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Les élus de l’opposition de la ville d’Auxerre ont procédé à la restitution de leur grande enquête d’opinion initiée il y a déjà quelques mois. Soutenue par les instances départementales des Républicains et du centre droit, l’initiative a eu reçu un accueil favorable de la part de la population. Plus de six cents réponses ont ainsi été collectées en l’espace de deux mois et demi. Elles ont donné naissance à une analyse fine et pertinente des souhaits des habitants de la ville qui se disent inquiets pour le devenir de leur agglomération. La mobilité, la dépendance, l’attractivité reviennent, entre autres, parmi les thèmes récurrents qui posent interrogation…

AUXERRE : Première observation à propos de ce sondage grandeur nature, concocté par les élus de l’opposition d’Auxerre : la pyramide des âges est très représentative. Qu’ils soient issus de la jeune génération ou bénéficiant du statut de personnes âgées, les Auxerrois qui se sont prêtés au jeu de ce questionnaire offrent une vraie représentativité démographique.

Second point, non dénué d’intérêt : ce ne sont pas uniquement les habitants du centre-ville qui ont fourni les réponses. Circulant via les réseaux sociaux ou remis en main propre lors de contacts directs avec le public, les documents ont ainsi essaimé vers une large frange de la population locale. Y compris vers les quartiers périphériques.

Le résultat, tel qu’il a été présenté par les élus, Elisabeth BILLEBAULT et Jean-Pierre BOSQUET, a atteint les espérances des concepteurs de cette initiative. Celle-ci avait été adoubée par les instances des Républicains et du centre droit de notre territoire.

Autre enseignement : le nom de code de cette restitution. Elle a été baptisée « Auxerre au cœur ». Il n’est pas besoin d’être devin en la matière pour appréhender les réels enjeux de cet exercice consultatif.

Une base de travail pour la stratégie du futur candidat…

Ce retour d’information tel qu’il a été dévoilé pour la première fois face à un panel d’Auxerrois (la plupart des personnes présentes étant issues de la corporation des commerçants) servira de trame de réflexion à la ligne politique établie par le futur candidat de l’opposition de la droite et du centre droit aux prochaines municipales du printemps 2020. En l’occurrence, le candidat tout désigné à porter le flambeau de ce projet de reconquête de l’hôtel de ville : Crescent MARAULT.

Sa présence parmi l’assistance n’était donc pas fortuite. Bien au contraire, l’ancien maire de Saint-Georges-sur-Baulche qui brigue le fauteuil d’édile de la ville d’Auxerre, a pu largement commenter les éléments instructifs délivrés par cette enquête exhaustive.

Explicité sous la forme de tableaux analytiques (un travail besogneux de fourmi selon Jean-Pierre BOSQUET qui devait en extraire la quintessence informative), le rendu de cette enquête abordera les points essentiels de ce que peut ressentir un échantillon vivant dans la capitale de l’Yonne.

« Certains des Auxerrois se sentent résignés et observent le déclin de notre agglomération, déplore Jean-Pierre BOSQUET, ils sont conscients que les choses ne vont pas dans la bonne direction. D’autres expriment leurs réelles inquiétude sur des items importants que sont la mobilité, la sécurité, la dépendance, l’attractivité économique, les transports… ».

Présentée de manière initiale lors de cette réunion publique, cette photographie des attentes locales fera l’objet d’autres rendez-vous avec la population. Une façon légitime de poser petit à petit les jalons de la future campagne électorale qui se peaufine avec réflexion dans l’état-major des Républicains.


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Le club service auxerrois a procédé à la cérémonie protocolaire de sa passation de pouvoir en présence de ses membres, de leurs épouses et de plusieurs invités. S’inscrivant en lettres d’or parmi sa programmation annuelle, ce rendez-vous usuel permet de perpétuer la gouvernance au sein de la structure associative…

AUXERRE : Promu à la présidence du club service pour la saison 2019/2020, le chef d’entreprise auxerrois, Ludovic QUIGNARD (Les Comptoirs de la Bio) se focalisera, parmi les grandes œuvres de solidarité à mettre en place au sein de notre société, sur une action qui lui tient spécifiquement à cœur cette année, au profit d’une enfant.

Mais, cela ne l’empêchera nullement d’aiguiller son équipe, à travers un travail issu de différentes commissions, vers des actions incontournables qui ont fait sienne la notoriété altruiste de ce club caritatif qui œuvre toujours pour le bien d’autrui.

Succédant ainsi à Alain COURTET, autre figure emblématique du microcosme économique territorial, Ludovic QUIGNARD s’inscrit dans cette continuité logique où le nouveau président perpétue ce qui a été fait par son prédécesseur. En y ajoutant toutefois une onde de griffe personnelle afin de ponctuer son mandat.

Parmi les principaux rendez-vous qui étayeront l’ambitieux programme de cette future année de présidence, citons la traditionnelle collecte destinée à la Banque alimentaire, une opération mobilisatrice auprès des donneurs de sang, mais aussi l’inéluctable Open de golf. Celui-ci est accueilli depuis longtemps sur le complexe sportif de Tanlay. Cette année, l’épreuve mêlant sportivité et solidarité fêtera sa trentième édition. Elle reste l’un des points d’orgue du copieux calendrier rotarien.

Ludovic QUIGNARD qui n’est pas avare en générosité a décidé de poursuivre des actions récurrentes (et réussies) d’année en année. A commencer par la marche au profit de la jeune femme polyhandicapée, Céline (une randonnée fut organisée à son profit le 01er juin à Venoy) ou encore, au plan international, un don fait à l’association Burkina Parrainages.

Précisons que cette belle opération soutient une congrégation de religieuses, les Sœurs de l’Immaculée Conception d’Ouagadougou. Elle intervient sur le sol de ce pays africain pour prodiguer conseils et enseignements en matière d’éducation et de scolarité.

Un bonheur ne venant jamais seul, le Rotary club d’Auxerre Saint-Germain sera également mis à l’honneur en cette future saison qui esquisse déjà ses contours : le club possède parmi ses rangs la gouverneure du District, Hélène MAZET qui aura à cœur de remplir sa mission avec vélocité. Encore une personne charismatique qui concourt au développement de l’altruisme dans notre département…


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« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures  hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...

TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte. 
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.

La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».

Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.

Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?

Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !

L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».

Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…

L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.

Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !

Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…

Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.

Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !

La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.

Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.

La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.

Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !

Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…

Emmanuel RACINE

 


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Le séculaire château de Puisaye Forterre a bénéficié de l’extrême générosité d’un mécène privé dans le cadre de la reconstitution de la chambre à coucher de l’illustre pensionnaire de ce haut lieu du tourisme régional. Partenaire inféodé à la sauvegarde et à l’embellissement du patrimoine historique et culturel sur son territoire, soit quatorze départements, l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire a injecté une enveloppe de 80 000 euros à la réalisation de ces travaux…Ancrant un peu plus sa présence territoriale.

SAINT-FARGEAU : L’instant se veut solennel. Il se vit juste à l’entrée de la pièce, une chambre à coucher, objet de toutes les convoitises du jour. Sous le feu nourri des crépitements photographiques, il est fixé à jamais parmi l’éternité immuable du temps.

Comme le joli portrait de la Grande Mademoiselle qui orne cet espace enchanteur, dont on honore aujourd’hui grâce à ce geste symbolique le poids historique à travers les siècles.

Elle, la malheureuse cousine de l’intransigeant Louis XIV, qui se vit privée d’un mariage d’amour avec le romanesque Monsieur de LAUZUN ; le duc payant au prix fort durant une décade cet hymen à jamais refusé par le roi Soleil dans la geôle de la sombre forteresse de PIGNEROL située dans le piémont turinois.

Un sinistre édifice où furent emprisonnés avec la même détermination royale le mystérieux « Homme au Masque de fer » ou l’intendant FOUQUET…

Intègrent-ils ces éléments en parfaite conscience les auteurs de ce moment de grâce lorsqu’ils découpent le ruban jaune qui officialise par la voie du protocole la phase inaugurale de la reconstitution de la chambre de la duchesse de Montpensier, Anne-Marie Louise d’Orléans ?

Ce geste cérémonial exhume en effet à notre bon souvenir la mémoire vive de l’illustre pensionnaire de ce château de Puisaye, devenu entre-temps un haut lieu du tourisme régional (35 000 visiteurs à l’année), où elle s’installa en novembre 1652, exclue de la cour par la seule volonté du roi de France…

Les largesses d’un mécène imprégné de culture et de valeurs patrimoniales…

Entièrement détruits lors d’un incendie survenu en 1752 et qui endommagea le bâtiment, les appartements de la Grande Mademoiselle et leur reconstitution sont l’œuvre de toute une existence. Celle de l’actuel propriétaire. Michel GUYOT, un personnage au charisme incroyable et qui œuvre depuis tant d’années, aux côtés de son frère, Jacques, pour redonner la vie à ces joyaux du patrimoine national.

