Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est une démarche solidaire en tout premier lieu. D’une part, vis-à-vis des personnels soignants. Celles et ceux de nos concitoyens qui luttent avec opiniâtreté et pragmatisme contre le coronavirus sans répit. Mais, c’est aussi un geste altruiste en direction de l’ensemble des abonnés annuels. La gratuité des TER et des cars interurbains entrent désormais en vigueur en Bourgogne Franche-Comté…

DIJON : Alors que la SNCF et la Région pourraient être amenées à réduire à sa portion congrue le plan de transport ferroviaire dans les jours qui suivent, l’institution régionale vient d’adopter la gratuité des TER et des cars interurbains pour les professionnels de santé.

La présidente de l’exécutif, Marie-Guite DUFAY, souhaite ainsi faciliter les moyens de déplacement de ces personnes en guerre ouverte contre la pathologie virale qui s’abat à l’heure actuelle sur notre territoire.

Il suffit pour les personnes concernées de présenter un document justifiant leur fonction pour pouvoir bénéficier de cette mesure salvatrice. Par ailleurs, un service minimum de transport est assuré pour les personnes devant poursuivre leur activité professionnelle.

 

 

 

 

Quant à la suspension des prélèvements pour tous les abonnés TER annuels, elle est effective à compter de ce mercredi 25 mars. Et ce jusqu’au terme du confinement. Mandatée, la SNCF assure la mise en œuvre de cette décision.

Côté chiffres, précisons que les trains TER circulent actuellement au ralenti sur les lignes de Bourgogne Franche-Comté.

Loin des 60 000 voyageurs quotidiens habituels, leur nombre est estimé aujourd’hui à un millier de personnes, soit 1,5 % de la fréquentation à la normale.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les nouvelles mesures prises par la société anonyme à capitaux publics ne sont pas figées dans le temps. Bien au contraire, elles s’ajusteront au fil des jours, compte tenu du contexte sanitaire vécu sur l’ensemble du territoire. C’est surtout la distribution du courrier, celle des colis et la continuité de certains services qui seront principalement impactées par ces décisions ayant pour but de protéger la santé des personnels…

DIJON : Pas facile de chambouler un mode opératoire plutôt bien huilé d’ordinaire. Surtout quand l’entreprise se nomme La POSTE. Et qu’elle gère au quotidien 17 000 points de contact. Ceux-ci reçoivent par ailleurs 1,3 million de clients.

Il aura suffi de la propagation insolente d’un virus à la taille microscopique pour constituer le grain de sable imprévu venant gripper les rouages de cette belle mécanique.

Mais, faisant fi de ces considérations événementielles complexes, les dirigeants de l’entreprise ont su réagir à chaud en déployant leur plan de bataille. Il se calque au plus près de ses missions essentielles, dans le respect bienveillant de  la protection sanitaire de ses collaborateurs. Une adaptabilité qui a été définie en concertation avec les autorités de référence de la santé, la médecine du travail et les organisations syndicales.

Ainsi, le temps de travail de chaque agent courrier/colis sera progressivement réduit sans qu’il n’y ait la moindre conséquence financière sur la paie. Dès lundi 30 mars, le nouvel emploi du temps sera applicable sur la base de trois jours de travail hebdomadaire.

La réduction du nombre de personnes présentes sera maintenue selon le principe de ne jamais avoir plus de 50 % des effectifs habituels en même temps sur un site. Naturellement, La POSTE s’engage à respecter, en y mettant les formes et les moyens, les mesures de protection et de distanciation actuelles.

Toutefois, certains services de proximité demeurent fonctionnels à l’instar du portage de repas aux seniors, celui de médicaments, de produits sanitaires nécessaires aux personnels soignants.

Si les services essentiels restent sur un mode opératoire, La POSTE demande néanmoins à ses clients de concentrer leurs commandes et leurs envois sur ce qui leur est strictement nécessaire.

 

 

 

 

Mille six cents bureaux encore ouverts dans la région...

 

Afin de limiter le plus possible l’exposition de ses agents au public, l’entreprise a fait le choix de concentrer son activité sur une cible de mille six cents sites encore ouverts. Au plan organisationnel,  chaque bureau est adapté localement avec des systèmes de rotation des équipes, un jour sur deux.

Ce qui entraîne de facto une réduction de la présence des agents au travail avec un temps partiel qui sera sans impact sur leur rémunération.

Parmi les services essentiels qui seront priorisés dans ces points d’accueil : citons le retrait d’espèces au guichet et automates, le dépôt d’espèces sur automates, les dépôts de chèques, la remise de fonds commandés par la Direction générale des Finances Publiques. D’autres services pourront faire l’objet d’une extension, si cela s’avère possible, bureau par bureau.

La POSTE rappelle enfin à sa clientèle que les déplacements en bureaux ne doivent être faits que s’ils sont strictement nécessaires. Il existe de multiples moyens de réaliser ses opérations à distance, par téléphone ou via les sites et applications numériques propres à l’établissement et à la Banque Postale.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Certes, le secteur des travaux publics et du bâtiment continuera après accord avec les ministères concernés à assurer le déroulement des chantiers dans le cadre du service public. Mais, pas à n’importe quel prix ! Faisant état, il y a quelques jours, de sa colère et de sa stupéfaction, le président régional de la Fédération des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, réclamait davantage de protection pour les salariés…

DIJON : Irrecevable ! Inconcevable ! Voire irrespirable, aussi, ce souffle de tension qui a éclaté au grand jour le 19 mars dernier, face à l’envolée de boutique des principaux acteurs de la filière du BTP.

Alors que le président de la République demandait instamment à la population de rester confinée chez elle afin de juguler tant bien que mal les effets dévastateurs de la pandémie de ce coronavirus ; dans le même temps, les ministères ayant un attrait direct à la chose économique intimaient l’ordre à celles et à ceux de nos concitoyens pouvant se rendre sur leur lieu de travail de le faire coûte que coûte.

En ligne de mire : le secteur des travaux publics et du bâtiment était l’un des premiers concernés. Car, évidemment, le télétravail ne pouvant s’adapter qu’à de rares exceptions à cette corporation.

Dans un communiqué de presse qu’il devait rendre public le 19 mars, le président de la FRTP (Fédération régionale des travaux publics), Vincent MARTIN s’insurgeait vertement contre ce double langage peu académique.

« Les chefs d’entreprises sont responsables et veulent assurer la protection des salariés et de leurs familles, et participer ainsi à la mobilisation collective pour enrayer la pandémie... ».

Bref, une position mettant en exergue la prise de conscience solidaire des entrepreneurs face aux risques encourus par leurs salariés.

Se refusant de mettre en danger leur personnel, le porte-flambeau de la FRTP demandait au gouvernement, à l’instar des responsables nationaux et régionaux d’autres fédérations professionnelles comme la CAPEB et la FFB, de suspendre les chantiers immédiatement et ce, pour une durée initiale de quinze jours. L’initiative pouvant être étendue à un mois au minimum…

 

 

 

De nouvelles dispositions seront détaillées dans les prochains jours…

 

Au terme d’échanges soutenus ces jours-ci, les représentants des entreprises du BTP et du gouvernement devaient trouver un terrain d’entente, s’accordant sur plusieurs principes permettant de renforcer, dans les prochains jours, la continuité de l’activité du secteur et la poursuite des chantiers.

Différentes mesures devraient être détaillées dès cette semaine pour accompagner les professionnels du secteur.

Dans le cas des chantiers de travaux publics, comme par exemple les infrastructures de transport ou les travaux de voirie, les grands maîtres d’ouvrage au niveau national et les préfets au niveau local coordonneront et prioriseront les chantiers à poursuivre ou à relancer.

Dans le cas des chantiers très complexes, un délai pourra être nécessaire afin de définir des procédures à adaptées. De même, une attention particulière sera portée pour les chantiers au domicile des particuliers. Surtout lorsque ces derniers sont présents, ce qui est majoritairement le cas en cette période de confinement.

Santé et sécurité deviennent donc les mots d’ordre prioritaires à respecter désormais pour les intervenants de ce secteur. Les dispositions mises en place d’ici peu avec l’assentiment du gouvernement seront-elles suffisantes pour apaiser la colère des fédérations professionnelles et rassurer leurs salariés ?

