cette saison qualifiée de « normale » par ses différents acteurs – exit les vingt-quatre mois de contrariétés inhérentes à la COVID et à ses restrictions punitives – se présentait sous ses meilleurs auspices. Un bilan qui se traduit de manière définitive, quelques quatre mois plus tard au cours de cette assemblée générale de la vénérable institution, comme satisfaisant pour l’ensemble des parties concernées par ce secteur d’activité : professionnels, institutionnels, élus.

Isabelle FROMENT-MEURICE, présidente de l’organisme (et vice-présidente du Conseil départemental), devait le préciser en guise de phase introductive à sa prise de parole : « 2022 représente une très bonne dynamique de fréquentation, portée par les clientèles françaises mais aussi internationales qui, après deux années de limitations de déplacements, ont confirmé leur grand retour dans l’Hexagone… ». Et par vase communiquant vers la Bourgogne Franche-Comté dont le territoire de l’Yonne.

 

Une année de reprise avec des touristes venant de tous horizons…

 

Belges, Néerlandais et Allemands ont donc effectué leur come-back en force pour le plus grand plaisir des hôteliers-restaurateurs et hébergeurs mais aussi les spécialistes des sites touristiques à découvrir sans modération dans notre zone géographique. Quant à la clientèle tricolore, elle aime s’immerger dans l’Yonne, à la découverte de ses typicités, de sa gastronomie, de sa culture, de ses aspects pittoresques encouragée en cela par les nombreuses opérations promotionnelles et de communication initiées par l’agence Yonne Tourisme.

Des Français originaires des régions limitrophes de la Bourgogne septentrionale, en particulier de l’Ile-de-France mais aussi du Centre et du Grand-Est. Sans omettre les habitants de la Bourgogne Franche-Comté, eux-mêmes, qui prennent soin de découvrir de plus en plus les pépites qui font le sel de ce territoire…

En cela, le service de presse de l’agence départementale n’aura pas lésiné sur les moyens ni la méthode pour s’offrir les faveurs des journalistes hexagonaux mais aussi européens, voire ceux venant d’un peu plus loin !

Tout au long de l’année écoulée, il a multiplié les contacts, initié des rendez-vous, proposé des voyages de presse en immersion directe avec celles et ceux qui font l’actualité touristique de ce beau département qui n’a rien à envier à d’autres endroits de France. Les retombées médiatiques furent au rendez-vous, le plus souvent avec éloges et avis favorables pour pousser plus loin le bouchon de la découverte initiatique.

 

 

 

Un effort accru sur la communication et des slogans forts…

 

Une politique de communication qui fut aussi mutualisée avec Bourgogne Tourisme. Ainsi, dans les faits, le partenariat sur la marque « Bourgogne » a été renouvelé au travers d’une large campagne de promotion – le séduisant programme « L’Automne, c’est la Bourgogne » - dans le but de positionner notre contrée parmi les destinations incontournables à biffer sur son agenda dès cette belle saison revenue, une période propice aux week-ends bucoliques et douillets à vivre en famille ou avec des amis en arrière-saison.

Que dire également des deux vidéos, conçues sous un angle panoramique à 360 degrés, qui ont été réalisées pour promouvoir deux des vitrines évidentes de l’offre icaunaise : le patrimoine de Vézelay et le Canal du Nivernais que bon nombre de férus de la nature fréquentent à vélo et en bateau. Des documents visuels qui ont connu un franc succès au gré des salons et évènementiels où ils furent projetés servant de vitrine à l’agence Yonne Tourisme et à son catalogue de propositions alléchantes.

L’effort de communication aura même été poussé à son paroxysme, avec un nouvel environnement graphique qui sera décliné sur tous les supports produits par l’agence : à savoir ce message fort à propos (« Dans l’Yonne en Bourgogne, révélez l’essentiel ! »), en phase selon ses créateurs avec les comportements et tendances actuels de l’univers consumériste faisant tilt à l’esprit des touristes.

 

 

La mise en avant des filières concrétisée dans les actes…

 

Au-delà de la communication, Yonne Tourisme a pu se distinguer sur des actes plus palpables du côté du terrain, au cours de cette saison écoulée dont on a su tirer les enseignements. Déjà, il y eut la seconde édition de la « Family Week », accueillie à la Grange de Beauvais. Celle-ci aura fait converger vers ce site aux origines cisterciennes bon nombre de visiteurs trop heureux de profiter des rayons salvateurs d’un chaud soleil printanier pour prendre part à une expérience unique à vivre en famille.

Le travail sur les randonnées de toutes sortes (pédestre, équestre, cycle…) aura constitué un autre axe référentiel important dans lequel l’agence aura pesé de tout son poids. Avec l’arrivée, notamment, d’un chargé de mission dévolu à la cause, afin de recenser et promouvoir l’offre du département.

Quant à l’accompagnement des professionnels – le nerf de la guerre des missions polymorphes de l’organisme -, il aura été crescendo au fil de la saison, avec son lot de webinaires spécifiquement adaptés à leurs besoins. Un soutien stratégique prégnant et efficace devant satisfaire ses bénéficiaires.

Enfin, la mise en avant du label « Vignobles et Découvertes » aura mis un sacré coup de projecteur aux cinq vignobles de notre territoire (Auxerrois, Chablisien, Jovinien, Tonnerrois et Vézelien). Une mise en lumière profitable sur le segment de l’œnotourisme, toujours très apprécié des visiteurs.

Mention spéciale, enfin à signaler, dans le cadre de la commercialisation de circuits et séjours destinés aux groupes : l’apparition d’un nouveau concept, « Business au Vert ». Soit la déclinaison pratique du tourisme d’affaires qui s’adapte à une offre plus vertueuse pour les séminaires des petites et moyennes entreprises – d’ici et d’ailleurs – et basée sur une sélection de prestataires qui proposent du bien-être, de l’authenticité, du ressourcement, la mise en valeur des produits locaux, sous le sceau d’une démarche éco-responsable.

Un bilan 2022 des plus prometteurs pour Yonne Tourisme. Annonciateur de nouvelles perspectives et autant de projets passionnants que nous détaillerons dans la seconde partie de cet article à venir…

 

 

En savoir plus

Bilan de la saison 2022

Assistance de Yonne Tourisme auprès des professionnels

323 professionnels accompagnés

14 newsletters « Flash Actu » envoyés aux professionnels de l’Yonne

19 projets accompagnés ont bénéficié d’une subvention de la Région

1 429 361 euros de subventions ont été attribuées

4 308 626 euros d’investissement ont été réalisés dans l’Yonne.

Promotion

324 029 visiteurs ont consulté le site www.tourisme-yonne.com soit 76,81 % par rapport à 2021

18 000 fans ont été recensés sur Facebook (+ 12 % de progression par rapport à 2021)

5 601 personnes sont abonnées au compte @yonnetourisme Instagram

Vente de produits groupes par Yonne Réservation

116 groupes ont été accueillis dont quinze séjours

951 nuitées

4 087 personnes ont été accueillies

340 204 euros de chiffre d’affaires ont été générés

 

Thierry BRET

 


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Mille deux cents mètres carrés de superficie. Une construction qui va sortir de terre, à proximité de l’entité professionnelle « ARMATIS » en zone des Clairions à Auxerre, livrable si toutes les conditions sont réunies à l’été 2024. L’UDAF de l’Yonne va faire peau neuve dans les mois à venir en finançant par le prisme des emprunts la réalisation de ce nouveau bâtiment flambant neuf qui accueillera son siège social et celui d’AGORA, son service des mesures judiciaires. Pour une enveloppe de quatre millions d’euros…

 

AUXERRE : Pour l’heure, il n’y a que quelques barrières et un peu de grillage qui en délimitent les contours. Avec au-dedans en son centre, de la végétation encore drue et une herbe folle, revigorée après l’épisode de pluies observé la semaine dernière sur l’Auxerrois. Mais, à terme, c’est-à-dire à l’été 2024 – on avance le mois de juin avec précision - si tous les éléments du puzzle de ce jeu de construction grandeur nature s’emboîtent idéalement, ce sera un édifice flambant neuf, dont l’esquisse en trois dimensions nous est déjà connue grâce à son donneur d’ordre, l’UDAF de l’Yonne.

Son directeur, Jean-Pierre MASCLET, bouillonnant d’idées et enthousiaste à vivre à fond cette future période de totale créativité – il possède moult projets dans ses tiroirs que nous distillerons bientôt dans ces colonnes ! – est ravi de la projection futuriste de l’ensemble.

 

 

Plus de 80 personnes dans un édifice flambant neuf…

 

Le nouveau siège de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne (UDAF) ne manquera ni de visibilité ni de place pour accueillir en son sein les collaborateurs du service des mesures judiciaires, la branche « UDAF AGORA », et ceux de la structure originelle, ouverte spécifiquement aux structures associatives.

Une réunification sous le même toit, attendu et espéré depuis longtemps par ses acteurs, pour ne faire in fine plus qu’un seul endroit en termes de point d’accueil dans la capitale de l’Yonne.

Ce seront au total près de quatre-vingt personnes qui occuperont ces futurs locaux. Toutefois, l’heure du déménagement ne s’inscrit pas encore parmi les priorités du personnel, au vu des délais impartis à la conception du nouveau bâtiment.

Le chantier a débuté le 11 avril dernier. Un ouvrage ayant nécessité une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros qui est financé par des emprunts contractés par l’organisme et amortissables sur plusieurs années, on s’en doute !

 

Thierry BRET

 


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