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Maître des lieux du Parc des expositions auxerrois, Guy ROS peut afficher son contentement au terme de l’un des ultimes rendez-vous majeurs de la saison. Malgré l’accablante chaleur qui s’est abattue ce jeudi sur le territoire de l’Yonne, ce sont en effet plus de 1 450 congressistes de l’enseigne BERNER qui ont foulé le sol de l’infrastructure icaunaise. Le cinquantième anniversaire de la filiale hexagonale de l’un des acteurs incontournables du marché professionnel des consommables demeure l’un des points d’orgue de cette saison. Résolument ouverte pour AUXERREXPO sur le monde de l’entreprise…

AUXERRE : Le pôle logistique de la filiale événementielle de Centre France a enregistré une très forte affluence ce jeudi 27 juin. Confortant ainsi les prévisions les plus optimistes qui avaient été établies en début d’exercice par son responsable, Guy ROS.

Le cinquantième anniversaire de la présence de l’enseigne allemande BERNER sur le sol français restera longtemps gravé dans les mémoires du directeur d’AUXERREXPO ainsi que de ses collaborateurs.

La manifestation, déclinée sur l’après-midi et la soirée, aura vu in fine l’accueil de 1 450 congressistes, provenant du site de Saint-Julien-du-Sault, siège de BERNER France, mais aussi de plusieurs pays européens (Espagne, Italie, Portugal…) où le groupe familial gagne en expansion.

Après la tenue récente de la convention nationale de la référence de la distribution de produits et services paramédicaux et médicaux, CAP VITAL SANTE, c’est la seconde manifestation d’importance, issue des milieux économiques, qui est ainsi accueillie en si peu de temps au parc des expositions d’Auxerre.

Un positionnement stratégique qui ne cesse de croître et confirme la réflexion entamée il y a quelques mois sur le bien-fondé de recevoir davantage de réceptions à caractère professionnel en ce lieu.

On sait déjà que d’autres rendez-vous de cet ordre ponctueront la prochaine saison 2019/2020. Notamment le futur congrès national de l’UNAF, l’Union nationale des associations familiales, qui devrait voir la présence de plusieurs centaines de participants arpenter les travées de l’infrastructure de l’Yonne.


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Riche d’expériences en communication d’entreprise, cette spécialiste de la relation publique possède son leitmotiv intérieur : « il faut laisser les idées venir de l’équipe en lui faisant confiance… ». Il est vrai qu’une bonne dose de confiance ne peut qu’exalter l’enthousiasme de vos collaborateurs et la manière de manager une équipe. En la renforçant. Voire en la solidifiant. Bref, c’est un conseil simple sur le papier. Pourtant, par quels moyens peut-on l’appliquer raisonnablement au quotidien ? Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré la jeune professionnelle. Un entretien paru dans son blog « 16h44 », où son interview nous procure des éléments de réponse précis…

TRIBUNE : Que vous vous trouviez en Bourgogne, en Franche-Comté, en Ile-de-France, en Touraine ou encore dans les Hauts-de-France, il est probable que vous ayez côtoyé un jour ou l’autre Solenne DUTHOIT. Sa riche expérience en communication d'entreprise, en relation presse, en innovation ou dans le secteur du logement social lui permet aujourd'hui de transmettre à son tour son savoir managérial. Avec une décennie d'accompagnement de structures para-​publiques ou privées à son actif, Solenne DUTHOIT a su se forger sa vision panoramique du management tel qu'il se pratique en France. Elle s'est confrontée aux spécificités de chaque territoire. Elle nous partage aujourd'hui sa conviction : un management fondé sur la confiance génère une équipe forte et un fonctionnement​ durable​ ​et solide​. Explications !

Solenne, que se passe-t-il lorsqu'on mise sur la confiance comme principe de management ?

​La confiance doit permettre au manager de laisser les idées émergées de son équipe. ​Elles ​sont plus riches​, elles rendent le groupe plus fort. Les individus sont plus épanouis et le management devient plus ​souple​. ​Ses​ ​projets ​choisis que réalisent les membres​​ de l'​équipe leur tiennent à cœur. Ils y croient d'autant plus qu'ils sont très souvent les mieux placés pour savoir ce qui est bon pour le client ou pour le produit. Si on accompagne son équipe ​​avec cet angle de vue, ​en lui offrant une liberté d'action, alors elle se sent supportée au premier sens du terme – de l'anglais to support : soutenir – c'est-à-dire coachée, accompagnée et soutenue par son manager. ​Par ailleurs, ​le manager est renforcé dans son rôle, ​dès lors qu'​il​​ ​injecte des signes de reconnaissances sincères envers les membres de son équipe.

Mais si en tant que manager, je suis convaincu que mon équipe n'est pas assez autonome pour fonctionner de cette façon, comment puis-je aller dans cette direction ?

Déjà, il faut identifier les raisons de cette méfiance, qui peuvent être multiples. C'est précisément le job du manager de comprendre ce qui se joue. Puis, de mettre en place le terreau qui permettra aux « graines » de la confiance de germer. Ensuite, il faut envisager des hypothèses. Peut-être que le manager ne donne pas les bons signaux de confiance ou de droit à l'erreur, figeant l'équipe dans la retenue et l'empêchant de prendre des initiatives. Peut-être que ça fait tellement longtemps que l'équipe n'a pas été sollicitée qu'elle ne sait plus le faire. ​Il y a également le fait que si l'équipe n'a pas été sollicitée depuis longtemps sur la dimension de la créativité, les collaborateurs ne savent plus le faire.​

Peut-être, enfin, que le manager n'est pas à l'aise avec la remise en question et qu'il lui faut travailler ce goût du risque, le dépassement ​de ses freins personnels ?

Avec un peu de formation et d'envie, le processus peut s'enclencher très vite. La formation externe​ peut être une aide et jouer le rôle de déclencheur. Il ne faut pas non plus sous-estimer l'autoformation de l'équipe qui apprend d'elle-même si les conditions sont fécondes. Il y a des cas dans lesquels le manager lui-même, se laisse transformer par son équipe...

Quels obstacles pourraient amener un manager à ne pas choisir cette voie ?

Je vois trois poids qui pourraient peser sur les épaules du manager et le freiner dans cette démarche. Le premier, c'est celui de la culture de l'entreprise, qui, si elle est fortement hiérarchisée va inciter à l'immobilité. Les structures hiérarchiques lourdes​, sans volonté forte de la gouvernance,​ ne favorisent ni la remise en question, ni l'innovation. Le second tient à la personnalité du manager qui peut avoir des freins personnels et une peur de faire confiance. La solution, c'est d'avancer de manière progressive en se rassurant avec un cadre minimum. Le troisième relève du goût du risque. Relâcher son contrôle, faire confiance, c'est un saut dans l'inconnu qui peut faire peur mais aussi s'avérer tout à fait grisant. En fait, lâcher prise amène presque toujours à un renforcement de l'équipe. Et c'est bien sûr plus facile lorsque la gouvernance de l'entreprise y est associée, mais l'équipe a sa propre marge de manœuvre, dès lors qu'elle est motivée.

En conclusion, que dites-vous aux managers qui hésitent à franchir le pas ?

Que même dans des contextes très hiérarchisés, quand on instaure un climat de confiance, l'équipe​ joue collectif.​​ Qu'ils vont voir des collaborateurs​​ se transformer, souvent de façon ​significative. Qu'ils vont voir émerger des initiatives​ pertinentes​, innovante​​, parce que chaque membre va développer son sens des responsabilités. Qu'ils verront disparaître peu à peu les formule gratuite (« ce n’est pas moi qui l'avait décidé… ») la bonne foi et l'entraide se développer. Travailler les uns avec les autres devient plus facile lorsqu'il n'y a pas la crainte de la sanction, et le collectif est à la fois plus efficace et plus riche. Bref, je leur dirais que leur équipe va devenir plus forte, plus compétente et plus autonome ! Enfin, je leur dirais que leur rôle de manager va lui-même évoluer, qu'ils pourront se consacrer à d'autres missions comme le développement de nouveaux produits, de nouveaux partenariats. Qu'ils vont s'épanouir également. Je n'ai jamais vu une équipe en vouloir à son manager de l'avoir laissée évoluer et s'épanouir. Au contraire, le respect qui se construit dans cette relation est solide et durable...

 

L'Application 16h44

En tant que manager :

J'arrête de monopoliser la parole en réunion, mon temps de parole est égal à celui des autres membres​ de mon équipe.​

Je laisse l'équipe (dont je fais partie) prendre en main la réunion et définir l'ordre du jour. J'installe un tableau où chacun peut inscrire les idées, thèmes et temps de parole associés.​

Je décrypte et j'accueille positivement les initiatives sous-jacentes ou proposées par les collaborateurs.

En tant que membre de l'équipe :

J'ose proposer cette année à mon manager une initiative ou un projet nouveau que je vais mettre en œuvre et qui apporte à l'équipe comme à moi-même.​

Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com


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L’outil est mis à disposition des entreprises depuis le mois de novembre. Elaboré dans le cadre du Pôle Métropolitain Bourgogne Sud-Champagne Portes de Paris, il répond, sous le sceau d’une mutualisation opérationnelle efficiente, aux besoins des entrepreneurs de cette zone géographique. Celles et ceux qui sont en quête de ressource humaine nécessaire à leur développement. Dans le cas présent, des stagiaires et des alternants. Avec pourquoi pas l’opportunité de fixer plus longtemps sur ce territoire de jeunes diplômés de l’enseignement supérieur qui convertiraient ainsi leur présence par le biais d’un premier emploi…

TROYES (Aube) : Porté par le Pôle Métropolitain Bourgogne Sud-Champagne-Portes de Paris, le concept est original. Non seulement, il réunit les trois communautés d’agglomération qui se sont fédérées derrière cette appellation territoriale (Chaumont, Sens et Troyes) ; mais en outre, il voit la présence des trois chambres consulaires des secteurs concernés : la CCI Troyes et Aube, celle de la Haute-Marne et l’institution de l’Yonne.

D’un commun accord, ces partenaires ont statué positivement sur la création d’un opus qui fait aujourd’hui florès en se développant : le Guide du stage et de l’alternance.

Ses objectifs sont les suivants. Primo, promouvoir les formations supérieures et, de manière plus globale, les établissements d’enseignement supérieur auprès des entreprises et des structures locales. Mais, ce n’est pas tout. Comme le stipule l’adjoint à la direction générale de l’enseignement supérieur, recherche, vie étudiante et maison du patrimoine, Guillaume ALIZARD, interrogé à ce propos.

« Cet outil créé une relation privilégiée entre l’établissement formateur et le chef d’entreprise, constate-t-il, les premiers retours peuvent déjà être qualifiés d’excellents. Son élargissement concrétise la synergie mise en adéquation dans le cadre du Pôle Métropolitain. Il offre surtout aux étudiants l’opportunité de pouvoir effectuer un stage ou une alternance en entreprise par le recrutement. Selon la relation qu’entretient l’entreprise à l’égard de l’étudiant… ».

Une fréquentation en hausse depuis le lancement en novembre…

Depuis le lancement de ce dispositif, la fréquentation du guide mis en ligne ne cesse de croître. Sans que toutefois, ses instigateurs puissent analyser avec plus de précision le degré de perception des entreprises. Par faute de temps des principaux intéressés, les entrepreneurs eux-mêmes qui ne remontent de type de renseignements pourtant très utiles.

Quoi qu’il en soit, les étudiants se posent beaucoup de questions sur ce modèle de mise en relation et se montrent très intéressés par ce système qu’ils jugent performant.   

Or, ce guide pratico-pratique répond à point nommé aux exigences des entrepreneurs mais aussi à leur service de ressources humaines, voire à d’autres structures qui emploient des jeunes.

« Outil de recherche des formations du territoire, ce guide permet surtout de sélectionner un ou plusieurs critères pour trouver ladite formation. Ainsi, son utilisateur peut aisément contacter en direct le responsable de la formation pour accueillir un stagiaire ou un alternant dans sa structure, précise Guillaume ALIZARD. L’outil offre la faculté à ses utilisateurs de pouvoir se doter d’un véritable vivier, source de recrutement… ».

Au-delà de l’initiative, qui se veut judicieuse, le Guide du stage et de l’alternance a aussi pour vocation d’encourager les entreprises à accueillir des stagiaires et à les recruter auprès des agglomérations du Pôle métropolitain. Valorisant ainsi ce territoire Bourgogne Sud-Champagne-Portes de Paris, apparu depuis peu dans le paysage institutionnel et économique.

Un site sur le covoiturage étudiant avec Blablacar et EKODEV est également prévu pour étoffer ces offres. Encore en phase de finalisation, on en saura davantage dès les premiers jours de juillet…

Le site internet du Guide est consultable sur la référence : http://guide-stage-alternance.fr/

Un article réalisé en partenariat

avec la Ville de Sens et la Communauté d’agglomération du Grand-Sénonais.


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Plus de 6 400 personnes faisant face à une conjoncture économique et sociétale délicates ont bénéficié du remarquable travail d’accompagnement assuré par l’association depuis 2008. Près de 70 % d’entre elles se sont extraites de ce mauvais pas en retrouvant la stabilité dans leur quotidien. Elles le doivent à ce dispositif d’écoute et de soutien novateur, conçu avec la bénédiction financière du Crédit agricole Champagne Bourgogne. Lors de l’assemblée générale qui se déroulait dans l’Yonne, Marie-Laure LAZZARONI, responsable de l’outil, évoqua devant plusieurs partenaires les grandes lignes d’un procédé qui se veut humaniste et pertinent…

AUXERRE: Pas facile de se sortir de l’ornière lorsque l’on est rattrapé par un aléa de la vie. Surtout, si l’on est seul à l’appréhender. Il existe depuis une décade un dispositif qui requiert beaucoup d’attention : le Point Passerelle. Humaniste et altruiste, ce processus d’accompagnement efficace met en symbiose une quinzaine de partenaires inféodés à la ligne directrice de la structure associative qui en porte aujourd’hui la destinée.

Lycées agricoles, Maison Familiales Rurales (MFR), établissements conduisant à l’insertion, mais aussi écoles de la Seconde Chance ou Epiceries solidaires s’invitent parmi d’autres à travailler en étroite osmose avec l’équipe de sept salariés et d’une quarantaine de bénévoles (tous issus de près ou de loin avec le sérail de la Banque Verte) à la réussite de leur concept.

Le retour à la vie normale équivaut à 71 % de succès ! On croit rêver à la lecture de la statistique mais dans ce cadre-là, et à force d’abnégation et de volontarisme, le pourcentage n’est en rien galvaudé.

Il faut dire que conseillers et bénévoles n’épargnent pas ni leur précieux temps ni leurs efforts pour assurer un suivi efficient de leurs protégés si fragiles. L’accompagnement se décline en trois actes. Mais, cela n’a rien d’un vaudeville. Tout d’abord, un diagnostic précis de la situation est réalisé. Puis, viendra le temps de la mise en relation avec les différents partenaires que sont les banques, les organismes locaux et départementaux. Là, il s’agira de négocier au plus utile. Cela permettant ensuite de déboucher sur le troisième volet : le plan de rétablissement.

Un indispensable module qui se définit en collaboration avec le bénéficiaire et en accord avec l’ensemble des partenaires. S’il est respecté dans les règles de l’art,  in fine, ce sera le retour en grâce à la lumière, après la torpeur de la pénombre, pour l’accidenté de la vie…

Les profils disparates des bénéficiaires du retour à la réussite…

Les personnes en exclusion financière et/ou sociale constituent le socle unique de ce canevas réparateur qui remet du baume au cœur. Le panel analytique se veut limpide, plus de dix ans après l’apparition en 2008 à Dijon de cet outil : 21 % des bénéficiaires ont perdu leur emploi ; 20 % ont décroché de leur quotidien à la suite d’une pathologie lourde ; 18 % ont réellement eu des soucis d’ordre budgétaire et 16 % ont vécu les affres d’une séparation. Le reliquat intègre un mix de ces diverses composantes sociétales. Ce sont des particuliers, clients ou non, du Crédit agricole. Le généreux mécène endosse ainsi la vêture du chevalier blanc dans cette histoire, porteuse de ses valeurs intrinsèques.

La provenance de ces personnes apporte précisément un complément d’information sur le rôle joué par l’établissement bancaire. Sur les 732 individus ayant été aidés l’an passé, 64 % ont été orientées par les conseillers de la banque. Contre 31 % aux partenaires. Signalons, néanmoins, que 5 % se sont présentées de manière spontanée dans l’une des quatre vitrines départementales implantées à Auxerre, Chaumont, Dijon et Troyes.

Il y a toujours une solution à tout problème posé…

Reconnue d’intérêt public, l’association Point Passerelle s’exprime par le biais d’ateliers budgétaires et de points conseillers animés par ses collaborateurs ou les bénévoles. « Nous espérons à horizon 2020 la mise en route de 450 points conseil, précise Marie-Laure LAZZARONI. Un total de 270 ateliers a déjà permis d’obtenir des résultats conséquents. Nous enregistrons un taux d’abandon de 18 %, ce qui est peu en définitive… ».

Dès 2015, débuta une vaste campagne de prévention, sous la forme de ces fameux ateliers budgétaires à destination des jeunes. C’est l’une des cibles prioritaires qui est travaillée par les équipes de la structure. 2 100 représentants de cette nouvelle génération ont été formés à la maîtrise d’un budget financier. Grâce notamment à un support ludique : un jeu, baptisé avec le clin d’œil d’usage, le « Dilemme » et qui a été conçu par l’association Crésus !

Des réfugiés, avec le réseau COALIA, ont profité également de ces séances instructives, à la frontière du ludique et de la pédagogie. Avec un résultat plutôt probant.

