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Fraîchement débarqué de Corse, mon fiancé décide de s’installer auprès de moi, dans l’Yonne. Il s’agit là d’un acte d’amour pur accompagné de la plus grosse des concessions qui soit : la «perte» du soleil méditerranéen ! Comment alors lui faire apprécier la Bourgogne ? Nous autres, bourguignons, ne sommes peut-être pas réputés pour notre météo douce et clémente. Mais, certainement bien pour une autre chose : la fameuse recette des œufs en meurette !

TRIBUNE : C’est au gré de nos pauses gourmandes, à table, que la magie a opéré. La première expérience d’un Corse qui goûte les œufs en meurette est comme un premier rendez-vous.

D’abord il y a la curiosité : « Œufs en meurette ? Qu’est-ce que c’est ma chérie ? ». Je lui explique que c’est LA spécialité de la gastronomie bourguignonne. Des œufs pochés dans une sauce au vin rouge. Et, pour faire simple je lui laisse entendre que selon les recettes, il y a des lardons, des oignons, parfois même des champignons (le summum de la séduction.)

En fin gourmet qu’il est, et intrigué par l’énoncé, il se lance et commande en guise d’entrée, à l’instar des autres convives, les œufs en meurette. Nous nous trouvons alors au restaurant « Le Bouchon du Palais » à Dijon. Une bouteille de vin rouge « Chevalier d’Eon » est alors ouverte : le serveur nous apprend que c’est un vin des côtes de Tonnerre qui se démarque bien des traditionnels vins rouges de Bourgogne à travers son rapport qualité/prix.

Nous trinquons et la chaleur commence à s’installer autour de la table. Quand  arrivent enfin nos œufs en meurette. « Que c’est beau ! ». Il hume son assiette : « ça a l’air bon ! ». A l’intérieur de celle-ci, deux œufs parfaitement pochés forment deux petits globes blancs mouillés d’une sauce au vin rouge veloutée qui enveloppe quelques petites allumettes de lard et oignons émincés.

Il y plante sa fourchette, goûte son plat et nous offre en guise de première impression : « ça claque ! ». C’est original de marier les œufs pochés à une sauce au vin rouge. Le lard et les oignons salent et équilibrent les goûts. Sucré du jaune d’œuf coulant, neutre du blanc, acidulé de la sauce au vin, tout se conjugue à la perfection et mon corse se régale. Je le vois déjà apprécier davantage la Bourgogne.

 

 

 

Une déclinaison subtile de la recette en trois variantes goûteuses…

 

Quelques temps plus tard, nous sommes invités au « Petit Marmiton », un restaurant d’Auxerre tenu par un chef de notre connaissance. À la lecture de la carte, je vois les yeux de mon corse s’allumer d’une lueur douce et coquine. Je lis moi-même la carte : « trilogie d’œufs en meurette à la façon du chef...». La serveuse nous explique qu’il a décliné les œufs en meurette en trois façons. C’est une entrée copieuse qui régalera les avertis et ravira les indécis. Mon ami dit alors : «Je vais les goûter pour comparer avec ceux que j’ai déjà mangés ». Trois petites marmites sur une assiette rectangulaire arrivent à table. Dans l’ordre de dégustation : l’œuf en meurette au vin blanc, suivi de l’œuf en meurette au vin rosé pour finir sur la meurette au vin rouge.

C’est lors de cette dégustation que mon fiancé est devenu un peu plus bourguignon. Je le voyais manger en silence, savourant chaque bouchée les yeux fermés comme pour mieux les apprécier et juger les différences entre chaque déclinaison.

L’œuf en meurette au vin blanc le marque par la douceur acidulée et sucrée de la sauce, qui se marierait très bien avec une volaille ou du poisson. Quand il passe à la subtile variante au vin rosé, il le trouve plus sucré. Le goût est rond en bouche, celui du vin se démarque et reste sur le palais. C’est une sauce qui, selon lui, s’associerait bien à un magret de canard.