Il aura fallu une simple rencontre fortuite avec l’une des clés de voûte d’un investisseur privé pour que naisse l’ambitieux et incroyable projet. Lors de ce contact initial qui ne fut pas imputable au pur hasard, Philippe RENOUX présidait encore la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire, dans l’Yonne.

Une entité solidement ancrée dans sa zone de prédilection territoriale. S’octroyant, de temps à autre, l’excellente opportunité de pouvoir insuffler un air nouveau par le prisme du mécénat lorsqu’il s’agit de valoriser les pépites de notre patrimoine.

Le château de Monte-Cristo, lieu de résidence de l’écrivain romanesque Alexandre DUMAS dans les Yvelines à Port-Marly, a pu, entre autre, bénéficier des largesses inhérentes à la générosité de ce groupe. Une décision qui fut validée unanimement par l’organigramme collégial de la structure mutualiste, à savoir son Conseil d’administration et la direction générale.

Comme ce fut le cas présentement dans l’Yonne. Après ce coup de cœur réservé à cet endroit cher à Jean d’ORMESSON, à la suite d’une visite privée qui fut organisée de fond en comble en avril 2018.   

Il est donc légitime de retrouver parmi les officiels de la cérémonie protocolaire de cette découpe de ruban, le président du Conseil d’administration Daniel COLLAY aux côtés du directeur général, Eric GELPE. Les deux dirigeants ont eu la courtoisie d’y associer également le successeur de Philippe RENOUX, le chef d’entreprise du monde agricole, Pascal MAUPOIS, nommé en 2018, à cet événement.

Pour que vive à jamais le souvenir de la Grande Mademoiselle à travers les années…

 


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L’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la prévoyance renforce son potentiel humain en ce milieu d’année 2019. Pour se faire, elle est en quête de différents profils sur l’ensemble de l’Hexagone. Dans l’Yonne, six agents salariés sont ainsi vivement recherchés. En parallèle, il y a aussi la possibilité pour des agents mandataires, c’est-à-dire des personnes bénéficiant d’un statut d’indépendants actifs, de faire carrière au sein du groupe. Là aussi, une demi-douzaine de postes est à pourvoir sur le département le plus septentrional de Bourgogne. Explications…

AUXERRE : Petite séance explicative dans les salons du Maxime à Auxerre. Là, aux côtés de Franck DOGIMONT, inspecteur manager commercial et responsable départemental de l’Aube, et de Grégoire JAKUBOWSKI, inspecteur conseil salarié du réseau AXA Epargne et Protection dans l’Yonne, quelques personnes écoutent avec grand intérêt une explication de texte suffisamment détaillée et fournie pour qu’ils en assimilent le moindre des enjeux.

AXA France Vie recherche des collaborateurs. Mais pas n’importe lesquels. Celles et ceux qui possèdent, outre les vertus commerciales requises, un sérieux sens du relationnel et des réseaux. Car, pour répondre aux critères de sélection correspondant à la fonction d’agent mandataire, il faut parmi les prétentions à posséder une sacrée dose de tout cela.

Présent sur toute la France, les agents mandataires représentent AXA auprès des clients. Ils sont au nombre de 1 400 à ce jour. Ils évoluent sur un marché à forte progression : celui de la protection sociale et patrimoniale.

« La dépendance s’intègre parmi les grandes priorités de demain, confie Franck DOGIMONT, ce marché est très porteur et permet d’envisager de réelles opportunités de développement… ».

Exerçant son activité dans un périmètre proche de chez lui, l’agent mandataire se constitue et dynamise son propre réseau qu’il met en relation avec les spécialistes de la compagnie d’assurance.

« Ces collaborateurs reçoivent une formation pratique et théorique dispensée par nos soins dans la région, ajoute Grégoire JAKUBOWSKI, cette activité est adaptée tout particulièrement pour celles et ceux qui souhaitent disposer de leur temps libre tout en consacrant deux journées minimum par semaine pour développer leur rémunération… ».

Précisément, celle-ci peut être attractive. Elle est constituée de commissions et de primes liées à la conquête de nouveaux clients. Sachant que la première année, le nouvel impétrant dans ce système collaboratif profite d’un accompagnement personnalisé.

 

   

 


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