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Outil au service des collectivités, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) célèbre sa cinquième année d’existence. Pourtant, l’entité présente déjà un bilan, riche d’actions et d’évènements. Permettant ainsi à la ruralité de bénéficier d’avancées technologiques similaires aux communes urbaines. Dirigé par Eric GENTIS, l’organisme prône un maillage équitable de vitalité et de modernité sur l’ensemble du territoire. L’an passé, 15,2 millions d’euros de travaux ont été réalisés pour accompagner les communes dans l’amélioration des réseaux d’énergie. Des résultats positifs et encourageants qui engendrent moult motifs de satisfaction de la part de son président, Jean-Noël LOURY…

AUXERRE : Partant du postulat que l’Yonne et la ruralité possèdent d’indéniables atouts, le SDEY poursuit avec le succès qu’on lui connaît depuis ses origines son bonhomme de chemin. En cela, 2018 aura permis d’accroître la vision stratégique de la structure, tout en optimisant les services et prestations pour le bienfait des collectivités.

Il suffit d’analyser le montant des travaux, en hausse de 2 % par rapport à l’exercice antérieur, pour bien comprendre la finalité du syndicat départemental d’énergies.

Moderniser le territoire ne s’apparente pas un simple leitmotiv de plus. C’est devenu au fil des missions un cheval de bataille récurrent qui est accompli avec professionnalisme et sérieux par les équipes de la structure.

Sur l’enveloppe globale de 15,2 millions d’euros qui a été affectée à ce vaste chantier menant l’Yonne vers la modernité technologique, 5,9 millions ont servi à optimiser l’éclairage public.

Les travaux de dissimulation se sont élevés à 3,5 millions d’euros, tandis que le renforcement, l’extension et la sécurisation ont requis 3,9 millions d’euros. Le réseau de télécommunication n’a pas été exclu de cette stratégie offensive. Un subside de 1,7 million d’euros lui a été consacré.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur ce dossier, précisons que 250 000 euros ont été nécessaires pour équiper en bornes de recharge pour véhicules électriques les points névralgiques du département.

En parallèle, 28 pylônes ont été érigés afin de résorber les zones blanches qui pénalisaient jusque-là les communications téléphoniques. Novatrice, l’Yonne a ainsi pu boucler son programme initial puisque la dernière construction métallique a été installée à la mi-janvier. Ce travail se faisant en étroite osmose avec les communautés de communes.

Mobilité électrique : des résultats déjà probants…

Le SDEY a eu raison d’être avant-gardiste et précurseur, sur un sujet dont il a su maîtriser amplement les paramètres. Les enjeux de la mobilité électrique n’ont pas été pris avec légèreté par ses responsables. En 2018, l’organisme a ainsi terminé son programme de déploiement des bornes de charge de première génération.

Soit in fine, un total de 120 bornes dont dix-sept appareils qui peuvent accélérer le processus de chargement en un laps de temps plus court. En outre, 230 raccordements simultanés de véhicules sont fonctionnels.

Les premiers résultats ne se sont pas fait attendre même si quelques sceptiques ne croyaient guère à l’efficacité du dispositif. En avril 2018, le SDEY enregistrait 300 recharges sur le mois. Dès octobre, celles-ci augmentaient à 1 300 opérations mensuelles ; cela a permis d’économiser 2 688 kg de Co2. Pour arriver à ce premier jalon positif, le syndicat aura injecté 1,8 million d’euros.

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D’autres initiatives ont fleuri çà et là dans le département. Par exemple, la promotion de l’auto-partage. Impulsé par Rémy CLERIN, vice-président du SDEY, un programme s’est développé à grand renfort de sensibilisation. Maire de la localité de Perrigny-sur-Armançon, Eric COQUILLE n’est pas resté insensible à la démarche. Elle est aujourd’hui opérationnelle avec le soutien de l’AVERE (Association pour le développement de la mobilité électrique). Plusieurs communes devraient prendre le relais car très intéressées par l’initiative.

Un test d’une envergure nationale sera réalisé avec le partenaire allemand du SDEY, HUBJECT, en faveur d’un nouveau mode de paiement à la connexion avec un système de détection du véhicule.

La méthanisation intègre les axes prioritaires…

A l’étude depuis cinq ans avec le concours de la SEM Yonne Energie, le projet « HYCAUNAIS » entame enfin une nouvelle phase de son existence. Ce dispositif de méthanisation s’installera d’ici peu sur le site de la COVED, à Duchy.

Unique en Europe, il s’agira de produire du méthane de synthèse à partir de gaz carbonique. Ce dernier s’échappant d’un centre d’enfouissement d’hydrogène fabriqué à partir de l’électricité qui est produite par des éoliennes. 

En soutenant ce projet, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne se positionne comme l’un des acteurs majeurs de la transition énergétique au côté de la Région. Organisme institutionnel de poids, avec lequel le SDEY entretient des liens en étroites synergies.

Des aides supplémentaires favorables à l’éclairage public

Faciliter le passage des communes vers un éclairage public intelligent (grâce à la nouvelle génération de LED) sera vivement encouragé en 2019. En ce sens, le président Jean-Noël LOURY a décidé, avec l’appui unanime de ses collègues lors de l’examen du budget, d’augmenter les aides pour l’éclairage public avec un taux de subvention de 70 %. Quant aux charges de fonctionnement des communes qui optent pour l’usage du LED, la gratuité de la maintenance sera appliquée pendant cinq ans. Les autres communes voyant leur forfait de maintenance se réduire de moitié.

Autre geste financier important consenti envers ces localités en phase avec la sauvegarde de l’environnement : la prise en charge intégrale du forfait de maintenance des bornes de recharge pour véhicule électrique. Il s’élevait à 400 euros par an pour une borne semi-rapide et de 1 500 euros par an pour une rapide.

Testé en 2018, l’achat groupé d’énergie a généré de belles économies pour les communes. L’opération sera reconduite cette année, après un appel d’offre conçu avec l’ensemble des syndicats d’énergie de la région Bourgogne Franche-Comté.

Le SDEY apportera une autre valeur ajoutée aux communes qui le désirent : des conseils et préconisations pour celles qui souhaitent diversifier leur approvisionnement énergétique en finançant les études et les constructions de chaufferies bois et de réseaux de chaleur, ainsi que les initiatives issues de l’auto-consommation.

Plusieurs communautés de communes (Avallon-Vézelay-Morvan, le Jovinien, la Vanne, le Pays d’Othe, Yonne Nord et le Gâtinais en Bourgogne) entreront dans la phase active du Plan Climat Air Energie territorial. Celui-ci s’achèvera courant 2019.

Malgré tous ces chantiers, il sera toujours temps pour le SDEY de se projeter davantage vers l’avenir.

Et de passer à la phase concrète de sa politique en faveur des territoires intelligents. Dans les faits, cela se traduira par la mise en place d’une navette électrique autonome à Vézelay, la pose de stations électriques multi-modales (cycle, scooter, voiture, un service dédié aux habitants grâce à une alimentation issue du réseau électrique et par les énergies renouvelables), et la navette médicale, développée avec le soutien de Patrick BUTTNER, vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.

Si 2018 fut riche pour le SDEY, l’année 2019 devrait être encore plus dense pour le syndicat, compte tenu des nombreux projets qui se profilent à l’horizon…


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Peut-être avez-vous regardé au soir du jeudi 17 janvier, l’émission politique, intitulée « La France se parle », animée par la gracieuse Léa SALAME et le fringant Thomas SOTO. Quoi qu’il en soit, on a appris que l’une des porte-parole du mouvement contestataire des « Gilets jaunes », Ingrid LEVAVASSEUR, serait tête de liste aux prochaines élections européennes. C’est un signe de démocratie et après tout, pourquoi pas ? Toutefois, il y a un « mais » derrière l’initiative…  

TRIBUNE : Venons-en d’abord aux faits. Quelle est la fonction du Parlement européen ? Quel est son pouvoir et quels sont ses fonctions ? Quel rapport existe-il entre le mouvement des « Gilets jaunes » et l’Europe, leurs revendications aussi diverses que multiples et le Parlement européen ? Qui parmi vous, est à même de répondre à ces questions, voire même à une seule de ces interrogations que l’on est en droit de se poser ?

On a lancé le Grand Débat national avec des cahiers de doléances dans les mairies. Le président a fait un beau discours inaugural pour promouvoir cet exercice. Est-il pour autant question de l’Europe lors de ces rencontres physiques et de cette consultation numérique ?

En revanche, le Rassemblement National espère prendre sa revanche sur les élections présidentielles en obtenant un score élevé aux européennes. Quel rapport y a-t-il entre les élections présidentielles en France et le Parlement européen ? Ces échéances continentales ont-elles, pour objet, de comptabiliser le score des différents partis politiques qui s’affrontent depuis des lustres dans l’Hexagone ?

Enfin, je vous soumets la question principale : quel est le programme d’Ingrid LEVAVASSEUR en matière de politique européenne et, d’une façon générale, quel est le rapport entre le mouvement et les revendications des « Gilets jaunes » et la politique de la Commission européenne et du Parlement européen ?

Voilà qui démontre, une fois de plus, que toutes les instances européennes ont très peu de place parmi les préoccupations actuelles des Français.

En fait, tout le monde sait que le Parlement européen, c’est-à-dire les élections européennes, sont un merveilleux moyen de caser « les copains et les coquins » qui ont été recalés au suffrage des élections nationales ou locales en France.

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Ou, plus grave, qui n’ont pas pu trouver un emploi parmi l’un des multiples Comités, Hauts Conseils de ceci ou de cela. Tel que le Conseil économique social et environnemental ou le merveilleux « Conseil du Débat Public », présidé par Chantal JOUANNO où elle perçoit un salaire mirifique de 176 000 euros par an.

En ce qui concerne la répartition des places parmi tous ces comités nationaux et conseils multiples et divers, qu’ils soient « Hauts » ou « Bas », (les fameux comités Théodule chers au Général de GAULLE), je vous invite à lire l’ouvrage de la journaliste politique Ghislaine OTTENHEIMER : « Les Intouchables ». Une lecture passionnante à compléter avec « L’Oligarchie des incapables », opus signés des plumes de Sophie COIGNARD et Romain GUBERT. Vous serez alors proprement édifié(e)s !

Qu’il s’agisse de la présidence des grandes sociétés nationales ou des super-placards en or massif, où  l’on se retrouve « entre amis », bien-pensants et bienveillants, le Parlement européen, à titre de comparaison, c’est l’aumône aux recalés !

En conclusion, Ingrid LEVAVASSEUR a trouvé ce qu’on appelle dans le langage populaire la possibilité d’obtenir « une bonne gâche » en cas de réussite !

Les « Gilets jaunes » qui l’auraient élue, découvriraient alors après coup que, si dans le vaudeville français, le jaune est la couleur des cocus, ce coloris spécifique pourrait bien identifier comme pour le « Sganarelle » de Molière cette caste de la population française : des « cocus », certes battus, mais contents ! 

Quant à Ingrid LEVAVASSEUR dans tout ça ? Ne vous inquiétez pas pour elle ! En cas d’élection, elle bénéficiera d’une bonne rémunération pour six ou huit voyages par an à prévoir à Strasbourg et pourra choisir parmi sa garde rapprochée des membres des « Gilets jaunes », bien dociles, qui deviendront ses futurs assistants parlementaires. Les dirigeants des partis politiques français lui expliqueront sans doute comment faire.

La farce européenne continuera ainsi d’être jouée. Qui paiera les violons du bal ? Posez-vous la question une fois de plus. Mais, sans doute, vous connaissez certainement déjà la réponse !

Emmanuel RACINE


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Quelle sera la configuration opératoire pour l’Europe de demain et ses institutions ? A l’aune d’une future échéance électorale, la seule de l’année 2019, mais déjà qualifiée de très importante par l’ensemble des observateurs de la chose politique, le MODEM et la République en Marche de l’Yonne ont posé des jalons étroits pour une réflexion commune auprès de leurs militants et sympathisants. Face à une conjoncture mouvementée et complexe, le dialogue et l’échange d’idées demeurent l’une des priorités essentielles pour tenter de résoudre l’ensemble des problématiques actuelles. Mieux entendre et écouter l’autre, c’est aussi apporter du grain à moudre à la compréhension et à la réflexion à l’heure des choix…Surtout quand les messages explicatifs sont véhiculés par des exégètes en la matière…

AUXERRE : Débattre autour de l’Europe, sur ses forces et ses faiblesses, sur ses atouts et ses défauts, sur les attentes qu’en ont les citoyens. Ces initiatives où le dialogue et la concertation priment avant tout sur tout autre chose, devraient se déployer à un rythme plus soutenu au cours de ces prochaines semaines sur le territoire. Les antennes départementales du MODEM et de La République en Marche (LAREM) en ont fourni la preuve tangible il y a peu dans la capitale du département.

En organisant un rendez-vous liminaire sur ce thème, où les deux formations qui feront liste commune aux Européennes, ont voulu éclairer de leurs lumières, et en s’appuyant sur des intervenants de qualité, nos concitoyens sur les paramètres fondamentaux, qui découlent de ce scrutin, loin d’être anodin pour notre avenir.

La question de l'Europe ne peut se balayer d'un simple revers de la main...

C’est en substance ce que les organisateurs de la soirée ont pu affirmer en préambule de cette conférence articulée autour de trois orateurs de belle envergure : Elodie RISENTHAL, consultante et spécialiste des questions européennes, Marcel GRIGNARD, président de « Confrontations Europe », organisme qui s'active sur des groupes de travail (investissement de long terme et financement de l'économie, numérique, énergie et transition bas carbone, économie circulaire, Europe compétitive et sociale, insertion professionnelle des jeunes)- il est chargé de mission auprès de la Ministre du Travail, et Jean KASPAR.

Ce dernier, apprenti dès l’âge de 14 ans, a succédé à Edmond MAIRE, en tant que secrétaire général de la CFDT en 1988. Il y sera l'initiateur de la « stratégie des convergences », destinée à rapprocher les organisations syndicales réformistes en France.

Vice-président de l'Observatoire social international liant « Entreprise et Personnel », Jean KASPAR est très sollicité par ailleurs. Il intervient au CNAM, à Sciences Po Paris, à l’IAE de Paris, à l’Université de Haute-Alsace et à Marne-La-Vallée. Nommé en 2012, président de la Commission du Grand Dialogue de La Poste, il est actuellement conseiller municipal d'opposition à Villeneuve sur Yonne.

Devant un auditoire attentif, les trois conférenciers livreront leurs visions de l’Europe en fonction de leurs appétences techniques et structurelles. Ouvrant le ban, Elodie RISENTHAL proposa un retour aux fondements de l’Europe. Avec une analyse fine des traités originels. Quand l’Europe n’en était encore qu’à l’état embryonnaire et balbutiait ses premières décisions au sortir de l’Après-Guerre, avant de prendre davantage de volume dans les années 1950.

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Et pêle-mêle de faire référence à la liberté des échanges avec la reconnaissance des diplômes, à la libre concurrence et à la libre circulation des citoyens et des travailleurs.

« Quatre millions de personnes franchissent chaque jour une frontière grâce aux accords de Schengen, précisa-t-elle. Indéniablement, l’Europe a facilité les flux et le commerce. Tout en préservant le contrôle des frontières… ».

Et de rappeler le poids de l’agence FRONTEX (et ses 250 millions d’euros de budget) qui permettent d’assurer un rôle de coordination et de contrôle des états membres.

Toutefois, malgré les moyens mis en œuvre par les états membres, cela n’empêchera pas, dès 2005, l’afflux important de migrants (un million de déplacés). Les demandes d’asile devenant plus élevée dans les pays d’entrée à l’instar de la Grèce (82 %) et l’Italie (15 %).

« Aujourd’hui, continua l’oratrice, l’Italie agite le drapeau rouge en disant que sa quote-part a été atteinte. Le responsable de l’exécutif, SALVINI, interdit tous les bateaux (200 000 migrants en afflux) qui se dirigent désormais vers les côtes de l’Espagne. Dans le domaine de la solidarité à ces personnes : il reste beaucoup à faire… ».

Faire progresser l’Europe vers davantage de droits sociaux…

L’évocation de l’Europe sociale incomba à Marcel GRIGNARD. Pour lui, il est nécessaire de tirer l’Europe vers le plus haut niveau des conditions de travail.

« Cette Europe sociale, elle existe, dit-il, nulle part ailleurs, autant de pays ont pris de l’intérêt à résoudre cette question sociale. Mais, c’est évident : elle peut mieux faire ; d’autant que l’élargissement avec les nations de l’Europe centrale, survenu dans les années 2000, a fait tout dérailler… ».

Depuis, la compétition économique entre les pays de l’Union est devenue récurrente. Avec son lot de tricheries autour des règles et des salaires, la présence d’une concurrence sociale violente ou la prolifération de travailleurs détachés.

Mal gérée au niveau social, l’Union européenne n’est pas à la hauteur des attentes de ses habitants, victimes de dégradations sociales. 

Pourtant, certains européens convaincus disent qu’il est grand temps de stopper cela. Et de proposer un salaire égal pour un travail égal.

« Créer un socle social européen (avec une série de droits nouveaux autour de la famille et parental) a été salué par tous, ajoute Marcel GRIGNARD, mais, ce socle qui est intéressant est renvoyé à l’appréciation de chaque état membre… ».

Il est difficile aujourd’hui d’harmoniser les décisions européennes. Même si le continent a progressé en développant des éléments sociaux en commun, l’essentiel de ces décisions demeure nationale.

Quant à la situation de l’emploi, à travers l’Europe, elle est bancale et inappropriée aux besoins des peuples qui y habitent.

Nonobstant, et les trois interlocuteurs devaient se rejoindre sur le dernier volet de leur causerie, en insistant sur cette envie unanime d’Europe.

« On a besoin d’une Europe qui nous permettre de traiter la délicate question du climat et celle du bien-être de l’humanité, de bénéficier d’une nourriture saine et de l’eau en abondance, de vivre sur des territoires où règnent la concorde, la cohésion sociale et l’égalité. De mutualiser nos énergies. Cette Europe qui nous unit doit pouvoir agir sur tous les problèmes sérieux qui dépassent la simple gestion d’un état : cela concerne la protection des données numériques, la sécurité face au terrorisme, le paiement des impôts visant les grandes multinationales. Nous avons un destin commun, c’est celui de construire ensemble notre propre avenir, avec des valeurs et aspirations parfois identiques mais aussi éloignées les unes des autres. Il nous faut faire un effort considérable pour comprendre les autres…. ».

Etre capable de l’expliquer aux Européens (et aux Français) pourrait apporter du mieux au quotidien. Voilà à quoi vont s’employer les représentants du MODEM et de LAREM de notre territoire d’ici le jour J de ce vote capital…

 


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Plusieurs mois d’un travail minutieux, millimétré au cordeau, auront été nécessaires aux préparatifs du grand banquet de la Saint-Vincent tournante régionale qui se déroule ce week-end à Vézelay. L’ambitieux pari des organisateurs de pouvoir réunir sous la même bannière les fines fleurs de la gastronomie de l’Yonne est déjà en soi une réussite. Avant même que ne soit donné le moindre coût de fourchette dans ces assiettes royales qui recevront les recettes sublimées par autant de talents. Parmi ces quatre « mousquetaires » de l’ordre d’Escoffier et des arts culinaires à y prendre part, citons la fameuse toque de La Côte Saint-Jacques, l’étoilé Jean-Michel LORAIN et l’incontournable référence de la cuisine française, Marc MENEAU.

VEZELAY : La promesse était de taille pour les organisateurs de l’évènement. In fine, le défi est tenu ! Quatre signatures exceptionnelles des arts de la table et de la gastronomie nationale exerceront de concert leur savoir-faire afin de sublimer les papilles des 700 convives, ayant choisi de participer au banquet de la Saint-Vincent tournante de Bourgogne. Ce rendez-vous est décliné durant ce week-end spécial vécu sur la Colline éternelle, ce samedi 26 janvier.

L’inoubliable chef de L’Espérance, Marc MENEAU, ouvrira le bal de ce copieux programme pour gourmets et épicuriens. Associé à son fils, Pierre, il signera une divine entrée, servie après diverses mises en bouche gustatives.

La figure emblématique de Vézelay concoctera sa célèbre « huître en gelée d’eau de mer », agrémentée de la truite de Crisenon, accompagnée de perles de manioc et de son caviar de truite, sur une gelée de pomme.

Il reviendra au prometteur mais déjà excellent Ryo NAGAHAMA, qui officie au « Fil du Zinc » à Chablis de se livrer à un exercice toute en finesse et en subtilité : la seconde entrée.

Les férus de bonne chair se sustenteront d’une mousseline de brochet et sa crème d’écrevisses. Recette qui sera accompagnée d’un bourgogne Vézelay 2016, de la cuvée spéciale de la Saint-Vincent.

 

Chef doublement étoilé de la Côte Saint-Jacques, établissement que l’on ne présente plus dans le paysage de la haute gastronomie française, Jean-Michel LORAIN abordera le plat principal. L’une de ses spécialités où le maître excelle : la volaille fermière à la vapeur de crémant de Bourgogne. Le plat principal se mariera à un gevrey-chambertin millésime 2014, de la cuvée des vignerons.

Quant aux aficionados du chocolatier-confiseur Olivier VIDAL, meilleur ouvrier de France de la spécialité en 2007, ils se régaleront avec un « amour de cerise », un dessert au nom très évocateur qui augure de succulentes subtilités dont l’artisan a le secret.

Les quatre chefs bénéficieront de l’expertise aiguisée, en matière d’harmonie et de coordination dans le déroulé de ce banquet, du sémillant Daniel AUBLANC, président de l’Amicale des cuisiniers de l’Yonne et du très professionnel Didier CHAPUIS, des FESTINS de Bourgogne, qui confèrera le savoir-faire attendu à ce repas festif peu ordinaire.

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L’opportunité de partager les valeurs de la profession ensemble…

Interrogé sur sa contribution gastronomique à cet évènement qu’il qualifie de « cérémonie exceptionnelle et de retrouvailles inoubliables entre les chefs et les vignerons », Jean-Michel LORAIN est satisfait de cette présence aux côtés de ses pairs.

« Les préparatifs ont nécessité plusieurs mois de travail et de réflexion, concède-t-il, chacun de nous apportant une recette qui soit un reflet de son authenticité professionnelle. Le banquet de la Saint-Vincent demeure, en cela, un rendez-vous extraordinaire… ».

Le chef de la Côte Saint-Jacques devait expliquer ensuite la portée internationale de cet évènement. La meilleure manière de le traduire fut simple : une quarantaine de ressortissants américains, accueillis dans l’établissement hôtelier de Joigny, et amoureux des vins français n’ont pas hésité à traverser l’Atlantique pour ne rien manquer de l’évènement bourguignon.

Vécue pour la première fois à Vézelay, la Saint-Vincent tournante de Bourgogne aura bien des airs de rendez-vous mondial…


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Tant sur la forme que sur le fond, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté s’oppose à la décision prise de manière unilatérale de supprimer un trajet aller-retour sur la ligne ferroviaire empruntée par le TGV LYRIA, entre Paris et Lausanne. D’autant que cette suppression impacte directement les trois dessertes de Dijon, Dole et Frasnes (Doubs).

DIJON (Côte d’Or) : Trois gares de Bourgogne Franche-Comté ne seront peut-être plus desservies à brève échéance par un trajet aller-retour entre Paris et Lausanne, assuré par le TGV LYRIA.

La filiale partagée entre la SNCF et la CFF (Chemins de fer fédéraux helvètes) envisage en effet la suppression de ce trajet qui desservait jusque-là la capitale régionale mais également les gares de Dole et de Frasne au profit d’une nouvelle infrastructure TGV. Celle-ci devrait être opérationnelle en décembre 2019.

Souhaitant interpeller Elisabeth BORNE, la ministre des Transports, Marie-Guite DUFAY a décidé de monter au créneau et devrait rappeler à l’intéressée ministérielle que « cette prise de décision qui contredit la loi favorable à un nouveau pacte ferroviaire récemment votée, ne se justifie pas ».

La responsable de l’exécutif régional procèdera le plus rapidement possible à l’audition des représentants de LYRIA. Ces derniers devront argumenter leurs choix de parcours, qui évite notre territoire, au profit de la nouvelle gare TGV de Genève.


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