Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le responsable de la société GEOCHANVRE, Frédéric ROURE, confirme un changement de cap au niveau de la distribution de ses produits. En se rapprochant d’une société de prestataires de service ayant conçu une plateforme numérique, certains de ses produits conçus à base de chanvre sont désormais distribués sur du e-commerce.

LEZINNES : L’entrepreneur de LEZINNES avait reçu cet hiver la visite des représentants de la société, MATINOFR (Lionel CHEVALIER et Adrien CAPONY, deux experts en grands travaux et docteurs en matériaux), en vue de préparer les modalités techniques de ce partenariat commercial en ligne.

Localisée à Pont de Vaux (01), l’entreprise MATINOFR se positionne sur la vente en ligne de produits naturels français dont ceux élaborés à partir de chanvre. Opérationnel depuis le mois d’avril, ce site de e-commerce cible les collectivités et les professionnels.

Mais, la clientèle de particuliers est aussi amenée à pouvoir le consulter et à acheter des articles sur cette référence numérique. Une dizaine de produits fabriqués par GEOCHANVRE figurent déjà au catalogue de ce spécialiste du e-commerce.

Au plan stratégique, l’entrepreneur icaunais confirme ainsi sa volonté de diversifier ses canaux de distribution en empruntant la voie moderniste des réseaux multimédias…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Destinée à former les étudiants de niveau Bac + 3, cette licence en acoustique et vibrations devrait être opérationnelle dès la rentrée. Proposée sous la forme d’un contrat de professionnalisation, et en privilégiant l’alternance, ce cursus technique d’enseignement supérieur devrait permettre aux titulaires du diplôme, quasi unique en France (il n’en existe que trois autres variantes), de pouvoir opérer soit dans la filière bâtiment, soit dans les métiers de l’industrie.

AUXERRE : Aujourd’hui, ce projet a le mérite de fédérer différents partenaires institutionnels et économiques sensibilisés par le développement de l’enseignement supérieur de l’Yonne : l’ISAT, le lycée Joseph FOURIER, le CFA Bâtiment, le Pôle Formation Nièvre Yonne, la Fédération départementale du Bâtiment, l’Université Dijon Auxerre, etc.

L’objectif de ce concept sera dès son ouverture l’accueil d’une vingtaine d’étudiants afin de développer cette filière novatrice arborant l’estampille de la structure défiSON et de l’un de ses partenaires majeurs, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

Les étudiants de ce nouveau cursus devraient alimenter les industries locales ainsi que les entreprises positionnées dans le domaine du bâtiment, via leurs bureaux d’études acoustiques. Quant à leurs futurs employeurs, ils seront issus de secteurs techniques pouvant englober la maintenance, la conception mécanique, l’innovation, le bâtiment. 

Les entreprises intègrent déjà ces problématiques

Nombreuses dans le sérail icaunais, des entreprises, petites et grandes, pourront faire appel à ces futurs techniciens afin de résoudre une problématique acoustique ou vibratoire propre à l’organe de production ou liée au produit fini. L’année dernière, le groupe MOUVEX, spécialiste mondial des pompes industrielles à Auxerre, devait prendre l’initiative de restreindre le volume de décibels émis par une pompe à farine, réduisant ainsi cette gêne chronique pour les utilisateurs de plusieurs décibels. Quant à la société WE SOLD à APPOIGNY, elle souhaite intégrer la formation de ses collaborateurs à la pose de plafonds isolants acoustiques dans le cadre d’opérations d’aménagement d’intérieur de bâtiment. Les collectivités ne sont pas en reste puisque différents projets de réhabilitation acoustique de salles des fêtes départementales devraient être déclenchés au cours de ces prochaines semaines.

Enfin, la maîtrise et la gestion des nuisances sonores occupent désormais les esprits de bon nombre d’entrepreneurs. Ils se doivent de prendre en compte les risques encourus par les salariés en termes de bruits et de pénibilité sur le lieu de travail mais aussi de protéger l’environnement et les riverains de certaines nuisances.

Des postes à pourvoir pour les futurs diplômés

Concrètement, ces futurs diplômés devraient donc jouer un rôle d’interface essentiel entre le bureau d’études et l’ingénieur à l’avenir. De nouvelles notions devraient aussi apparaître dans les us et coutumes des professionnels du bâtiment à base de psycho-acoustique, de sono conception et de sonorisation des lieux. Ce seront les principales orientations pédagogiques abordées par la nouvelle licence à Auxerre, ville inspirée par les filières sonores et vibratoires.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Opérationnel depuis 2011, l’Institut de formation des ambulanciers, aides-soignants et auxiliaires de puériculture (IFAS) représente à ce jour l’une des quatre références pédagogiques autour des métiers de la santé dans le département icaunais. Accueillant des élèves âgés de 17 à 54 ans, l’établissement de Joigny procède régulièrement à des opérations de sensibilisation de la filière, en ouvrant grandes ses portes à de nouvelles recrues, parfois accompagnées de leur famille.

 

JOIGNY : Installée au sein du Pôle formation de l’ancien site du Groupe géographique de l’armée, la structure existe néanmoins depuis une quarantaine d’années. Elle était jusque-là accueillie dans les locaux du centre hospitalier local.

Déclinant des cursus pédagogiques de niveau V, l’IFAS forme à trois métiers essentiels de la filière santé qui continue à fournir des emplois sur le territoire. Qu’il s’agisse de l’une des fonctions primordiales, celle des ambulanciers ou celle des aides-soignantes, de nombreux postes sont à pourvoir à l’heure actuelle auprès des maisons de santé et des établissements accueillant des personnes âgées (EHPAD).

L’émergence de nouveaux parcours diplômants, à l’instar de l’ASSP (accompagnement soins et services aux personnes) et du SAPAT (service aux personnes et aux territoires), a intensifié ce nouvel intérêt de la part de ces populations en quête de métiers à exercer dans les domaines du sanitaire et du social.

Depuis ses origines, ce sont plusieurs centaines de diplômés qui ont ainsi bénéficié de ces formations instruites par des professionnels de santé, notamment des infirmières, toutes diplômées d’Etat. Nombreux sont les spécialistes du corps médical qui apportent également leur savoir-faire en prodiguant des cours en qualité de vacataires. Réunis en petits modules de douze apprenants, les élèves suivent un programme de cours théoriques et pratiques, s’échelonnant sur plusieurs mois. A l’issue de leur passage, 98 % de ces personnes intègrent un emploi.

Un soutien financier de la Région Bourgogne Franche-Comté

L’IFAS de Joigny reçoit aussi des personnes exerçant déjà une activité professionnelle dans les milieux hospitaliers. Certaines travaillant dans des sociétés ambulancières. Par contre, signe des temps, beaucoup de nouveaux diplômés se tournent vers le travail temporaire afin de tester le métier qu’ils ont appris et voir leur degré d’adaptabilité à la fonction.

Destinataire de la taxe d’apprentissage, l’IFAS profite du soutien financier de la région Bourgogne Franche-Comté. L’organe institutionnel alloue des aides servant à l’acquisition de matériels de simulation de santé, un renouvellement d’outils pédagogiques partagés avec l’Institut de santé de Sens. Celui de Joigny privilégie l’accompagnement des élèves à partir de modules personnalisés (écoute, suivi, entretien, qualité de vie…).

Engagé dans une démarche qualité depuis trois ans, l’IFAS a pour objectif d’harmoniser les procédures pédagogiques tout en uniformisant les outils et les méthodes de travail avec les autres établissements que compte le Groupement hospitalier du territoire (GHT) de Sens et de Villeneuve sur Yonne.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Créée le 20 janvier dernier, la nouvelle entité coopérative a pour objectif de dynamiser les milieux agricoles du territoire icaunais. Concept élaboré sous le format de la « co-construction », YNOVAE ne représente pas une énième coopérative dans le landerneau. Mais, bel et bien une référence majeure, voire « LA » référence prépondérante du développement économique au service des agriculteurs.

 

JOIGNY : Présidée par Laurent PONCET, ex-responsable de CEREPY aux côtés du président de la Chambre d’agriculture départementale, Etienne HENRIOT qui en assume les fonctions de président délégué, la nouvelle structure est depuis sa création survenue en début d’année pilotée par Jean-Luc BILLARD, l’ancien directeur de CAPSERVAL.

Réunis le 25 novembre, lors de leurs assemblées générales respectives, les adhérents des deux coopératives de l’Yonne avaient approuvé à une large majorité le mode opératoire de ce nouvel outil, baptisé « YNOVAE ».

A l’époque, au cours de son intervention, Etienne HENRIOT expliquait que « cette coopérative ne pouvait que s’inscrire dans l’histoire de l’agriculture de l’Yonne ». Malgré un contexte conjoncturel particulièrement délicat à l’issue de l’année 2016, tous secteurs de production confondus, l’initiative de porter sur les fonts baptismaux ce nouvel organe coopératif apparaissait comme une bouffée d’air pur pour cette filière éprouvée.

Basée sur le partage de valeurs communes, cette fusion entre CEREPY et CAPSERVAL aura eu pour effet judicieux de placer les adhérents au cœur du dispositif. Elle n’est finalement que le fruit d’une longue résultante fusionnelle ayant pris ses origines dès 1981 dans le département de l’Yonne.

Une nouvelle coopérative, terre d’inspiration ?

Le nom YNOVAE fait référence à cette identité territoriale propre grâce à son slogan : « terre d’inspiration ». Celle-ci ne devrait pas manquer d’interpeller les 1 000 adhérents concernés par ce nouvel acteur fort du monde coopératif agricole. Disposant de 24 silos, répartis sur la moitié nord du département et employant 104 salariés pour une collecte moyenne de 380 000 tonnes de céréales réalisée sur un global de 80 000 hectares, YNOVAE pèse dès son acte de naissance plus de 120 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Si la fusion politique, voire stratégique, a déjà été entérinée, reste désormais à concevoir le second volet de cette fusée novatrice : le rapprochement technique et humain. Celui-ci est en phase applicative. La structure souhaite très vite créer de la valeur ajoutée en prônant la carte de l’innovation. Une communication forte envers les adhérents complète ces objectifs ainsi que le développement de circuits courts et des alliances dans la continuité de ses coopératives initiales.

Un ensemble de filiales très puissantes

Derrière cette nouvelle appellation s’imbrique tout un ensemble de filiales aux vertus caractéristiques à l’instar de SENOGRAIN (14,5 millions d’euros de chiffre d’affaires pour un effectif de 12 personnes positionnées sur le négoce), CAPS VERT (un ensemble de 7 magasins localisés au nord de l’Yonne et favorisant la distribution de produits destinés aux animaux pour les professionnels et grand public, soit 1,066 million d’euros de chiffre d’affaires…), PSV (plateforme de stockage et logistique recevant 2 000 tonnes de produits phytosanitaire pour 873 000 euros de chiffre d’affaires et 6 collaborateurs), SEINE Yonne (union de moyens entre les coopératives YNOVAE et 110 Bourgogne ayant pour objectif de la valorisation professionnelle entre les adhérents, soit 76 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 2 700 agriculteurs membres et 900 000 tonnes de collecte).

A cela, il faut ajouter CEREVIA (structure rassemblant 7 grands groupes coopératifs en Bourgogne Franche-Comté et Rhône Alpes Auvergne pour 4 millions de tonnes de collecte, dont 650 000 tonnes de blé vers la meunerie (soit 10 % de la consommation française) et AREA (groupement interrégional avec ses 750 millions d’euros de chiffre d’affaires, soit 16 % du marché français, ses 7 000 collaborateurs, 80 000 exploitants et 9,5 milliards de tonnes collectées...).

La nouvelle entité dispose également d’un site d’expédition fluviale depuis ses infrastructures de la Grande Paroisse (nord de l’Yonne). Son siège social est localisé à VERON, avec une annexe à Saint-Julien du Sault. 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le jury de Bourgogne Franche-Comté avait rendu son verdict positif au printemps, saluant les initiatives originales de cette entreprise de conception de mobilier et d’agencement de magasins en bois massif. Adepte de l’holacratie, MOBIL WOOD interpelle dans son mode de fonctionnement et sensibilise de plus en plus les structures institutionnelles du territoire…

CRAVANT : Quel dénominateur commun existe-t-il entre l’ARDIE, l'ADEME, la BPI, la DIRECCTE et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ? Tous ces organismes ont répondu favorablement en avril dernier à la demande de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne pour visiter le site de l’entreprise MOBIL WOOD lors d’une opération « Brunch ». Il s’agissait d’éclairer les lumières des futurs porteurs de projets innovants dans l’éco-conception.

Il est vrai que la PME de CRAVANT est devenue une référence régionale à bien des égards. Elle, qui vient d’être désignée au titre de bénéficiaire du Trophée « ECO-INNOVEZ 2016 », a choisi d’améliorer la performance écologique en utilisant des matériaux labellisés à l’instar du bois massif exempt de formaldéhyde et lasures en phase aqueuse.

Spécialiste de la fabrication d'agencements de magasins en bois massif à travers la France, MOBIL WOOD occupe à ce jour une position de leader sur le marché de l'équipement des magasins biologiques (réseau BIOCOOP), employant au passage une soixantaine de collaborateurs.

Implantée depuis les années 1960 sur la localité de Cravant, la structure a toujours été fortement engagée dans une démarche de développement durable des biens et des personnes.

L’holacratie : nouvelle forme de management à développer ?

La provenance de ses matières premières le prouve. Ses bois qu’elles utilisent à la conception de meubles originaux proviennent des Landes (le pin). MOBIL WOOD, entreprise vertueuse, pratique aussi le recyclage des déchets et dispose d’une impressionnante armada de labels de référence : PEFC, AFAQ 1000NR, Excell Zone Verte, OSEO Excellence…

Une incontestable plus-value qui atteste son engagement à la création d’un nouveau modèle sociétal au service de l’homme. Depuis plus d’un an, l’entité pilotée par le tandem Alexis NOLLET et Sébastien BECKER repense au rôle et aux liens de leurs collaborateurs avec leur travail grâce à la mise en place d’un outil de démocratie participative qui commence à faire florès en France : l’holacratie.

Ce principe de management apporte en plus d'un environnement préservé et du bien-être au travail, une dimension de développement personnel via l'apprentissage, l'éducation, la formation...Normal que les organes institutionnels soient sensibles à ces nouveaux dispositifs.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil