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Certes, le secteur des travaux publics et du bâtiment continuera après accord avec les ministères concernés à assurer le déroulement des chantiers dans le cadre du service public. Mais, pas à n’importe quel prix ! Faisant état, il y a quelques jours, de sa colère et de sa stupéfaction, le président régional de la Fédération des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, réclamait davantage de protection pour les salariés…

DIJON : Irrecevable ! Inconcevable ! Voire irrespirable, aussi, ce souffle de tension qui a éclaté au grand jour le 19 mars dernier, face à l’envolée de boutique des principaux acteurs de la filière du BTP.

Alors que le président de la République demandait instamment à la population de rester confinée chez elle afin de juguler tant bien que mal les effets dévastateurs de la pandémie de ce coronavirus ; dans le même temps, les ministères ayant un attrait direct à la chose économique intimaient l’ordre à celles et à ceux de nos concitoyens pouvant se rendre sur leur lieu de travail de le faire coûte que coûte.

En ligne de mire : le secteur des travaux publics et du bâtiment était l’un des premiers concernés. Car, évidemment, le télétravail ne pouvant s’adapter qu’à de rares exceptions à cette corporation.

Dans un communiqué de presse qu’il devait rendre public le 19 mars, le président de la FRTP (Fédération régionale des travaux publics), Vincent MARTIN s’insurgeait vertement contre ce double langage peu académique.

« Les chefs d’entreprises sont responsables et veulent assurer la protection des salariés et de leurs familles, et participer ainsi à la mobilisation collective pour enrayer la pandémie... ».

Bref, une position mettant en exergue la prise de conscience solidaire des entrepreneurs face aux risques encourus par leurs salariés.

Se refusant de mettre en danger leur personnel, le porte-flambeau de la FRTP demandait au gouvernement, à l’instar des responsables nationaux et régionaux d’autres fédérations professionnelles comme la CAPEB et la FFB, de suspendre les chantiers immédiatement et ce, pour une durée initiale de quinze jours. L’initiative pouvant être étendue à un mois au minimum…

 

 

 

De nouvelles dispositions seront détaillées dans les prochains jours…

 

Au terme d’échanges soutenus ces jours-ci, les représentants des entreprises du BTP et du gouvernement devaient trouver un terrain d’entente, s’accordant sur plusieurs principes permettant de renforcer, dans les prochains jours, la continuité de l’activité du secteur et la poursuite des chantiers.

Différentes mesures devraient être détaillées dès cette semaine pour accompagner les professionnels du secteur.

Dans le cas des chantiers de travaux publics, comme par exemple les infrastructures de transport ou les travaux de voirie, les grands maîtres d’ouvrage au niveau national et les préfets au niveau local coordonneront et prioriseront les chantiers à poursuivre ou à relancer.

Dans le cas des chantiers très complexes, un délai pourra être nécessaire afin de définir des procédures à adaptées. De même, une attention particulière sera portée pour les chantiers au domicile des particuliers. Surtout lorsque ces derniers sont présents, ce qui est majoritairement le cas en cette période de confinement.

Santé et sécurité deviennent donc les mots d’ordre prioritaires à respecter désormais pour les intervenants de ce secteur. Les dispositions mises en place d’ici peu avec l’assentiment du gouvernement seront-elles suffisantes pour apaiser la colère des fédérations professionnelles et rassurer leurs salariés ?

 

                                                                                                                                                                                                     


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Dans leur globalité, les consignes de sécurité sont pour l’heure respectées sur le département de l’Yonne. Toutefois, cela n’empêche pas quelques irréductibles « Gaulois réfractaires » à faire fi d’esprit de citoyenneté et de civisme. Comme d’habitude, comme le précise la célèbre ritournelle ! La présence des forces de l’ordre, gendarmes et policiers, ne semble pas encore intimider les moins disciplinés d’entre nous…

AUXERRE : Les Icaunais sont respectueux à une très large majorité des mesures de confinement mises en œuvre par le gouvernement pour tenter d’endiguer le fléau du coronavirus qui s’abat au-dessus de nos têtes depuis plusieurs semaines.

Même si, au dernier pointage, sur plus de 12 000 contrôles effectués par les forces de l’ordre, gendarmerie nationale et police, trois cents quinze procès-verbaux avaient été délivrés à des inconscients.

Catégorique sur les procédures à tenir en pareille circonstance (celui du non-respect des mesures de confinement), le colonel Rénald BOISMOREAU qui commande le groupement de gendarmerie de l’Yonne n’en démord pas : les contrôles devraient porter leurs fruits car ils vont s’intensifier dans les jours à venir, sans doute à la suite des nouvelles directives préconisées par le gouvernement ce lundi.

Le son de cloche est identique au niveau des zones urbaines où interviennent les équipes mobiles (patrouilles à pied ou en cycle) de la police nationale. Celle-ci est d’ailleurs épaulée dans ses missions par les représentants de la police municipale.

Côté gendarmerie, ce sont cent-soixante-deux militaires qui sont ainsi sur le qui-vive pour faire respecter ces mesures qui peuvent protéger et sauver des vies.

 

 

 

L’emploi de drones n’est pas d’actualité dans l’Yonne…

 

Pour l’heure, il n’est pas encore prévu d’utiliser des drones sur notre territoire. A contrario de la Nièvre où un de ces petits engins a été testé avec succès ce week-end au-dessus de la ville de Cosne-Cours-sur-Loire.

Si ces appareils volants repèrent très vite les attroupements des contrevenants, ils permettent aussi de diffuser des messages relayés par haut-parleur qui invitent tous les individus à rentrer chez eux.

Reste l’usage des masques : ils ne sont pas d’actualité pour protéger les forces de l’ordre.

« Nous respectons les consignes de distanciation, précise le colonel BOISMOREAU, lors de nos contrôles, nous appliquons le principe des gestes barrières et nous nous tenons à distance de nos interlocuteurs. Les masques concernent spécifiquement le personnel soignant et les praticiens qui en ont un besoin urgent… ».

 

 

 

 


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Conscient que les mesures de confinement sont contraignantes pour la population aussi bien urbaine que rurale, le représentant de l’Etat invite les Icaunais à redoubler de prudence. Et surtout de ne pas lâcher d’un iota ce qui est déjà entrepris depuis quelques jours avec civisme et dans un esprit de totale citoyenneté. Avec le week-end qui s’amorce, le temps n’est donc ni à la promenade ni à la flânerie mais bel et bien au repli sur soi, à domicile…

AUXERRE : Derrière les mots, il y a l’espérance. Celle de la victoire face à l’invisible ennemi qui bouscule nos certitudes et perturbe nos existences. D’où l’impérieuse nécessité de ne rien lâcher. Pas même un infime pouce de terrain, dans ce combat que nous menons, ensemble, face au coronavirus que certains considéraient il y a peu encore avec dédain comme une simple « grippe » inoffensive, de faible importance.

Personne n’est immunisé contre ce fléau pathologique qui s’abat sans merci sur l’Europe depuis bientôt deux semaines. L’air grave, solennel, profond, face à l’écran de son ordinateur qui lui permet d’assurer en concomitance une conférence de presse présentielle, diffusée par voie numérique vers d’autres confrères qui n’ont pu se déplacer, le préfet de l’Yonne enjoint les habitants de notre département à rester chez eux.

Il y a réellement péril en la demeure si l’on ne respecte pas ces règles élémentaires qui prennent leurs sources dans l’évidence absolue : la raison.

Bien sûr, précise le haut fonctionnaire que ces mesures sont fortes. Complexes, parfois, et dures à appliquer, souvent. Mais, à l’approche d’un week-end, qu’il soit ensoleillé ou non, elles sont plus que jamais essentielles pour préserver la sauvegarde des êtres chers qui nous entourent. Mais, aussi l’existence d’autrui.  

De la détermination, il en faudra pour que nous sortions vainqueurs de cette « guerre » impitoyable que nous livrons depuis mardi. Alors, le préfet de l’Yonne rappelle que limiter ses déplacements est devenu la règle d’or qui prévaut dans tous nos faits et gestes désormais.  

 

Pas de couvre-feu au niveau du département…

 

Le civisme, visiblement, les Icaunais en ont à la pelle ! Henri PREVOST le reconnaît en substance. Il félicite ses administrés par ailleurs. Car, peu ou prou, peu de choses néfastes viennent réellement contrarier l’application concrète de ces mesures strictes de confinement.

Mais, attention, celles-ci enregistrent pourtant un tour de vis supplémentaire. Avec la restriction des zones d’accès sur les lieux de promenade et de farniente. Une décision qui émane par effet gigogne du ministère de l’Intérieur à la suite de l’intervention de Christophe CASTANER.

Réduire les sorties, hormis celles autorisées (courses alimentaires, se rendre sur son lieu de travail, exercice physique individuel cantonné à quelques foulées à courte distance du domicile, promenade animalière usuelle…) est le leitmotiv de la gouvernance afin d’endiguer les effets pervers et contagieux constatés le week-end dernier à Paris avec l’envolée de moineaux des Franciliens vers leur lieu de villégiature habituel, via les gares et le RER.   

