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C’est une première en Bourgogne Franche-Comté ! Elle s’articule autour d’un nouveau projet, sous la forme un plan d’action territorial qui va se décliner dans le cadre de la SNAP, soit la Stratégie Nationale pour les Aires protégées. Sur une période qui court sur l’exercice 2022/2024, l’Etat et la Région ont donc décidé de joindre leurs efforts afin de favoriser la biodiversité…

 

DIJON (Côte d’Or) : Réuni mercredi dernier dans l’hémicycle de l’hôtel de la Région, le Comité régional de la biodiversité – un organisme co-présidé par le préfet de région, Franck ROBINE et la présidente du Conseil régional, Marie-Guite DUFAY - a validé le Plan d’Action territorial, premier du genre, en faveur des aires protégées de notre territoire.

Composée de 123 représentants, cette instance consultative favorise les échanges et concertations autour des grandes thématiques inhérentes à la biodiversité et à son développement. Elle coordonne également la Stratégie nationale pour les aires protégées (SNAP). Une initiative impulsée par l’État.

Celle-ci doit permettre, d’ici 2030, d’enrayer la perte de biodiversité en protégeant 30 % du territoire français, dont un tiers est sous protection forte ; c’est-à-dire sur lequel s’applique une réglementation stricte des activités. Ainsi, elle met l’accent sur la pertinence, la cohérence et l’interconnexion du réseau d’aires protégées pour assurer un maillage efficace à l’échelle nationale.

 

 

Sept objectifs pour enrayer la perte de biodiversité…

 

Dans le cadre de la SNAP, l’Etat et la Région s’engagent à faire respecter sept priorités favorables à la préservation de la biodiversité. Celles-ci se rapportent au développement d’un réseau d’aires protégées résilient aux changements globaux, à l’accompagnement de la mise en œuvre d’une gestion efficace et adaptée du réseau d’aires protégées, de favoriser des activités durables au sein du réseau d’aires protégées, mais également de conforter l’intégration du réseau d’aires protégées dans les territoires, de renforcer la coopération à l’international pour enrayer l’érosion de la biodiversité, de porter un réseau pérenne d’aires protégées et enfin de conforter le rôle des aires protégées dans la connaissance de la biodiversité.

Des objectifs conformes aux orientations de la Stratégie régionale pour la biodiversité 2030 et aux priorités de la Stratégie de mandat 2021-2028 du Conseil régional. Rappelons que son ambition est d’augmenter les surfaces d’espaces naturels protégés et de soutenir les réserves naturelles régionales. À ce jour, les aires protégées couvrent 26,17 % du territoire.

Grâce à ce premier Plan d’Action territorial, le nombre et la superficie des aires protégées devraient augmenter en Bourgogne Franche-Comté. Plusieurs territoires – ils représentent 88 projets d’aires – vont ainsi faire leur entrée dans ce schéma. On peut citer le Parc naturel régional du Doubs horloger, la réserve naturelle régionale du Bief du Nanchez dans le Jura ou encore quatre autres projets de réserves naturelles de grottes à chauve-souris situées en Côte d’Or et dans le Doubs.

Plus près de nous, signalons les trois projets d’extension de sites NATURA 2000 qui sont implantés dans le Morvan, ceux de la moyenne vallée du Doubs et la vallée de la Loue et du Lison.

 

 

Deux dispositifs pour accélérer la préservation des aires protégées…

 

Pour se faire, la Région a désormais la compétence sur le concept NATURA 2000 et ce depuis le 01er janvier 2023. La Bourgogne-Franche-Comté compte 118 sites, couvrant 13,8 % de son territoire, soit 6 590 km2. Elle est la 6ème région française en termes de superficie. L’année 2023 est marquée par une réorganisation de la gouvernance des sites NATURA 2000. La loi 3DS du 21 février 2022 a transféré une partie de la compétence aux Régions en leur confiant le pilotage de la gestion de ces sites.

Cheffe de file en matière de biodiversité, la Région BFC assure ainsi cette nouvelle responsabilité, avec un budget annuel de 2,5 M€ (dotation de l’État) auxquels s’ajoutent 4,3 M€ de fonds européens (FEADER) jusqu’en 2027.