C’est à la dernière marmite, l’œuf en meurette au vin rouge, qu’il dit : « je suis content d’avoir mangé les trois déclinaisons dans cet ordre car mon cœur penche pour la sauce au vin rouge, qui est à la fois puissante et suave. Quelle découverte ! ».

En effet, cette dernière est si douce qu’elle en devient un véritable velours pour les papilles. On y retrouve le goût du bœuf bourguignon dans cette sauce, même si elle se démarque toutefois par son onctuosité et reste adoucie par une pointe sucrée. C’est alors qu’une grande décision sera prise : « je goûterai dans chaque restaurant où j’irai leur version des œufs en meurette »…

 

 

 

La meurette au ratafia : sucrée et acidulée…

 

Et c’est d’ailleurs ce que nous faisons au « Soufflot », restaurant à la cuisine renommée installé à Irancy. La carte qui varie chaque mois selon les produits de saisons et l’imagination du chef nous propose des œufs en meurette au ratafia d’Irancy.

Tout naturellement, nous choisissons d’y goûter. Quand on annonce « ratafia », on s'attendrait à retrouver le goût sucré de l’œuf en meurette au vin rosé, car le ratafia a le raisin doux et sucré. C’était sans compter sur l’appellation « Irancy » qui nous a amené en bouche tout le coffre de cette appellation village, avec sa pointe acidulée ainsi que le tanin du vin.

Nous ne sommes pas si loin du sucré car les lardons, champignons et oignons de la sauce tranchent le goût de la sauce, et ici, c’est l’œuf et son jaune coulant qui équilibre les saveurs en bouche.

Il s’agit encore une fois d’une vraie découverte, de celles qui nous poussent inlassablement dans la délicieuse quête des secrets de l’œuf en meurette.

Jade SOBEK

 


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Parmi les professionnels du secteur automobile qui sont encore autorisés à poursuivre leurs activités malgré la pandémie de coronavirus, citons les centres de contrôle technique. Contribuant à optimiser la sécurité sur nos routes de manière très favorable, ces entreprises accueillent de la clientèle en respectant les consignes de protection. Cependant, une tolérance est prévue sur les délais pour réaliser ces opérations…

PARIS : L’information émane du ministère de la Transition écologique et solidaire, dirigée par Elisabeth BORNE, et du secrétaire d’Etat chargé des Transports, Jean-Marie DJEBBARI.     

Les centres de contrôle technique demeurent opérationnels dans l’Hexagone malgré la période de confinement. Assimilés aux activités d’entretien et de réparations des véhicules automobiles (poids lourds et bus également), ils ont reçu les autorisations d’usage pour continuer de recevoir la clientèle. Dans le respect des mesures sanitaires en vigueur.

Toutefois, des délais ont été accordés pour réaliser lesdits contrôles afin de concilier les enjeux de sécurité et les besoins de circulation pour assurer la continuité des services et de la vie économique.

Ainsi, une tolérance de trois mois est possible pour le contrôle technique des véhicules légers. Ce dispositif s’applique également aux délais prévus par la règlementation dans le cadre des contre-visites de ces mêmes véhicules.

 

 

 

 

Quant aux poids lourds et aux véhicules de transport en commun, le contrôle technique continue, compte tenu des enjeux de sécurité. Mais, là aussi, les ministères ad hoc ont adopté un profil de souplesse, accordant des délais supplémentaires de quinze jours afin de  pouvoir réaliser les opérations auprès des centres officiels.

Rappelons que bon nombre de véhicules doivent circuler dans les prochaines semaines sur les routes de France. A commencer par ceux qui vont assurer l’approvisionnement des denrées alimentaires, la livraison des gaz médicaux indispensables au bon fonctionnement des respirateurs artificiels, la livraison de carburants, mais aussi le transport en commun de personnes ou des particuliers qui doivent se rendre sur leur lieu de travail.

L’ensemble des centres de contrôle technique ouverts en France pour les poids lourds et les bus sont également recensés sur le site de BISON FUTE.

 

 

 

 


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Le  principal bailleur social de l’Yonne, depuis peu rallié au groupement IDELIANS, fait bloc face à la pandémie galopante du coronavirus. Un certain nombre d’actions ont été mis en place depuis le 17 mars, début de la période de confinement. Objectif : protéger au mieux celles et ceux des locataires qui font usage des services de la structure. Sans omettre les collaborateurs et les partenaires du monde de l’entrepreneuriat…

AUXERRE : Karine LASCOLS est-elle devenue, à l’image de tant d’autres décideurs économiques, une cheffe de guerre engagée dans la bataille contre la propagation du COVID 19 ? En tout cas, le plan mobilisateur décliné cette semaine par DOMANYS y fait référence en tout point.

La directrice du bailleur social icaunais vient de présenter la stratégie de l’organisme institutionnel afin de poursuivre au mieux ses missions d’intérêt général.

Le leitmotiv commun à toutes les équipes qui agissent dans le bien-fondé de cette démarche citoyenne est la mobilisation. Et, en premier lieu, à l’égard des clients locataires.

Rappelons que l’office public de l’habitat gère près de neuf mille logements répartis sur deux cents communes du département de l’Yonne. Les forces humaines en présence s’élèvent à 190 collaborateurs.

Plusieurs mesures sont ainsi appliquées depuis la date du 17 mars. Si la fermeture des lieux d’accueil est factuelle, les interlocuteurs des locataires restent joignables. Le processus d’attribution de logement n’est pas remis en cause : les commissions sont organisées à distance.

Les états des lieux entrants ont été maintenus quand ils ne peuvent être décalés. Mais, la remise des clés du nouvel appartement se fait en agence avec la signature du contrat de bail dans le respect des gestes barrières. Il en va de même pour les sorties de location. Les états des lieux ne seront en revanche réalisés qu’après la période de confinement.

Quant aux entretiens des parties communes et les sorties des ordures ménagères, ils se poursuivent avec le même souci de l’observance des mesures de protection gestuelles.

Le cas des commerçants locataires de locaux professionnels est spécifique. Ces derniers sont contactés pour être informés qu’il n’y aura pas de relance sur les loyers impayés durant cette période. Des solutions d’étalement de paiement seront trouvées par la suite si nécessaire.

Les enfants scolarisés peuvent toujours bénéficier du service de soutien gratuit mis en ligne dans le cadre du partenariat avec ACADOMIA et l’AJ Auxerre. Enfin, le lien n’est pas rompu entre le bailleur et ses locataires. Le site de DOMANYS (www.domanys) propose une rubrique spéciale « questions/réponses » permettant d’aiguiller les locataires sur des aspects personnels et précis.

 

 

 

 

Ne pas oublier les publics fragilisés…

 

Le bailleur social a, en parallèle, organisé une vaste campagne d’appels (téléphone, SMS) vers plus de 5 000 personnes isolées et fragiles afin de s’assurer si ces dernières ne manquaient de rien. En outre, la structure a fait don de neuf cents masques protecteurs de type FFP2 aux services du centre hospitalier d’Auxerre pour le personnel soignant.

La mise à disposition de logements pour mettre en sécurité des personnes victimes de violences conjugales ou des enfants en danger est également opérationnelle.

Au plan financier, DOMANYS a réglé de manière immédiate les factures transmises par les entreprises sans attendre la date d’échéance. Ainsi, c’est plus d’un million d’euros qui ont été versés la semaine dernière aux prestataires extérieurs afin de ne pas pénaliser leur trésorerie.

Enfin, dans le cadre des mesures prises en faveur du personnel, DOMANYS a invité l’ensemble des collaborateurs pouvant travailler depuis leur domicile à le faire. Seules ont été conservées les interventions techniques urgentes et le traitement du courrier à réception. Les chantiers ont été suspendus et mis en sécurité jusqu’à nouvel ordre.

 

 

 


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Mercredi matin, nouvelle journée de confinement, je me suis rendu au bureau comme chaque jour, mais pas tout à fait quand même. Question d’ambiance. Sur la route, la circulation est digne d’un dimanche à 7 heures du matin. Personne dans les rues à Auxerre ou presque. La boulangerie reste ouverte : il n’y a pas grand monde. Mais, une file d’attente existe malgré tout. Pas étonnant avec ce mètre réglementaire qui est imposé entre deux citoyens consommateurs visiblement inquiets…

AUXERRE : J’arrive au bureau. Personne en vue, tout le monde est en télétravail depuis la veille. Pas de téléphone qui sonne, pas de photocopieur qui ronronne entre deux éructations de pages, pas de lampes allumées sur les bureaux. Du coup, le cabinet est plongé dans une ambiance endormie à l’identique d’un jour de vacances quand on passe juste relever le courrier.

Nos clients ne sont pas à la fête : les restaurateurs sont fermés pour raison administrative. De toutes façons, l’activité était en chute libre depuis quelques jours, voire parfois davantage.

L’artisan du bâtiment se demande comment il va terminer les chantiers en cours et si ses fournisseurs vont continuer à le livrer. Le commerçant s’interroge : comment va-t-il faire pour payer fournisseurs, impôts et taxes, alors que plus rien ne rentre dans la caisse. Quant aux ouvriers et employés de toutes ces entreprises, ils se demandent ce qu’ils risquent en venant travailler, ce qu’ils perdent en ne venant pas, ce quoi les lendemains de leurs boîtes seront fait « si ça dure ».

 

 

 

 

Au bureau, j’ai géré ce que j’ai pu…

 

Personne n’est à la fête. J’ouvre mon ordinateur et les nouveaux mails s’affichent sans cesse. A se demander si ça va s’arrêter tout seul ou s’il ne faudrait pas mieux y mettre fin en appuyant sur le bouton, comme on finit par faire taire un enfant surexcité qui n’arrête pas de raconter ce qui lui est arrivé. 

Les messages se classent en deux catégories : ceux des clients qui s’inquiètent et demandent conseils, et ceux presque aussi nombreux, des organismes, des institutions, des fournisseurs, et de gens ou d’entreprises qu’on ne connait même pas. Mais qui nous assurent tous qu’en ces temps de crise, il s’agit de faire front commun. Que l’on soit assuré et qu’ils font tout pour rester à notre écoute et notre service.

J’ai fait ce que j’ai pu, répondu ce que je savais, ou répondu que je ne savais pas, transférer les demandes, transmis les documents…

Puis je suis rentré à la maison. Il était 13 heures. Moi aussi je travaille à la maison. Il faisait beau, c’était le printemps. Je me suis arrêté au supermarché du coin, j’avais vu la semaine dernière qu’on avait ressorti les saucisses et merguez en prévision du retour du printemps. Cela m’a donné une idée. Il me restait aussi un peu de charbon de bois de la saison dernière, du temps d’avant. J’ai acheté de la viande et une bouteille de rosé.

A la maison, J’ai ressorti et dépoussiéré le barbecue. Comme d’habitude, je n’avais pas nettoyé la grille la dernière fois en septembre. Le temps de lancer le feu, mettre le rosé au frais, il était presque 15 heures.

Les enfants sont descendus de leur chambre. On a trinqué : l’été était là dans nos cœurs et dans nos têtes. Comme si de rien n’était.

On se sentait presque vacances. Les horaires des repas, non respectés, devenant n’importe quoi. Mais, la vie est redevenue très belle…

 

 

 

 


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Si tous les personnages des albums d’ « Astérix le Gaulois » sont nés de l’imagination d’Albert UDERZO et de René GOSCINNY, on peut aisément en déduire que l’histoire qui suit n’est pas inimaginable. Je laisse le soin aux lecteurs d’associer aux héros de ces deux génies de la bande dessinée les acteurs d’aujourd’hui. Toute ressemblance avec…ne serait que pure coïncidence… La sortie du long-métrage « Astérix en Chine » est prévue pour 2021. Même si la date est reportée, espérons que le tournage aura bien lieu…

TRIBUNE : Les elfes de la forêt de Brocéliande ont emmené UDERZO vers des contrées paisibles. Il a rejoint Merlin et les fées Viviane, Morgane… Astérix et Obélix ont, sur la planète, des centaines de millions de fans ! 

UDERZO est parti paisiblement à 92 ans. Cet autodidacte a traversé l’histoire de la bande dessinée avec brio et humilité. Né avec douze doigts, après une opération, il déclare : « j’ai des mains de charcutier ! ».

De Oumpah-Pah à Astérix, il fait découvrir la mentalité « gauloise » que nous préservons toujours. Prémonition ou pas, « Astérix et la Transitalique » raconte l’histoire d’une course de chars où Astérix joute contre « Coronavirus », le champion romain aux 3 000 victoires ! Mais, in fine, Astérix triomphera, encore et toujours…

Présents dans notre légende, les personnages de GOSCINNY et d’UDERZO revisitent en permanence notre quotidien. Nous ressemblons  étrangement aux villageois dirigés par Abraracourcix ! L’épouse du chef, Bonemine, se mêle de tout mais tient aux égards qui lui sont dus !

Nous sommes les clones (ou les clowns ?) de ces gaulois d’hier : tout aussi indisciplinés, réfractaires à l’ordre établi, prompts à la bagarre, râleurs,… mais solidaires et un soupçon épicurien. Tout se termine par un joyeux banquet (Maître GIMS), pardon Assurancetourix, le barde, est toujours bâillonné et attaché par les anciens !

Notre Tullius Détritus (« Astérix et la Zizanie»)  s’appelle « Coronavirus ». Il sème une pagaille monstre ! Les solutions proposées par Caius Saugrenus (« Astérix et Cie »), sorti de la célèbre « Nouvelle Ecole d’Affranchis », ancêtre de l’ENA feront illusion peu de temps et tomberont provisoirement dans l’oubli…

 

A la fin de l’histoire, nous avons toujours de la potion magique…

 

Le Parlement européen et le Palais Bourbon résument assez bien le « Combat des Chefs ». Le « Tour de Gaulle » est pour l’instant impossible. Une visite « chez les Goths », « chez les Bretons », « en Hispanie » et même « en Corse » sont tout aussi improbables ! Quant « aux Jeux Olympiques » : ils sont reportés aux calendes grecques ! 

Tous les habitants du « Domaine des Dieux » sont confinés ! Nos chercheurs se bagarrent pour savoir qui aura le titre de Panoramix ! Agecanonix (séduit par Falbala !) conseille de son mieux le chef en titre, Cétautomatix (le forgeron) renonce à produire par manque de matière première, Ordralphabétix (le poissonnier) et Yellosubmarine  (son épouse) ont fermé leur échoppe : ils ont fait joué leur « droit de retrait » ! « Le devin » est absent, il s’est enfui avec Falbala…

Un rappel à celui qui trouvera « la potion magique » : « Les Lauriers de César » ne servent qu’à donner du goût au ragoût ! Nous avons retrouvé sur un vieux parchemin une recette possible de « potion magique » à la française : une louche « d’amour du prochain », un bol de « « fraternité », deux bolées de « solidarité », une cuiller à café de cendres de « réforme des retraites » (ça remplace avantageusement le sel), quelques éclats de rires, des sourires selon les goûts, pour lier l’ensemble, un soupçon de Chablis… 

Citation prise dans « Astérix en Corse » et attribuée au chef de clan Ocatarinetabellatchichix : « ils sont tous là mes grognards. Regardez là-bas la colonne qui arrive en retard. Ah, Osterlix arrive en retard. Il a du mal à se  lever tôt… C’est qu’il est célèbre chez nous le sommeil d’Osterlix… » !

Du rire et du plaisir à satiété, à nous faire conserver le moral, par Toutatis !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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