Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye)  les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.

Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.

A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.

Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.

Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.

« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».

Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !

 

 

 

Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…

 

 

Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.

« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».

Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.

Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.

Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.

« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est  incapable de procéder à une addition raisonnable… ».

Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !

 

 

 

Ne pas être trop dépendant de l’électrique…

 

Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?

L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…

« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».

Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.

Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.

« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».

Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.

Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.

Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.

Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A la base, l’équation était simple. Pour que ce projet de construire une infrastructure pluridisciplinaire accueillant un univers de soins soit conforme au cahier des charges, la présence d’un généraliste était requise. Or, in fine, ce sont quatre médecins qui ont investi les locaux. Un cinquième, interne, devrait les rejoindre dès le terme de ses études d’ici un an. De quoi satisfaire l’instigateur du projet, le président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR…

AILLANT-SUR-THOLON : Né à l’issue d’une concertation réunissant tous les praticiens du canton avec les édiles communautaires, le projet de maison de santé aura nécessité près de trois longues années de travail avant d’aboutir à son édification.

Il aura fallu obtenir la confiance de l’ensemble des professionnels de santé du secteur (pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, ostéopathes, généralistes…) pour arriver à la concrétisation de ce qui représente désormais, et ce depuis le 15 novembre, comme une nécessité.

Lutter contre la désertification médicale intègre les priorités de bon nombre d’EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) aujourd’hui. Or, l’une des parades préconisées par tous les acteurs institutionnels et ceux de la filière de santé passe par cette concentration de compétences en un même lieu. Eriger une maison spécifique devenait donc une évidence.

Plusieurs subventions furent accordées à ce concept fédérateur. Le Département, la Région, mais aussi l’Etat et l’Europe ont apporté leurs contributions financières : soit une enveloppe de 940 000 euros sur un budget total s’élevant à 1 640 000 euros.

Le reliquat relève de l’organisme communautaire, lui-même, en sa qualité d’exécuteur exclusif du projet. Il continuera de s’acquitter des charges à hauteur de 15 000 euros de manière annuelle.

 

 

Recherche dentiste coûte que coûte…

 

Répondre aux desiderata des thérapeutes représentait aussi une obligation. Ainsi, les plans de l’édifice ont été quelque peu modifiés de la configuration originelle avec l’ajout de deux bureaux.

Côté confort et praticité, un appartement a été également envisagé : il accueillera deux stagiaires ou leurs remplaçants.

Outre, les cinq généralistes cités précédemment, deux psychologues complèteront cet effectif de professionnels des soins. On notera aussi la présence d’un pneumologue, d’un masseur-kinésithérapeute, d’un podologue, de deux ostéopathes, d’infirmiers libéraux.

Un panel médical d’une rare ampleur que l’équipe constituée autour de Mahfoud AOMAR a réussi à rassembler avec beaucoup de réussite et opiniâtreté.

Seul bémol à souligner avant de rendre ce tableau idyllique : il reste encore à trouver un dentiste. La nouvelle structure dispose déjà du nécessaire en matériel et en équipement pour pouvoir l’accueillir dignement.

Parmi les évolutions possibles inhérentes à ce site new-look, l’accueil de consultations modernistes, via la pratique de la télémédecine (celle du travail et celle assurée par des spécialistes).

Maryline GANDON

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le rêve de gosse devient donc réalité pour la jeune éleveuse à peine trentenaire. Elle a touché du doigt le « Graal » de l’entrepreneuriat, encouragée par ses pairs du réseau Entreprendre Bourgogne et bien d’autres personnes issues de l’économie participative qui ont cru en elle. Si les fromages blancs et les yaourts égayeront sa gamme de nouveautés à partir de 2020, il n’empêche que les premiers produits à base de  lait de chèvres se dégustent goulûment depuis peu dans sa ferme modèle, résolument environnementale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le bio, rien que du bio ! C’est l’essence même de cette foi inébranlable qui anime la jeune femme dans sa quête professionnelle, elle qui n’a pas hésité à passer outre son poste de commerciale spécialisé dans la nutrition animale qu’elle tenait à bout de bras depuis huit ans. Elle l’exerçait dans la région de Niort.