Quant à l’Etat, il s’appuiera sur le Fonds vert pour accélérer la transition écologique dans les territoires, un dispositif lancé en janvier 2023. Il s’agit de poursuivre, d’amplifier et d’accélérer la transition écologique et de renforcer la résilience des territoires pour s’adapter au changement climatique et lutter contre l’érosion de la biodiversité.

Doté au plan national de deux milliards d’euros, délégués aux préfets de région, le Fonds vert en Bourgogne Franche-Comté dispose d’une enveloppe globale de 72,12 M€ pour 2023. Il finance trois types d’actions : le renforcement de la performance environnementale dans les territoires, leur adaptation au changement climatique et l’amélioration du cadre de vie.

Il permettra en particulier de financer la mise en œuvre de la SNAP en accompagnant à la fois l’émergence et la gestion de ces aires. Sur l’enveloppe globale du fonds vert, 6,8 M€ sont dédiés à la biodiversité régionale

en 2023.

 

Thierry BRET

 

 


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Nous n’avons jamais autant parlé de réforme constitutionnelle, d’articles de la constitution de 1958, de pouvoir anti-démocratique… Les Français découvrent peu à peu les vertus ou les faiblesses de notre constitution qui date de plus de soixante ans ! Petit tour d’horizon pour mieux appréhender les articles constitutionnels en question qui font tant débat dans les hémicycles de la gouvernance…

TRIBUNE : Tout d’abord, le fameux « 49-3 » ! C’est celui qui a mis le feu aux poudres à propos de la réforme des retraites. L’astuce du gouvernement fut d’intégrer la réforme des retraites dans le budget. Le « 49-3 » ne peut être actionné qu’une seule fois par session parlementaire, mais de manière illimitée dès que l’on aborde la procédure budgétaire.

Que dit le 49-3 ?

« Le Premier ministre peut, après délibération du Conseil des ministres, engager la responsabilité du gouvernement devant l'Assemblée nationale sur le vote d'un projet de loi de finances ou de financement de la Sécurité sociale. Dans ce cas, ce projet est considéré comme adopté, sauf si une motion de censure, déposée dans les vingt-quatre heures qui suivent, est votée dans les conditions prévues à l'alinéa précédent. Le Premier ministre peut, en outre, recourir à cette procédure pour un autre projet ou une proposition de loi par session. »

Dans l’histoire de la Vème République, ce fameux article fut actionné une centaine de fois. C’est Michel ROCARD qui en détient le pompon !

Que dit le 47- 1 ?

« Le Parlement vote les projets de loi de financement de la sécurité sociale dans les conditions prévues par une loi organique. Si l’Assemblée nationale ne s’est pas prononcée en première lecture dans le délai de vingt jours après le dépôt d’un projet, le gouvernement saisit le Sénat qui doit statuer dans un délai de quinze jours. Il est ensuite procédé dans les conditions prévues à l’article 45. Si le Parlement ne s’est pas prononcé dans un délai de cinquante jours, les dispositions du projet peuvent être mises en oeuvre par ordonnance.
Les délais prévus au présent article sont suspendus lorsque le Parlement n’est pas en session et, pour chaque assemblée, au cours des semaines où elle a décidé de ne pas tenir séance, conformément au deuxième alinéa de l’article 28 ».

Le gouvernement limite ainsi les débats et l’ensemble des articles du projet de loi ne fut jamais abordé ! Quant à produire une « ordonnance », notre Président n’a pas encore osé !

Que dit le 44-3 ?

« Si le gouvernement le demande, l'Assemblée saisie se prononce par un seul vote sur tout ou partie du texte en discussion en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le gouvernement », indique la Constitution de la Ve République. Concrètement, cela signifie que si le projet de loi n'est pas voté par les parlementaires, le gouvernement peut globaliser toute la loi et procéder au vote.

 

 

 

La démocratie en question...

Ceux qui accusent le gouvernement de ne pas respecter la démocratie se trompent lourdement ! Tous les articles évoqués et mis en œuvre viennent de notre constitution, gravée sur le marbre du vote des Français en 1958. Fort de l’expérience désastreuse de la IVème République, avec des gouvernements qui peuvent durer une semaine au plus, la Vème République a souhaité mettre en place la gouvernance du pays avec sérénité et stabilité. Le Général de GAULLE souhaite un pouvoir fort et un régime présidentiel : « je ne suis pas venu inaugurer les chrysanthèmes… ».

Résultat, lorsque les débats, pour une loi, voulue déterminante par le gouvernement, s’éternisent à cause de milliers d’amendements déposés par l’opposition, la constitution permet : de limiter le temps des débats, puis de se prononcer à un seul vote sur tout ou partie du texte, et enfin de se passer du vote de l’assemblée et de faire passer la réforme grâce au 49-3, devenu célèbre… La contrepartie du 49-3 c’est l’engagement de la responsabilité du gouvernement et donc la possibilité, pour l’opposition de le renverser.    

Alors qu’est-ce qui dérange ? C’est sans nul doute la manière utilisée par l’Elysée et Matignon. Au plus fort des manifestions « anti retraites », le « 49-3 » fut plutôt rejeté par l’ensemble des syndicats et par la rue. Aujourd’hui, près de 90 % des Français sont opposés à la réforme. Prendre en compte la rue ? C’est prévu dans les textes de 1958 ? Le référendum ou bien l’article 10 qui prévoit de procéder à un nouveau vote !

La constitution est une « formule 1 », qui devient vite incontrôlable quand on a été formé sur une « 2 CV » ! Elle est le fruit d’une volonté démocratique qui permet de prendre en compte la décision du gouvernement, les orientations du Président, les desiderata des partenaires sociaux et la volonté du peuple !

 

Prendre de la hauteur avec la fonction incarnée…

Etait-il opportun, en pleine manifestation contre la réforme des retraites, pour le Président de la République d’accorder un entretien au journal « PIF », à Olivier DUSSOPT de se confesser dans le magazine LGBTQI « Têtu » et à Marlène SCHIAPPA de donner une interview à une revue de charme… ? Nous sommes en démocratie et chacun est libre, soit, mais tous les élus et les membres d’un gouvernement ont le devoir d’être à la hauteur de ce qu’ils incarnent !

Nous suggérons donc à Bruno LE MAIRE de faire publier quelques lignes dans « Picsou Magasine », à Elisabeth BORNE de s’épancher dans « Modes et Travaux » et à l’ensemble du gouvernement, de publier un calendrier annuel dans lequel toute l’équipe posera nue, et de mettre en guise de voile de pudeur, la Constitution de 1958…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Seul en scène, guitare acoustique à la main, le vieux barde de l’Yonne, défenseur de la grande chanson hexagonale, poussera de sa voix grave et rocailleuse le public vers ses ultimes retranchements, empreints de nostalgie, en l’écoutant interpréter une vingtaine de chansons du répertoire de l’auteur de « Nuit et Brouillard ». Une balade au gré des airs connus et méconnus du chanteur décédé il y a treize ans lors de deux récitals uniques. Son « Ferrat » à lui revisité, à en perdre la raison…

 

CERISIERS: Peut-être, depuis la terre ardéchoise (Antraigues-sur-Volane) où il est inhumé depuis maintenant treize ans, observera-t-il la moustache frissonnante avec une certaine délectation cette nouvelle initiative artistique du troubadour de l’Yonne, faisant honneur à ses chansons ? Ou peut-être pas ! Question de croyance à dire vrai !

Quoi qu’il en soit, l’auteur et interprète de « La Montagne » est un chanteur qui indubitablement aura compté et compte toujours pour notre Gérard-André départemental, qui ne cesse d’année en année d’évoquer sa mémoire en chansons et de réveiller nos souvenirs les plus lointains lors de tours de chant dont il a le secret, assuré avec maestria et gentillesse, accueillant les mélomanes les plus avertis…

Il en sera sans doute de même ce week-end à Cerisiers à la Ferme du Fays. Un endroit propice aux retrouvailles culturelles de belle facture.

Se présentant en solo sur la scène, accompagné de son fidèle instrument – sa guitare sèche qui lui donne le tempo et la rythmique -, sans doute affublé de sa fameuse tenue chemise rouge et gilet noir, Gérard-André réalisera encore des prouesses vocales - à faire pâlir les jeunes pousses issues de certaines émissions audiovisuelles qui s’inventent de « futurs » et surtout éphémères talents ! – en enchaînant des titres inoubliables issus du répertoire éclectique et onirique de Jean FERRAT. Il y aura aussi en ces heures sombres où le combat social refait surface à la une de l’actualité des morceaux plus engagés et humanistes.

 

Des airs incontournables et des morceaux moins connus…

 

Ainsi, le set proposé lors de ces deux concerts devrait comprendre « Potemkine », « Comprendre », « Je vous aime », « Ma France », « Une femme honnête », « Maria », l’inusable « Nuit et Brouillard », « Berceuse », « Pauvre Boris », « On ne voit pas le temps passer »…

C’est la vie quotidienne de la société française du vingtième siècle qui est dépeinte ici avec subtilité à travers ces textes, mais aussi des personnages, des artistes et des évènements qui ont marqué ce siècle...

Les puristes retrouveront les grands poèmes de Louis ARAGON, mis en musique par Jean FERRAT, qui feront également partie de cette création : « Les poètes », « Que serais-je sans toi ? », « J'entends, j'entends », « Heureux celui qui meurt d'aimer », « Aimer à perdre la raison »… Dans cette nouvelle version de son récital, Gérard-André intègre aussi d’autres chansons dont « Y aurait-il » de l’Icaunais Pierre LOUKI et « Ma Môme ».

On saluera aussi le travail de l’arrangeur, compositeur, pianiste et chef d’orchestre, Patrick VASORI qui collabore avec Gérard-André de longue date. Les bandes enregistrées l’attesteront : c’est du bel ouvrage.

 

 

En savoir plus :

 

« FERRAT à perdre la raison »

Une création de Gérard-André

De ce que j’ai vécu à ce que j’imagine.

Titre d’origine du spectacle créé à Paris en mars 2006.

Samedi 15 avril à 20h30 et dimanche 16 avril à 15h30 :

À la Ferme du Fays,

Cerisiers

9, chemin de Dilo 89320

Réservation des places, par e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. // par tel : 03.86.47.28.16

Participation aux frais : libre

 

Thierry BRET

 


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Il est volubile et intarissable sur le sujet, Patrick GILLES. De passage au Donjon de Cravant où il a été accueilli par l’hôte de ces lieux, Colette BECHET, le président de l’association franco-écossaise « AULD Alliance » assure déjà la promotion de ce qui devrait être l’une des manifestations festives phare de la période estivale dans la commune, sise au sud d’Auxerre, soit la commémoration des six cents ans de la bataille de Cravant. Un évènement à vivre les 01er et 02 juillet…

 

CRAVANT ; Quarante années de vie trépidante et culturelle en version intensive au service de la valorisation de l’un des bâtiments emblématiques de la commune (le Donjon) ; voilà en une phrase résumé le parcours existentiel de Colette BECHET qui à 88 ans depuis peu (début avril) a décidé de jouer les prolongations en préparant à sa manière les prochaines festivités liées à la fameuse bataille de Cravant.

Une épopée militaire du temps jadis qui opposa en l’an de grâce 1423, le 31 juillet, les forces anglaises à celles de l’alliance formée par les soldats françaises et écossaises, unies comme les cinq doigts de la main, afin de bouter l’occupant de l’armée de la Rose hors de la Bourgogne.

Il y a quelques jours, Patrick GILLES, président de l’association « AULD Alliance » dont le siège social n’est autre qu’à Orléans – c’est dans cette ville que furent déposés les statuts de la structure le 28 juillet 2001 – effectuait une courte visite plus que de courtoisie dans l’Yonne afin de poser les jalons de la future commémoration qui sera organisée avec le concours de la municipalité.

Le programme, bien qu’il ne soit pas encore officiel, devrait s’appuyer sur la tenue de conférences inhérents à cette bataille, une fête médiévale, la présence des « Highlanders de Ard Blair » mais aussi des adoubements au sein de la structure, une sorte de confrérie qui prône le renforcement des liens historiques entre la France, à l’emblème du lys et l’Ecosse, celui qui se reconnaît dans le piquant chardon.

 

 

Auteur de deux ouvrages de référence sur la période médiévale (« Quand le Chardons d’Ecosse sauva les lys de France » et « Jeanne des lys et des chardons, une enquête historique sur Jeanne d’Arc », son dernier opus publié aux éditions du Loup en 2021), Patrick GILLES est un historien passionné qui travaille depuis deux décennies sur le sujet de cette vieille alliance entre les deux nations encore vénérée de nos jours. Il se muera en conférencier expérimenté et passionnant lors de ce premier week-end de juillet afin de narrer le déroulé de cette bataille où 4 500 soldats de cette alliance perdirent la vite dans la campagne avoisinante de Cravant, entre les remparts et les champs. Une soldatesque qui était commandée par John Stewart of DARNLEY, connétable d’Ecosse et seigneur d’Aubigny et le maréchal de France, Amaury de SERVERAC.

Pour le président fondateur de l’association « AULD Alliance », cette union est un sujet majeur de l’histoire des deux pays.

« Cette relation unique mérite mieux que l’oubli des livres d’histoire, précise-t-il, et surtout sa disparition de la mémoire collective des Français. Pour pallier ces manques et ces carences, a été créée cette « AULD Alliance » afin de perpétuer le souvenir de cette union sacrée entre le chardon et le lys. Notre association a pour vocation de rendre ses lettres de noblesse à cette alliance et la place qui lui revient auprès du plus grand nombre en France, en Ecosse et dans le reste du monde… ».

Un évènement à biffer sur les agendas du début d’été. Pour que les liens entre Ecossais et Français ne meurent jamais sur ce champ de bataille que fut autrefois Cravant…

 

Thierry BRET

 


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Succédant à Guillaume LLORCA, elle ajoute avec cette responsabilité une nouvelle ligne honorifique à son palmarès, la Sénonaise Valérie WALTER-BARTIAL. L’ancienne présidente des Femmes Chefs d’Entreprises (FCE) de l’Yonne vient d’hériter depuis peu d’un nouveau titre de gloire, imputable à 100 % à l’exercice de son métier de géomètre expert, devenant ainsi la nouvelle présidente hexagonale de la filière.

 

SENS ; Depuis juin 2018, en sa qualité de vice-présidente de l’organisme, Valérie WALTER-BARTIAL aura eu le temps de peaufiner à loisir sa future candidature au poste suprême de cette structure, représentant les intérêts des géomètres experts de justice de France. Cette fois-ci est donc la bonne pour l’ancienne présidente du réseau des FCE de l’Yonne, des Femmes Chefs ou Cheffes d’Entreprise, qui prend la suite de Guillaume LLORCA, son prédécesseur avec qui elle aura fait équipe durant cinq années.

L’iconographie officielle présente la nouvelle responsable affichant un large sourire aux lèvres alors qu’elle est vêtue d’un flamboyant ensemble au coloris pourpre. Une couleur, symbole du pouvoir et de la puissance, mais aussi du raffinement et de l’élégance, ce qui sied très bien à l’entrepreneuse sénonaise…

Publiée sur les réseaux sociaux, la photographie a suscité une noria de commentaires élogieux de la part du sérail économique de l’Yonne.

Originaire de Strasbourg, la nouvelle responsable de la Compagnie nationale des géomètres experts de justice a créé son cabinet à Sens en 1999, aux côtés de Stéphane BARTIAL. Son objectif est d’apporter son expertise en matière de bornages, de relevés topographiques, dans le foncier, les divisions, les mises en copropriétés, les diagnostics énergétiques, etc.

Une maîtresse femme qui en connaît un rayon sur son métier, le plus de tous, il va sans dire…

En savoir plus

Bureau national de la CNGEJ

Valérie WALTER-BARTIAL, présidente

Jean-Benoît PUPPO-CAPODANO, premier vice-président

Jean-François DALBIN, deuxième vice-président

Laure PIETRI, secrétaire

Denis BRACHET, trésorier

Michel-Patrick LAGOUTTE et Guillaume LLORCA, présidents d’honneur.

 

Thierry BRET

 


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