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Principal club sportif de portée nationale de la ville la plus septentrionale de Bourgogne, le SOC met de la couleur et de l’image sur son mode de locomotion le plus usuel : le bus. Jusqu’au mois de septembre prochain, et dans le cadre de son partenariat avec TRANSDEV, le véhicule affiche les couleurs, voire ses prétentions grâce à des visuels dynamiques d’un groupe qui évolue en élite féminine nationale. L’équivalent de la seconde division…

SENS: Bien ancré dans la vie locale, le SOC (Sens Olympique Club) a su démocratiser l’art et la manière de pratiquer le volley-ball depuis son accession en 2013 en ligue élite. Un championnat qui rassemble des formations tutoyant les sommets.

Vendredi 06 décembre, il a vécu une nouvelle étape qui concerne sa stratégie de communication. Un petit évènement à l’importance peu anodine en termes de visibilité qui a réuni dirigeants et joueuses autour d’un bus estampillé aux couleurs du club.

Customisé par les soins de l’un de ses partenaires, la société de transport TRANSDEV, l’autocar circulera dans les rues de Sens et à sa périphérie afin d’assurer la promotion de club qui gagne à chaque saison en popularité.

Une tactique nécessaire pour assurer le maintien au niveau actuel, voire pour viser plus haut dans les ambitions sportives.

 

 

Les filles de l’équipe première n’avaient pas encore eu connaissance de l’information. Les choses avaient été tenues secrètes entre le président du SOC, Bernard PLISSET, et Pierre BALCON, directeur de TRANSDEV.

C’est à l’occasion d’une réception cocktail des plus sympathiques organisée au gymnase habituel (René Binet) que ce joli cadeau de Noël a été dévoilé en présence du groupe.

Précisions que la société de transport est partenaire de l’association sportive et la soutient financièrement depuis six ans.

Au plan sportif, et après huit journées de compétition, le SOC occupe une méritoire seconde place de sa poule (A) derrière Quimper mais devant Evreux…

 

 

 


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En marge de l’entrée en vigueur le 01er janvier du texte législatif concernant l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés, les « Positives Entreprises », réunies sous l’égide de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, s’immergeront le temps de leur traditionnel brunch-découverte mensuel dans les locaux de l’EPNAK ESAT CEDAITRA. Avec en filigrane, une visite des ateliers et la connaissance réelle des besoins…

AUXERRE : Etablissement de services et d’aide par le travail (ESAT), le CEDAITRA, accueilli dans les locaux de l’EPNAK Antoine KOENIGSWARTER en zone industrielle, recevra une délégation des « Positives Entreprises », ce mardi 10 décembre entre midi et quatorze heures, dans le cadre de leur brunch traditionnel.

La planification sur les agendas de ce vingt-troisième rendez-vous ne doit rien au hasard par ailleurs. En effet, l’animatrice de cet organe informel qui vise à intensifier les liens entre les dirigeants économiques de notre territoire a bien préparé les choses.

Christine JAN a suivi scrupuleusement l’évolution du calendrier législatif en choisissant la thématique de ce mois de décembre au vu de l’actualité. Celle se rapportant à la population des travailleurs handicapés, souvent en retrait de l’employabilité.

Dès le Jour de l’An, la loi du 05 septembre 2018 « pour la liberté de choisir son avenir professionnel » entrera en application. Elle se rapporte à la réforme de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH). Une réelle avancée pour cette frange trop marginalisée de nos concitoyens.

Rappelons qu’à ce jour, le taux d’emploi des personnes en situation de handicap reste fixé à 6 % de l’effectif de l’entreprise. Trop peu, encore, il est vrai. Mais, les modalités de calcul changent dès ce premier janvier.

 

 

L’accès au travail des personnes invalides : une priorité de la chambre consulaire…

 

Désormais, tous les employeurs, y compris ceux occupant moins de vingt salariés devront déclarer les travailleurs handicapés qu’ils emploient. Cela permettra in fine de mieux identifier leurs besoins et d’y répondre avec plus grande efficience.

Mais, seuls les employeurs de vingt salariés et plus seront assujettis à l’obligation d’emploi de 6 % de ces salariés. Ils devront verser une contribution en cas de non-atteinte de cet objectif, comme c’est le cas actuellement.
Les contrats de sous-traitance seront pris en compte sous la forme d’une déduction de la contribution due.

Quant aux modalités de calcul, elles seront simplifiées grâce à l’application d’un taux unique. Quel que soit le type d’achat (30 % du coût de la main d’œuvre).

Plus l’entreprise emploie de travailleurs handicapés, plus le plafond des dépenses déductibles, au titre de la sous-traitance, sera élevé. Afin de favoriser la complémentarité entre ces formes d’emploi de travailleurs handicapés.

Le recours à la sous-traitance reste incitatif pour les entreprises clientes avec un nouveau mode de valorisation. Celui-ci étant toujours basé sur le coût de la main d’œuvre

La visite des ateliers du CEDAITRA donnera donc un aperçu visuel concret de la qualité du travail exercé par ces personnes victimes de handicap.

Le complexe d’Auxerre propose aujourd’hui une multitude de possibilités professionnelles à ses pensionnaires : espace vert, jardinerie, blanchisserie, restauration, montages électriques, broderie, conditionnement, entretien des locaux, nettoyage, etc.

Faire accéder ces personnes invalides au monde du travail est l’une des priorités de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. L’institution entend mettre tout en œuvre pour que cette communauté soit créatrice de valeurs ajoutées pour les entreprises qui participent à cette éclosion de talents. Cela commence par cette visite dès mardi…

 

 

 

 


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Le parlementaire du Vaucluse a présenté il y a peu à l’Assemblée nationale les conclusions du rapport de la commission d’enquête qu’il préside sur la transition énergétique en France. S’intéressant à divers items (l’acceptabilité sociale, le coût financier, le consentement autour de l’offre…), il a dévoilé en avant-première en province (et en Puisaye)  les résultats de ces recherches lors des « Ateliers de l’Yonne », à l’invitation de son confrère, Guillaume LARRIVE et en présence du président départemental du SDEY, Jean-Noël LOURY…

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Muni de son volumineux rapport à la main qu’il aura brandi devant l’assistance pour montrer l’ampleur des travaux présentés le matin même dans l’hémicycle parlementaire, l’élu du Vaucluse a enquêté durant plusieurs mois sur l’un des sujets essentiels qui fait la une de l’actualité : la transition énergétique.

Montrer un exemplaire de ce dossier symbolisa sa prise de parole où il s’est livré avec son style caractéristique à une conférence sans langue de bois, désireux de faire toute la lumière sur la thématique du jour.

A la tête d’une commission d’enquête officielle, Julien AUBERT est donc parti dans sa quête herculéenne autour de trois idées majeures en guise de postulat : le consentement, l’acceptabilité sociale et le coût financier des solutions énergétiques qui font la part belle à la fée électricité.

Pédagogue, ne négligeant aucun détail dans son exposé qu’il a présenté devant un auditoire cosmopolite d’élus et d’acteurs de la vie économique de l’Yonne, réunis sous la bannière des « Ateliers de l’Yonne », le député a voulu rétablir des vérités. Sur un thème dont on nous abreuve à longueur de journée une rhétorique parfois très simpliste.

Or, dès l’introduction de son propos, et une fois expliqué ce qu’était avec exactitude le principe des certificats d’économie d’énergie, concept usité par les fournisseurs de la précieuse matière au niveau de leurs financements, Julien AUBERT frappa fort dans ses affirmations publiques. Secouant sans doute quelque peu les consciences des auditeurs studieux et à l’écoute.

« La politique de la transition énergétique actuelle ne contribue nullement à la lutte contre le réchauffement climatique… ».

