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L’information devrait bientôt lui arriver aux oreilles sous une huitaine de jours. La ministre du Travail Muriel PENICAUD découvrira alors à distance, et avant pourquoi pas si elle en éprouve le désir un futur déplacement en terre icaunaise, les bienfaits déontologiques et pédagogiques de l’un des centres de formation les plus en pointe de l’Hexagone. Celui du CIFA d’Auxerre. Le tandem à la tête de l’établissement aux mille cents apprentis, le président Michel TONNELLIER et le directeur Marcel FONTBONNE, vient de bénéficier du salvateur coup de pouce du président de la Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication (CNAMS) Bernard STALTER. Conquis par ce qu’il a découvert lors de son immersion dans cet antre du savoir, celui-ci a décidé d’endosser le rôle vertueux d’ambassadeur de cette structure où l’excellence se vit et se respire au quotidien pour le plus grand bien des apprentis…

AUXERRE : Bluffé Bernard STALTER ? La réponse positive ne fait pas l’ombre d’un doute ! Et pourtant le président aux multiples casquettes (CNAMS pour Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et de fabrication, UNEC pour Union nationale de la Coiffure et APCMA pour Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat) a pour habitude de rendre des visites de courtoisie régulières à moult établissements répartis un peu partout à travers l’Hexagone.

Enchanté par ce qu’il a vu lors de sa matinée de découverte en terre icaunaise, l’homme fort de l’artisanat français s’est investi d’une nouvelle mission dont il a fait part publiquement à ses hôtes : devenir l’ambassadeur du CIFA de l’Yonne. Et ce en plus haut lieu, vers des strates insoupçonnables !

Prochainement, l’agenda plutôt chargé de l’entrepreneur alsacien à la tête de quatre salons de coiffure lui permettra dans le cadre des négociations liées à la réforme de l’apprentissage de croiser la route de la ministre du Travail, Muriel PENICAUD. « Croyez-moi, assure-t-il, je vais lui relayer ce que j’ai pu constater de visu en ces lieux car le CIFA de l’Yonne fait figure de précurseur en bon nombre de domaines…Il faut donc le faire savoir ! ».

 

Découverte des pôles névralgiques du centre de formation…

 

A commencer par cette appétence à la discipline retrouvée dont ont su cultiver avec élégance et maîtrise depuis plusieurs exercices les duettistes de cette belle maison du savoir : Michel TONNELLIER, son président, et Marcel FONTBONNE, le directeur expérimenté, jamais à court d’idées.

Le port de l’uniforme représente précisément l’un de ses traits de civisme et de respect envers autrui qui a ainsi trouvé grâce aux yeux de Bernard STALTER. Ce dernier était accompagné d’une délégation représentative de la filière artisanale de Bourgogne Franche-Comté, forte de dix-sept personnes.

Parmi celles-ci, on notait la présence de Christophe DESMEDT, président de la CNAMS BFC et président de l’U2P BFC, Jean-François LEMAITRE, président de la Chambre des métiers et de l’artisanat de l’Yonne, Emmanuel POYEN, président régional de la chambre des métiers, David MARTIN, délégué national de l’UNEC Dialogue Social ou encore Martine MICHEL, présidente de l’UNEC Yonne.

Accueillis par le président Michel TONNELLIER qui exposa dans une brève allocution les axes stratégiques du centre de formation icaunais, les visiteurs découvrirent plus en détail la physionomie actuelle de ce site éducatif opérationnel depuis 1975.

S’appuyant sur quelques slides explicites, Marcel FONTBONNE déroula ses arguments. Présentant tour à tour les pôles névralgiques des lieux avant que chacun ne les découvre in situ.

L’espace e-learning (il comprend seize postes spécifiques), le laboratoire de langues, le virtual store (le fameux Clic Store que toute la France des CFA nous envie !), les univers esthétiques de la boucherie et de la boulangerie, le salon Emotion, conçu en étroite osmose avec L’OREAL (une première nationale), le City Stade, le restaurant d’application « Com’des Chefs » qui mériterait un Bib gourmand, la création d’une chambre d’hôtel…autant de pièces à conviction fonctionnelles prouvant que la banalisation de l’excellence peut s’envisager à satiété et devenir le cheval de bataille de tout centre de formation vertueux !

 

Une statue qui résume la déontologie du site…

 

Devant une telle avalanche démonstrative d’un savoir-faire maîtrisé, comment ne pas s’enthousiasmer alors à la cause de cet apprentissage appréhendé sous ses meilleurs auspices ?

Même le statuaire placé dans l’enceinte principale de l’édifice, fruit de l’imaginaire créatif de Marcel FONTBONNE s’inspirant de l’œuvre atypique de GIACOMETTI (« L’apprenti qui avance croisant le jeune étudiant qui se cherche… ») est en ce sens révélateur de la philosophie qui est inculquée ici !

Une approche éducative qui a su faire ses preuves au fil des ans. Elle a subjugué une délégation régionale et un président national, peu enclins à oublier ce qu’ils ont découvert en si peu de temps…Gageons que tôt ou tard la ministre du Travail, en personne, vienne aussi s’en imprégner !


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Le milieu de l’apprentissage est en proie à une grande effervescence à l’amorce de ce mois de septembre. Surtout depuis la promulgation d’un texte de loi (05 septembre 2018) qui a visiblement embrouillé les pistes du pragmatisme en matière de formation. Notamment, au sujet du financement des CFA où les enjeux sont d’importance. D’autant que les régions vont être dessaisies de leur compétence au 01er janvier 2020. De passage à Auxerre, le président de la CNAMS (Confédération nationale de l’artisanat des métiers de service et fabrication) Bernard STALTER n’aura pas manqué de s’entretenir de cet item ô combien capital en marge de sa visite au centre de formation de l’apprentissage de l’Yonne, le CIFA, qui l’a accueilli ce mercredi en fin de matinée…

AUXERRE : Le postulat est simple. L’apprentissage se situe aujourd’hui à la croisée des chemins en France. Ignorée, voire le plus souvent galvaudée durant plusieurs décades par les pouvoirs publics, cette approche didactique fondamentale de la jeunesse en quête d’une intégration rapide dans la vie active retrouve enfin grâce aux yeux de la gouvernance de l’ère MACRON. Il était grandement temps, pourrait-on dire !

Et l’importante période, vécue par le prisme de sa réforme, n’apparaît nullement comme une mauvaise chose. Confirmation de ce positivisme par Bernard STALTER, double président de la CNAMS et de l’UNEC (Union nationale des entreprises de la coiffure). Ce dernier effectuait une courte escale ce mercredi dans l’Yonne en découvrant l’un des fleurons pédagogiques régional, le CIFA d’Auxerre.

« Cette réforme votée par le législateur, nous l’attendions déjà depuis vingt ans, concède sans ambages ce haut personnage de la filière artisanale, pensez donc : l’artisanat enregistre depuis une nette carence de ses capacités en matière d’attractivité et d’emplois. Surtout depuis une décision arbitraire prise il y a cinq ans par Bercy (le ministère de l’Economie et des Finances) qui a tout bonnement cessé de distribuer une manne financière essentielle à la filière s’élevant à l’époque à 550 millions d’euros. Le résultat ne s’est pas fait attendre : l’artisanat a enregistré une perte sèche de 20 % du nombre de ses apprentis dans les années qui ont suivies… ».

 

Un déficit de 700 000 emplois pour l’artisanat par manque d’apprentis…

 

Un constat au goût amer que le président de la CNAMS n’a semble-t-il toujours pas eu le loisir de digérer. Et pour cause : du fait de cette coupe sombre et irréfléchie dans son budget de fonctionnement, l’artisanat tente vainement de combler depuis un manque abyssal de 700 000 emplois !

Une équation aux multiples inconnus qui n’est pas prête d’être résolue d’autant que d’autres motifs d’inquiétude se sont rappelés au bon souvenir du président STALTER. Celui-ci assure mordicus qu’il se battra pied-à-pied pour obtenir gain de cause quant au financement du coût contrat.

« Je travaille à la mobilisation générale de l’ensemble des métiers de service que je représente pour que le nombre d’apprentis augmente dans des filières qui en manquent cruellement : les métiers de bouche, le bâtiment, la coiffure. Certes, il y a eu par le passé quelques ersatz de mesures distillées par l’Etat pour tenter de remédier à la situation (des aides destinées aux petites entreprises qui s’octroyaient les services d’apprentis âgés de moins de 18 ans) mais cela n’aura guère eu d’effets à terme... ».

Muni de multiples cartes de visite corporatistes (il a été élu en décembre 2016 président de l’ACPMA, c’est-à-dire l’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat), Bernard STALTER dispose de plusieurs atouts dans sa besace. Pour faire entendre sa voix, au sommet de l’Etat. En qualité de porte-parole légitime des différentes filières professionnelles dont il est un précieux ambassadeur.

 

 

Le digne successeur de Pierre MARTIN, figure emblématique de la vie économique bourguignonne (le Tonnerrois a été l’ancien président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne), ne s’en laisse pas conter en bon alsacien pugnace qu’il est face à la ministre du Travail Muriel PENICAUD. Voire lorsqu’il est reçu à Matignon par le Premier ministre Edouard PHILIPPE comme ce sera le cas d’ici une quinzaine de jours.

« L’inquiétude que nous éprouvons n’est pas d’ordre politique, précise-t-il, mais elle est de nature technique. Les ministres que nous rencontrons comprennent les difficultés qui sont les nôtres. Sur le financement de l’apprentissage, il est anormal que de grands groupes (certains issus du CAC 40 et qui redistribuent de forts dividendes) ouvrent des centres de formation en bénéficiant d’un coût contrat qui soit nettement supérieur au coût préfecture que nous avons tous, les CFA existants, aujourd’hui… ».

Et le président STALTER de se poser légitimement la question : est-ce que l’on veut octroyer davantage de moyens financiers aux grands groupes entrepreneuriaux en fragilisant de facto de petits CFA qui ont perdu des subsides par simple arbitrage budgétaire ?

 

La mobilisation des acteurs économiques contre la morosité…

 

« L’apprentissage ne peut pas être un facteur politique, ajoute le prolixe président, on ne peut pas avoir un conflit entre les régions et le gouvernement sur ce sujet. Ce mode d’enseignement correspond à une priorité pour l’emploi et les entreprises de l’Hexagone. N’oublions pas que nous avons 25 % des chefs d’entreprise de notre pays qui sont âgés de plus de 55 ans…Ce serait un véritable drame social si ces entreprises ne se reprenaient pas lors d’une cession d’activité, faute de candidats qualifiés... ».

85 % des jeunes qui passent par l’apprentissage trouvent un emploi à l’issue de leur cursus. 50 % des chefs d’entreprise de notre territoire national viennent de l’apprentissage. Bernard STALTER entend bien resservir ces données statistiques majeures à ses interlocuteurs ministériels lors de ces futurs entretiens.

Reste que le sémillant personnage à la moustache abondamment fournie pousse ses réflexions intellectuelles encore plus loin. Il en appelle à la mobilisation générale contre la morosité ambiante qui grève ce pays. Et surtout à l’aide des médias !

« Supprimez toutes les pages de faits divers qui garnissent à longueur d’édition la presse et mettez plutôt en valeur le vécu de cette jeunesse qui est en réussite sociale et professionnelle grâce à l’apprentissage ! Communiquez sur la valeur travail que nous devons répandre autour de nous ! L’avenir de notre pays passe par cette valeur travail et non pas par des histoires sordides et cruelles qui n’intéressent personne… ».

Curieuse invitation faite à la presse, en vérité. Mais, la démarche pour le moins insolite traduit l’optimisme et l’envie de changer la donne de notre société d’un président dévoué avec passion à sa mission.

« Croyez-moi, conclut-il, on peut vivre heureux en France. Si tous les acteurs économiques et institutionnels collaborent ensemble à l’amélioration de notre pays, chacun y trouverait son compte… ».

Et sans doute en premier lieu, la jeunesse en quête d’un avenir meilleur et les apprentis, visiblement…


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De nouvelles installations prenant la forme de moyens supplémentaires pour capter la force du vent et sublimer le rayonnement du soleil en le transformant en énergie sont déjà au programme des futurs aménagements envisagés par EDF sur le site de Massangis. Celui-ci constitue déjà l’un des parcs solaires les plus puissants de France…

MASSANGIS: Opérationnelle depuis 2012, la centrale solaire implantée sur cette commune de la partie orientale de l’Yonne devrait connaître de nouvelles évolutions à brève échéance.  

Des projets novateurs y verront le jour selon la volonté de l’exploitant du site, le groupe EDF. Notamment l’installation de moyens supplémentaires pour y puiser l’énergie émise par le rayonnement de l’astre diurne mais aussi pour y capter la force du vent.

Ces futures constructions dont la date n’a pas encore été définie avec exactitude compléteraient l’œuvre de transition énergétique déjà amorcée sur cette zone géographique.

Elles contribueraient ainsi à renforcer l’ambition du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté au niveau de la transition énergétique. L’instance exécutive envisage d’être répertoriée en qualité de territoire à énergie positive à l’horizon 2020.

Rappelons que le producteur-fournisseur EDF conçoit déjà au niveau national une électricité à 95 % « décarbonée ». En Bourgogne Franche-Comté, cette production s’élève même à 100 % d’énergie renouvelable.

L’une des plus puissantes centrales de l’Hexagone…

Quant à la centrale de Massangis, composée de 700 rangées de panneaux photovoltaïques répartis sur 140 hectares de terrain, elle est l’une des plus puissantes de France. Sa capacité énergétique s’élève à 56 000 MgW, soit l’alimentation d’un équivalent de 26 000 habitants.

Substituer les énergies fossiles par le développement de l’énergie dite « décarbonisée » est devenu le cheval de bataille pour le producteur d’énergie hexagonal. Question de réalisme du fait que ces dernières produisent l’essentiel des gaz à effet de serre…

L’annonce de ces futurs aménagements qui concerne le site icaunais a été faite par Yves CHEVILLON, délégué régional EDF Bourgogne Franche-Comté. Elle représente une belle opportunité selon Xavier COURTOIS, maire de Massangis et conseiller départemental de l’Yonne.

Ce dernier a en effet toujours été favorable à l’accueil de ce parc solaire sur sa commune de prédilection. Un projet environnemental, viable et porteur d’emplois qui génère de l’énergie propre : ce n’est pas une gageure...

 

 

 


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Les ouvrages industriels intéressent-ils les fervents adeptes d’un tourisme insolite dans l’Hexagone ? Sans ambages, la réponse est positive ! Pour s’en convaincre, un chiffre est à retenir. En 2018, ce sont en effet plus de 350 000 personnes qui ont ainsi découvert avec appétence les sites du producteur et fournisseur d’électricité EDF. L’ouverture d’un premier circuit conçu autour des énergies renouvelables en Bourgogne Franche-Comté (entre Crescent et Massangis dans Yonne) est révélatrice de la volonté pédagogique actuelle qui sied si bien à la stratégie de ce groupe. Explication de texte fournie par le délégué régional EDF : Yves CHEVILLON…

Dijon (Côte d’Or) : Opérationnel depuis la mi-juin, le premier circuit EDF des énergies renouvelables en Bourgogne Franche-Comté éclaire le grand public sur les modes de fabrication de l’électricité. Production hydraulique avec le barrage de Crescent ou alimentation issue de la centrale solaire de Massangis livre ainsi leurs secrets les plus intimes. D’ordinaire, ils étaient bien gardés !

Oui mais voilà, les temps changent dans ce secteur industriel. Et aujourd’hui, la promotion de l’électricité « décarbonée » s’inscrit parmi les exigences prioritaires en termes de communication. Voire de sensibilisation la plus large possible.

Pour promouvoir auprès de nos concitoyens, rien de tel que de démontrer ! C’est l’adage dans lequel s’est engouffrée bille en tête la direction régionale d’EDF. Et ce, depuis pas mal de temps déjà.

Le fournisseur d’énergie est désormais la seconde entreprise la plus visitée de France. Les Journées de l’industrie électrique, dont la neuvième édition a été organisée les 15 et 16 juin, l’ont attesté. Les Français veulent en savoir plus, voire toujours plus, sur la fée électricité et ses sources.

Pas étonnant que le groupe ait eu envie de proposer une offre « touristique » originale dans l’Yonne. Ce département dispose de deux sites exceptionnels où se produisent l’énergie renouvelable de manière complémentaire selon Yves CHEVILLON, délégué régional EDF Bourgogne Franche-Comté.

« Ces moyens de production doivent s’adosser à d’autres modes productifs afin d’être disponibles à tout moment et dans la quantité requise. Le nucléaire et l’hydraulique de barrage qui permet de stocker l’eau (par ricochet de l’électricité) assurent de manière continuelle l’équilibre entre l’offre et la demande sur l’ensemble du territoire national. Tous ces moyens ne s’opposent pas les uns aux autres. Ils sont complémentaires… ».

 

 

Contribuer à l’attractivité touristique locale : nouvelle mission d’EDF ?

Dans l’absolu, on pourrait être très surpris de la démarche actuelle mais celle-ci obtient déjà des résultats tangibles auprès du public.

« Les ouvrages industriels passionnent les Français, observe le délégué régional du groupe, montrer les différentes sources énergétiques sur un même territoire, c’est aussi illustrer la diversité de ses ressources, de ces atouts. Mais, cela prouve aussi notre dynamisme car un tel circuit correspond à une initiative parmi d’autres… ».

EDF est ouverte à une collaboration étroite avec les acteurs départementaux et locaux du tourisme et de l’environnement. La promotion de ce circuit en dépend.

Une autre raison qui explique le bien-fondé de cette offre si atypique puise ses explications dans la pédagogie. Celle à destination des scolaires.

« Nous espérons que ce circuit suscitera des vocations auprès des jeunes filles et garçons, argumente Yves CHEVILLON, pour qu’ils s’engagent dans ces métiers d’avenir liés au développement des énergies renouvelables… ».

Une première en France à Montbard avec une formation spécifique…

Proposé en priorité aux collégiens et lycéens, le concept traduit l’expertise et la variété des métiers de la  filière énergétique. Car, pour Yves CHEVILLON, l’avenir se prépare ici, au contact des jeunes générations.

« La palette de nos métiers est large : techniciens d’installation, d’exploitation, de maintenance, mais aussi développeurs de projets, ingénieurs, chercheurs,…nos besoins sont croissants ! ».

Motiver les jeunes pousses est une chose ; les former en est une autre.

« Dès la rentrée, ajoute Yves CHEVILLON, la Région avec l’Académie et EDF proposeront au lycée Eugène Guillaume de Montbard une formation de technicien de conduite et de maintenance de centrale solaire. Ce sera la première du genre en France… ».

Plus qu’une simple transmission de savoirs, EDF souhaite apporter sa pierre à l’édifice en préparant les consciences, par le prisme de ce tourisme novateur et de l’éducation, aux opportunités qui se profilent à nous à brève échéance dans le cadre de cette révolution énergétique…

 


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La foudre s’est abattue sur la cité septentrionale de l’Yonne le 02 août dernier. Un coup de tonnerre si retentissant qu’il en a fait les choux gras de la presse nationale en quête d’informations croustillantes sur les états d’âme et les atermoiements des élus de la Nation en cette période propice au farniente. En confirmant le maintien de sa candidature aux échéances municipales du printemps 2020 à Sens, sans être adoubée par son parti, la parlementaire de l’Yonne complexifie la stratégie du mouvement présidentiel au plan local dont elle était jusque-là l’une des représentantes légitimes…   

SENS : La Commission nationale d’investiture de La République en Marche (LREM) a donc rendu son verdict impitoyable de la manière la plus catégorique et définitive qu’il soit. Une décision nette et sans bavure au cœur d’un été caniculaire. Une bouffée de chaleur qui a provoqué la surprise et l’ire de la représentante légitime du mouvement présidentiel, Michèle CROUZET.

D’autant que cette dernière avait déjà fait état de sa candidature officielle il y a plusieurs semaines. L’investiture du parti dont elle défend les couleurs sur les bancs de l’Assemblée nationale ne devrait être qu’une simple formalité pour l’élue icaunaise.

Or, la députée de la troisième circonscription ne s’attendait certainement pas à subir un tel revers. Pire qu’un camouflet, c’est une véritable claque qui s’est imprimée de manière symbolique sur le visage de la jeune femme. Toutefois, la députée du Sénonais n’a pas dit son dernier mot.  

Elle a choisi de poursuivre son engagement personnel pour ces prochaines municipales, maintenant ainsi sa candidature. Mais, hors de la République en Marche dont les instances départementales lui ont demandé de démissionner prestement. Ce qu’elle a fait.

Dans quel groupe siègera-t-elle à l’Assemblée nationale ?

L’élue s’était engagée en paraphant une charte de déontologie à respecter les clauses spécifiques de cette dernière selon les orientations et les choix de la commission nationale. Se refusant à reconnaître la candidate officiellement investie par le parti d’Emmanuel MACRON, Claude VIVIER LE GOT, ancienne colistière de Marie-Louise FORT en 2008 et candidate du Parti Radical en 2014.

Michèle CROUZET a préféré anticiper son départ en faisant montre de discernement en quittant le navire. Et surtout reprendre très vite sa liberté d’agir et de penser.

Parlementaire jusqu’aux prochaines législatives de mars 2020, une question se pose toutefois sur le cas de Michèle CROUZET. Au sein de quel groupe siègera-t-elle au Palais Bourbon dès le terme des vacances ?

La candidate aux municipales de Sens ne s’est pas encore prononcée même si plusieurs hypothèses peuvent se présenter à elle. Elle profite encore du répit estival, propre à la réflexion. Avant de faire connaître ses choix au moment le plus opportun : c’est-à-dire celui de la rentrée en septembre…


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