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Depuis 1992, chaque année au soir du 24 décembre, l’association des Lumières de DRUYES célèbre à sa manière l’avènement de la Nativité, profitant des effets de miroir et des reflets dans l’eau, d’une multitude de bougies qui illuminent de façon insolite un cadre naturel d’exception. Cette vingt-cinquième édition des « Lumières de Noël » ne dérogera pas à la règle et au respect de cette tradition devenue l’incomparable distinction identitaire d’un petit village de l’Yonne qui renoue, entre féérie et poésie, avec la magie authentique de cette fête inoubliable…

DRUYES LES BELLES FONTAINES : Qui se souvient du premier allumage de cette désormais traditionnelle manifestation fleurant bon l’authenticité et les mystères des veillées d’antan ? En 1992, il n’était alors question que d’une trentaine de bougies fichées dans de petits pots de confiture disposés au gré des appétences de chacun dans les rues de la bourgade.

Unique, le spectacle se vit avec un regard d’enfant…

Un quart de siècle plus tard, les choses ont bien changé à l’évocation de la fête de Noël. Sous l’impulsion des membres de l’association des Lumières de DRUYES et de leur volonté farouche de créer un événement quasi incontournable dans le département. Ce sont aujourd’hui plus de 600 bougies multicolores qui constituent l’ossature magnifique et ô combien originale de ce moment de communion partagée entre les habitants de la localité. Mais aussi, avec les nombreux suiveurs qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous presque magique, digne d’un rituel de temps séculaires et immémoriaux.

Déposées à la surface limpide de la retenue d’eau où prennent vie les sources de la DRUYES, dérivant au gré d’un léger zéphyr ou poussées par le courant en s’éloignant de la rive vers la pénombre insondable de la nuit environnante, ces petites lucioles colorées virevoltent tranquilles, accompagnées de belles chansons de Noël anciens. Le spectacle est unique. Et plonge l’observateur adulte vers les réminiscences profondes de sa mémoire d’enfant. Avec un parfum de nostalgie qui le nimbe et ce plaisir d’être là qui, avec la contemplation manifeste de toute cette beauté lumineuse, inonde son âme…

Cette année, la mise à l'eau des premières bougies sera accompagnée par un groupe de folk dirigé par Dominique ROBERT, une figure reconnue dans le sérail artistique.

Musiques sacrées et profanes se mêlent à l’unisson à la fête…

Auparavant, et ce dès 17 heures, un concert proposé dans l’église Saint-Romain, récemment rénovée, mettra en scène une harpiste talentueuse : Anne OROZCO. Dans ce décor surréaliste, éclairée à la chandelle, la musicienne interprètera sur son instrument aux origines ibériques des pièces musicales issues du répertoire des XIIème, XIIIème et XVIème siècles. Des textes de ces lointaines époques seront lus par le lecteur-auteur Jean-Raphaël PRIETO. Le récital se conclura par des extraits emplis de lyrisme, couvrant le XIXème siècle…

Cinquante minutes après ces copieuses réjouissances musicales ouvertes à tous les mélomanes, les traditionnels breuvages de l’hiver (chocolat et vin chauds) se dégusteront aux abords du plan d’eau, agrémentés de ces airs du folklore local joués par la formation de Dominique ROBERT.

Les fameuses illuminations sur le lac graveront ces instants de plénitude absolue dans le temps et l’espace, avant un retour à l'église pour y assister à une célébration œcuménique, à partir de 19 heures, conduite par les ministres des cultes catholiques, protestants et orthodoxes.

Certes, ce Noël 2017 ne sera pas blanc en termes de conditions météorologiques cette année encore. Mais, grâce à l’association des Amis des Lumières de DRUYES et son sens traditionnel de l’évènement, il illuminera longtemps les souvenirs et les cœurs de celles et ceux qui y participeront…


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La signature officialisant l’achat d’une nouvelle plieuse MBO M80 a été rendue publique par Damien FOULON, président directeur général de la coopérative. La société d’impression de Sens sera dotée au printemps de cette imposante machine ayant nécessité un investissement de plus de 200 000 euros. Mieux adapté au développement actuel du marché de l’impression, cet appareillage remplacera l’existant. Permettant ainsi à l’entreprise de l’Yonne de gagner en performance et en fluidité sur les postes de travail tout en optimisant ses opportunités professionnelles au niveau de ses parts de marchés…

SENS : L’entreprise de l’Yonne patientera jusqu’aux premiers jours du printemps pour bénéficier de sa nouvelle acquisition qui sera installée sur son site de production de Sens. Considérée comme la machine la plus performante du moment sur le segment du pliage, la plieuse M 80, produite par l’industriel d’Outre Rhin, MBO (MASCHINENBAU BINDER OPENWEILER), représente la nouvelle génération de ces auxiliaires mécanisés et automatisés indispensables à l’optimisation des entreprises évoluant sur le secteur de l’imprimerie.

De 10 à 15 % de possibilités supplémentaires avec la M 80…

A forte valeur ajoutée, cette machine renouvellera l’offre existante en y apportant son lot de modernisme et de rendement supérieur, voulu par la direction actuelle de la société icaunaise.

Chargé d’affaires de l’enseigne germanique pour la France, Franck HAMELIN ne tarit pas d’éloges sur la qualité intrinsèque de cet appareillage qui sert à plier des feuilles de papier en cahier de 16 à 32 pages.

« Les capacités de cette plieuse sont exceptionnelles, de 10 à 15 % de plus-value par rapport au modèle antérieur, explique-t-il, en outre, elle profite d’une programmation numérique lui donnant une parfaite autonomie dans son approche fonctionnelle. Quant à la qualité du pliage, il est nettement plus précis…».

Augmentant la vitesse de certaines opérations (un traitement de 275 mètres de papier à la minute), cette plieuse M80 à poches servant pour l’activité labeur constituera un indéniable atout pour CHEVILLON. Elle remplacera la précédente machine qui datait de 2001.

60 % de la vente des plieuses en France proviennent de MBO…

Conçue dans l’unité de production au Portugal, la M 80 passera par l’Allemagne à Openweiler près de Stuttgart afin d’y être assemblée. Elle rejoindra la Bourgogne septentrionale quelques semaines plus tard.

Partenaire de l’imprimerie CHEVILLON depuis 1990, MBO emploie plus de 400 collaborateurs à l’échelle internationale tandis que ses produits se distribuent dans quatre-vingts pays de la planète.

La société aux 60 millions d’euros annuels dispose de plusieurs filiales d’ingénierie basées aux Etats-Unis et en Chine ; sa filiale française pèse 5 millions d’euros de chiffre d’affaires. Onze personnes y apportent leur savoir-faire depuis le siège social localisé à Guyancourt dans les Yvelines. En parallèle, l’industriel est également positionné sur le marché des plieuses destinées aux secteurs pharmaceutiques et cosmétiques.


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Accusant un léger différentiel de 2,57 % à l’issue du premier tour de ces échéances électorales partielles face au favori divers droite Mahfoud AOMAR (33,80 % pour 360 voix), l’élue UDI de Saint-Sauveur en Puisaye et présidente de l’association des Maires ruraux de l’Yonne a su combler son retard au terme d’un second tour à suspense, s’octroyant 36,62 % des suffrages, soit 390 voix, en bénéficiant d’un excellent report de voix. Et aussi du recul inattendu de la candidate des Républicains, Aurélie BERGER (20,75 % pour 221 voix), qui échoue dans sa tentative en terminant sur la troisième marche d’un scrutin âprement disputé. Mille cent grands électeurs avaient été appelés aux urnes en ce dimanche 17 décembre qui propulse une élue centriste au Sénat…

AUXERRE : Battue lors des précédentes Sénatoriales de 2014, Dominique VERIEN a enfin obtenu sa revanche sur l’adversité. Pugnace, la conseillère régionale de l’Yonne, maire de Saint-Sauveur en Puisaye et active défenseuse des intérêts des édiles des communes rurales du territoire de l’Yonne n’aura donc jamais abdiqué dans sa quête pour accrocher ce fauteuil dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg qu’elle briguait avec beaucoup de volonté il y a déjà quatre ans.

Agée de 52 ans, l’élue de Puisaye peut donc s’enorgueillir d’avoir réussi son pari de succéder, forte de ses 390 voix, à Henri de RAINCOURT qui avait pris soin de démissionner le 30 septembre dernier afin de respecter la législation en vigueur sur le non-cumul des mandats.

Bien calée entre ses deux adversaires directs à l’issue du premier tour, et en préservant les écarts avec Mahfoud AOMAR qui virait en tête, Dominique VERIEN conservait ainsi toutes ses chances de renverser la tendance quelques heures plus tard. Le temps que se fassent et se défassent les alliances ; le temps aussi que les états-majors de la politique du sérail départemental adressent leurs consignes en faveur de tel ou tel candidat aux grands électeurs, amenés à s’exprimer grâce à ce scrutin.

Trente voix de retard à rattraper pour l’élue de l’UDI…

Et le grand perdant à ce jeu stratégique sera le président de l’association des maires de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui malgré les trente voix d’avance exprimés sous son nom au seuil de ce premier tour indécis, verra son capital fondre comme neige au soleil à la conclusion de ce vote. Tandis que la suppléante naturelle d’Henri de RAINCOURT, Aurélie BERGER, voyait son score se figer inexorablement aux alentours des 220 voix sans jamais pouvoir progresser davantage. Les deux autres candidats, Gilles SACKEPEY (CRCE) et le frontiste Julien ODOUL faisant de la simple figuration avec respectivement des résultats plus que modestes, respectivement de 6,85 % (73 voix) et beaucoup plus surprenant pour un département qui adoube parfois les idéologies du FN, 1,97 %, soit 21 voix. Pour mémoire, rappelons que La République en marche et le Parti socialiste ne participaient pas à ces joutes sénatoriales, puisque les deux formations ne présentaient aucun candidat.

La désignation de Dominique VERIEN à la chambre haute du Parlement n’obligeait pas l’élue de Puisaye à quitter la Région. « Je ne pouvais pas conserver de poste exécutif, explique-t-elle, c’est pourquoi je ne peux plus être maire de ma commune mais je deviens conseillère municipale d’une commune de moins de mille habitants. Cela n’entre pas en ligne de compte dans le cumul de mandats. J’ai le droit de conserver le mandat de conseiller régional mais, comme je m’y étais engagée pendant la campagne, j’avais annoncé qu’en cas de victoire aux sénatoriales, je démissionnerai… ».

Une promesse de campagne tenue qui permet à Aurélie BERGER, maire de Gurgy, de reprendre du service à la Région, boulevard de la Trémouilles à Dijon…


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Malgré un léger différentiel de – 4 recrues par rapport à l’exercice antérieur de 2016, l’armée de Terre aura converti grâce à l’opiniâtreté des responsables du Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA de l’Yonne) 86 dossiers de candidature avec à la clé un contrat d’engagement auprès de la jeune génération sur 457 demandes d’information préalables. 39 % de ces choix conduisant à une carrière professionnelle de 1 à 10 ans s’effectuent vers le corps de l’infanterie, arme blindé et cavalerie, 36 % en forces de soutien (logistique, télécommunication, restauration, maintenance…) et 25 % en forces d’appuis (artillerie, génie, sapeurs-pompiers de la Brigade de Paris…). Un bilan très satisfaisant selon l’adjudant-chef Bruno NIRLO, à la tête du CIRFA, qui présentait les contours de cet engouement lors d’une cérémonie de signatures de la nouvelle promotion de décembre…

AUXERRE : L’armée de Terre recrute et forme chaque année de nouveaux militaires. Ce n’est un secret de polichinelle pour personne puisque de nombreuses campagnes de communication inondent à rythme constant les médias depuis plusieurs mois. Et leur impact sur la frange juvénile de la population est considérable.

Agés de 18 à 25 ans, filles ou garçons indistinctement, diplômés ou sans qualification, ces jeunes gens, issus de toutes les strates sociales de notre société décident de s’engager sur des périodes temporelles à géométrie variable, de une année à dix ans, selon leurs appétences à vivre de nouvelles aventures. Mais, celles-ci ne représentent pas un coup de folie passagère. Mûries, réfléchies, déterminées, le plus souvent en accointance avec le soutien de la famille ou des proches, ces décisions ne sont pas prises à la légère.

Le désir de servir la patrie et de vivre de vraies aventures avant tout…

Œuvrer pour une noble cause, la défense de la patrie et apporter sa contribution à l’honneur de la France, constituent les premiers arguments émis par ces militaires en herbe qui ne manqueront pas de s’aguerrir au contact de leurs supérieurs hiérarchiques pendant leur formation de soldat. Viendra ensuite le temps de la spécialisation au cours de séances formatives intenses.

Car, l’armée de terre, entreprise à part entière, possède une kyrielle de possibilités d’épanouissement professionnel au gré des spécialités qu’elle propose.

« Que l’on soit dans les transmissions, les cuisines, affectés au service médical, comptable et administratif, à l’électricité ou au génie, ce ne sont que des postes à forte responsabilité mêlant obligatoirement rigueur et discipline, explique Bruno NIRLO, en charge de la signature d’une dizaine de nouveaux contrats d’engagement afin de ponctuer le bilan 2017.

Plusieurs acteurs de la vie institutionnelle et économique permettent justement de diriger ces jeunes gens, marqués par les tragiques événements liés aux attentats, de servir la France. Qu’il s’agisse de Pôle emploi, des Missions locales mais aussi des forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers…), tous relaient abondamment les informations distillées à large échelle par les forces des armées françaises. Aujourd’hui, 15 000 postes sont à pourvoir pour ces jeunes gens issus de la génération Z qui désirent embrasser une carrière professionnelle.

 

Un impact économique indéniable sur un territoire…

« Vous savez, ajoute l’adjudant-chef avec le sens pédagogique qui est le sien, ces nouvelles recrues perçoivent un salaire garanti compris entre 700 et 1 300 euros nets chaque mois. Le temps de la durée de leur contrat qu’ils peuvent en outre proroger très facilement s’ils en éprouvent l’envie. Logés, nourris à titre gracieux, ces jeunes comprennent immédiatement la réalité de l’impact économique qui s’offre à eux. Prenons l’exemple de ces 86 nouveaux contrats validés en 2017, cela représente au bas mot 97 000 euros nets de dépenses effectives mensuelles sur le seul département de l’Yonne lors des retours en permission ! ».

Certaines entreprises, partenaires, l’ont parfaitement assimilés et gardent aussi sous contrat des jeunes gens désireux de rejoindre l’armée jusqu’au terme de la procédure d’engagement qui peut courir sur plusieurs mois. C’est le cas de Mc DONALD'S et du spécialiste du traitement téléphonique commercial, la société ARMATIS.

Quant au bilan 2017, il permettra à l’un des jeunes gens de niveau bac +5 d’être incorporé en qualité d’officier en qualité d’architecte ; huit autres personnes iront grossir les effectifs des sous-officiers (ils sont bacheliers) et 77 signataires, ne bénéficiant d’aucune qualification à niveau baccalauréat, deviendront des militaires du rang. Notons que la télécommunication pour 10 % d’entre eux et la logistique (8 %) retiennent l’intérêt des choix en priorité. Réparties sur l’ensemble du territoire national, ces jeunes recrues ont délibérément choisi leurs affectations. Dont une en Allemagne…

Les zones de recrutement de notre territoire se partagent équitablement les origines de cette passion : 38 % des recrues 2017 sont natifs du secteur de Sens, 31 % proviennent d’Auxerre et de ses environs tandis que 25 % vivent dans l’Avalonnais. A signaler que 6 % de ces jeunes pousses viennent des départements limitrophes.


 


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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