Mine de rien : il y a de la pugnacité et une volonté farouches dans ce petit bout de fille qui gère aujourd’hui un troupeau de soixante-dix biquettes ! Sa mûre réflexion qu’elle avait entamée il y a déjà quelques temps s’est muée aujourd’hui en parfaite concrétisation. Son projet, ULTERIA, a donc vu le jour.

Après moult péripéties, il va s’en dire ! Après les instants de doutes inavouables qui sont le lot quotidien de celles et ceux qui entreprennent et veulent porter haut leur projet de vie.  

Ces adorables bestioles à la frimousse si maline sont devenues son sacerdoce au jour le jour. Une fièvre s’est-elle emparée de Claire GENET qui cherche à accomplir son chef d’œuvre avec cette réalisation ?

Que nenni : la jeune femme a les pieds bien enfoncés dans la terre. Comme ses chèvres qui se meuvent dans un complexe moderniste à la sauce environnementale.

Ici, comme le dirait Dieu le père, « l’animal est roi dans son royaume ». Rien que la configuration architecturale du bâtiment faisant office d’étable amélioré rappelle que la condition animale n’est pas un leurre pour celle qui doit en produire la quintessence des produits.

 

Même les chèvres mangent bio !

 

Ventilé, lumineux, éclairé par des LED automatisés, l’édifice qui accueille le cheptel est conçu pour économiser l’énergie nécessaire à une telle exploitation.

Quant à la nourriture des chèvres, c’est le nec plus ultra ! Au menu du jour, et ce chaque jour, des pois, des lentilles, des tourteaux de colza, du bio et du local. Le meilleur en somme, et quand on aime, on ne compte pas !

La jeune fille n’est pas une idéaliste. Ni une marginale, loin s’en faut. Elle a su s’entourer de solides compétences (celles des chefs d’entreprises expérimentés du réseau Entreprendre Bourgogne) pour l’aider à débloquer les chausse-trappes qui auraient pu entraver son sillage.

D’ailleurs, c’est grâce à deux spécimens rares de l’entrepreneuriat, Alexis NOLLET et Sébastien BECKER, le génial tandem de MOBIL WOOD (concepteur d’ameublement en bois et agenceur), que Claire GENET aura pu mener à terme son projet. Dans l’écosystème ambiant qui l’accueille, seront érigés progressivement le nouveau site de l’usine MOBIL WOOD, une école Montessori, une crèche, une exploitation maraîchère, et une maison éco citoyenne. Bref : tout un programme dédié à la mise en lumière de l’homme dans sa phase la plus subtile de la création et du vivant.

Un sacré patchwork qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme qui propose à la vente ses premières productions depuis la mi-novembre.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Brève mais pédagogique la prise de parole du directeur de cabinet de la préfecture de l’Yonne ! Celui-ci a profité de son discours de clôture prononcé lors de la traditionnelle cérémonie de la Sainte-Barbe pour se fendre d’une explication de texte concise permettant d’expliquer les origines de ce célèbre personnage, devenu depuis la protectrice des sapeurs-pompiers…

AUXERRE: Il n’est pas toujours chose aisée de clore une série d’allocutions officielles en conservant une part d’originalité dans ses propos. D’autant que la cérémonie de la Sainte-Barbe, concoctée par le Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne (SDIS), avait déjà débuté depuis un très long moment.

Comme le veut le processus protocolaire d’usage, il revenait donc au représentant de l’Etat de venir à la tribune afin de ponctuer cet exercice successif d’interventions orales.

Représentant le préfet de l’Yonne Patrice LATRON excusé, Tristan RIQUELME, directeur de cabinet de la préfecture et sous-préfet d’Auxerre, fut invité à s’exprimer face à un parterre composé d’hommes du rang, de leur famille et enfants – l’esprit de la Sainte-Barbe est avant tout festif – et de plusieurs personnalités issues du sérail institutionnel et entrepreneurial.

La prise de parole du second personnage de l’institution étatique dans l’Yonne lui permit de prendre un chemin de traverse pour le moins inattendu mais ô combien explicatif sur cette tradition respectée chaque année dans toutes les casernes de France et de Navarre, voire d’ailleurs.

 

 

 

Une parenthèse faite aux références de l'histoire et du mythe…

 

Les faits singuliers qui caractérisent l’existence de Sainte-Barbe, symbole du courage et du dévouement, fêtée le 04 décembre, ont ainsi été évoqués de manière concise par Tristan RIQUELME en personne.

Otant au passage un oubli : celui fait par ses différents prédécesseurs sur l’estrade de ne pas avoir encore évoqué les origines de ce patronage avec la sainte martyre.

Déclarée patronne de la marine italienne par le souverain pontife Pie XII en décembre 1951, Barbe offre sa protection aux architectes, aux géologues, aux mathématiciens, aux métallurgistes, aux chimistes mais surtout aux mineurs et démineurs.

 

Eu égard à ces dernières catégories, la fille de Dioscore, roi païen du IIIème siècle, est par effet gigogne devenue le modèle et la patronne des artilleurs, des artificiers, des canonniers, des ingénieurs des mines et…des sapeurs-pompiers.

Ancien officier de l’Armée de terre et diplômé de l’Ecole de guerre et du Centre de doctrine d’emploi des forces, l’ex-sous-préfet d’Issoire (Puy-de-Dôme) en poste dans notre département depuis la fin de l’été ne pouvait manquer de faire honneur à la sainte patronne de ces sapeurs-pompiers dont il devait ensuite saluer le travail, l’abnégation et le sens, parfois, du sacrifice ultime.

Un peu plus tôt dans la soirée, Tristan RIQUELME présida aux côtés du colonel Jérôme COSTE, la cérémonie de remise de médailles et de distinctions aux valeureux soldats du feu icaunais.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Seul représentant de la Bourgogne Franche-Comté à s’être qualifié pour le difficile exercice qui pourrait le sacrer meilleur maître d’hôtel de la planète, le professionnel du Relais Bernard LOISEAU intègre le panel très hermétique des favoris. Il représente une sérieuse opportunité pour la délégation tricolore de remporter le titre suprême. Sachant que la France aura avec la présence d’Elsa JEANVOINE, une autre carte maîtresse à jouer…

AUXERRE : Opposé à une douzaine de candidats aux origines internationales diverses et cosmopolites au lycée des métiers Vauban, le talentueux premier maître d’hôtel du Relais Bernard LOISEAU à Saulieu (Côte d’Or), « Le Côte d’Or », double étoilé Michelin, n’est pas venu au mondial de sa discipline professionnelle qu’il affectionne pour y faire de la simple figuration.

Lui qui avait déjà survolé avec brillance les sélections nationales, aux côtés de la seconde chance hexagonale qualifiée Elsa JEANVOINE, revient au même endroit qui l’avait consacré en mai dernier.

Est-ce à dire à la vue de ses circonstances géographiques particulières que les deux prétendants français à ce sacre universel de maître d’hôtel au sommet de son art bénéficieront de ce petit quelque chose supplémentaire pour prétendre glaner le titre ?

C’est possible. Non seulement, Elsa et Valentin avaient beaucoup apprécié l’accueil et les conditions de travail qui leur avaient permis au printemps de finir aux deux premières places qualificatives pour le challenge planétaire. Mais, en outre, ils profiteront des encouragements nourris du public de supporters qui, drapeaux en main et cocardes tricolores à la boutonnière, ne manquèrent pas d’encourager leurs poulains !

 

 

 

 

Un début de compétition sous le signe de la flamboyance…

 

Concentré, dirigeant à la perfection sa brigade de commis qui l’aidèrent à suivre ce parcours de titan lors de cette matinée faste articulée autour de quatre challenges, Valentin MEROT aura fait montre dès le premier passage  d’une réelle dextérité face au jury franco-ukrainien de l’épreuve du flambage de dessert. Il travailla une recette de sa composition à base de figues.

A trente ans, le régional de l’étape était naturellement soutenu avec fierté par toute la maison Bernard LOISEAU qui a vu en cette sélection mondiale de son jeune prodige, « un témoignage du haut niveau de qualification, de passion et d’exigence de ses collaborateurs… ».

Ce n’était que le début matinal de ce chemin complexe et technique, qui le mènera peut-être à la consécration ?

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil