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C’est peut-être le remède vital à tous les maux de la société. A ne pas distiller à dose homéopathique si l’on veut en voir les effets le plus vite possible sur le terrain. Rien de miraculeux en soi – cela se saurait ! – mais il repose sur du bon sens et de la pratique quotidienne, pour éradiquer la méconnaissance et la bêtise qui mènent tout droit vers l’obscurantisme.

Ce plan d’actions pourrait s’articuler autour de la lutte contre l’illettrisme. L’une des plaies ouvertes de nos sociétés, dites pourtant civilisées. Un fléau qui concerne, ne serait-ce que dans notre pays, un jeune Français sur dix !

On tombe des nues ou presque à la simple lecture du rapport publié par le ministère de l’Education  nationale, en juin dernier. Un jeune sur dix connaît des difficultés de lecture et d’écriture dans l’Hexagone. Encore plus consternant : près de la moitié de ces 10 % est en situation totale d’illettrisme.

 

La Nièvre dans le trio de tête des mauvais élèves de l’Hexagone

 

Avec un tel constat, observé dans l’une des démocraties les plus puissantes sur le papier de la planète, comment au XXIème siècle peut-on encore tolérer cela ?! Où sont les failles dans le système éducatif et familial pour arriver à ce piètre résultat ? Un résultat qui fait le jeu, en contre-point, de toutes les dérives manipulatrices qui fleurissent çà et là sur les réseaux sociaux. Ou ailleurs ! Car, sans recul ni logique ni discernement, plus rien n’abreuve les neurones : c’est donc l’ouverture vers l’obscurantisme et ses innombrables scories.

Géographiquement, l’étude révèle des faits qui sont pour le moins éloquents : les régions d’Outre-Mer caracolent dans la stratosphère de ces mauvais résultats avec des pics de jeunes illettrés qui atteignent des sommets. En métropole, le bonnet d’âne échoie aux départements du Nord, de l’Aisne, de la Somme. Etrangement, les difficultés à la lecture sont plus développées qu’ailleurs. Ne souriez pas : la Bourgogne Franche-Comté ne fait pas partie des bons élèves ! Nos voisins de la Nièvre le savent à plus d’un titre avec 15 % de jeunes en difficulté…sans omettre les adultes.

 

 

Rompre l’isolement de ces personnes en grande difficulté

 

Dans l’Hexagone, les chiffres font peur : plus de 2,5 millions de personnes savent à peine lire et écrire, soit 7 % de la population. C’est en Bretagne que les gens sont les plus instruits.

Bref, à l’heure de l’intelligence artificielle, cette réalité « invisible » qu’est l’illettrisme est aujourd’hui pointée du doigt par l’Etat. Désormais, la thématique intègre ses priorités. Les départements qui ont la compétence dans la gestion des collèges et les régions qui suivent de très près ce qui se vit dans les lycées leur emboîtent le pas. La lutte contre l’illettrisme est devenue une plaie béante dont il faut résoudre coûte que coûte les symptômes.

Dans la Nièvre, justement – c’est l’un des départements français les plus touchés par ce phénomène qui concerne aussi les demandeurs d’emploi et les allocataires du RSA -, un plan d’actions, baptisé astucieusement « Etre en toutes lettres » vient d’être lancé.

Il comprend quatre articulations : mobiliser et coordonner tous les acteurs du territoire face à ce fléau, proposer un suivi régulier et adapté aux personnes en grande déshérence intellectuelle, faire de l’illettrisme un vrai enjeu de société et assurer une continuité véritable dans toutes les actions qui seront déployées avec le concours de l’Etat.

Avec en toile de fond, rompre l’isolement de ces personnes qui peinent à lire et à s’instruire, et qui progressivement se marginalisent, s’extériorisent de tous les systèmes conventionnels, et…se radicalisent en bout de course, choisissant cette voie comme ultime solution pour exister.

L’Etat souhaite une plus large implication de tous les acteurs institutionnels et économiques de la société. Si l’illettrisme se repère avec facilité sur les bancs d’une école ou d’un collège, il ne doit plus passer inaperçu en entreprises où bon nombre de salariés éprouvent les plus grandes difficultés à lire une feuille de route, voire leur bulletin de salaire.

 

 

Ce besoin de reconnaissance si vertueux et paisible

 

Le chantier est important mais pas insurmontable. D’autant que l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme et les nombreuses associations familiales veillent au grain pour remettre sur de bons rails celles et ceux de nos compatriotes – mais aussi des étrangers – qui se seraient égarés en route.

Ce sont en effet chaque année plus de mille manifestations qui sont ainsi organisées à l’automne avec conférences, débats, expositions, projections de film, remises de diplômes…Un grand pas vers l’encouragement et l’estime de soi !

Tellement fondamental, ce degré de reconnaissance qui est ô combien nécessaire pour ne pas s’éloigner du bon chemin. Celui de la vertu, de l’audace et…de la paix.

 

Thierry BRET

 

 


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Il n’en a dit que du bien ! Et pour cause, l’enfant terrible du football français, en résidence au théâtre d’Auxerre, a donné la primeur de son nouveau spectacle de chansons – l’ex-attaquant de Manchester United en a écrit les textes – face à un public conquis dont un certain Guy ROUX, ému aux larmes à l’écoute de ses morceaux ciselés à la Léo FERRE. Un bel anniversaire musical pour l’ancien coach de l’AJA qui a soufflé cette semaine ses 85 bougies !

 

Lundi   

A-t-on encore le droit en France de pleurer à la fois sur la tragédie que vit Israël et sur le sort des Palestiniens, enfermés dans cette prison à ciel ouvert qu’est devenue la bande de Gaza, sans se faire taxer de sioniste d’un côté et de terroriste de l’autre… ? N’en déplaise au poète, les larmes n’ont pas de couleurs ni drapeaux et l’on se doit de revendiquer le droit de les verser par-delà les frontières.

 

Mardi

Comme ils sont « mimi » ces cœurs roses affichés dans le cadre du festival « Un fil à suivre-Mouv-Art », sur l’esplanade du théâtre d’Auxerre, juste au-dessus du nom dont elle fut baptisée un jour… Comme un retour aux sources pour les nostalgiques de la rue de Solférino et du 10 mai 1981. De quoi réveiller les « éléphants » du Parti socialiste, si tant est qu’ils ne soient pas tous passés de vie à trépas. Des « éléphants roses » bien sûr !

 

 

Mercredi   

Gros succès d’audience pour Crescent MARAULT, qui remplit les salles à chacune des neuf réunions publiques programmées dans les différents quartiers d’Auxerre. Un succès estompé par ses scores à l’applaudimètre, tant les critiques fusent à l’encontre de son projet de gestion des déchets. Celle des Piedalloues s’est jouée à guichet fermé, devant un public particulièrement hostile à la politique annoncée et à la forme employée : « Une consultation préalable aurait peut-être été nécessaire ? La méthode est nulle et à revoir. Et quand on se plante à ce point-là sur la méthode et bien on a tort ! ». Fermez le ban !

 

 

 

Jeudi  

Certains en rêvaient, Enrico l’a fait ! A-t-on atteint un point de non-retour sur l’antenne de CNEWS, après ce qui s’apparente ni plus ni moins à un appel au meurtre perpétré en direct, visant les élus de LFI au premier rang desquels son leader Jean-Luc MELENCHON. Suite aux atermoiements sémantiques de ce dernier pour reconnaître le Hamas comme une organisation terroriste, Enrico MACIAS a appelé à « dégommer ces gens-là, peut-être aussi physiquement… ». Même Pascal PRAUD, passé maître dans l’art de l’invective et figure de l’extrême droite médiatique, en est resté coi, appelant le chanteur à plus de retenue ! On a le droit et même le devoir, face aux exactions commises par le Hamas, de partager et porter sur ses épaules la douleur de tout un peuple, mais l’émotion n’autorise pas ce genre de saillies verbales. A bientôt 85 ans, il serait peut-être temps pour celui qui naguère chantait l’amour entre les peuples de remballer sa guitare et d’oublier les plateaux télé pour se consacrer à son autre passion qu’est la pétanque, plutôt que « pédaler ainsi dans la semoule » ! Po, po, po…

 

Vendredi  

Ils n’étaient que quelques centaines à battre le pavé auxerrois ce vendredi pour réclamer une augmentation des salaires et pensions face à l’inflation. En ce chaud après-midi d’automne et aussi légitimes soient-elles, les revendications énoncées à grands coups de slogans et de refrains détournés, avaient presque valeur d’apaisement, faisant oublier le temps d’une manifestation le drame qui s’était joué le matin même à Arras ou les milliers de morts du conflit israélo-palestinien. Comme un effet catharsis pour effacer l’horreur…

 

 

Samedi 

Un homme est mort et c’est l’école de la République que l’on assassine… Un homme est mort, qui s’appelait Dominique BERNARD, un nom et un prénom dont l’écho résonne douloureusement… Un homme est mort, il était professeur agrégé de lettres modernes et luttait à sa manière contre tous les obscurantismes, en apprenant à trouver dans la littérature, matière à tolérance et à vivre ensemble. Un homme est mort et c’est tout un pays qui s’enfonce un peu plus dans la nuit…

 

Dimanche

 

Présent au récital donné par Éric CANTONA ce jour au théâtre municipal d’Auxerre, Guy ROUX ne s’est pas fait prier pour distiller à la presse quelques anecdotes croustillantes sur l’ancien enfant prodigue de l’AJA. Comme ce jour où dans le bus qui transportait l’équipe, résonna la voix de… Léo FERRÉ !  « On mettait alors de la musique pour l’ambiance, le plus souvent, c’étaient les joueurs mais de temps en temps, c’était mon tour et ce jour-là, je mis une cassette de FERRÉ ». Avant même la fin de la première chanson, celui qui n’était pas encore « the King » bondit du fond du car : « qui c’est celui-là, je veux le connaître ! ». Une passion est peut-être née ce jour-là, à l’égard du « chanteur de l’anarchie », dont Eric CANTONA se revendique aujourd’hui pour l’écriture de ses chansons. Il y a pire comme filiation !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Ce n’est pas un colloque ordinaire. « Ordinaire » : l’un des titres majeurs de la longue et fructueuse carrière du plus français des québécois, Robert CHARLEBOIS ! Car, c’est bien d’un rendez-vous international mené avec la « Belle Province » d’outre-Atlantique dont il s’agit là et qui va rythmer la vie économique et institutionnelle de la Bourgogne occidentale, trois jours durant entre le 25 et 27 octobre.  

 

NEVERS (Nièvre) : Retenez-bien cet acronyme ! Spécialistes de la transition énergétique, de la RSE, des relations humaines, de l’entrepreneuriat et de la gestion des collectivités en quête de solutions pratico-pratiques (et efficientes) pour résoudre tout un tas de problématiques de la société, élus, il vous concerne tous ! « SIIVIM » ! Sa traduction littérale est « Sommet International de l’Innovation en Villes Médianes ». Un énième salon de plus dans le paysage de la réflexion et des neurones qui recherchent des préconisations ? Que nenni !

Placé sous le haut patronage de la Présidence de la République – c’est dire si l’évènement en mode biennal puisque accueilli une année en France, la suivante au Québec fait recette bien au-delà de la terre nivernaise -, ce rendez-vous ne ressemble pas à ce que l’on propose en règle générale en terre de Bourgogne. Depuis 2018, date de son apparition dans le paysage des évènementiels à biffer coûte que coûte sur son agenda, pour celles et ceux qui sont concernés par les thématiques, le SIIVIM a acquis petit à petit ses lettres de noblesse pour devenir l’une de ces manifestations où il est bon d’apparaître, tant sur un plateau conférence, tant dans la partie exposition où sont accueillies les entreprises et les collectivités.

Quelques chiffres pour planter le décor de cette cinquième édition, devant se dérouler dans la ville réputée pour sa célèbre « botte » usitée chez les escrimeurs, du 25 au 27 octobre prochains.

 

 

Pléthore d’animations et de conférences

 

Onze thèmes différents y seront abordés, vingt conférences et tables rondes y seront proposées avec la bagatelle de soixante intervenants, des spécialistes et sommités en la matière en provenance de l’Hexagone, d’Europe mais aussi du Canada. Douze délégations étrangères y participeront dont des contrées européennes et africaines. Quatre-vingt-dix clés d’innovations pour la ville intelligente y seront dévoilées dans un espace immersif de plus de mille mètres carrés, accueillis à la Maison des Sports de Nevers. Six parcours scénarisés et une dizaine d’opportunités d’être retenus pour la sélection de l’édition 2024 au Québec.

Bref, on l’aura compris pour les équipes organisationnelles de Nevers Agglomération et de la Ville de Nevers, force accueillante, le SIIVIM, c’est du très lourd. Au point de réaliser la conférence de presse annuelle au printemps depuis Paris !

On doit la genèse de ces rencontres « innovantes » au président de Nevers Agglomération, maire de Nevers et conseiller régional, Denis THURIOT et à son homologue en sa qualité d’édile de la localité de Shawinigan (Canada), Michel ANGERS. En l’espace de cinq ans, le SIIVIM a optimisé les contacts entre les acteurs privés et publics qui se sentent investis en faveur de la transition énergétique, de son amélioration et de la préservation de la planète.

Côté représentativité économique, ce sont plus d’une centaine de startups hexagonales qui convergeront vers les bords de la Loire à Nevers. On y attend aussi plus de trois mille visiteurs. L’évènementiel se clôturera par la remise de trophées, les fameux SIIVIM de l’Innovation des territoires médians, devant récompenser les plus belles initiatives des collectivités. Celles de 10 000 à 100 000 habitants tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger. Sachant que cette remise de prix est portée par la mission ECOTER France et Territoires numériques.

L’innovation en pleine effervescence au service de l’amélioration de la vie dans les villes : c’est au SIIVIM que cela se passe !

 

 

En savoir plus :

Le SIIVIM 2023 à Nevers à la Maison des Sports

« Transformation énergétique et innovation »

4 boulevard Pierre de Coubertin

Mercredi 25 octobre : Soirée d’ouverture à 19 heures

Jeudi 26 octobre et vendredi 27 octobre de 08H30 à 17h30.

Une centaine de startups, 90 innovations sur les enjeux de la ville intelligente,

Soixante intervenants,

Onze thématiques (mobilités douces et propres, ré-industrialisation des territoires médians, enjeux de l’eau, data efficient, cyber-sécurité du bâtiment, numérique responsable, économie circulaire, devenirs, attractivité des cœurs de ville, santé et accessibilité des villes médianes, inclusion numérique…

 

Thierry BRET

 

 


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Après cinq jours passés en résidence au théâtre d’Auxerre pour peaufiner la tournée prévue débuter le 26 octobre prochain à Manchester, Éric CANTONA a présenté dimanche soir en avant-première, à quelques privilégiés et en exclusivité, le fruit de son travail d’auteur compositeur interprète. Comme un retour aux sources pour celui qui fit dans les années 80 les belles heures de l’AJA, gardant au cœur le souvenir d’Auxerre…

 

AUXERRE : A l’heure de la première chanson, la scène du théâtre se fond dans une lumière rouge, symbole de puissance, de force, d’énergie et de passion. Couleur de révolte mais avant tout d’amour, symbolisant le parcours d’un homme qui a fait de sa vie un kaléidoscope de défis et d’aventures. Après le foot, le cinéma, le théâtre, la peinture ou la photographie, Éric CANTONA fait preuve une nouvelle fois de son talent caméléon, en entamant une carrière d’auteur compositeur interprète.

Après avoir passé cinq jours en résidence dans l’ancienne « Maison du peuple », rue Joubert, c’est dans l’intimité d’un concert privé réunissant 180 privilégiés, qu’il a présenté dimanche soir à Auxerre, le fruit de son travail. Au programme, pas moins de 19 chansons pour la plupart inédites, écrites par « the King Éric » himself. Des textes empreints à la fois de colère et de mélancolie, témoignant de l’hyper sensibilité d’un écorché vif au caractère de feu, dont le talent fut découvert ici même, il y a 42 ans, lorsque le minot marseillais entama à 15 ans, la carrière que l’on connaît, en intégrant le centre de formation de l’AJA.

 

 

Guy ROUX craignait de s’ennuyer, c’est raté !

 

Les chansons, pour la plupart en anglais, s’enchainent, portées par les notes du piano et les pleurs du violoncelle, magnifiées par une voix aux accents de rocaille qui n’est pas sans rappeler ARNO ou Paolo CONTE, voire le grand Léonard COHEN, lorsqu’elle se fait miel et se fond dans le souffle du micro. « I’ve been angelic, I’ve been infernal… ». Moitié ange, moitié démon, elles parlent tour à tour de colère, d’amitié, de liberté, de doutes aussi… « Je ne suis ni de votre avis, ni du mien, je m’interroge c’est tout… ».

L’ancien attaquant envoie la balle au fond des filets une fois encore et le public est sous le charme. Parmi les invités à cette avant-première, il en est un qui avait les « yeux pluie » à la fin du spectacle et ne cachait pas son émotion lorsque les lumières se rallumèrent : « il m’en faut beaucoup pourtant, je n’ai pas la larme facile, la dernière fois que j’ai pleuré pour un chanteur, c’était Léo FERRE… ».

Guy ROUX le confesse : « je me suis laissé bercer, même si je peine avec les chansons en anglais. Et dire que je craignais de m’ennuyer ! Je serai bien au final resté une heure de plus… ».

 

 

 

Une série de concerts à Manchester…

 

Bluffé une fois encore par son ancien protégé : « aussi imprévisible avec un ballon que dans la vie… ». L’ancien entraîneur mythique de l’AJA a depuis longtemps perçu que derrière la rugosité se cachait une hypersensibilité source de toutes les inspirations : « Une fois encore, il va réussir, il est tellement riche d’humanité, le miracle étant qu’il a fait tomber toutes les scories et ne reste aujourd’hui que sa générosité… ».

Avant ce dernier aveu, ponctué de rires : « le dernier spectacle auquel j’ai assisté avant celui-ci, c’est l’avant dernier d’AZNAVOUR à l’Olympia, vous voyez que je choisis mes poètes ! ».

Après cette avant-première auxerroise, direction Manchester pour Éric CANTONA et ses musiciens. Au programme, deux soirées au « Stoller Hall », avant Londres et Dublin, suivies d’un retour à Marseille, autre ville de cœur de l’artiste. Avec comme ultime défi, des enregistrements en « live » pour alimenter un CD prévu sortir au printemps prochain. Le « roi » Éric n’est pas mort, CANTONA chante encore !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Notre société se cantonne le plus souvent à un raisonnement binaire. Les médias nous proposent des postures et des analyses qui se prolongent par une doxa. Celle-ci nous transforme peu à peu en mouton. Sortir du cadre établi par les journalistes et le pouvoir politique, c’est aussi pouvoir tenter de comprendre différemment une situation ou un problème. C’est aussi éveiller notre créativité sclérosée par les fourches caudines de l’habitude, de la paresse et du pouvoir !

 

TRIBUNE : Prenons l’exemple de l’Ukraine. Ce qui s’y joue n’est pas forcément un conflit géographique ! Si, épistémologiquement, Vladimir POUTINE semble plus proche du paradigme des « Pieds Nickelés » que de celui du balancier de SCHOPENHAUER, on peut trouver de nombreuses raisons à la guerre qu’il mène contre l’Ukraine. Une guerre meurtrière où les deux protagonistes tuent aussi des civils et s’accusent mutuellement de « crimes contre l’Humanité » !

Depuis le début de cette guerre, on s’est concentré sur la volonté de POUTINE de conquérir de nouveaux territoires pour une extension géographique. Très vite, on a prolongé le raisonnement par la volonté du chef du Kremlin de reconstituer l’ancien empire soviétique, une approche plus géopolitique. Ce n’est pas nécessairement faux, mais essayons de prendre le problème autrement.

 

 

Le conflit russo-ukrainien : une guerre civilisationnelle

 

 

Au prisme de faits établis, examinons ce conflit comme une guerre de civilisation. De quelles civilisations parlons-nous ? De la civilisation occidentale contre une civilisation orientale qui n’a pour d’autres caractéristiques associées, une politique basée sur le totalitarisme. Une histoire différenciée ancienne, une culture basée sur de nombreuses écritures, une division du travail et une urbanisation.

On note tout de suite qu’il n’est plus possible d’opposer l’Orient à l’Occident. Si l’Occident est aisément identifiable, le groupe en opposition n’est rassemblé que par un régime politique totalitaire. Nous l’appellerons la civilisation « totalitaire ».

 

 

 

Civilisation occidentale contre civilisation « totalitaire »

 

 

Dans le cadre de cette civilisation « totalitaire », quels sont les alliés réels de Vladimir POUTINE et quels sont les alliés potentiels de la civilisation « totalitaire » ?

Les alliés d’aujourd’hui se comptent avec la Chine, la Corée du Nord, la Syrie, l’Iran et la Biélorussie, pour ne citer que les plus importants. La première caractéristique de ces pays, c’est le totalitarisme.

Cette forme de gouvernement présente un risque systémique de propagation. Notons déjà la Turquie qui, agissant de manière manichéenne, affirme ou pas son soutien à Vladimir POUTINE mais est conforme à ce que nous appelons la civilisation « totalitaire ».

La tentation extrémiste et totalitaire gagne aussi l’Europe. En Europe, l’Italie, la Hongrie et la Pologne sont dirigées par des partis dits « d’extrême droite ». L’extrême droite peut être assimilée à un parti totalitaire, plus nuancé et plus démocratique, certes, mais sans concession avec l’ordre social, économique et financier.

En Finlande et en Lettonie, l’extrême droite fait partie du gouvernement et en Suède, elle soutient l’action gouvernementale. En France, le Rassemblement National (considéré comme un parti d’extrême droite), est le premier parti représenté à l’Assemblée nationale.

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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