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Meilleur ouvrier de France cuisine, triple étoilé au Michelin, cet orfèvre de l’art culinaire n’est pas forcément le patronyme le plus connu de la gastronomie française. Ce natif du Berry,  très tôt orphelin de père, a vécu une enfance pas forcément facile. Mais, il a eu le privilège d’être entouré d'une mère aimante. La cuisine semblant couler dans ses veines depuis son plus jeune âge,  c'est donc tout naturellement qu'il emprunta cette voie pas forcément bordée de roses à ses débuts…

PARIS : Jeune homme, il se marie avec sa muse,  Marie-Christine. Elle exerce le métier de coiffeuse. Gilles s’est constitué un parcours professionnel, parsemé de belles maisons.

En Bourgogne, un rapide passage à « L'Espérance », sise à Vézelay, ne le marqua pas vraiment. Il fut notamment second au restaurant « L'Escale » à Carry-le-Rouet (double étoilé Michelin) où chef CLOR l'initia à la finesse poissonnière. 

Puis dans les années 90, les GOUJON ont un coup de cœur pour le village de Fontjoncouse dans l'Aude (120 habitants).

 

 

« Ce sera là où nulle part » assène le tonitruant Gilles, un caractère au grand cœur mêlé d'un indéfinissable talent.

Dans ce village de bout de terre, les débuts ne furent pas forcément faciles tandis que de bons produits se morfondaient dans la chambre froide. Ils attendaient vainement de finir dans l'assiette des clients qui ne venaient pas ou si peu.

 

 

Le rêve absolu est atteint : décrocher les trois étoiles au Michelin…

 

Pour conjurer le sort, l'énergique Marie-Christine déposait même des bougies allumées sur les quelques marches du restaurant, s'inspirant d'une coutume indienne lue dans un magazine. Mais, c'est bien connu : après la pluie vient le beau temps !  

A sa seconde tentative, Gilles est titré  MOF. Puis en 1997, « L'Auberge du Vieux Puits » obtient sa première consécration au Michelin. Notamment pour sa petite cocotte de cochon aux olives de Lucques.

Ensuite tout va s'enchaîner goulûment ! En 2001, le célèbre guide double la mise, appréciant entre autres la galette d'estofinade en crème de verjus.  En 2010, le rêve de Gilles - partagé forcément par sa muse !- se réalise : il obtient enfin la quête du Graal pour son œuf de poule pourri de truffes, son filet de rouget Barbet, sa recette de pomme bonne bouche fourrée d'une brandade  à la cèbe en « bullinada ».

Toque basse à ce bel artiste, véritable filigrane de cet exigeant concours.

Gauthier PAJONA

 

 


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Conduire la politique de la nation française au plus près des territoires nécessite nécessairement finesse, psychologie, fermeté et savoir-faire. Même si l’ancien directeur de l’Agence nationale de traitement des infractions routières endosse pour la toute première fois de son existence la vêture préfectorale, le passé de ce haut fonctionnaire plaide en sa faveur sur le papier. Comprendre les multiples subtilités du département nord-bourguignon afin de mieux appréhender les réponses à y apporter intègre déjà ses priorités. La griffe du nouveau préfet reposera donc sur le dialogue, l’analyse et le respect d’autrui…

AUXERRE : Inscrire son action dans la continuité et la richesse de ce qu’a pu accomplir son prédécesseur : tel est le leitmotiv initial qui occupe les pensées du nouveau pensionnaire de l’hôtel de la préfecture de l’Yonne.

Henri PREVOST salue ainsi dès sa prise de parole avec le milieu médiatique régional le travail mené par Patrice LATRON. Ce dernier, aujourd’hui en poste à Paris, aura la lourde tâche de mettre en musique le fameux service national universel (SNU) destiné aux plus jeunes d’entre nous pour le compte du gouvernement.

Cassant les codes de la traditionnelle réception organisée en vis-à-vis autour d’une table de travail, le nouvel Auxerrois d’adoption (seulement depuis quarante-huit heures !) consacre donc son premier rendez-vous officiel à la presse. Un signe qui ne trompe pas sur ses réelles intentions de vouloir communiquer et faire passer ses messages vers une cible la plus éclectique possible.

Et des sujets de communication, Henri PREVOST devrait en avoir à foison au cours de la mission  qui lui a été confiée. A commencer par tout ce qui touche de près ou de loin à la sécurité routière, son cheval de bataille qui a jalonné une bonne partie de sa longue carrière. 

Toutefois, même s’il a déjà eu connaissance de la situation catastrophique qui régente aujourd’hui son nouveau territoire d’affectation (l’inflation galopante de l’accidentologie depuis 2016), Henri PREVOST souhaite agir en douceur et pas à l’emporte-pièce. En prenant soin, et surtout le temps, de bien assimiler les rapports d’enquête et les données informatives dont on l’aura abreuvé sur un coin de son bureau.

Le nouveau représentant de l’Etat souhaite en effet cerner en profondeur la population départementale. Afin d’en détecter toutes les spécificités et modes de fonctionnement. Voir les aspects comportementaux. Un vrai travail analytique qui lui permettra d’appliquer au plus juste et dans le respect des autres la politique étatique dont il est l’ambassadeur…

 

Une attitude sur les routes oscillant entre prévention et répression…

 

Alors, faut-il tout craindre désormais de la part de cet exégète es Sécurité routière sur nos axes de communication ? En la matière, le panégyrique de ce natif de Boulogne-sur-Mer (il possède aussi des attaches familiales dans le Châtillonnais voisin) est plutôt impressionnant.

« J’ai regardé les chiffres, précise-t-il son gobelet de café à la main, je ne peux que penser aux familles et aux victimes de ces drames à répétition. On ne peut pas tout résumer à la simple interprétation de statistiques… ».

En quatre ans, l’Yonne est passé dans le rouge couleur sang. Empilant sa litanie de faits divers tragiques au lendemain de chaque week-end. 41 morts en 2019 pour 296 blessés graves : un triste record dont le territoire et ses conducteurs ne peuvent s’enorgueillir.

 

 

Bien sûr, il sera judicieux de travailler avec l’ensemble des acteurs inhérents à la sécurité routière pour tenter d’endiguer le fléau. Mais, Henri PREVOST sait avec beaucoup de lucidité qu’il ne possède pas de solutions miracles dans sa besace, pour autant.

« Nous allons adapter la politique de sécurité sur les routes autour de deux axes de réflexion : la prévention et la répression. Forcément, les contrôles vont se développer. Naturellement, de nouvelles actions vont se déployer. Votre rôle, à vous les médias, sera aussi d’expliquer et de relayer le travail effectué au quotidien sur ce combat continuel engagé contre l’inacceptable… ».

Bref, le préfet nouvelle mouture ne souhaite pas le tout répressif. Il en appelle à la responsabilité collective et à la compréhension des comportements pour que ceux-ci se modifient. Dans la sagesse et le civisme ?

 

Le monde agricole et les milieux économiques : une attention très particulière…

 

Conscient des difficultés qui touchent les acteurs de l’univers agricole, Henri PREVOST concentrera également ses premières rencontres vers ces représentants de l’économie rurale.

« Je vais sans plus tarder m’immerger dans la sphère agricole, explique-t-il, c’est un milieu que je connais très bien du fait de mes racines. Je suis sensibilisé à leur désarroi actuel : il faut que les choses réussissent… ».

Le préfet en fera de même auprès des industriels et autres décideurs économiques.

Amateur de patrimoine architectural, ce spécialiste de la marine voue une admiration toute particulière au château de MAULNES, à ses formes si mystérieuses, évoquant un pentagone énigmatique.

Il connaît aussi les crus du terroir viticole. Endiguant ainsi sa soif de découverte supplémentaire autour de ce département dont il va prendre le temps de découvrir à satiété le moindre recoin au fil de ces prochains mois.

Pour mieux y appliquer, sans doute, le principe élémentaire qui régit la mission d’un préfet en exercice : trouver et apporter les meilleures solutions aux problèmes posés sur un territoire donné. Bienvenue et bonne chance, M. PREVOST !

 

 

 


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Portée sur les fonts baptismaux depuis le mois d’octobre 2018, la cellule féminine de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME) voit grossir de manière inéluctable ses effectifs d’une séance à l’autre. Désormais, les filles qui expriment leur désir d’entreprendre et de manager prennent plaisir à se retrouver de manière mensuelle autour d’agapes sympathiques et fructueuses…

AUXERRE : Alors que le syndicat patronal, défenseur des intérêts des responsables de TPE et PME dans l’Yonne, continue à gonfler ses rangs au terme de 2019 (la barre des 210 adhérents a été franchie en décembre), sa cellule 100 % féminine, un sérieux plus au niveau de la communication et de la représentativité, se porte également très bien au niveau du nombre de ses adhérents.

Le pôle qui accueille des femmes chefs d’entreprises ainsi que des managers fonctionne merveilleusement bien aux dires de la secrétaire générale de la structure, Emmanuelle MIREDIN, qui en suit les courbes évolutives avec délectation.

La Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne avait pris soin à l’automne 2018 d’initier ce nouveau point de rencontre entre dirigeants de sociétés. En l’occurrence des dirigeantes puisque le Pôle Femmes des chefs d’entreprises de la CPME se veut exclusivement féminin comme son appellation l’indique !

 

 

Une trentaine de membres constitue désormais ce réseau intégré au sein d’un réseau. Il a pour objectif de se réunir une fois par mois entre midi et quatorze heures dans l’un des espaces de restauration de la place.

Une formule très attrayante selon Emmanuelle MIREDIN pour qui ces rencontres entre dirigeantes de société à l’heure du déjeuner fonctionnent plutôt bien pour y adjoindre l’utile à l’agréable. Faire du business tout en se sustentant : c’est la recette subtile des femmes qui veulent aller de l’avant !

 

 


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Troisième site touristique de l’Yonne en termes de fréquentation après ceux de Vézelay et le château de GUEDELON, l’espace horticole et végétal de Sens innove en commercialisant sa production de miels. Le partenariat avec le Syndicat d’apiculture du département officialisé en 2011 se concrétise dorénavant par la vente de produits issus de plusieurs ruches implantées sur le site, devenu le véritable poumon vert de la capitale du nord de l’Yonne…

SENS : Désormais, il est possible de consommer le miel produit par les colonies d’abeilles qui se sont installées dans les quatre ruches que possèdent le Moulin à Tan.

Chantre de la préservation de la biodiversité au cœur de l’agglomération sénonaise, le site s’est rapproché du Syndicat départemental apicole de l’Yonne pour tenter une expérience novatrice qui devient donc payante aujourd’hui. Même si l’objectif initial n’était pas de vendre le nectar qui émane des abeilles.

Un apiculteur de Rosoy, M. SUEZ, prend soin des ruches, disposant ainsi des produits, du matériel et de l’alimentation fournis par le parc pour traiter et élever les insectes.

Si l’objet primordial de cette démarche se justifie à des fins pédagogiques, à destination des plus jeunes et de leurs parents notamment, la direction des espaces verts Ville et Agglomération, incarnée par Aurélien LOIZEAU, a décidé de proposer à la vente les miels issus de ces colonies. Partant du postulat de pouvoir le faire si la récolte le permettait, évidemment.

Ce qui semblerait être le cas depuis 2019. Quarante kilos de miel ont ainsi été récoltés dans les ruches locales cette saison. Suffisant pour se lancer dans cette aventure de la vente, forte en symbole.

L’année précédente, la récolte de ce miel toutes fleurs, à base d’acacia, de colza, de châtaignier, avait permis de récolter une centaine de kilos. Mais, la production d’alors n’était pas destinée à la vente directe.

 

Le besoin de communiquer autour de la préservation des abeilles…

 

Conditionné dans des pots de formats différents (125 gr et 250 gr), le miel du Moulin à Tan a été vendu cet été auprès des services de l’Office du tourisme et au musée de Sens.

Les amateurs de ce produit naturel y ont trouvé leur compte. Grâce à des articles à la qualité gustative exceptionnelle qui se négocient à plus de deux euros pour les petits pots de 125 grammes et à 4 euros le contenant de 250 grammes.

Ici, naturellement, il n’est pas question de se faire de l’argent. La vente de ces miels sert uniquement à payer l’entretien, les soins et l’alimentation des abeilles présentes dans le périmètre.

 

 

On estime à 60 000 individus le nombre d’abeilles vivant dans une colonie qui est établie par ruche. Or, nous l’avons dit, le Moulin à Tan en possède quatre à l’heure actuelle dans l’un des endroits préservés du parc.

Depuis deux ans, cinq autres ruches ont également été implantées sur un autre site faisant office de conservatoire de pommes de Bourgogne à Saint-Savinien. Le filon offert par ce miel onctueux et aux saveurs délicates ne devrait donc pas se tarir de sitôt…Le Moulin à Tan veille aussi à la prolifération des frelons asiatiques qui s'attaquent aux colonies...

 

Un article réalisé avec le partenariat de la Communauté d’agglomération du Sénonais et de la Ville de Sens.

 

 

 


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Le choix du Conseil départemental de l’Yonne sur ce gestionnaire de sites culturels et patrimoniaux s’est fait de la manière la plus conventionnelle possible. Grâce à un appel d’offres réalisé dans le cadre d’une DSP, une délégation de service public. Dorénavant, le château pentagonal du Tonnerrois sera exploité par ce spécialiste des monuments historiques, filiale du groupe AURIGE. L’idée est d’y réaliser un maximum d’évènements favorables à sa reconnaissance au-delà de nos frontières…

AUXERRE : Encore inconnue dans le sérail icaunais jusqu’alors, la société ALFRAN jouera un rôle prépondérant dans les prochaines semaines. Elle assurera la valorisation de l’un des édifices patrimoniaux les plus emblématiques de notre territoire : le château de MAULNES.

La construction en forme de pentagone bénéficiera désormais de l’expertise de ce gestionnaire de sites culturels, au niveau de son exploitation.

Sachant que ALFRAN possède déjà plusieurs cordes à son arc en matière de professionnalisme dont le conseil aux collectivités, la gestion des sites à proprement parlé et même une fonction d’agence de communication.

Rattachée au groupe AURIGE dont elle dépend, l’entité possède à son actif le suivi d’un vélo rail dans la Vienne, celui du parc archéologique CASSINOMAGUS en Charente et même la propriété moyenâgeuse de Stéphane BERN, l’animateur vedette de l’audiovisuel en charge de la sauvegarde patrimoniale pour le compte du gouvernement, en Eure-et-Loir.

Courant sur cinq ans, ce contrat d’exploitation permettra au château de MAULNES de devenir le quatrième site patrimonial sous la tutelle de la société, originaire de Touraine.

Comprenant une quinzaine de salariés, ALFRAN a réalisé un chiffre d’affaires de cinq millions d’euros la saison dernière. Précisons que sa maison mère, le groupe AURIGE, pèse cent-cinquante millions d’euros de chiffre d’affaires. Elle dispose d’une cinquantaine d’agences réparties à travers l’Hexagone.

 

145 000 euros de recettes d’ici cinq ans ?

 

Dès le 06 janvier, ALFRAN interviendra sur la ligne décisionnelle du site de l’Yonne. Grâce à son comité scientifique qui travaillera de concert avec les services du Conseil départemental, propriétaire de l’édifice.

Considéré comme « un lieu charmant » sans l’once d’une référence péjorative par ses nouveaux exploitants, le château de MAULNES fera l’objet de toutes les attentions en 2020.

Une offre éclectique d’une quinzaine de visites thématisées est à l’étude. Le caractère labyrinthique du lieu favorisera la création d’espaces ludiques afin de faire jouer les familles.

La présence d’un capital œnologique fort, celui de Chablis, mais aussi celui du Tonnerrois tout comme la présence d’un potentiel architectural intéressant (les châteaux de Tanlay et d’Ancy le Franc) permettront d’apporter une plus-value conséquente sur ce secteur géographique.

Un chiffre est clairement annoncé. Celui de 20 000 visiteurs à atteindre d’ici 2024. A terme, c’est-à-dire sous une période de cinq ans, les nouveaux exploitants qui veulent peser de tout leur poids en matière de professionnalisation des lieux capitalisent sur plus de vingt mille visiteurs à l’année. Soit une progression de 150 % des possibilités !

Les recettes pourraient dépasser les 145 000 euros en cinq ans. La physionomie du site devrait également se différencier du site d’aujourd’hui. Pourvu d’une clôture, le château de style Renaissance possèdera sa boutique et un espace paysager labyrinthique réservé à la conception d’évènementiels.

 

 


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