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Une quarantaine de jeunes filles se sont disputées âprement les épreuves sélectives imposées dans le cadre du MOF de leur spécialité afin de glaner les accessits nécessaires leur permettant, peut-être, d’être retenues pour les finales nationales. Reconnu pour sa pratique de l’excellence en son sein, le CIFA de l’Yonne, centre de formation interprofessionnel par l’apprentissage à Auxerre, était le théâtre de cette manifestation combinant créativité, imaginaire et dextérité qui aura vu, trois jours durant, la fine fleur de ces futures professionnelles très aguerries de la corporation s’affronter lors d’épreuves complexes et techniques…

AUXERRE : Bénéficiant des infrastructures idéales à la pratique de leur art, la quarantaine de jeunes filles inscrites sur la grille de départ de cette sélection régionale des MOF n’aura guère eu le temps d’apprécier tous les avantages conceptuels de ce lieu. Très rythmées, leurs épreuves, réparties sur un calendrier de trois jours, ne leur en auront pas laissé le temps.

Exercice concret de modelage, séance épilatoire, test de maquillage constituèrent le fondement essentiel de ce concours qui, selon les avis unanimes des membres du jury de cette sélection 2018, flirtait avec le très haut niveau. Même les oraux, ayant pour thème les cours théoriques inhérents à l’exercice de ce métier du bien-être et des arts de vivre, étaient d’excellents augures.

Les jeunes candidates rivalisaient de créativité artistique pour embellir leurs mannequins s’étant prêté au jeu de ces séances très appréciables par la qualité du rendu.

La découverte des métiers de l’artisanat sous le prisme de l’excellence…

Faisant montre de beaucoup de motivation, les jeunes filles ont fait incontestablement honneur au site qui les accueillait, un complexe où sont prônées quotidiennement les valeurs de l’excellence, du civisme et du savoir-être.

Comme devait le préciser le président Michel TONNELIER qui insista, lors de sa prise de parole officielle en présence des personnalités du jury, composé de MOF et d’experts au niveau des disciplines professionnelles jugées, « ce genre de concours demeure un excellent vecteur promotionnel et de communication auprès des jeunes qui seraient interpellés par la découverte de la filière artisanale… ».

Accueillant aujourd’hui plus de mille apprentis, le CIFA de l’Yonne qui possède même un agrément officiel lui permettant d’atteindre les mille deux cents places, un objectif avoué à brève échéance, dispense des cours théoriques et pratiques sur la connaissance et la maîtrise d’un certain nombre de métiers : la mécanique automobile, l’esthétisme, la coiffure, la vente, le commerce, les métiers de bouche…

Il est vrai que ce site ne pouvait qu’enchanter les représentants du jury de cette sélection régionale. Le CIFA dispose de sérieux atouts, à commencer, comme l’expliqua son directeur, Marcel FONTBONNE, par un salon de coiffure hors norme et unique en France qui a été conçu sous la tutelle partenariale du géant de la profession, le groupe L’OREAL.

De nouvelles évolutions attendues au CIFA de l’Yonne…

Que dire de la salle d’esthétisme où eurent lieu les épreuves, vaste et modulable, favorisant l’exercice optimal de ce métier. Quant au fameux concept novateur, le CLIC STORE, élaboré grâce à la saine coopération mise en place avec la société de communication événementielle IDXPROD, il est proprement révolutionnaire en France à l’heure actuelle dans le milieu de l’apprentissage. Ce concept très intuitif et digitalisé, optimisant les approches liées à la vente et à la distribution, devrait par ailleurs connaître de nouvelles évolutions très prochainement…

Enfin, l’un des partenaires historiques des MOF, le Crédit agricole Champagne Bourgogne dont l’un des représentants était présent, rappela la nécessité d’encourager et de soutenir de telles initiatives pédagogiques performantes et indispensables pour promouvoir les nobles filières de l’artisanat auprès des jeunes générations…


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En 2018, le budget régional en faveur de l’Economie sociale et solidaire s’élève à 8,6 millions d’euros. Cinq millions d’euros sont également consacrés au développement de la vie associative. En 2017, toutes politiques confondues, la Région a accordé 173,2 millions d’euros à huit cents associations et à vingt-quatre coopératives, soit 13 % du budget régional. Preuve que l’organisme institutionnel désire jouer les premiers rôles en matière de développement économique sur le territoire. Il se devait de réunir le premier Comité stratégique de l’ESS afin de renforcer le dialogue avec l’ensemble de ses partenaires…

BESANCON : La capitale de la Franche-Comté a été le théâtre début avril de la première réunion, voulue par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY, entre la vénérable institution et les représentants de l’Economie sociale et solidaire du territoire.

Objectif de cette rencontre qualifiée d’importante : l’institutionnalisation d’un dialogue nourri et constructif avec les têtes pensantes de cette nouvelle économie. A raison d’un rendez-vous tous les semestres, ces échanges apporteront de la souplesse et favoriseront la proximité entre la collectivité régionale et les acteurs de l’économie sociale et solidaire.

En charge de ce portefeuille, Denis HAMEAU, vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté et Francis COTTET, conseiller régional ayant à gérer l’innovation sociale, se sont entretenus avec une vingtaine de représentants de ces structures qui développent la pratique de ce type d’économie. On notait aussi la présence de la Chambre régionale de l’ESS (CRESS), l’Union régionale des sociétés coopératives et participatives (URSCOP), le secteur de l’aide à domicile, le réseau France Active, ou encore la Fédération des entreprises d’insertion et le Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves).

La nécessité d’une écoute attentive et constante…

Dans l’absolu, le comité a brossé le bilan de l’action régionale depuis le début de la mandature tout en recueillant les attentes et les besoins d’adaptation de l’écosystème de l’ESS. Quant aux élus, ils ont ensuite souhaité entendre les réseaux sur les dynamiques collectives qu’il convient de lancer ou d’accélérer. Il a aussi été question de l’accélérateur national de l'innovation sociale et l'initiative « French Impact », lancés par le gouvernement en janvier 2018, de l’action en faveur des mobilités solidaires et inclusives en particulier dans les territoires ruraux, et de la finance participative et citoyenne.

Pour Denis HAMEAU, « Le développement de l’ESS nécessite une écoute attentive et une innovation constante dans les rapports que la Région entretient avec les acteurs, que ce soit les entrepreneurs sociaux, l’aide à domicile, les investissements structurants, la promotion de ce qui se fait et qui fonctionne… ».

Puis, l’élu de poursuivre ses propos en insistant sur le fait que « la Région souhaite également « sans sortir des cadres, avoir une plus grande agilité sur certains sujets, comme le lien avec les outils nationaux, la lutte contre les « zones blanches » de mobilité ou bien encore l’appropriation des moyens de la finance solidaire par nos territoires ».

Prochaine rencontre de ce comité stratégique à l’automne 2018. Peut-être à Dijon ?


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Dans la catégorie « meilleure campagne de publicité de l’année 2017 conçue par un organisme public », la région Bourgogne Franche-Comté a su tirer les marrons du feu à son profit en obtenant une récompense nationale, se classant sur la troisième marche d’un podium pourtant très relevé. Les organisateurs des Trophées de la Communication ont salué ainsi la qualité et les aspects insolites de cette campagne déclinée à la puissance quatre par les partenaires départementaux de Bourgogne, Côte d’Or Tourisme, Destination Saône et Loire, Nièvre Tourisme et Yonne Tourisme…Recevant chaque année huit cents dossiers de candidature répartis sur une trentaine de catégories, ces Trophées concoctés par WEXCOM avait déjà honoré notre territoire la saison dernière avec la délivrance du premier prix pour la création du magazine, « Designed by Bourgogne »…

CANNES : Elaborée avec beaucoup de clin d’œil humoristiques faisant référence de manière subtile aux œuvres mémorables du septième art, la campagne publicitaire, vantant les richesses patrimoniales de Bourgogne Franche-Comté, a su convaincre le jury national des Trophées de la Communication, édition 2017, qui ont profité d’une remise de prix, organisée dans la capitale européenne du cinéma à Cannes, de manière positive.

Conçue par l’agence de communication « SIGNE DES TEMPS », cette campagne a fait mouche dans les esprits des spécialistes qui ont ainsi apprécié les outils créés à cette occasion pour promouvoir l’art roman, la passion de la navigation fluviale, les traditions de l’authenticité du Morvan ou encore l’omniprésence de la viticulture.

Circulant abondamment, et ce depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux et sur le multimédia, affiches et vidéos ont surpris par leurs références parodiques au cinéma, à l’instar de leurs appellations : « Pretty Romane », « Le seigneur des canaux », « Vin mille lieux sur les terres » ou encore le délicieux « Autant en emporte le Morvan » !

Une approche décalée des richesses de la région qui a plu au public…

Cette reconnaissance nationale arrive à point nommé, selon le président de Bourgogne Franche-Comté Tourisme, Loïc NIEPCERON, traduisant ainsi la complémentarité collaborative entre la région, et les départements ayant contribué au succès de cette opération. Ensemble, ces cinq partenaires ont décidé de travailler sur le contenu dynamique d’une nouvelle stratégie de communication, déclinée dans le cadre d’un collectif marketing partagé. Ce programme d’actions, désigné sous la marque « Designed by Bourgogne », a été activé afin de valoriser et de renforcer l’image et la compétitivité de la destination Bourgogne à travers la France.

Il s’agira, concrètement, d’attirer davantage de clientèles franciliennes et lyonnaises sur notre territoire, en particulier lors de courts séjours. La stratégie s’appuiera sur une politique de communication digitale et l’optimisation des réseaux sociaux. Grâce à ces évolutions, déjà testées, la page Facebook Bourgogne Tourisme a déjà dépassé le cap des 100 000 visites en 2017. Quant aux campagnes digitales connexes, elles affichent de très bons résultats, prouvant ainsi que la stratégie s’avère payante.

L’année dernière, au printemps, l’habillage d’un hall de la gare de Lyon à Paris durant une quinzaine de jours avait largement été aperçu par les personnes empruntant le réseau ferroviaire ou le métro. Le mobilier urbain de Lyon avait lui aussi accueilli cette campagne. A l’automne, des clips vidéo d’une vingtaine de secondes durant six semaines avaient inondé les bandes annonces des séances cinématographiques proposées dans la capitale et dans la grande métropole de la région Auvergne Rhône Alpes.

Deux agences de communication nationale, WE LIKE TRAVEL et MEDIAVEILLE, partenaires de SIGNE DES TEMPS, avaient été sélectionnées pour contribuer à la réussite de ce plan de communication de bon aloi. Un plan significatif qui aura finalement été plébiscité au niveau national…


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L’une des dernières apparitions publiques du président du Conseil de la Caisse de l’Yonne, aux côtés d’officiels, et notamment du maire d’Auxerre, Guy FEREZ, a eu lieu le 24 mars lors de la pose de la stèle commémorative, rue du Moulin, où se situe le siège de la Caisse primaire d’assurance maladie départementale. Mémorisant deux des fondateurs nationaux de la Sécurité sociale, Ambroise CROIZAT et Pierre LAROQUE, le dépôt de cette plaque aura été l’un des derniers gestes symboliques effectué par le président qui achevait quelques jours plus tard son mandat de responsable territorial…Un dernier tour de piste exécutif qui nécessitait de glaner les pensées de ce serviteur de la CPAM de l’Yonne investi depuis 1997…

AUXERRE : Le 29 mars 2018 demeurera une date importante pour Paul GIRARD. L’ancien salarié de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne devait mettre un terme à sa fonction de président de la Conseil de la caisse, après un dernier mandat. Une aventure personnelle passionnante, débutée en 1997, date de sa première nomination. Qui aura pourtant été interrompue de 2010 à 2015, avec la désignation de Murielle BIGOT.

« Nonobstant, j’étais toujours membre du Conseil, précise-t-il, j’ai assuré de nouveau la fonction en 2015 jusqu’à aujourd’hui… ».

Un coût de fonctionnement parfaitement maîtrisé…

Revenant sur son parcours et sur l’institution qu’il a défendue pendant des années, Paul GIRARD ne cessera pas pour autant son indéfectible soutien à la Sécurité Sociale, et plus précisément à l’Assurance Maladie à travers la CPAM de l’Yonne.

« La CPAM compte vingt-deux membres pouvant siéger dans diverses commissions. Historiquement, le Conseil est lié au plan Juppé de 1995. En fait, poursuit Paul GIRARD, il faut distinguer deux époques dans l’histoire de la Sécurité sociale. La première porte sur les « Trente Glorieuses », une période qui ne rencontrait pas de problèmes majeurs et accordait une certaine liberté aux professions libérales. La seconde époque apparaît avec les difficultés économiques et les crises. Il s’agissait de mieux contrôler l’argent dépensé. Le déficit de la Sécurité sociale a mis en cause la gestion du système. Fallait-il envisager une gestion avec des assurances privées ? La rentabilité entre en ligne de compte. En réalité, le système est très bien géré puisque le coût de fonctionnement des organismes est seulement de 1,4 %. Un chiffre qui est très faible. Pour un budget de plus de 200 milliards par an, cela représente moins de 3 milliards de frais de fonctionnement. Par exemple, les organismes complémentaires ont un coût de fonctionnement supérieur… ».

Est-ce à dire que l’Assurance Maladie fonctionne bien ?

« Oui, répond l’intéressé, c’est le système de soins qui est défaillant. Il y a encore des soins non justifiés. Les intérêts économiques en jeu sont très importants. L’affaire du « Médiator » est une illustration du sujet avec le combat du Dr Irène FRACHON. D’ailleurs, je vous conseille de visionner le film « La fille de Brest ». L’Assurance Maladie a connu de profondes évolutions, une adaptation en réponse aux besoins de la société… ».

Un système qui se doit d’être régulé

Puis, évoquant l’inauguration de la stèle déposée le 24 mars près du siège de la CPAM, Paul GIRARD a voulu rendre un hommage aux fondateurs de ce système de solidarité qui existe depuis le dernier conflit mondial.

« Il était important de se souvenir par le biais de cette cérémonie d’Ambroise CROIZAT, alors ministre du Travail, sous le gouvernement d'union nationale, qui prit la décision politique de la création de la Sécurité Sociale, et à Pierre LAROQUE, haut fonctionnaire qui en fut le premier directeur général. Depuis ces soixante-dix ans, certes, l'institution a bien connu des péripéties, crée d'abord comme universelle, elle s'est peu à peu scindée en branches : recouvrement, famille et maladie. Trois régimes obligatoires qui se sont ainsi structurés autour des salariés, des professionnels du monde agricole et les indépendants. Pendant les « Trente Glorieuses », elle est alimentée exclusivement par les cotisations des entreprises et des salariés. C'est l'époque de la gestion de l'abondance, où augmentation des cotisations et la diminution des remboursements s'accordent pour assurer l'équilibre du régime. C'est durant cette période et dans un souci de santé publique, que la Caisse a créé deux œuvres, aujourd'hui encore actives, le Centre d'examens de Santé, et le centre Armançon pour la maladie alcoolique implanté à Migennes. A partir de 1975, avec la crise du pétrole, c’est la rupture avec le modèle économique précédent. Le « Trou » de la Sécu va conduire à une insinuation permanente de l'incapacité d'un système public à gérer cette institution. Il faudra attendre vingt ans pour que la distribution des soins à travers le pays soit prise en compte. Le déficit conduit l’Etat à adopter le « Plan Juppé ». L'Assurance Maladie est passée d'une tentative de gestion de l'équilibre à un véritable intérêt pour la gestion du risque et sur les coûts de distribution des soins, publics et privés. Le système doit être maîtrisé et régulé. Le Parlement sera amené à voter les montants des dépenses annuelles à ne pas dépasser… ».

Les attraits de l’évolution technologique et les carences des déserts médicaux…

Devenue un symbole de communication, la carte Vitale s’apparente à une clé électronique. Ce que deux cents banques ont mis plus de trente ans à réussir, l’Assurance Maladie a su relever le défi pour 45 millions d'assurés sociaux en un peu plus de dix ans.

« Cette fameuse carte Vitale permet aujourd’hui un remboursement sous cinq jours aux assurés, constate Paul GIRARD. Avec l’informatisation, la délocalisation des traitements des dossiers devient possible. La référence n'est plus géographique. Ces technologies autorisent une véritable « uberisation » du travail administratif des Caisses. La CNAM peut ainsi confier des missions, ou les retirer, aux caisses en fonction de leur performance. Ce qui peut être lourd de conséquences pour les emplois de la Caisse dans l'Yonne. Quant à la régulation et la distribution des soins, ce sont un enjeu actuel. Le système libéral a montré ses limites pour la médecine de ville, laissant des pans entiers de notre géographie rurale, mais aussi urbaine en déserts médicaux, c'est-à-dire sans accès aux soins. Nous ne manquons pas de médecins en France, la comparaison avec les densités des pays de l'OCDE le montre, mais nous manquons cruellement d'un outil de régulation permettant d'envoyer le personnel médial là où il y a des assurés sociaux à soigner. Compte tenu de l'intérêt marqué par les jeunes générations de médecins pour le statut de salarié, le Conseil de la CPAM, à l'instar du Conseil départemental de la Saône-et-Loire, a souhaité voir se créer une brigade de remplacement pour pallier aux déserts médicaux de notre département. Les ressources de la Sécurité sociale, qui dans l'esprit des fondateurs CROIZAT et LAROQUE, étaient exclusivement des cotisations, sont confrontées à la mutation des formes du travail. Elles évoluent, en faisant déjà appel depuis des années à une Contribution Sociale Généralisée (CSG) qui pèse de plus en plus dans les ressources. Comment devront contribuer les industries de l'Internet ? Les moyens doivent permettre d'assurer un accès aux soins à tous et des soins de qualité… ».

84 % de satisfaction parmi les assurés Icaunais

Quant à la branche maladie, elle se voit retourner aux fondamentaux de ses créateurs. En effet, récemment, le régime des travailleurs salariés a réintégré en son sein des régimes qui s'étaient historiquement dispersés : les mines, les cultes, les étudiants (une économie d’environ 260 euros pour chaque étudiant chaque année), la MGP et depuis le 1er janvier, le régime des indépendants (RSI).

Des éléments qui engendrent un commentaire de Paul GIRARD : « Ce clin d'œil à nos pères fondateurs valide de nouveau leur idée force d'un régime unique et universel, pourtant historiquement combattu par les particularismes corporatistes. La CPAM de l’Yonne poursuit son évolution dans sa politique de l’accueil avec la prise de rendez-vous qui a conduit à une augmentation du taux de satisfaction chez les assurés : il est de 84 %. Cela permet d’éviter les papiers oubliés (photocopies ou documents) et la file d’attente. Quant aux comptes, Ameli et ameli.fr, ils offrent des réponses à domicile… ».


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Le poète, auteur et interprète bourguignon a opté en faveur de ce procédé économique traditionnel pour assurer le financement d’un album de douze poèmes devant paraître en 2019. Si la formule s’avère gratifiante pour cet artiste de talent et à la renommée nationale, un mini-CD de trois titres nous serait alors délivré dès cet été, histoire de faire patienter les aficionados que nous sommes du dynamique propriétaire de la salle d’Etais la Sauvin, « La Closerie ».

ETAIS LA SAUVIN : « Ni vieux ni maître ». L’humour caustique du chanteur Icaunais, chantre de Jean-René CAUSSIMON, de Jean FERRAT et autre Louis ARAGON, refait surface après ces quelques mois d’hiver où ce personnage si attachant de l’âme artistique de ce terroir n’avait pas choisi pour autant de se retrancher loin de son public, en hibernation.

Avec la vieille complicité de son arrangeur de toujours (plus de 35 années de partage d’expérience musicale riche et réussie), Patrick VASORI, Gérard-André a profité de cette époque de dilettante pour travailler les arcanes de son futur album, espéré depuis longtemps. Rien que le titre de ce nouvel opus, faisant référence avec ce zeste ironique coutumier du bonhomme, à la fuite du temps qui passe malgré toute la fougue créative de l’auteur/interprète/compositeur, et son refus viscéral d’obtempérer auprès de qui que ce soit selon les pratiques d’usage des chanteurs à texte, pose déjà le décor de l’enthousiasme qui habite le truculent poète.

Déjà un mini-CD travaillé en studio

Les trois premiers textes, mis en lumière musicale par l’artiste lui-même et arrangés par son chef d’orchestre préféré, donnent déjà la couleur de cette respiration artistique que Gérard-André a souhaité s’accorder en ce premier semestre.

« Résistance, maquis de France », poème écrit par Roland FORGEARD, nous renvoie aux heures sombres de la France occupée qui n’aura finalement son salut que, grâce à ces femmes et à ces hommes de l’ombre qui auront lutté farouchement au détriment de leur existence au retour de la liberté en boutant hors de ce territoire qu’ils aimaient tant l’occupant.

« Poulbot » : l’œuvre scripturale de Claudine GUERIN-MANDON évoque l’univers de Paris avec ses fameux personnages, Gavroche de cœur pour l’artiste qui devaient s’illustrer au moment de la Commune sur les barricades, immortalisés par Léo FERRE.

Quant au troisième texte, il émane de la poétesse auxerroise Marie NOEL, « Connais-moi si tu peux », un texte finement ciselé où la voix grave de Gérard-André se pose en toute délicatesse.

Enregistrées les 28 et 29 mars dans un studio francilien situé en Seine et Marne, ces premières chansons, superbement arrangées par Patrick VASORI, composeront le mini-CD à paraître au début de la période estivale. Leur mastérisation a bénéficié du travail au cordeau de Charles FROSSARD, du studio MESA.

Gérard-André assurera par ailleurs une présentation officielle de ces enregistrements initiaux lors de rendez-vous avec le public, à Auxerre, à Vézelay et peut-être à Asnières sur Bois. Les dates n’étant pas encore définitivement validées…

Une enveloppe budgétaire globale de 9 000 euros…

Soucieux d’adjoindre une contribution hyper qualitative à sa prestation artistique, Gérard-André, aux côtés de sa compagne Andrée qui lui apporte toujours un regard perfectionniste dans la conceptualisation de ses projets, proposera un éclairage original de ces douze références poétiques par le biais d’un livret. Celui-ci s’articulera de seize pages et complètera l’édition de luxe prévue pour l’année prochaine.

Résoudre la problématique financière, face à ce lourd investissement, supposait l’ouverture à une formule participative à l’instar du « crowdfunding ». Une option que le poète-artiste de l’Yonne avait envisagée il fut un temps car ce système peut parfois s’avérer efficace dans la réalisation de concepts artistiques. Mais, après mûres réflexions, Gérard-André n’a pas voulu poursuivre son exploration auprès des offres déclinées par les plateformes habituelles. Trop d’inconvénients, voire de contraintes in fine pour cet artiste libre et indépendant !

La seconde possibilité se faisant sienne, la souscription à l’ancienne, est devenue ensuite la priorité. « Vrais » amis, comme il aime les qualifier de son sourire radieux, mais aussi amateurs de poésies, de belles lettres et de jolis textes, mélomanes et amoureux de ce superbe cadre champêtre et théâtral que représente aujourd’hui l’univers artistique d’Etais la Sauvin sont ainsi sollicités par ce chanteur au cœur gros comme ça, toujours engagé dans des causes justes et honorables.

Aujourd’hui, Gérard-André a plus que jamais besoin de l’ensemble de ces soutiens pour vivre son rêve et le partager avec le plus grand nombre. Un seul mot d’ordre, à l’aune de l’anniversaire de mai 68 dont il est aussi un fervent défenseur dans l’âme : souscrivez ! Pour que jamais ne cesse la liberté d’expression et la création artistique de talent dans l’Hexagone…


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