 

                                                                                                                                                                                                     


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Enfin du positif dans cette actualité glauque et sinistre à souhait ! Vendredi soir, vingtième jour de ce mois de mars, correspondait normalement à la tenue du sacro-saint rendez-vous festif proposé depuis deux saisons par la Jeune Chambre Economique d’Auxerre,  « Le 20 du mois ». Faute de retrouvailles physiques, c’est sous la forme d’un « apéro-visioconférence », concocté à l’échelle régionale, que les membres de l’association et leurs sympathisants se sont retrouvés…

AUXERRE: Préserver la vie sociale. Facile à dire, plus complexe à mettre en adéquation avec la réalité si particulière de notre quotidien depuis une semaine. Pourtant, l’initiative de la Jeune Chambre Economique est à saluer pour sa pertinence. Elle a démontré que malgré le confinement, il était encore possible d’entretenir des liens de proximité avec autrui. Via le miracle des nouvelles technologies !

Voire même de réduire les barrières territoriales qui existent d’ordinaire entre les membres des différentes villes. C’est donc à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté que s’est tenue vendredi soir le premier apéro-visioconférence, jamais réalisé à ce jour.

A défaut de se retrouver en agréable compagnie dans un lieu de vie qui change à chaque fois, les adhérents de la JCE de la région ont continué de valoriser les produits du terroir devant les écrans de leur ordinateur.

Respectueux de leur adage, « incubateur de leaders citoyens », les bénévoles de la JCE démontrent ainsi que l’on peut continuer à vivre, à agir et à être innovant malgré le confinement actuel.

Parallèlement, les différents groupes de travail poursuivent leurs activités. Uniquement à l’aide de la technologie numérique, il va de soi. L’objectif étant de faire avancer les différents projets portés par les bénévoles.

 

Un copieux programme se précise à l’horizon…

 

Ainsi, la convention régionale qui devait se dérouler mi-avril à Besançon est maintenue. Mais, pas de manière physique. La JCE se prépare à son organisation via des plateformes numériques en visioconférences qui ne sont pas incompatibles aux échanges et à la formation des membres.

Ceux-ci profitent du temps libre laissé par le confinement pour fourbir les armes du retour en grâce sur le devant de la scène. Plusieurs actions sont à l’étude à l’heure actuelle. Certaines pourraient même se concrétiser durant cette période de repos forcé.

Quant à la reprise des activités, elle se prépare avec sérieux parmi les adhérents. Si le 20 avril prochain (à condition que le confinement s’assouplisse et le permette réellement) est déjà à biffer sur les agendas, avec « Tous les vingt du mois » ; d’autres rendez-vous se précisent à plus ou moins longue échéance dans la capitale de l’Yonne.

On notera par exemple la seconde édition de « Sun Quais » qui aura lieu le week-end des 04 et 05 juillet au Parc Roscoff avec des olympiades par équipe autour de thématiques sur le handicap et le développement durable.

S’en suivra l’organisation du « World Clean Up Day », la fameuse journée internationale réservée au nettoyage de la planète. Il s’agira de la troisième édition. Elle sera proposée le 19 septembre.

A cette occasion, la mise en place de l’animation « Ramène ton sac », qui vise à réduire les déchets en encourageant les consommateurs à faire leurs courses avec leurs propres sacs, sera officialisée.

Dans le même laps de temps, la réflexion de mise en place d’une signalétique piétonne dans le centre-ville d’Auxerre se poursuivra afin de favoriser les déplacements pédestres.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans une ambiance étrange et quasi surréaliste puisque seuls trois députés par groupe étaient autorisés à siéger physiquement au Palais Bourbon, les travaux de l’Assemblée nationale se sont déroulés en cette matinée du jeudi 18 mars. L’occasion nous a été donnée de faire le point sur les mesures économiques d’urgence adoptées par les parlementaires avec le député de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, qui a voté par procuration du fait de son absence de l’hémicycle…

 

PARIS: Comment s’est tenue cette séance de travail ?

 

Nous nous sommes organisés pour travailler en nous coordonnant, par téléphone, par courriel, de la manière la plus efficacement possible. Les votes peuvent aussi s’effectuer par procuration. Ce qui a été le cas aujourd'hui...

 

Allez-vous opter en faveur des mesures de soutien économique proposées par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances rectificatives ?

 

Je ne peux que les approuver. Le choc sanitaire du coronavirus est aussi un choc économique qui implique des prévisions de croissance négative : avec une récession d’au moins – 1 % du Produit Intérieur Brut en 2020 contre une croissance de + 1,3 % prévue initialement.

Cela va entraîner de fait une augmentation du déficit public (- 3,9 % du PIB en 2020 contre – 2,2 %) et une perte de recettes fiscales d’au moins 10 milliards d’euros.

Tous les secteurs économiques, toutes les entreprises, toutes les activités sont touchées. Certains plus durement encore en raison de leur nature, à l’exemple du tourisme, de l’évènementiel. D’autres, du fait de la concentration de leur chiffre d’affaires sur la période correspondant au confinement (activité saisonnière, horticulture) vont perdre beaucoup.

 

Justement, ce contexte impose de créer de nouvelles aides en urgence pour éviter les faillites en cascade et des pertes de revenus extrêmement préjudiciables pour de nombreuses entreprises et de nombreux salariés. Quelles seront-elles ?

 

Le gouvernement a proposé un plan de 45 milliards d’euros pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie. 35 milliards d’euros correspondent à des mesures de soutien à la trésorerie des entreprises (report de 8,5 milliards d’euros de charges dues au 15 mars et de 13 milliards d’euros pour les charges dues au 05 avril).

Deux milliards d’euros seront consacrés à la prise en charge des arrêts maladie, à l’achat de masques et à la rémunération des personnels soignants. En outre, un fonds de solidarité d’un milliard d’euros sera dédié aux petites entreprises. Enfin, 5,5 milliards d’euros seront réservés à l’indemnisation du chômage partiel, dans la limite de 4,5 SMIC.

S’y ajoute la mise en place d’une garantie exceptionnelle et inédite de l’Etat, dans la limite de trois cents milliards d’euros pour tous les nouveaux prêts octroyés par des établissements de crédits entre le 01er mars et le 31 décembre 2020 à des entreprises immatriculées en France. Cette garantie des emprunts sera gérée par BPI France.

Ce dispositif doit nous permettre de maintenir ouvert le canal du crédit aux entreprises pour les accompagner dans la gestion du choc qu’elles subissent, et les maintenir dans des conditions suffisamment bonnes pour qu’elles puissent rebondir une fois le choc passé sans licencier ou réduire leurs activités.

 

Vous avez signé les amendements préparés par votre collègue, Eric WOERTH, président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale. A quoi se rapportent-ils ?

 

Ils concernent les points suivants : l’ouverture de ce nouveau Fonds de solidarité pour les entreprises à toutes celles qui ont perdu, en mars 2020, au moins 50 % de leur chiffre d’affaires ; à la mise en place d’un crédit d’impôt de type « PTZ coronavirus », en complément de la garantie bancaire pour alléger au maximum les charges d’intérêts qui pèsent sur les entreprises ; à créer un nouveau régime exceptionnel inspiré du régime des catastrophes naturelles mais pour les catastrophes sanitaires du type de celle que nous connaissons actuellement, ce qui entraînerait la création d’un fonds exceptionnel dédié, financé par une imposition et des dotations de l’Etat (ce fonds permettrait d’assurer une indemnisation en complément du jeu de la garantie assurantielle des pertes d’exploitation ; de créer un crédit d’impôt au profit des bailleurs de locaux professionnels, sur qui va peser la charge financière du report du paiement des loyers prévus dans le cadre de l’habilitation prévue par le projet de loi d’urgence pour faire face à l’épidémie de COVID 19 et en dernier lieu, envisager l’extension du dispositif d’activité partielle aux personnels contractuels de la fonction publique territoriale.

 

Par quels biais, les entreprises de l’Yonne peuvent-elles se faire connaître pour bénéficier de ces aides ?

Sachant que la mise en œuvre de ces mesures doit intervenir sur le terrain le plus rapidement possible, les entreprises de notre département qui désirent être accompagnées dans leurs démarches peuvent se rapprocher de la DIRECCTE, soit par courriel (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et par téléphone, au 03.86.76.29.38.

 

Existe-t-il d’autres mesures ?

Parallèlement, le Sénat examine aujourd’hui l’autre texte de loi d’urgence qui concerne notamment les questions d’organisation des collectivités territoriales. Il sera examiné vendredi à l’Assemblée…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil