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Lutter contre les freins à l’emploi et accompagner les personnes en recherche d’un travail est le principe fondamental de ce cycle formatif d’un trimestre qui accueille une douzaine de stagiaires à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Sous l’astucieux vocable de « DIGIT’ELLES », clin d’œil référentiel à la maîtrise du digital indispensable pour retrouver le chemin de la vie active, la chambre consulaire a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre, Dominique YANI, ce vendredi.

 

AUXERRE : Depuis le 16 décembre, une douzaine de jeunes femmes sont immergées dans un cycle pédagogique intense à la CCI de l’Yonne. Nom de code de ce parcours : « DIGIT’ELLES » !

S’adressant à un public exclusivement féminin, ce dispositif de trois mois n’a d’autres objectifs que de remobiliser et réinstaurer la confiance en soi de ses bénéficiaires. Soit un total de 329 heures de cours théoriques à suivre au centre de formation du vénérable organisme.

Soixante-dix heures de ce copieux programme étant destinées à l’incursion en territoire entrepreneurial pour mieux humer et s’imprégner des tendances actuelles, côté professionnel.

Composé de découvertes numériques, mais aussi de communication et de bureautique, ce stage va permettre à 70 % de ses suiveuses d’accrocher un emploi à leur escarcelle dès son terme. Sachant que les 100 % de ses participantes auront pu peaufiner du mieux possible leur projet professionnel pour y parvenir.

Le cycle accueille des personnes inscrites à Pôle Emploi, ainsi que les bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés. Bref, des femmes ayant l’envie de bien faire et de booster leur quête d’un job en accumulant de nouvelles expériences didactiques enrichissantes.

 

 

Des personnes motivées et déterminées pour relever les défis…

 

Vendredi, le groupe a reçu la visite de la sous-préfète d’Auxerre et secrétaire générale de la préfecture Dominique YANI. Celle-ci a été accueillie par le président de la CCI de l’Yonne Thierry CADEVILLE. Signalons également la présence à leurs côtés de Marc LEPRETRE, délégué régional d’OPCO-EP, l’organisation paritaire administrée par des représentants des employeurs (U2P, CPME ou fédérations de branche) et des représentants de salariés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO). Les correspondants de Pôle Emploi et de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) assistaient à cette rencontre.

Dominique YANI s’est félicitée de la mise en place de ce processus pédagogique, en phase avec les objectifs de l’Etat de lutter contre les freins à l’emploi.

« Ces douze personnes sont motivées et ont montré lors de nos échanges toute leur détermination pour relever ces nouveaux défis, devait-elle déclarer par le canal des réseaux sociaux.

Quant à Thierry CADEVILLE, il a insisté sur l’importance pour les entreprises de trouver des ressources assurant des fonctions tertiaires, formées, polyvalentes et rapidement opérationnelles.

Ce dont ont le plus besoin aujourd’hui les entrepreneurs de l’industrie, de l’artisanat, du commerce et des services de notre territoire !

 

Thierry BRET

 


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Une de plus à mettre dans la besace. Autrefois sous les couleurs de la Grande-Bretagne, la marque MG bat aujourd’hui pavillon chinois depuis que le puissant groupe SAIC a mis la main dessus. Cela n’empêchera nullement le distributeur automobile JEANNIN, l’un des plus représentatifs sur son secteur d’activité dans la région, de la proposer bientôt à Troyes. Après l’avoir déjà placée parmi ses objectifs de vente dans l’Yonne.

 

AUXERRE: Il est prescrit le temps où MG et ses sémillants roadsters s’affichaient sur nos routes avec cette dimension identitaire toute britannique qui était la sienne. Rattachée à une autre référence mythique de la construction automobile : ROVER, depuis disparue bel et bien des radars de la commercialisation !

Nous étions alors en 2005. Le leader du marché automobile et du poids lourd de Chine, SAIC, basé à Shanghai, engloutissait dans son empire ce vestige mécanique de la perfide Albion ! La multinationale pèse désormais 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires, emploie près de 145 000 collaborateurs et vend près de 6 millions de véhicules à l’année. C’est par le truchement de l’une de ses filiales, NANJING, que ce puissant consortium possède par ailleurs la marque qui nous interpelle ce jour : MG.   

En 2020, 230 000 automobiles à l’estampille de ces célèbres initiales ont été vendues hors de Chine ! La priorité est donnée désormais au 100 % électrique. Premier essai concluant avec le ZS EV qui demeure l’un des SUV électriques les plus abordables du marché. Nouvelle approche de pure séduction avec le Marvel R dont on devrait entendre bientôt parler dans le landerneau puisque distribué à Auxerre et à Sens, et prochainement dans l’Aube, à Troyes, par le concessionnaire JEANNIN Automobiles.

 

 

Implantation d’une nouvelle vitrine commerciale à La Chapelle-Saint-Luc…

 

Plus précisément à La Chapelle-Saint-Luc, en proche périphérie de la capitale auboise. C’est là que l’ex-star des sixties so british va pouvoir s’écouler auprès des consommateurs en recherche de nouveautés à partir d’une nouvelle vitrine commerciale, devant s’ériger de terre.

« Nous avons remporté le panneau de l’enseigne, explique Cathy TOZEYRE, la spécialiste de la communication interne/externe du groupe JEANNIN qui caracole loin devant sur le marché, avec plus d’une dizaines de marques à commercialiser ! Nous n’avions pas encore obtenu la marque sur l’Aube : c’est fait ! ».

 

 

Dans un premier temps, les futurs acquéreurs de ces modèles fabriqués dans l’esprit de la transition écologique devront fréquenter une structure éphémère, le temps que la future concession prenne corps dans l’une des zones très attractives et industrielles de La Chapelle-Saint-Luc où est prévue l’implantation de la construction. Cela ne sera que passager.

 

 

Une puissance s’affirmant dès le démarrage !

 

Devant débutés au printemps, ces travaux devraient s’achever quelques douze mois plus tard dans un environnement ergonomique et fonctionnel de huit cents mètres carrés où seront accueillis deux marques, MG et MAZDA. Mais, dans l’Yonne, les concessions du groupe JEANNIN sises à Auxerre comme à Sens proposent déjà à l’achat la fameuse marque.  

Que dire de ce Marvel R électrique, qui possède une planche de bord insolite avec un grand écran vertical de près de vingt pouces, qui ne devraient pas déplaire aux férus de technologie !  

Offrant une autonomie de 400 kilomètres, ce concurrent des SUV produits par KIA, TOYOTA et DACIA, embarque à son bord sous le capot deux motorisations électriques cumulant 180 chevaux. Voire de 288 chevaux selon une autre variante ! L’obtention du cent kilomètre/heure au démarrage est obtenue en moins de cinq secondes : c’est tout dire sur la réelle capacité de puissance de cette petite merveille. Quant à la charge de la batterie, elle est annoncée par le constructeur à 43 minutes pour passer de 5 à 80 % ! On peut la toucher entre 40 000 et 50 000 euros. Un modèle idéalement bien positionné sur le segment de l’électrique…

 

Thierry BRET

 


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Il est de ces mots quelque peu malmenés depuis ces deux dernières années. De ces mots gravés sur la façade de nos mairies, et dont le poète Paul ELUARD se targuait d’écrire son nom : liberté. C’est drôle. Mais en poussant la porte de cet estaminet à la peinture défraîchie, c’est immédiatement ce que l’on ressent. Au sol quelques carreaux sont cassés. Au mur, il y a des affiches de Saint-Vincent du siècle passé : bienvenue au DOLET !

 

AUXERRE : Le poêle ronronne mollement en ce jeudi hivernal, pour le plus grand plaisir des clients-copains ou des habitués. Le comptoir est en formica, star des sixties, magnifiquement évoqué dans la chanson « La Montagne » par Jean FERRAT. La facétieuse grenouille y a même élue domicile ! Sur les vitres en verre dépolie, quelques fleurs peintes d’antan par le regretté Toto….Ah ! J’allais oublier : à l’extérieur, se trouvent des toilettes à la turque d’une impeccable propreté.

Bienvenue au « Dolet », ce bistrot de quartier auxerrois, sis à l’angle des rues du port Gerbault et Étienne Dolet. Des comme ça : il n’y en a plus guère, raison de plus pour en pousser la porte, et découvrir - ou redécouvrir - cet univers bistrotier en fin de vie dans notre pays.

 

Le bistrotier aime ses clients : ils le lui rendent bien…



Au comptoir, c’est sieur Hervé. Avec son pantalon en Tergal tout droit sorti de feu les usines vosgiennes BOUSSAC, et son pull qu’un copain douanier a dû lui fourguer sur sa dotation, il ne manque pas d’une certaine allure. Jadis, cet avallonnais travailla au restaurant « La Courte paille » de Cussy-les-Forges. A l’époque, on y pratiquait de la vraie cuisine : patates épluchées, vraie vinaigrette, tarte aux pommes maison….

Tout cela fut chamboulé à l’aube des années 90, lorsque notre bistrotier et dame Ginette s’installèrent ici. L’équation est en ces lieux d’une grande simplicité, malgré quelques identités tout à fait remarquables : Hervé aime ses clientes et clients, qui le lui rendent bien. Chaque matin, il ouvre avant 6 heures, afin que les éboueurs débutent leur tournée par un café chaud.

Parfois, c’est vrai, il a du mal à desserrer la mollette du fût de bière. Tel Saint-Bernard, « Seb » de chez COURTOIS Bourgogne Boissons accourt.

« Un client comme Hervé, on ne peut le laisser  tomber » affirme ce sympathique professionnel !

 

 

Le plus important est que cela plaise aux clients !



Bon, autant l’avouer tout de go : à l’instar de votre serviteur, Hervé de Montréal - dans l’Avallonnais et non point dans la belle province !- ne comprend pas tous les canons et subtilités de la société actuelle. Pour entretenir sa mémoire, il fait ses additions à la main sur d’anciennes liasses informatiques apportées par de gentilles clientes-secrétaires, et il n’a point de portable, car cela ne sert à rien. CQFD ! Alors un conseil, vous qui passerez par hasard, n’allez pas lui demander si il est plutôt LinkedIn ou Instagram ! Demandez-lui plutôt, d’avisés conseils le moment venu quant aux pieds de tomate !

Au comptoir, c’est selon, même si notre homme apprécie le vigneron Yvon VOCORET, qui lui livre son petit chablis, récemment tasteviné, lors du chapitre automnal au château du Clos-Vougeot. Cette jolie distinction laisse de marbre notre bistrotier, car le plus important, c’est que cela plaise aux clients ! Ce solide bon sens règne en maître dans ce petit estaminet, pour le plus grand plaisir de Marc, Philippe, Eric, Delphine, Jean-Pierre, Pascale et les autres…

 

Des tarifs non prohibitifs que ceux pratiqués par certaines chaînes…

 


En cuisine, la cheffe, c’est dame Ginette ! Sur sa gazinière quatre trous - ressemblant peu ou prou à celles de la marque ROSIERES vantée par Paul BOCUSE dans les années 70 !- elle réalise des merveilles de simplicité gourmande. Chaque jour correspond à un plat différent : saucisse lentilles, chou farci, bœuf bourguignon, poule au pot, rôti de porc au jus... En dessert : mousse au chocolat, pommes au four et chaque automne, une étonnante tarte aux coings.
La formule comprend le plat, une assiette de fromages ainsi que le dessert pour 11 euros. Avec le café : 1 euro en sus et 2,5 euros avec un « p’tit quart » de vin. A comparer avec les tarifs prohibitifs sans âme culinaire aucune, de bien des chaînes. Ici, c’est un vrai restaurant ouvrier, avec toute la noblesse qui en découle…

 

 

Se précipiter au DOLET avant qu’il ne soit trop tard !


Ce midi-là, ce fut un sauté de sanglier accompagné de pâtes et endives braisées, une assiette de fromages - toujours servie avec du beurre -, puis une exquise crème caramel à la paisible cuisson (le cas échéant, le dessert est constellé de micro-bulles). Dans sa petite salle patinée d’âme, notre homme envoie une vingtaine de couverts. A ce moment-là, mieux vaut ne pas le déranger !

« Minou, encore deux couverts » aboie-t-il avec délicatesse à la cheffe ! Et à 14 heures, on vous servira encore !
Alors, à l’instar des chanteurs BENABAR et RENAUD qui s’en vont manger « Chez les Corses », nous autres icaunais, devons-nous précipiter au DOLET. Car demain, définitivement, il sera trop tard.

 

En savoir plus :

Les + : sens de l’accueil, convivialité, bonne cuisine : tout y est !

Les – : le café n’est pas des meilleurs dirons-nous ! Sacré Hervé !

 

Gauthier PAJONA

 

Référence


Le DOLET

13, rue Étienne Dolet

89000 Auxerre

Fermé samedi/dimanche.

Contact 03.86.46.88.58., de 06h à 19h.


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Le rendez-vous est inscrit dans le marbre. Celui de Carrare, flamboyant et solide ! Immaculé de toute aspérité qui viendrait en gêner le processus. Depuis 2018, à rythme trimestriel, employeurs et institutionnels de l’Avallonnais convergent vers un lieu commun, à l’invitation de la Mission Locale, provoquant un échange constructif lors d’un petit déjeuner. Une initiative participative au service de l’emploi…

 

AVALLON : La formule est bien rôdée. Quasi immuable et très attendue de ses participants. Des femmes et des hommes n’ayant qu’un seul objectif en tête : faire que les jeunes générations s’insèrent sans trop de difficultés dans la vie active. Vaste programme en pleine période de crise sanitaire ! Même si le chômage suit une courbe descendante, très appréciable des observateurs depuis plusieurs mois.

Nonobstant, il n’est pas si aisé pour un jeune diplômé ou de surcroît un décrocheur de se propulser vers l’emploi. Ne parlons pas des seniors, catégorie socio-professionnelle qui peine encore à faire ses preuves dans le monde du travail alors qu’ils n’ont plus rien à prouver, cela va de soi ! Eux qui, a contrario, possèdent savoir-faire et culture d’entreprise.

 

Un chef d’orchestre à la baguette de cette symphonie positive : la Mission Locale…

 

Dans l’Avallonnais, on a donc choisi le pragmatisme pour faire bouger les lignes. La recette qui n’a rien d’alimentaire tient pourtant en une série de mots appétissants: le petit déjeuner des employeurs.

Café, thé ou chocolat, assortis de leurs inévitables croissants et viennoiseries sont devenus de précieux auxiliaires pour aborder des sujets chaud brûlant sur l’actualité du travail. En pensant avant tout à résoudre l’éternelle équation se rapportant au recrutement. Le tout servi dans un état d’esprit constructif et novateur.

Une cinquantaine d’entreprises de ce bassin attractif y participent sans renâcler. Il y a du lourd (AJ Services 89, ADN Imprimeur…), voire du très lourd (SCHIEVER, Mc DONALD’S, Banque de France, Pneu LAURENT…) parmi cette représentativité à l’écoute et ouverte au dialogue. Celui que propose la Mission Locale à la baguette de ce grand orchestre qui ne veut pas jouer de fausses notes.

Quels dénominateurs communs animent ces « musiciens » ? Le besoin d’initier des partenariats utiles et efficients, de dynamiser ce réseau informel mais omniprésent, de mobiliser les jeunes sur le marché de l’emploi. Bref : une vraie mission sociétale qui pourrait presque s’apparenter à un défi de titan !

 

 

Des chiffres qui plaident en la faveur de la MILO…

 

Bras armé des pouvoirs publics s’activant au plus près de la territorialité, la Mission Locale est au cœur du dispositif mis en place à destination de la jeunesse, « 1 Jeune 1 Solution », qui obtient de vertueux résultats depuis son lancement.

Le bilan de la structure est éloquent : 849 jeunes sur les mille et une personnes contactées par la MILO ont été accompagnés par ses services ;  281 jeunes ont pu bénéficier du PACEA (Parcours d’accompagnement contractualisé vers l’Emploi et l’Autonomie) ; 111 d’entre eux sont entrés en Garantie Jeunes ; 132 profitent d’un plan de formation ; 554 nouveaux contrats de travail ont été signés en 2021 et 155 entreprises ont été en contact avec l’organisme au cours de cette dernière année, en proposant 71 offres d’emploi. Pas si mal, au terme de douze mois de l’existence vécue au rythme de la pandémie !

Bien que la date de la prochaine rencontre n’a pas encore été divulguée, on imagine aisément que les adhérents de ce club des employeurs très investis au sein de leur mission se satisfont déjà de se retrouver autour de ces viennoiseries, prétexte à ingérer de la nourriture beaucoup plus consistante intellectuellement pour aborder les vrais problématiques de l’emploi.

 

Thierry BRET

 


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On connaît tous la conquête de l’Ouest, symbolisée par autant de westerns qu’ils soient spaghettis ou de pure tradition, fleurant bon les paysages sauvages et l’éternelle rivalité entre cow-boys et indiens. Place désormais à la conquête vers l’Est ! Telle que la conçoit depuis plusieurs années, le groupe de grande distribution SCHIEVER. Après la Pologne et le Tadjikistan, ainsi qu’un bureau d’achats en Russie, voici l’Ouzbékistan qui rejoint ce club de moins en moins restreint où l’enseigne de l’Yonne inaugure de nouveaux commerces.

 

AVALLON : Tachkent, cela vous parle ? Pas vraiment, à première vue. Pourtant, c’est là-bas, dans cette ville faisant office de capitale de l’Ouzbékistan, ex-république de l’URSS, que vient d’être inaugurée le 13 janvier la quatrième supérette à l’estampille de « bi1 », sous l’égide du groupe de distribution SCHIEVER. Mettant ainsi, provisoirement peut-être, un terme à la série inaugurale en cours, soit quatre boutiques marchandes ouvertes depuis le mois de décembre dans l’un des quartiers de la cette métropole, forte de ses 2,5 millions d’habitants. Une véritable aubaine pour l’entreprise dont le siège social se situe en terre icaunaise. Nouvelle contrée à ajouter à son escarcelle et surtout de belles perspectives pour la structure qui poursuit ainsi avec succès son déploiement à l’international, sur la façade orientale de l’Europe et en Asie mineure.

Directeur général du groupe, Vincent PICQ, figure emblématique de l’entrepreneuriat en Bourgogne septentrionale (il est également le président du Réseau Entreprendre sur le département de l’Yonne) a effectué le déplacement sur place afin de vivre la cérémonie protocolaire d’usage, habituellement réservée aux ouvertures de nouveau magasin.

 

 

Un projet né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire local…

 

Si le patron de cet incontournable acteur de la grande distribution n’a pas défloré les détails stratégiques de la manœuvre, il n’empêche qu’il souhaite un développement rapide de l’activité dans le pays.

« Il s’agit de magasins ouzbeks dont les produits sont fabriqués localement pour leur population, précise Vincent PICQ, c’est en nous impliquant aux côtés de fabricants dans l’évolution des usages et en travaillant avec les producteurs locaux que nous répondrons aux besoins de la population. En particulier, avec une offre d’environ huit cents produits à marques de distributeur… ».

Le concept est né d’un rapprochement avec un actionnaire minoritaire du pays. Cette chaîne de distribution repose sur deux activités à la complémentarité évidente : le commerce de détail et dans un futur proche, le e-commerce.

 

 

Des produits locaux de qualité proposés à bas prix…

 

Quant à la finalité du projet, elle est louable à bien des égards : permettre à la population d’avoir accès à une alimentation locale de qualité à bas prix. Judicieux, d’autant que le pouvoir d’achat y est faible.

Mis en œuvre depuis le début de 2021, le projet qui mobilise aujourd’hui une centaine de collaborateurs sur place et une centaine de producteurs locaux (les circuits courts applicables à la mode ouzbeks !) s’est appuyé également sur des échanges diplomatiques de qualité. Lors de ses voyages, Vincent PICQ a eu l’opportunité de s’entretenir avec le vice-Premier ministre, Adham ILHOMOVICH et le ministre des Finances, Jamshid QO’CHQOROV.

Naturellement, avec cette manne d’emplois créés sur place, la venue du groupe tricolore est perçue comme très bénéfique. L’ambassadrice de France à Tachkent, Aurélia BOUCHEZ n’a pas manqué de saluer le professionnalisme de SCHIEVER qui va proposer à la population locale une offre de produits aux meilleurs prix à partir de produits locaux de qualité.

 

 

En savoir plus :

SCHIEVER à l’international, c’est huit hypermarchés « bi1 » en Pologne et quatre au Tadjikistan,

C’est un total de 15 enseignes, 188 magasins et 7 000 collaborateurs en France, Pologne, Tadjikistan et Ouzbékistan.

 

Thierry BRET

 

 

 


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