Une petite phrase, pas si anodine que cela, qui eut le mérite de réchauffer l’atmosphère de l’immense salle où se déroulait la manifestation. Et l’orateur d’ajouter bille en tête et sans perdre haleine : « la politique de transition énergétique menée en France vise à fermer les centrales nucléaires en créant en parallèle d’autres modes de production dont l’éolien et le photovoltaïque… ». Fermer le ban, l’énoncé liturgique était dit !

 

 

 

Un « Rubik Cube » budgétaire aux multiples facettes…

 

 

Ne contestant pas les faits observés chaque jour dans notre environnement, l’élu du Vaucluse évoqua les sources originelles de ce fameux Co2 qui occasionne tant de dégâts nocifs pour la couche d’ozone.

« Les vrais problèmes viennent de la progression exponentielle du transport routier, du chauffage qu’il soit domestique ou destiné au monde professionnel. Mais, la transition énergétique via les énergies renouvelables, telle qu’elle est préconisée aujourd’hui, demeure complexe et peu fiable car elle consomme plus de matières minérales (cuivre, aluminium, métaux rares…). Elle ne fait que le jeu de l’énergie électrique avec un impact environnemental très mitigé… ».

Boum : la deuxième banderille venait de s’abattre au-dessus des têtes.

Julien AUBERT s’attela à parler des dépenses consacrées à cette stratégie. Guère convaincu par la pertinence de ces dernières, le parlementaire insista sur ces dizaines de milliards d’euros injectés chaque année pour des résultats peu probants aux dires des spécialistes.

Reprochant la forte inertie de la gouvernance qui consacre 70 milliards d’euros dont 45 au seul développement du photovoltaïque et le reliquat à l’éolien, le président de la commission d’enquête aborda les incohérences relevées par ses soins dans la spirale nébuleuse des subventions accordées à certaines sociétés qui agissent dans l’univers de l’éolien.

« Vu de l’extérieur, concède Julien AUBERT, c’est une boîte noire. Bercy communique le prix de ce que coûte la transition énergétique en France mais reconnaît qu’avec les multiples subventions existantes, il est  incapable de procéder à une addition raisonnable… ».

Sachant que, et pour faire simple, parmi la composante carbone, il existe trois taxes différentes et seize subdivisions de taxes ! Soit un vrai « Rubik Cube », comme le précisera non sans humour le député vauclusien. Ou un véritable casse-tête chinois qui est délicat à résoudre !

 

 

 

Ne pas être trop dépendant de l’électrique…

 

Alors que 57 milliards d’euros sont prélevés chaque année au nom de l’énergie, dix milliards de ces ressources se destinent à l’électrique. L’éolien et le photovoltaïque bénéficient-ils d’une acceptabilité sociale dans l’Hexagone ?

L’éolien, parce qu’on voit davantage les mâts hauts de 250 mètres, est le plus souvent décrié par nos concitoyens. Les champs photovoltaïques, quant à eux, le sont moins. C’est imputable à leur horizontalité…

« Je considère que l’Etat a une lourde part de responsabilité dans la politique d’implantation de ces nouvelles énergies. Dans le choix des terrains, sur certains territoires. Même les chasseurs et les adhérents de la LPO (Ligue de la protection des oiseaux) font désormais cause commune pour freiner le plus possible de nouvelles installations…Je pense que les communes devraient avoir la possibilité de disposer de zones spécifiques qui seraient interdites aux implantations de champs éoliens… ».

Au terme d’une présentation excédant la cinquantaine de minutes, Julien AUBERT mettra les points sur les i. En guise de conclusion.

Selon lui, redéployer les investigations inhérentes à la transition énergétique vers d’autres formes d’énergie, en évitant la dépendance au tout électrique serait salvateur pour notre pays.

« Si l’on abuse de trop d’excès de l’usage électrique, ce qui engendrerait de la production intermittente en Europe, je crains que l’on pourrait avoir des risques de rupture de charge, voire des pannes gigantesques à l’avenir. Cela aurait comme conséquence d’occasionner des pertes immenses, de l’ordre de plusieurs milliards d’euros. La question du stockage de l’électricité apparaît primordiale afin de mieux cerner ce problème… ».

Questionné par le public, dont le président de la communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, au sujet du plan d’urbanisme, Julien AUBERT apporta aussi des éclaircissements sur le démantèlement des éoliennes, leur coût (de l’ordre de 50 000 à 75 000 euros), des obligations à la charge des propriétaires de terrain où elles ont été érigées.

Croyant dur comme fer au photovoltaïque dont il réclame toutefois la suppression des subventions car le marché est en phase de maturité, le pensionnaire de l’Assemblée nationale croit à l’usage du solaire dans le chauffage. Quant à la méthanisation, il considère que cela représente un excellent complément de revenus pour les éleveurs. Même si bon nombre de régions françaises dont la Bourgogne Franche-Comté ne développe que peu de projets à ce jour.

Favorable à la mise en place d’une transition énergétique qui se veut plus humaine, le député du Vaucluse s’est montré critique vis-à-vis de la politique actuelle, pensée par des urbains et qui est applicable à des ruraux, sans qu’il n’y ait eu la moindre concertation de la part de ces derniers.

Une conférence intense où purent également intervenir le député de la première circonscription de l’Yonne, et instigateur de cette manifestation, Guillaume LARRIVE ainsi que le président du Syndicat départementale des énergies de l’Yonne (SDEY), Jean-Noël LOURY.

 

 


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A la base, l’équation était simple. Pour que ce projet de construire une infrastructure pluridisciplinaire accueillant un univers de soins soit conforme au cahier des charges, la présence d’un généraliste était requise. Or, in fine, ce sont quatre médecins qui ont investi les locaux. Un cinquième, interne, devrait les rejoindre dès le terme de ses études d’ici un an. De quoi satisfaire l’instigateur du projet, le président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR…

AILLANT-SUR-THOLON : Né à l’issue d’une concertation réunissant tous les praticiens du canton avec les édiles communautaires, le projet de maison de santé aura nécessité près de trois longues années de travail avant d’aboutir à son édification.

Il aura fallu obtenir la confiance de l’ensemble des professionnels de santé du secteur (pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, ostéopathes, généralistes…) pour arriver à la concrétisation de ce qui représente désormais, et ce depuis le 15 novembre, comme une nécessité.

Lutter contre la désertification médicale intègre les priorités de bon nombre d’EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) aujourd’hui. Or, l’une des parades préconisées par tous les acteurs institutionnels et ceux de la filière de santé passe par cette concentration de compétences en un même lieu. Eriger une maison spécifique devenait donc une évidence.

Plusieurs subventions furent accordées à ce concept fédérateur. Le Département, la Région, mais aussi l’Etat et l’Europe ont apporté leurs contributions financières : soit une enveloppe de 940 000 euros sur un budget total s’élevant à 1 640 000 euros.

Le reliquat relève de l’organisme communautaire, lui-même, en sa qualité d’exécuteur exclusif du projet. Il continuera de s’acquitter des charges à hauteur de 15 000 euros de manière annuelle.

 

 

Recherche dentiste coûte que coûte…

 

Répondre aux desiderata des thérapeutes représentait aussi une obligation. Ainsi, les plans de l’édifice ont été quelque peu modifiés de la configuration originelle avec l’ajout de deux bureaux.

Côté confort et praticité, un appartement a été également envisagé : il accueillera deux stagiaires ou leurs remplaçants.

Outre, les cinq généralistes cités précédemment, deux psychologues complèteront cet effectif de professionnels des soins. On notera aussi la présence d’un pneumologue, d’un masseur-kinésithérapeute, d’un podologue, de deux ostéopathes, d’infirmiers libéraux.

Un panel médical d’une rare ampleur que l’équipe constituée autour de Mahfoud AOMAR a réussi à rassembler avec beaucoup de réussite et opiniâtreté.

Seul bémol à souligner avant de rendre ce tableau idyllique : il reste encore à trouver un dentiste. La nouvelle structure dispose déjà du nécessaire en matériel et en équipement pour pouvoir l’accueillir dignement.

Parmi les évolutions possibles inhérentes à ce site new-look, l’accueil de consultations modernistes, via la pratique de la télémédecine (celle du travail et celle assurée par des spécialistes).

Maryline GANDON

 


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Le rêve de gosse devient donc réalité pour la jeune éleveuse à peine trentenaire. Elle a touché du doigt le « Graal » de l’entrepreneuriat, encouragée par ses pairs du réseau Entreprendre Bourgogne et bien d’autres personnes issues de l’économie participative qui ont cru en elle. Si les fromages blancs et les yaourts égayeront sa gamme de nouveautés à partir de 2020, il n’empêche que les premiers produits à base de  lait de chèvres se dégustent goulûment depuis peu dans sa ferme modèle, résolument environnementale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le bio, rien que du bio ! C’est l’essence même de cette foi inébranlable qui anime la jeune femme dans sa quête professionnelle, elle qui n’a pas hésité à passer outre son poste de commerciale spécialisé dans la nutrition animale qu’elle tenait à bout de bras depuis huit ans. Elle l’exerçait dans la région de Niort.

Mine de rien : il y a de la pugnacité et une volonté farouches dans ce petit bout de fille qui gère aujourd’hui un troupeau de soixante-dix biquettes ! Sa mûre réflexion qu’elle avait entamée il y a déjà quelques temps s’est muée aujourd’hui en parfaite concrétisation. Son projet, ULTERIA, a donc vu le jour.

Après moult péripéties, il va s’en dire ! Après les instants de doutes inavouables qui sont le lot quotidien de celles et ceux qui entreprennent et veulent porter haut leur projet de vie.  

Ces adorables bestioles à la frimousse si maline sont devenues son sacerdoce au jour le jour. Une fièvre s’est-elle emparée de Claire GENET qui cherche à accomplir son chef d’œuvre avec cette réalisation ?

Que nenni : la jeune femme a les pieds bien enfoncés dans la terre. Comme ses chèvres qui se meuvent dans un complexe moderniste à la sauce environnementale.

Ici, comme le dirait Dieu le père, « l’animal est roi dans son royaume ». Rien que la configuration architecturale du bâtiment faisant office d’étable amélioré rappelle que la condition animale n’est pas un leurre pour celle qui doit en produire la quintessence des produits.

 

Même les chèvres mangent bio !

 

Ventilé, lumineux, éclairé par des LED automatisés, l’édifice qui accueille le cheptel est conçu pour économiser l’énergie nécessaire à une telle exploitation.

Quant à la nourriture des chèvres, c’est le nec plus ultra ! Au menu du jour, et ce chaque jour, des pois, des lentilles, des tourteaux de colza, du bio et du local. Le meilleur en somme, et quand on aime, on ne compte pas !

La jeune fille n’est pas une idéaliste. Ni une marginale, loin s’en faut. Elle a su s’entourer de solides compétences (celles des chefs d’entreprises expérimentés du réseau Entreprendre Bourgogne) pour l’aider à débloquer les chausse-trappes qui auraient pu entraver son sillage.

D’ailleurs, c’est grâce à deux spécimens rares de l’entrepreneuriat, Alexis NOLLET et Sébastien BECKER, le génial tandem de MOBIL WOOD (concepteur d’ameublement en bois et agenceur), que Claire GENET aura pu mener à terme son projet. Dans l’écosystème ambiant qui l’accueille, seront érigés progressivement le nouveau site de l’usine MOBIL WOOD, une école Montessori, une crèche, une exploitation maraîchère, et une maison éco citoyenne. Bref : tout un programme dédié à la mise en lumière de l’homme dans sa phase la plus subtile de la création et du vivant.

Un sacré patchwork qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme qui propose à la vente ses premières productions depuis la mi-novembre.

 

 


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