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C’est sur la base du volontariat, et uniquement sur ce seul principe déontologique, que s’effectuera le lundi 11 mai la reprise des activités du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne. Entre-temps, soit une semaine auparavant, les entreprises qui assurent la gestion de l’éclairage public et des réseaux électriques auront repris le chemin du travail…

AUXERRE : Soucieux de relancer les activités économiques sur le territoire de l’Yonne au plus vite, le président du SDEY 89, Jean-Noël LOURY, vient de confirmer ce jeudi 30 avril par téléphone la reprise du labeur dans le département. 

« Nous sommes en ce moment même en phase de préparatifs pour assurer au mieux la reprise des activités sur le terrain dès le lundi 11 mai, devait déclarer lors de cet échange le président de l’institution, une reprise qui ne s’effectuera que sur la base du volontariat et dans le respect stricto sensu des gestes barrières avec l’appui des mesures de protection… ».

Confiné lui-même,  à l’identique de la quarantaine de personnes qui travaillent dans les bureaux de l’organisme, Jean-Noël LOURY envisage le retour progressif de ses collaborateurs avec la date butoir du confinement.

Depuis le 17 mars, même si les locaux sont temporairement fermés, l’ensemble du personnel du SDEY poursuit ses activités en télétravail pour garantir ainsi la continuité des missions du service public. 50 % du personnel devrait être opérationnel dans les bureaux dès le 11 mai.

 

 

Si les rendez-vous et autres réunions de chantier ont été reportés à des dates ultérieures, un certain nombre de réunions de travail qualifiées d’indispensables a pu se dérouler par le biais de rencontres organisées en audioconférence ou en visioconférence dans cet intervalle.

Les entreprises qui retourneront sur les chantiers en cours dès le 04 mai ont toutefois mise en place des services d’astreinte pour gérer les urgences liées aux interventions impérieuses et contrôler les installations.

Signalons que les concessionnaires, ENEDIS et GRDF, qui ont cessé toutes activités depuis le début du confinement, conservent cependant elles-aussi une astreinte dans le cas d’interventions urgentes et de sécurisation des réseaux.

 


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Le président de l’exécutif départemental s’est immergé le temps d’une visite forte en symboles dans l’un des EHPAD de la région, celui de Saint-Bris-le-Vineux ce mardi 28 avril. Accompagné de la déléguée territoriale de l’Agence régionale de santé (ARS) Eve ROBERT, Patrick GENDRAUD a pu s’entretenir, dans le respect des gestes barrières, avec la direction de l’établissement sur les conditions de vie actuelles des résidents.   

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : D’abord, il y avait cette volonté de saluer le courage et l’exemplarité de celles et ceux qui exercent en première ligne leur métier pour lutter contre les ravages imputables à la propagation de l’épidémie. Puis, au-delà de cette présence physique du président du Conseil départemental, il était question de soutien sans faille de la part de la collectivité et de ses élus au personnel de ces établissements qui assurent la protection et la prise en charge des résidents restreints.

Depuis le début de la crise, les EHPAD ont payé un lourd tribut face à la prolifération de cette maladie infectieuse. Avec des équipes professionnelles qui ont su faire montre de leur dévouement et leur sens des responsabilités.

C’est cela qu’a tenu à souligner lors de ce déplacement vécu dans des conditions de protection optimales Patrick GENDRAUD. En compagnie de la représentante territoriale de l’Agence régionale de santé, Eve ROBERT, le président de l’assemblée départementale a profité de cette visite pour évoquer deux points primordiaux : le poids et le rôle de la coordination départementale réunissant le Département, l’ARS et la préfecture et ce désir de rompre coûte que coûte cet isolement sans pour autant mettre en danger les personnes hébergées en EHPAD.

« Nous nous sommes mis au service des EHPAD, explique l’ancien maire de Chablis, pour les accompagner au plus près dans la gestion de la crise… ».

Une aide collégiale qui s’est appliquée notamment sur la résolution des problèmes de personnel ou encore l’approvisionnement en équipements de protection.

Sur ce point, il est bon de rappeler que le Conseil départemental de l’Yonne a agi avec grande dextérité pour assurer l’ensemble des EHPAD d’une dotation de masques de type « FFP2 » leur permettant de protéger leurs résidents et leurs personnels en cas de suspicion de COVID 19.

Du côté des renforts en potentiel humain, l’instance départementale a mis à disposition certains agents des collèges et des infirmières de la direction de la protection maternelle et infantile qui sont venues prêter main forte à leurs collègues dans certains établissements.

Mais, comme le souligna Patrick GENDRAUD dans ses propos, « l’accompagnement passe aussi par la continuité du paiement de l’aide sociale départementale et des dotations « dépendance » afin de donner aux EHPAD les moyens nécessaires à la gestion de la crise… ».

 

 

Les visites aux familles sont possibles mais très limitées…

 

Quant à l’isolement, il a été abordé lors de cet entretien avec la direction de l’EHPAD de Saint-Bris. Le président du pouvoir départemental rappela que du matériel numérique (tablettes, clés et routeurs 4G) avait déjà été acheminé sous la forme de prêts aux directions des EHPAD.

Un sérieux plus pour les familles qui peuvent ainsi garder un lien avec leurs parents résidant en établissement. Certaines associations, voire des entreprises privées à l’instar de la Fondation Orange se sont mobilisées à cet effet.

D’autres entités, à l’instar de la société ALTITUDE, livreront ces prochains jours de nouvelles tablettes et des routeurs aux EHPAD éprouvant des difficultés à se connecter.

Le retour des familles dans les EHPAD est dans l’air du temps. Mais, pas à n’importe quelle condition. Les visites ne peuvent concerner que deux personnes au maximum, parfois une seule. Elles s’effectueront selon les modalités organisationnelles de l’établissement en fonction de la situation de l’EHPAD, de son architecture et de ses ressources.

Et, naturellement, elles ne peuvent se faire que dans le respect des règles strictes permettant de protéger au mieux les résidents à partir d’un mode opératoire rigoureux comprenant l’organisation d’un circuit de circulation spécifique, l’obligation de la distanciation physique, l’emploi des gestes barrières et l’utilisation de gel hydro-alcoolique. Le port du masque restant obligatoire...

 


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Imaginons un état lambda fortement endetté. Un état X lui accorde une aide de sauvetage de 100. Lambda rembourse tout de suite l’état A, pour la somme de 100. Ce même état devait 100 à l’état B. Il en profite pour rembourser un autre état qui apure un peu de sa dette auprès de la BCE. Ce qui permet à la Banque Centrale européenne d’accorder un prêt de 100 à l’état X !

TRIBUNE : Une journée maussade dans un petit bourg ensoleillé au fin fond de la Grèce. Il tombe une pluie battante et les rues sont désertes. Les temps sont durs. Le pays est très endetté : tout le monde vit à crédit.

Arrive un riche touriste français. Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre. Il pose un billet de 500 euros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit.

Pour 500 euros, le propriétaire de l'établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira. Dès que le touriste a disparu dans l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 500 euros, file chez le boucher et règle la dette qu'il a envers celui-ci.

Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de porcs à qui il doit 500 euros et rembourse sa dette. L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au pub régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment. La fille, qui occupe à crédit les chambres de l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé auparavant.

Le touriste français redescend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet de banque et s’en va ! Personne n’a rien produit ! Personne n’a rien gagné !

Mais plus personne n'est endetté ! Et le futur semble beaucoup plus prometteur ! C’est ainsi que fonctionnent les plans de sauvetage au profit des pays de l'Europe en difficulté ! Ce n'est pas la peine d'avoir fait de hautes études pour comprendre ce cycle de la circulation monétaire…

Jean-Paul ALLOU

 


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A l’initiative du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, il est possible depuis le 09 avril de créer de la proximité et des échanges altruistes via une plateforme numérique. L’établissement bancaire déploie ce dispositif, à l’instar des 38 autres caisses régionales, dans les quatre départements de sa zone de couverture sur les principes de son leitmotiv : « Agir chaque jour dans votre intérêt et celui de la société… ».

DIJON : Etre solidaire entre nous. Et surtout renforcer les liens avec autrui. Plus que jamais, cela devient une nécessité dans cette période de confinement qui peut s’avérer très perturbante et anxiogène à bien des égards du fait de sa longueur.

Aussi, c’est dans cet état d’esprit que le Crédit agricole, via l’ensemble de ses caisses régionales dont celle de Champagne-Bourgogne, a lancé une plateforme numérique interactive afin d’y développer de nouvelles formes d’échanges entre les personnes.

Une initiative judicieuse portée autour de deux axiomes : le désir de se rapprocher de l’autre par la voie de la communication et assouvir ce besoin de solidarité inéluctable qui s’est fait jour depuis le commencement de la crise sanitaire.

Baptisée, « J’aime mon territoire », cette plateforme d’entraide est un précieux auxiliaire à la création de nouveaux liens sociaux entre ses utilisateurs. Accessible à tous, depuis un ordinateur, une tablette ou un mobile, ce vecteur de communication favorise la proximité et le désir de partage.

Parmi ses principaux usages, citons la proposition d’aides spécifiques, la publication d’informations utiles pour le réseau local, des renseignements précis sur l’évolution de la crise sanitaire en France et dans sa région, la diffusion de pages dédiées aux associations, aux commerçants, aux producteurs locaux ou groupes d’intérêts à relayer.

 

En savoir plus :

 

Plateforme de solidarité collaborative :

www.jaimemonterritoire-ca.fr

 


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Il aura fallu la crise sanitaire du coronavirus pour que l’on s’aperçoive que nous étions très dépendants de la Chine dans la conception de nombreux produits pharmaceutiques et industriels. Tous les « y’a qu’à faut qu’on » de la politique nous racontent qu’il est important de réindustrialiser la France. Mieux encore : les dirigeants hurlent « haro sur le baudet » en nous racontant que si les mesures prises n’ont pas été développées à temps, c’est à cause des Chinois. Mais, c’est bien méconnaître la culture de ce pays qui n’aime pas perdre la face…

TRIBUNE : Partout on entend dire que les disciples de Mao n’auraient pas été honnêtes quant à l’ampleur de l’épidémie, devenue pandémie et que nous sommes des victimes de leurs mensonges ! Mais bien sûr !

Ce qui devient grave, c’est de méconnaître la culture asiatique en général et chinoise en particulier. Peu de personnes peuvent imaginer ce que représente « perdre la face » pour un Chinois.

C’est pourtant ce que nous faisons en poussant des cris d’orfraie en les traitants de menteurs sur la place publique. C’est plus qu’intolérable et insupportable pour un habitant lambda de l’Empire du Milieu. On peut s’attendre à quelques représailles, si nous poursuivons les chinoiseries contre Pékin.

De quoi parlons-nous ? D’abord, le terme « chinoiser » remonte au XVIIIème siècle. Il désigne un échange tatillon et pointilleux. Par ses caractères, la langue chinoise nous est d’ailleurs incompréhensible.

Quitter la Chine pour produire en France ? C’est un véritable « casse-tête », chinois, bien entendu ! Réindustrialiser est dans les tuyaux depuis quelques années  et nous avons vite baissé les bras…

Pourquoi ? Parce que de telles opérations demandent des capitaux importants et des investissements en matériels démentiels : notre outillage est non seulement absent des entreprises et  les machines restantes sont devenues obsolètes ! Petite précision : dire « obsolescence programmée » est impropre, c’est « durée de vie programmée » qu’il faut utiliser !  L’obsolescence, c’est le niveau de dépassement technologique.

Le dernier président Français qui s’est intéressé à l’industrie était Georges POMPIDOU. Après lui, on s’est attaché à organiser le « désert » industriel que l’on connaît. Plus grave, dans de nombreux cas, nous avons non seulement délocaliser la production vers la Chine mais aussi transféré les technologies qui vont avec !

Les savoir-faire ont disparu…Résultat : nous ne trouvons plus la main-d’œuvre qualifiée pour produire. Qui devra nous former pour pouvoir le faire, d’ailleurs ? Devinez un peu !

 

 

23 grandes marques françaises passées sous pavillon chinois…

 

Etat des lieux en chiffres : la Chine est devenue la deuxième économie mondiale. Elle représente 20 % de la richesse planétaire, 30 % de la production manufacturière et 30 % du commerce international. Des chiffres impressionnants qui sont le fruit des délocalisations massives d’une industrie européenne à la recherche de coûts salariaux très bas ! La Chine, c’est aussi une production textile dominante dans le monde avec 90 % des smartphones, 80 % des jouets et la majorité des principes actifs de l’industrie  pharmaceutique.

A titre d’exemple, les Chinois produisent 90 % de la pénicilline, 60 % du doliprane, 50 % de l’ibuprofène…Sans compter les 23 marques françaises passées sous pavillon chinois : Lanvin, Saint-Hubert, Salomon, Club Med, Naf-Naf, l’OGC Nice… 

Au-delà des effets d’annonce qui prônent la désindustrialisation, on comprend qu’il faudra beaucoup de monnaie et énormément de temps, ne serait-ce que pour les produits pharmaceutiques. Sachant qu’il faut quelques années pour obtenir les agréments.

Alors ne chinoisons pas trop avec nos amis d’outre-Grande Muraille ! Ils pourraient eux aussi nous chinoiser en retour…

 

La Chine finance notre système de retraite et la sécurité sociale !

 

Si nous parlons monnaie : en plus des échanges commerciaux, regardons de plus près notre dépendance concernant le rachat des dettes de l’Occident par la Chine !

Cerise sur le gâteau : les Chinois sont de redoutables créanciers ! Les bons du trésor américains sont achetés par Pékin à hauteur de plus 1 100 milliards de dollars !

Afin de soutenir l’économie européenne aux fins de faciliter leurs exportations, les Chinois ont largement investi dans la dette de l’Europe.  Le secteur social français (retraite et Sécurité sociale) est largement financé par la Chine.

80 % de notre dette sociale est détenue par la Chine et le Japon ! En France, le déficit de la Sécurité sociale est estimé à plus de 40 milliards d’euros !

En plus, les deux tiers de la dette publique, soit plus 2 400 milliards d’euros, sont financés par les investisseurs internationaux avec une présence massive des investisseurs asiatiques !

Si la Chine décide de se séparer de ses créances sur les états, elle provoquera la panique sur les marchés. De plus, demain, qui va racheter nos titres d’Etat pour financer nos dettes ?

A ceux qui disent : « de toute façon, face à cette crise personne ne remboursera ses dettes », on peut répondre par un risque de conflit armé et surtout n’oublions pas, que face aux créances impayées, les Chinois se payent directement sur « la bête » en prenant le contrôle des infrastructures des pays concernés !

Bref, consolons-nous avec un verre de « Baijin » ou une chope de « Tsingtao » ! Et « qing-qing », comme on dit en Chine (le tchin-tchin à la française) ! Ou mieux encore, entrons dans la ronde de cette vieille comptine enfantine : « Tchin, tchin, et patachin, j’aime la Chine et mon chapeau chinois… » !

Jean-Paul ALLOU

 

 

 

 


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