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Première convention de partenariat de la saison en phase de signature à la Région Bourgogne Franche-Comté ce vendredi 27 août. L’évènement mettra en scène le CRIJ (Centre régional d’information Jeunesse BFC) et la Banque Populaire. L’objet de ce paraphe est simple : promouvoir le lancement de la e-carte Avantages Jeunes 2021/2022…

 

DIJON (Côte d’Or) : Une conférence de presse, réunissant les différents partenaires de cette opération, se déroulera dans les locaux du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce vendredi 27 août en milieu d’après-midi.

Il y sera question de dévoiler dans le détail les principales nouveautés qui ont été apportées à l’édition 2021/2022 de cette carte destinée à un public issu de la jeune génération.

De quoi s’agit-il précisément ?  La carte Avantages Jeunes dans sa version numérique est une action qui émane du réseau Info Jeunes Bourgogne Franche-Comté, soutenu par la Région et l’établissement bancaire régional.

D’ailleurs, à compter du 01er septembre, près d’une centaine d’agences à l’estampille de la Banque Populaire BFC deviendront des « points de commercialisation » de ladite carte et des points de retrait des commandes en ligne qui en découleront fort logiquement.

Selon des modalités spécifiques, à découvrir sur la référence www.avantagesjeunes.com, le jeune public pourra être doté de cette fameuse carte reconnue par plus de 2 000 partenaires économiques, de manière gracieuse, voire en la payant pour la modique somme de sept ou huit euros.

Valable du 01er septembre au 31 août, cet instrument facile d’utilisation propose aux moins de 30 ans plus de 3 200 réductions et gratuité sur des produits et services référencés parmi la culture, les loisirs, le sport et la vie quotidienne.

 

En savoir plus :

Pour découvrir l’ensemble des nouveautés 2021/2022, consulter la référence suivante : www.avantagesjeunes.com

 

Thierry BRET

 

 


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Choqué, scandalisé par les images insupportables relayées par plusieurs vidéos de l’association de défense animale, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE s’insurge contre « les pratiques inacceptables » d’un élevage porcin qui sévit dans l’Yonne. Un établissement ayant fait l’objet le 01er juin d’un signalement auprès de la gendarmerie après un dépôt de plainte.

 

TONNERRE : « On n’achève bien les chevaux », disait le film. On maltraite aussi les cochons, répond en écho L214. La fameuse association de défense animale vient de balancer un nouveau pavé dans la mare, et de taille encore une fois, qui éclabousse la pratique de l’élevage intensif et ses méfaits dans le registre de la cruauté ordinaire.

Circulant sur les réseaux sociaux, ces images, innommables, sont à la limite de la barbarie dont sont victimes aujourd’hui bon nombre d’espèces animales.

Certes, l’opprobre ne doit en aucun cas être jeté sur l’ensemble de la filière qui exerce son travail avec professionnalisme et dans le respect des règles pour la plupart de ses représentants. Comme le précisent par ailleurs des représentants de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, offusqués par ces pratiques ignobles.

Pour autant, il existe toujours des brebis galeuses, non respectueuses des règlements en vigueur dans les élevages, qui se croient bien au-dessus des lois.

Ce sont ces structures-là, inqualifiables au plan de la probité morale que vise le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien DENORMANDIE remonté comme un coucou suisse après avoir visionné les images odieuses fournies par L214.

 

 

La préfecture va poursuivre ses investigations et ses contrôles…

 

Dans un communiqué de presse, le membre du gouvernement condamne avec la plus grande fermeté ces pratiques d’un autre âge. Diligentée en juin, une enquête concerne depuis  l’établissement visé par les protecteurs de la cause animale. Une entité qui se situe à Annay-sur-Serein dans le Tonnerrois dont la gestion est assurée par le groupe PROVENT-SDPR, implanté en Savoie.

Ce dernier possède une centaine de porcheries industrielles réparties à travers l’Hexagone. Toujours d’actualité, l’enquête devra déterminer les dérives ou manquements avérés aux règlements afin de les mieux sanctionner.

Une inspection de cet élevage avait été réalisée de manière inopinée par les services vétérinaires de santé protection animales et environnement de la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de Protection des Populations de l’Yonne (DDETSPP) après un signalement déposé en gendarmerie.

Des non-conformités ont pu y être relevées après que les inspecteurs aient contrôlé l’ensemble des salles, des cases de maternité et d’engraissement de ce site, depuis dans l’œil du cyclone ministériel.

Si l’inspection assurée en juin n’avait pas mis en évidence de situation ou de comportement inacceptable tels que ceux illustrés dans les vidéos de L214, insistant sur les multiples actes de cruauté animale (coups et blessures portés avec des tournevis et matadors, utilisation abusive de piles électriques, réduction des coins à la tenaille sans prise en charge de la douleur…), la préfecture de l’Yonne entend bien poursuivre des investigations complémentaires pour en avoir le cœur net.

La DDETSPP a informé l’exploitant qu’une nouvelle inspection serait menée par les services vétérinaires pour vérifier la mise en conformité de son élevage, une structure qui accueille aujourd’hui près de 1 800 truies.

 

 

L’horreur dans tous ses états avec le claquage des porcelets…

 

A l’origine de cette nouvelle affaire : un employé, ayant exercé plus de deux ans dans la porcherie, qui a tiré la sonnette d’alarme. Prises à partir de son téléphone portable, les images filmées par ses soins sur le site sont proprement accablantes.

On y voit des truies recevoir de multiples coups de tournevis dans la chair pour les faire avancer plus vite. Certaines, tuméfiées sur tout le corps, agonisent sur le sol en béton de l’établissement.

D’autres, plus jeunes, ont les dents coupées à la tenaille. Parmi les autres sévices insoutenables : la coupe des queues à vif des porcelets, une pratique interdite selon L214 dans l’arrêté datant du 16 janvier 2003 ou encore le claquage des porcelets.

Les animaux jugés les moins rentables sont violemment assommés tout juste après leur naissance (bienvenue dans le monde des humains !). Une opération sensée les tuer sur le coup ; ce qui est loin d’être le cas, en vérité…

Le porte-parole et directeur des enquêtes de L214, Sébastien ARSAC, a précisé que l’association avait porté plainte auprès du procureur de la République d’Auxerre, dénonçant de « nombreuses infractions à la réglementation ». Espérant en filigrane de dures sanctions contre l’éleveur industriel…

 

Thierry BRET

 

 


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Trois années de développement ont été nécessaires pour en peaufiner toutes les subtilités technologiques. Au plan budgétaire, plusieurs centaines de milliers d’euros auront été injectées. Mais, in fine, le jeu en valait bien la chandelle pour l’industriel de Sens. Son régulateur électronique de dernière génération, le « Pack Control 4 » propose une centaine de fonctionnalités qui devrait révolutionner le segment du ballon d’eau chaude sanitaire…

 

SENS : Voilà une belle entreprise qui ne connaît pas la crise ! Encore moins le manque d’inspiration quant aux trouvailles technologiques à exploiter qui permettent de faire évoluer les concepts et les rendre pérennes dans leur environnement.

Synthèse réussie de nouvelles opportunités techniques et de quarante années d’expérience en matière de gestion de l’eau chaude sanitaire collective, le nouveau régulateur électronique commercialisé par CHAROT l’atteste amplement.

Trois ans après le début de la réflexion initiale, nécessitant plusieurs centaines de milliers d’euros en R & D, le « Pack Control 4 » fait figure d’OVNI sur ce marché devant équiper les grands ensembles et les bâtiments du tertiaire.

Muni d’un écran tactile couleur de sept pouces, cet appareil offre l’accès à de nombreuses fonctionnalités de manière simple et intuitive pour ses utilisateurs.

 

 

Un concept dont la cinquième version est déjà dans les tuyaux…

 

Concrètement, en moins de trois clics, l’usager peut facilement paramétrer l’installation, visualiser les températures en un seul coup d’œil et s’assurer du fonctionnement optimal des principaux éléments raccordés : pompes, vannes ou appareils de mesure vérifiant le débit.

Bref, c’est un véritable dispositif ergonomique que CHAROT propose désormais sur le marché. Les premiers modèles ont été vendus dès le mois de janvier. On se souvient de la sensation que ce régulateur avait occasionné dans le landerneau lors de sa présentation officielle au Salon INTERMAT de Paris, organisé en 2019.

Destiné à réguler et à surveiller la production et la distribution de l’eau chaude sanitaire, assurée par tous les systèmes existants, ce produit devrait se convertir en au moins 30 % d’optimisation sur le chiffre d’affaires de l’entreprise du Sénonais. Une estimation qui devrait évoluer à la hausse au cours de ce second semestre selon les prévisions de Pascal CHAROT, PDG de la société, très satisfait du potentiel de son concept.

Non seulement, ce régulateur dernier cri devrait rencontrer le succès dans l’Hexagone ; mais il pourrait également intéresser les utilisateurs de Belgique où il s’est déjà vendu plusieurs spécimens.

 

Thierry BRET

 

 


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Après les cuisiniers Charles GODART et Marc MENEAU l'an dernier, c'est une autre toque icaunaise qui vient de disparaître. Ce grand chef est né en 1934 à Joigny. Un an après une autre naissance de renom, celle de la triple distinction étoilée du guide Michelin, l'un des puissants fils rouges de sa vie...

JOIGNY : Mais la saga LORAIN ne commença pas avec Michel. Ce sont ses parents, Louis et Marie, qui en sont à l'origine. Sa maman, couturière reconvertie en « mère lyonnaise » pourrait-on dire, cuisine merveilleusement poulet rôti, lapin à la moutarde et autres veau marengo...

Sa réputation n'est plus à faire dans cette modeste pension de famille qu'elle ouvre, après-guerre. Son nom ? « La Côte Saint-Jacques », du nom de la colline située au-dessus. Quant à Louis, il s'occupe plutôt du comptoir, autour duquel grouille...une animation certaine ! La belle histoire peut commencer.
Avec quatre enfants, Marie n'a guère le temps de s'ennuyer. L'un de ses « p'tiots » aime mettre la main à la pâte. C'est Michel. Sa belle vocation est née ! Un apprentissage en pâtisserie, suivi d’une place en cuisine dans l'Yonne : à l'hôtel « Fontaine » d'Auxerre, puis comme commis-saucier à l'hôtel de Paris et Sens, deux étoiles Michelin à l'époque, auprès du chef MOF Marc ALIX qui le marqua profondément.
De retour de son service militaire en Algérie, Michel épouse Jacqueline. Il l’a rencontrée quelques années plus tôt. Et en 1958, Marie confie au jeune couple « La Côte Saint-Jacques » et sa destinée future…

 

Des plats à jamais entrés dans la légende gastronomique…

 

L'entreprenant Michel, fidèlement épaulé par Jacqueline, va d'abord transformer la pension de famille en hôtel-restaurant, avec de l'eau chaude et du chauffage central ! La famille s'agrandit avec la naissance de Jean-Michel, puis Catherine quelques années plus tard. Quant au comptoir, c'est toujours « pépé Louis » qui s'en occupe. En servant le pastis aux beloteurs, parfois ça s'enguirlande un peu, tout en rigolant ! Une autre époque assurément...

Et comme mentionné sur les menus d'alors : Michel LORAIN, chef de cuisine, propriétaire, apportera tous ses soins aux différents plats qu'il a sélectionné à votre intention. Les plats ? La côte de bœuf à l'os grillée sauce béarnaise, le coq bourguignon au vin d'Irancy ou bien encore le steak tartare sauce anglaise préparé à votre goût par Mme LORAIN. Et pour terminer par la pêche ou ananas glacé melba, le « Saint-Jacques aux griottes », ou bien les « nounettes » flambées ; ce sont des crêpes fourrées !

Tout va bien : les clients sont là avec ce corollaire de files interminables de voitures.

 

 

Un nouveau cap est franchi avec la première étoile au Michelin…


Mais en 1966, l'avènement de l'autoroute A6 met brutalement fin à cette euphorie. La mythique « RN6 » est désertée. Conséquence : « La Côte Saint-Jacques » perd instantanément la moitié de sa clientèle. Il en faudrait plus pour décourager les courageux époux LORAIN. Ils se rendent notamment à Londres pour y rencontrer des voyagistes. Michel se dit alors que pour faire quitter l'autoroute à la clientèle, il doit transformer sa modeste auberge en un luxueux restaurant à la cuisine gastronomique plus élaborée. Adieu la moitié de caneton rôti aux reinettes et flambé au calva ! Place à la tourte de caille glacée à la gelée de porto, la côtelette de brochet à la jovinienne, ou encore le tournedos poêlé aux morilles, plats avec lesquels Michel et sa brigade décrochent une étoile au Michelin en 1971, une épopée pneumatique qui perdure encore un demi-siècle plus tard...
En 1976, le Michelin double la mise pour la tourte de caille et foie gras, le cuissot de porcelet braisé en marcassin. Mais Michel et Jacqueline - précurseur en matière de sommellerie au féminin- veulent plus. Beaucoup plus. Alors, ils vont s'en donner les moyens. De cette époque unique dans l'histoire, pourtant déjà remplie, de la maison, Jean-Pierre LESTRIER, l'un des anciens seconds de Michel s'en souvient comme intense, avec un chef exigeant et rigoureux, mais éminemment sympathique.

 

Des convives du monde entier et un nouvel établissement, le « Rive Gauche »...

 

Et en 1986, le Michelin, dirigé alors par Bernard NAEGELLEN, décerne les mythiques trois étoiles à l’établissement de Joigny pour son saumon sauvage en vessie, le bar au beurre de truffe, et trois desserts au chocolat. Joigny entre dans la cour des grands et vaut désormais le voyage, dixit le célèbre guide ! Voici peu, Jean-Michel est revenu aux côtés de son père.  Pour préparer l'avenir, aussi...En attendant, « La Côte Saint-Jacques » accueille de plus en plus de convives du monde entier, heureux de quitter l'autoroute !

L'entreprenant Michel - qui ne déteste pas en saison une partie de chasse - fera construire l'autre établissement, fleuron de la maison « Le Rive Gauche » confiée à Catherine.  Il s'occupa ensuite du vignoble éponyme, participant à sa résurrection en quelque sorte. Voilà environ un quart de siècle que Michel et Jacqueline ont confié les clés de la maison à leur fils, ayant toujours apprécié de venir y déjeuner chaque semaine !
Mais revenons un instant en 1986. Cette anecdote, je la tiens du chef étoilé de Sens, Patrick GAUTHIER. En ce début mars, lui et un copain serveur reviennent des sports d'hiver, pour retrouver la capitale où ils travaillent. L'étape du déjeuner se fait chez Paul BOCUSE : loup en croûte sauce choron, volaille de Bresse en vessie, chariot de desserts. Ils reprennent la route repus, lorsqu'à la hauteur d'Auxerre sur l'A6, un flash sur RTL annonce le palmarès Michelin, avec les trois étoiles de « La Côte Saint-Jacques ».
Patrick sort alors brusquement de l'A6, se souvenant que c'est Michel qui lui fit passer son CAP ! Six étoiles dans la journée : un sacré estomac pour nos jeunes gaillards !
Au revoir Michel ! Nous ne croiserons plus dans les rues joviniennes votre fringante et élégante silhouette, souvent coiffée d'un « Stetson » ! Ces mots de la fin/faim sont les vôtres : « Pour percer dans ce métier, j'en conclus qu'il faut avoir envie de le faire, l'aimer, être amoureux de sa femme et former un couple heureux. On ne peut faire de la bonne cuisine que quand on est bien dans sa peau… ».
Reposez en paix, chef ! Tout là-haut, la mère BRAZIER, Fernand POINT, Paul BOCUSE, Alain CHAPEL, Pierre TROISGROS, et quelques autres, vous attendent au banquet des trois étoiles. Vous pourrez y apporter sur la table, l'un de vos plats mythiques, la truffe au chou Michel LORAIN. Et demain dans votre ville natale, au sein de votre « Côte-Saint-Jacques », Alexandre, votre petit-fils succédera à son oncle. La famille, toujours…


Gauthier PAJONA

 


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Priorité à l’avenir, synonyme de relance économique ! A la tête de la puissante Fédération régionale des travaux publics (FRTP), Vincent MARTIN tirera les enseignements de la saison écoulée, ballottée entre crise sanitaire et atonie de la commande publique, lors de sa prochaine conférence de presse. Une commande publique qu’il souhaite encore plus dynamique dès la rentrée…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un exercice qu’il affectionne tout particulièrement, le président de la FRTP de Bourgogne Franche-Comté. Le 28 juillet prochain, au siège de la fédération, Vincent MARTIN conviera les représentants de la presse régionale afin d’analyser les conséquences d’une saison riche en péripéties, perturbée par la présence du COVID-19.

Une prestation oratoire qui arrive à point nommé pour le responsable de l’un des secteurs professionnels qui aura, sans doute, le moins souffert des affres de la pandémie en France. Quelques jours après la tenue de l’assemblée générale statutaire de la filière, accueillie non loin d’Avallon dans l’Yonne, le président de la FRTP a des messages, on ne peut plus clair, à transmettre par le biais des médias. Cible potentielle pouvant les réceptionner de prime abord : les responsables de la classe politique, via leurs collectivités.

Il est clair que parmi les perspectives à court et à moyen terme devant être abordées ce jour-là en terre dijonnaise un large volet sera consacré au renforcement de la commande publique. U levier qui est indissociable de la relance économique pour les entreprises du secteur !

 

Une stabilité politique rassurante pour la filière professionnelle…

 

A Avallon, où il retrouvait pour la première fois, et ce depuis très longtemps les adhérents de la filière fin juin, Vincent MARTIN avait montré des signes de satisfaction au lendemain des résultats électoraux, tant au plan des régionales que des départementales, avec la stabilité dans les verdicts, annonciateurs d’une continuité opérationnelle des actions en cours.

« C’est plutôt rassurant… s’était même fendu d’une déclaration soulagée l’entrepreneur de Dijon en croisant les doigts pour que les budgets déjà votés puissent permettre aux projets infrastructurels de se poursuivre. 70 % de l’activité des entreprises des travaux publics dépendent précisément de cette commande publique. D’où le poids des collectivités territoriales dans la balance de l’attribution de ces marchés.

 

 

A ce propos, Vincent MARTIN est catégorique : « il faut que nos métiers soient alimentés dans les mois à venir par le fruit de cette commande publique… ». Il en va sans doute de la pérennité d’une corporation qui aura pu continuer d’exercer durant le paroxysme de la crise, hormis quelques courtes semaines d’arrêt. L’obtention d’importants contrats d’entretien des routes et des ouvrages d’art s’avère impérieux pour le syndicat de la filière en vue de la relance économique.

 

Recherche collaborateurs pour honorer les carnets de commandes…

 

L’autre fait marquant de cette stabilité politique à l’échelle des deux organismes institutionnels que sont la Région et les départements concerne la formation. Largement cofinancée par l’organe régional qui alloue les subsides nécessaires à la modernisation des CFA et de l’Ecole des Travaux Publics, fonctionnelle depuis Besançon.

Attentif au devenir du contrat de plan Etat/Région, Vincent MARTIN évoquera également un autre item nourricier de ses combats actuels : le dossier brûlant du GNR (Gazole Non Routier) suscitant bon nombre de réactions.

Enfin, l’emploi, le saint des saints des problématiques des entrepreneurs actuels, devrait nécessairement susciter son lot d’interrogations avisées de la part de la sphère médiatique. D’autant plus que les entreprises de la filière éprouvent de très sérieuses difficultés à recruter à l’heure actuelle alors que les carnets de commandes commencent à se remplir.

Donner envie à la jeune génération de s’orienter vers ces métiers, par le prisme de l’alternance, est une chance que nul ne doit négliger. Un gage supplémentaire à apporter à l’attractivité de cette filière…

 

Thierry BRET

 

 


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