 

 

 

 

Il en sera ainsi jusqu’au terme de cette première quinzaine de jours de confinement. Soit le 31 mars. Sachant que le prolongement de ce dispositif se réfléchit déjà dans les alcôves des hautes sphères étatiques.   

Exit donc les ballades à bicyclette, les excursions champêtres dans la forêt avoisinante et la séquence pique-nique en famille au bord de l’Yonne ! Par arrêté municipal, la Ville d’Auxerre a pris des mesures restrictives en ce sens, pour interdire tout accès sur les rives de l’Yonne, du côté des quais toujours très fréquentés dès le premier rayon de soleil salvateur ou au Parc de l’Arbre Sec.

Quant à la gare d’Auxerre, elle ne subira pas de contrôles particuliers par les forces de l’ordre (police nationale et police municipale) mais il est à signaler une fréquence moindre des trains depuis plusieurs jours.

Les gendarmes intensifieront les vérifications dans les zones rurales afin de ne pas laisser les mailles du filet trop se délier.

 

 

Les marchés dans le viseur des restrictions…

  

Reste l’épineuse et délicate gestion des marchés. A ce propos, le préfet de l’Yonne a sensibilisé les maires des communes concernées afin que des dispositifs plus stricts soient enfin adoptés pour en maîtriser la fréquentation dans les usages et le respect des gestes dit « barrière ».

Il a rappelé par ailleurs que « seules les denrées alimentaires devaient être vendues sur ces marchés encore autorisés… ».

Rappelant qu’il était nécessaire d’assurer la protection des commerçants mais aussi de la clientèle, Henri PREVOST a mentionné la suspension, du moins provisoire, de certains d’entre eux dès ce week-end, à l’instar de ceux de Toucy, Chablis et Saint-Fargeau.

D’autres, comme ceux de Sens et de Joigny qui se tiennent dans une halle couverte, bénéficient encore de leur précieux sésame les autorisant à accueillir de la clientèle.

 

 

 


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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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Poursuivre au mieux sa mission de service public auprès des assurés : c’est le choix volontariste applicable par la CPAM de l’Yonne en cette période de crise sanitaire si délicate à vivre. Un plan de continuité d’activité a été défini le 13 mars en concertation avec la CNAM. Si le télétravail est en cours de déploiement au domicile des salariés pour les activités prioritaires, certains des collaborateurs continuent encore de venir au siège pour des missions spécifiques. Propres au service public de santé.

AUXERRE : Dans l’absolu, tous les accueils de la Caisse primaire d’assurance maladie de notre département ne sont plus accessibles au public depuis le 17 mars. Mais, cela ne sous-entend pas l’arrêt systématique des activités au sein de la vénérable institution !

Bien au contraire, même si la majeure partie des collaborateurs reste confiné à leur domicile hormis les acteurs des activités prioritaires. En cette période de crise sanitaire aigüe, la CPAM de l’Yonne a décidé de demeurer aux côtés des assurés.

D’une part, la plateforme téléphonique qui répond aux appels du public de la Côte d’Or, de la Nièvre et de l’Yonne s’est transformé en centre de prise d’appels du 15. En appui du Centre 15. Les patients sont ainsi dirigés vers des médecins et infirmiers icaunais ayant accepté de prendre d’autres malades que ceux de leur patientèle.

Grâce aux outils numériques (AMELI, les newsletters…), le public garde un contact permanent avec l’organisme. Ainsi, l’information générale nationale et locale peut être consultée sans l’ombre d’un problème.

Toutefois, les agents ne rencontrent plus le public. Qu’il s’agisse des assurés mais aussi des employeurs et des professionnels de santé.

 

Même le Centre d’Examens de Santé a fermé ses portes…

 

Du côté du Centre d’Examens de Santé (CES), sa fermeture a été officialisée depuis peu. L’ordre est venu des instances nationales. Mais, le personnel médical et infirmier peut être sollicité à tout moment pour concourir à la réserve sanitaire sur simple réquisition préfectorale.

Le télétravail prend désormais toute sa dimension depuis le début de la semaine. Chez eux, les salariés de la CPAM continuent à faire vivre l’institution via les paiements ou l’attribution des droits (complémentaire santé solidaire, aide médical d’Etat ou AME).

Seuls les membres du comité de gestion de crise, l’unité des flux entrants (courrier et dématérialisation), les services comptabilité, paie, informatique et logistique fréquentent encore le siège auxerrois. Jusqu’à nouvel ordre.

Soucieux de contribuer à la solidarité nationale en ces instants difficiles, la Caisse primaire de l’assurance maladie respecte ainsi sa mission de service public en santé.

Le fondement même de l’entité sanitaire, comme l’a précisé le directeur adjoint de la structure, Thierry GALISOT.

 

 


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