Quant à l’avenir, il englobe désormais les problématiques liées à l’inclusion numérique. Treize millions de personnes ne possèdent aucune connaissance sur ce sujet. 6,7 millions n’utilisent jamais Internet. Vu de l’Hexagone, 28 % de nos compatriotes éprouvent un besoin pressant d’être accompagnés. Ce sera l’un des grands objectifs du Point Passerelle à horizon 2022…

 

 


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Les retrouvailles entre Gérard LARCHER et Didier CHAPUIS ont été chaleureuses. Forcément : le souvenir de la précédente visite du troisième personnage de l’Etat demeurait toujours vivace dans les mémoires respectives. A l’époque, ce dernier n’avait pas encore endossé la vêture de président du Sénat. Même si l’investissement de l’ancien élu de Rambouillet empruntait déjà une tangente intéressante sur l’échiquier national. D’ailleurs, cette immersion antérieure au sein de l’entreprise icaunaise l’avait conduit à découvrir les infrastructures historiques des FESTINS à CHEMILLY sur Yonne. Cette fois-ci, il n’en fut rien. Evelyne et Didier CHAPUIS réservaient à leur hôte de prestige un aperçu complémentaire de leur savoir-faire professionnel en l’accueillant sur le site, plus récent, « Au Plaisir des Mets ».

APPOIGNY : Affable, ayant le contact facile, le président du Sénat possède ce sens inné de la relation humaine. Et le montre bien, lors de ses déplacements. Arborant un large sourire, il a pris soin de saluer chacun des collaborateurs du groupe FESTINS lors de sa découverte du site du « Plaisir des Mets ». Un petit bijou de modernisme technologique au service d’une entreprise qui rayonne bien au-delà de ses frontières originelles.

Se remémorant son précédent passage dans cette structure (à l’époque le site des FESTINS à Chemilly), Gérard LARCHER, revêtu des habits de circonstance, multiplia les interrogations auprès de son guide et hôte du jour, Didier CHAPUIS, pour ne pas manquer le moindre détail des secrets de fabrication proposés in situ.

Organisée sur une plage horaire d’une soixantaine de minutes, la visite de la société, chère à Evelyne et Didier CHAPUIS depuis plus de 25 ans, permit à ces derniers de fournir les codes d’accès de leur mode opératoire au président du Sénat sur leur philosophie de l’entrepreneuriat.

Celle basée sur la prise de risques maîtrisée et la conquête de nouveaux marchés. Celle orientée sur les investissements nécessaires afin d’améliorer la productivité et la qualité tout en préservant l’humain. Celle qui se calque au quotidien sur la satisfaction d’une clientèle internationale et nationale, constituée de grands comptes de la restauration, des transports et du service.

A la découverte des particularismes du site professionnel…

Bref, le petit groupe de visiteurs – un aéropage de personnalités politiques composé des deux députés de l’Yonne (Guillaume LARRIVE et André VILLIERS), de la sénatrice Dominique VERIEN et des fidèles attachés parlementaires – progressa avec soif de découverte, en s’attardant dans chacune des pièces de la récente infrastructure puisque fonctionnelle depuis moins d’une décade.

Le site d’ « Au Plaisir des Mets » possède ses particularismes. Ici, la confection de mousses au chocolat qui se destineront ensuite à la consommation nationale. Là, la préparation des sandwiches et autres plateaux repas qui seront servis à bord de l’Eurostar ou du Thalys afin de sustenter les milliers de voyageurs les plus affamés.

Mention spéciale également pour le pôle pâtisserie et viennoiserie où s’affairent en permanence des préparateurs méticuleux. La cellule chaude, enfin, où se concoctent les plats cuisinés. Elle aura suscité beaucoup d’intérêt de la part des suiveurs d’une visite, certes réalisée au pas de charge (contraintes inhérentes à un agenda très chargé), mais très explicite sur l’approche professionnelle des responsables de l’entité.

Avant d’échanger longuement avec les acteurs de la force économique départementale, le président Gérard LARCHER félicita ses hôtes pour la qualité de leur accueil, leur réussite et surtout leurs sens aiguisés de l’entrepreneuriat. Existera-t-il à l’avenir un troisième volet formel dans cette relation qui s’est instaurée de manière épisodique entre la famille CHAPUIS et le président du Sénat ? Il n’est jamais exclu qu’une nouvelle visite s’organise autour de la venue du troisième personnage de l’Etat, curieux du développement économique sur notre territoire…


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