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Des sacs poubelles qui jonchent le sol. Des odeurs pestilentielles qui s’en dégagent du fait des fortes chaleurs imputables à un été indien qui n’en finit pas de surchauffer les esprits et…les ordures ménagères qui trainent un peu partout à côté des bacs destinés à les recevoir : est-ce une vision futuriste ou vraiment très réaliste de ce que sera le paysage de l’Auxerrois après la mise en place des sept cents points d’apport volontaire validés il y a peu par l’Agglo ? Il y aura aussi besoin de pédagogie à distiller au niveau du civisme…   

 

Lundi  

Plus d’un siècle que l’Arménie et l’Azerbaïdjan s’en disputaient le territoire et il n’aura fallu que quelques jours pour que le pouvoir sécessionniste en place dans cette enclave du Haut-Karabakh annonce sa dissolution après l’offensive victorieuse de Bakou, entrainant le départ forcé vers la mère patrie de plus de 100 000 arméniens. Un exode forcé considéré par beaucoup comme un véritable « nettoyage ethnique ». Pour autant, quelle politique de sanctions peuvent mener les chancelleries occidentales à l’égard de l’autocrate Ilham ALIYEV, au regard des multiples accords de coopération et commerciaux contractés avec l’Azerbaïdjan au fil de ces dernières décennies ? Le président azéri a beau jeu d’évoquer une « atmosphère anti-azerbaidjanaise » au sein de l’UE, pour « sécher » le sommet européen de Grenade, consacré à la situation. S’il visait notamment dans son discours l’attitude de la France en la matière, il n’en fut pas toujours ainsi. L’Azerbaïdjan ayant su jouer d’une offensive de charme dans toutes les strates de la sphère politique et jusqu’au plus haut sommet de l’Etat français, pour se forger une image respectable. On se souvient notamment de l’édition « Fleurs de vigne » 2012 à Auxerre où le pays était l’invité d’honneur, après la réception de ses représentants en terre de Chablis…

 

Mardi

 

Figure légendaire des médias pour tous, humaniste attachant pour les uns, cireur de pompes des puissants et gens de pouvoir pour les autres, Jean-Pierre ELKABBACH aura marqué de son empreinte un demi-siècle d’audiovisuel et d’information. Nombre de ses interviews sont passés à la postérité, teintés à la fois de provocation, d’impertinence, mais aussi d’une certaine déférence. Un ton savamment travaillé, parfois avec les invités eux même ! Sa disparition sera peut-être l’occasion aussi de revenir sur ces années 90 où, PDG de France 2, il fut acculé à la démission après le scandale des centaines de millions de francs généreusement accordés aux animateurs vedette de la chaine. Pour le grand public, restera sans doute l’image de ce journaliste blême égrenant le décompte avant l’annonce de la victoire de François MITTERRAND le 10 mai 1981. Pressentant déjà qu’il serait évincé un peu plus tard, en raison de ses attaches giscardiennes. L’ironie de l’histoire étant qu’il fut déjà mis au placard de l’ORTF après mai 1968, pour avoir fustigé les « censeurs » de l’époque ! Ne lui reste plus désormais qu’à poursuivre là-haut le débat avec son compère Georges MARCHAIS, autre bête de scène s’il en est, entré dans la légende pour son célèbre « Taisez-vous, Elkabbach ! ». Des mots qui n’ont jamais existé, si ce n’est dans la bouche du troisième larron qu’était Thierry LE LURON ! Nul doute que les soirées risquent d’être animées chez Saint-Pierre !  

 

 

Mercredi   

 

Cet habitant de Cravant, ulcéré par les déjections canines retrouvées devant sa porte a trouvé la solution. Transformer le simple ramassage des « cadeaux » déposés par Médor, en un exercice salutaire pour la santé et l’esprit. L’histoire ne dit pas si la dixième leçon est offerte !

 

 

Jeudi   

 

Si le ministre de la Santé Aurélien ROUSSEAU se veut rassurant, affirmant qu’il n’y avait pas matière à une « panique générale », les punaises de lit sont rentrées dans le débat public, source de tous les phantasmes. A l’image du chroniqueur vedette de Cnews, Pascal PRAUD, s’interrogeant insidieusement à l’antenne, sur la possible relation de cause à effet pouvant exister entre immigration et recrudescence des fâcheuses « bébêtes » ! Le problème n’est pas nouveau, mais à moins d’un an de l’évènement, la panique grandit, à l’idée qu’une épidémie invasive vienne entacher les prochains Jeux Olympiques. La députée LFI Mathilde PANOT est montée au créneau sur le sujet depuis six ans déjà, mais en vain. Sans doute que ses alertes manquaient de « piquant »… Punaise !

 

Vendredi  

C’est un musée à l’écart du temps, ignoré bien souvent des touristes de passage. Situé rue de la Montagne Sainte-Géneviève, dans le Ve arrondissement parisien, le musée de la Préfecture de police retrace dans ses vitrines les grands évènements de l’histoire de France au travers de ses crimes et faits divers. Dans l’une d’elles, un pan d’histoire icaunaise, avec l’œilleton et le palan utilisés par le « bon » docteur PETIOT dans ses crimes, natif d’Auxerre et maire de Villeneuve-sur-Yonne. A quand un « Serial Killer tour » organisé sous les auspices de Yonne Tourisme ?  

 

   

Samedi 

Cette photo prise sur le parking de la Tournelle, au pied du pont du même nom augure-t-elle de ce que sera le paysage auxerrois après la mise en place des 700 points d’apport volontaire décidée par une majorité d’élus communautaires ? L’avenir le dira… Reste à s’interroger sur le fait que l’un des bacs de réception soit HS et recouvert d’une pudique bâche de plastique. Le dispositif souffrirait-il déjà de défaillances ? 

 

Dimanche

Les services de contre-espionnage israéliens n’ont encore une fois rien vu venir. Déjà mis à mal il y a tout juste 50 ans par une attaque sans précédent, menée conjointement par l’Egypte et la Syrie, le 6 octobre 1973, jour de Yom Kippour, fête ô combien symbolique du calendrier juif, le pays s’est vu hier matin attaqué par des terroristes palestiniens venus de la bande de Gaza voisine. Plusieurs centaines de morts déjà dénombrées, parmi lesquels de nombreuses femmes et enfants, sans que l’on sache où s’arrêtera le sinistre décompte. Les militants du Hamas ont rallumé à leur manière les bougies de ce cinquantième anniversaire, mettant le feu à toute une région, dans un contexte explosif. Quant au trentième anniversaire des accords d’Oslo, qui avait fait naître un instant l’espoir d’une paix durable entre les deux peuples, il y a longtemps que les bougies sont éteintes…

 

Dominique BERNERD

 


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L’obscurantisme règne en maître sur le globe. Toujours et encore. Il rôde tout autour de nous. Tapi dans l’ombre, pernicieux. Pour mieux s’abattre sur nos têtes, là quand on s’y attend le moins et que cela fait le plus de mal. Comme à Arras, dans ce lycée Gambetta, pourtant réputé si tranquille. L’effroi, dans toute sa splendeur. La sidération, aussi, car l’impensable se manifeste à nous, à la lumière du jour. Par une trop chaude journée gavée de cet insolent soleil, ne rappelant nullement la nécessaire saison des pluies et la chute des feuilles, préparant les arbres à l’hiver…

Un fait divers tragique, survenant presque jour pour jour, trois ans après un autre triste anniversaire. Celui de la disparition du pauvre Samuel PATY, professeur d’histoire et de géographie qui eut pour son plus grand malheur avoir cru bon évoquer lors d’un cours assuré à l’une de ses classes le rôle des caricatures d’un journal satirique et ses effets dans la société. On connaît la suite. Morbide et inimaginable…glaçante, aussi.

 

Le lourd tribut payé par l’Education nationale…

 

« Plus jamais ça », avait-on lu alors dans la presse et dit dans les cénacles de la politique. Des propos repris en chœur par toute l’intelligentsia bien-pensante de notre Hexagone. De gauche comme de droite. Du centre, évidemment. Mais aussi des extrêmes. L’unité nationale absolue, comme les cinq doigts de la main, autour d’une catastrophe que l’on croyait impossible à vivre dans le pays des libertés et de Jean-Jacques ROUSSEAU !

Etre assassiné pour avoir enseigné. Transmis des valeurs. Fait réfléchir les consciences et surtout apporter de la lumière dans toute cette opacité macabre qui auréole notre existence avec son lot de guerres, de conflits, de crimes, de meurtres, d’épouvante. Quel horrible tableau que celui-là !

Une fois encore, le monde de l’Education nationale paie un lourd tribut à la défense de ces valeurs. Celles qui nous sont chères et qui ont pour appellation la liberté d’expression, l’enseignement, la pédagogie, le civisme, l’apprentissage, la compréhension. L’ouverture sur le monde, aussi. S’instruire n’est-elle pas la plus belle des vertus pour ne pas mourir totalement idiot ?!

 

 

 

Apprendre et penser : les dangers des autocraties

 

Depuis que nous sommes au monde, on n’a cessé de nous le marteler : nous sommes là pour apprendre afin de mieux transmettre. C’est en comprenant les choses, voire en les pratiquants que l’on peut s’évertuer de les changer, de les transformer vers le meilleur, si possible. Or, pourquoi ces enseignants et ces personnels administratifs qui gravitent autour de l’Education nationale sont-ils désormais dans le viseur de ces êtres dénués de discernement intellectuel ? C’est simple : apprendre fait peur ! Cela correspond au savoir qui est perpétué ainsi de génération en génération, un savoir ouvert vers l’universalisme, le modernisme, les technologies, les mathématiques, les sciences, la philosophie, les langues étrangères, la culture…

Pourquoi les jeunes filles et jeunes femmes afghanes sont-elles privées d’école par les talibans ? Parce qu’elles représentent un insidieux danger qui pourrait mettre à mal toute la rhétorique d’un autre âge qui vient enfumer le paysage politique local !

Pourquoi au pays des mollahs – l’Iran –, les femmes sont-elles renvoyées dans les arrières bans existentiels ? Et ne peuvent de facto briller au soleil même si elles peuvent suivre une scolarité ? Parce que leur savoir et leurs diplômes sont des périls pour ces sociétés où le patriarcat règne en dictat absolu ! Les autocraties éprouvent une sainte horreur de l’intelligence collective : comment alors régner dans la facilité si le peuple est en capacité de réflexion ? Quel dilemme, non !

 

 

Le retour de l’obscurantisme, de l’ombre à la lumière

 

Evoquant lors de son allocution officielle le nouveau drame vécu au Proche-Orient, jeudi soir dans les journaux de vingt heures télévisés, le Président de la République Emmanuel MACRON avait souligné avec vigueur que ce conflit séculaire opposant Israéliens aux Palestiniens ne devait aucunement s’exporter vers l’Europe, et surtout en France. La réponse à ses craintes ne s’est donc pas fait attendre. Puisque le lendemain, un attentat devait être perpétré de la plus sinistre des façons dans ce lycée d’Arras, condamnant un professeur de lettres, Dominique BERNARD, à une mort atroce, égorgé par arme blanche, près de la cour de récréation de son établissement.

On apprenait presque dans le même temps qu’une deuxième tentative d’assassinat avait été avortée à la dernière minute dans les Yvelines, près de Mantes-la-Jolie, là aussi selon un mode opératoire quasi à l’identique avec un individu sortant d’une salle de prière, un couteau à la main et se rendant aux abords d’un lycée…pour mieux tuer des innocents !

Le retour de l’obscurantisme ne cesse de s’amplifier en ces périodes au contexte international très agité, si tant est qu’il ait vraiment disparu. Plus que jamais, la vigilance s’impose autour des écoles, devenues les cibles privilégiées des terroristes qui ne supportent plus que l’on n’y apprenne et que l’on n’y pense…il vaut mieux en effet rester des moutons de Panurge que l’on manipule et que l’on tue !

 

Thierry BRET

 


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C’est un irrésistible pied de nez à l’actualité élyséenne ! Une date qui ne doit absolument rien au hasard. Et pour cause, la journée de grèves et de manifestations annoncée ce vendredi 13 octobre par l’Intersyndicale est lourde de symbole, se déroulant trois jours seulement avant que ne débute la conférence sociale sur les bas salaires, biffée sur l’agenda du Président de la République. Une manière visible de se rappeler à son bon souvenir et de montrer le mécontentement de la rue…

 

AUXERRE : Elle n’a pas été choisie par inadvertance, cette date du vendredi 13 octobre 2023 ! Même si elle a été annoncée dès le mois d’août par les organisations syndicales, réunies comme à l’accoutumée en intersyndicale, elle tutoie à quelques jours près l’actualité présidentielle sur le sujet des bas salaires, prétexte à une conférence sociale organisée au début de la semaine prochaine. A croire que les mouvements protestataires n’attendent pas grand-chose de ce rendez-vous élyséen, ils ont décidé en revanche de renouer avec une bonne vieille tradition sociale, le droit de grève et l’appel à manifester sur la voie publique !

CGT, FO, UNSA, FSU, CFDT, CFTC, Solidaires, CFE-CGC retrouveront le pavé de la rue ce vendredi, à partir de 14 heures place de l'Arquebuse à Auxerre, mobilisés plus que jamais contre l’austérité et tout ce qui s’en suit : le pouvoir d’achat, l’égalité femmes/hommes, la hausse des salaires, pensions et minima sociaux, peut-être en filigrane la réforme des retraites qui n’a toujours pas été digérée après la bordée de 49.3 gouvernementaux.

 

Un SMIC en hausse de 4,8 % pour une inflation qui culmine à 14 %

 

Ras le bol des coupes sombres au détriment des précaires et des salariés : c’est en filigrane ce qui fédère l’ensemble des acteurs de la cause syndicale ouvrière. Chacun des interlocuteurs y allant de son couplet, énumérant la litanie d’injustices et d’éléments négatifs qui grèvent le moral des Français.

« Le gouvernement n’a qu’un seul mot à la bouche, souligne Reynald MILLOT, le porte-parole de Force Ouvrière, c’est l’austérité ! Une austérité qui s’applique dans le budget de 2024. Une austérité qui se poursuivra en 2025 ! Les efforts doivent toujours être fournis par les salariés. Jamais par les grands patrons du CAC 40 qui accumulent les profits ! ».

Tirant un peu plus sur sa vapoteuse, on sent le secrétaire général de FO 89 quelque peu irrité devant le contexte. « Face à l’inflation, il faut le blocage des prix et celui de la TVA ! Et retourner à l’échelle des salaires en les valorisant ! ».

La représentante de la CGT s’engouffre à son tour dans la brèche béante de la discussion revendicative : « La hausse du SMIC de 4,8 % depuis le début de l’année, c’est une plaisanterie ! Quand on sait que la valse des étiquettes sur le prix des denrées alimentaires est de 14 % depuis janvier ! ».

 

 

Des étudiants qui sautent les repas et se prostituent…

 

Maigre compensation, il est vrai ! Le pouvoir d’achat des Icaunais est en chute libre et bon nombre de nos concitoyens sont désormais dans l’obligation de fréquenter les Restos du Cœur et la Banque alimentaire pour prétendre se nourrir. Les retraités ne sont pas mieux lotis. Philippe WANTE, de la FSU, n’est pas en reste pour rappeler que les pensions sont en berne. Et ce, depuis des lustres !

« Alors que les grands groupes se gavent outrageusement, nos retraités voient leur fin de mois dans le rouge… ». Une nouvelle génération de seniors est née ; celle qui vit dans la pauvreté. Quant à l’Education nationale, elle devrait se délester de 1 500 postes d’enseignants très prochainement alors qu’il n’existe pas de phénomène de déprise dans les classes sur-fréquentées qui peuvent accueillir en moyenne de 38 à 40 élèves dans les classes de seconde comme à Sens !

« Ne parlons pas de l’enseignement supérieur ! Les étudiants sautent des repas afin de pouvoir payer leurs études, quand ils et elles ne se prostituent pas face à des situations dramatiques… ».

Le tableau est sombre. Mais, tellement réel, malheureusement selon les témoignages fournis. Pendant ce temps-là, les riches vivent de mieux en mieux ! Et certains employeurs bénéficient des exonérations des cotisations sociales (72 milliards d’euros qui ne rentrent pas dans les caisses de l’Etat) : « c’est un vrai hold-up, lâchent en chœur les participants à cette conférence de presse intersyndicale.

« Nous, on demande une meilleure répartition des richesses, une égalité des chances entre les femmes et les hommes. Un véritable coup de pouce pour les retraites… ».

Une austérité que la France traverse à géométrie variable selon les syndicalistes départementaux, encore écœurés par les fastes de la récente réception de Charles III et de son épouse, Camilla, sous les ors de la République – euh, pardon, ne serait-ce pas ceux de la royauté ! – dans la magnifique galerie des Glaces de l’ancienne demeure des Capétiens dans les Yvelines !

Peut-être que certains des manifestants qui arpenteront les rues auxerroises vendredi oseront crier à l’attention de la gouvernance, « c’est pas Versailles, ici ! ». Chiche ?!

 

Thierry BRET

 


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Dans le langage commun, c’est lui le « Boss ». Le patron, en somme, d’une très belle équipe qui défendra hautes nos couleurs dans l’une des villes les plus prestigieuses de France, catégorie « gastronomie » : j’ai nommé la capitale des Gaules, Lyon ! A l’automne 2024, la cité entre Rhône et Saône, chère au regretté Paul BOCUSE accueillera le concours des WorldSkills, l’équivalent des Jeux olympiques des métiers. Le CIFA de l’Yonne reçoit deux jours durant les épreuves de la sélection définitive de cette équipe qui déterminera notre futur représentant(e).

 

AUXERRE: Quel tiercé ! Mais, il faudra sans doute la photo finish pour les départager en bout de course à l’issue de ces quarante-huit heures vécues en terre icaunaise où vont se dérouler les ultimes épreuves qualificatives pour sélectionner la candidate ou le candidat, ayant l’immense privilège de représenter les couleurs de la France aux « Worldskills » 2024 ! Une fois est devenue coutume, le CIFA de l’Yonne, terreau de l’excellence, accueille de jeunes prodiges de la gastronomie tricolore encore en âge d’étudier et de parfaire leur dextérité auprès de leurs maîtres de stage, dans l’antichambre d’un évènementiel international. Et ce n’est pas n’importe lequel à dire vrai puisque les trois concurrents (Laura, Thibault et Naël) n’ont d’autres objectifs que de gagner l’une des places qualificatives à la finale mondiale de ces Jeux olympiques des métiers – ils se disputeront à Lyon, capitale hexagonale de la gastronomie en septembre prochain -, voire pour le dauphin ayant échoué si près du but dans sa quête du graal à prendre part aux « Euroskills » 2025 (l’équivalent strictement européen de la compétition), accueillis au Danemark.

Trois semaines après la finale nationale de ces championnats des métiers, disputés au préalable dans la grande métropole du Rhône, c’est une sorte de bis repetita qui redémarre pour ces trois jeunes gens – le podium hexagonal – qui repartent avec de nouvelles ambitions et davantage de stress pour tenter de décrocher la lune, ici à Auxerre, dans un centre de formation aux lignes modernistes et aux équipements ultra performants, et son personnel, toujours au petit soin pour mieux cocooner les candidats.

 

Un expert international confirmé pour les accompagner

 

Esthète confirmé de l’enseignement de la cuisine – il exerçait son métier de pédagogue au lycée de la Closerie à Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d’Armor depuis 35 ans -, le Breton Hervé LORANT a été nommé il y a peu coach de l’équipe de France de cuisine, avec pour objectif de briller lors de ces épreuves internationales à Lyon. Un expert international qui nous explique ce que sera l’épreuve de mise en place de cuisine, accueillie au CIFA de l’Yonne, celle du module de pâtisserie, avant la réalisation de la cuisine, à proprement parlé, les connaissances technologiques et l’examen oral en langue anglaise.

La fine fleur du métier est suivie de près par le coach qui espère que ces jeunes pousses arriveront à maturité en septembre prochain pour tenter de lutter avec les meilleurs mondiaux, issus de 85 pays.

A date, les trois prétendants au sésame suprême possèdent déjà 45,5 % des points qui ont déjà été actés lors de la finale lyonnaise il y a trois semaines. 19,5 % des points sont distribués avec les deux épreuves pratiques, le reliquat incombe à la posture et surtout aux qualités émotionnelles des candidats à bien savoir gérer au niveau psychologique, ce type d’épreuve.

 

 

En 2022, Hervé LORANT avait déjà gagné le mondial à Lucerne (Suisse) avec le jeune Paul PIPARD en qualité de coach. Il rêve de réitérer ce coup de génie l’an prochain avec l’un des trois candidats, présents à Auxerre.

Le portrait-robot du futur lauréat nous est brossé par le coach breton : c’est celui qui sera le plus en phase avec la cuisine raisonnée, un concept très dans l’air du temps, à l’heure actuelle.

Quant au CIFA de l’Yonne, Hervé LORANT est admiratif devant la qualité des équipements et de celles et ceux qui s’en servent.

« C’est un outil superbe, l’établissement a reçu l’agrément Worldskills pour trois ans et ne parlons pas de l’accueil que nous réserve le chef Vincent DEHARBE ! ».

Moralité, il y aura un peu du CIFA de l’Yonne dans cette future sélection internationale à venir : alors, cocorico pour l’Yonne et la Bourgogne !

 

Thierry BRET

 


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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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